rose story

J'ai ce pull qui ne te va pas
Tu l'as oublié l'autre fois
Dans la tente qui nous connait
Quand dans l'attente d'attenter

Sur toi des gestes adroits de rois
Je monte patient, mon propre toit
Si souvent dans les forêts,
On s'est retrouvés dénudés

Sous les pierres de vieux remparts
Figurants d'un spectacle à part
Où mon anneau s'enfile en bas
Pour épouser tout nos ébats

Quand le débat fût clos
Nos compteurs à zéro
Tu me traita d'héros
De sot puis de blaireau


De seau puis de manche
D'amoureux du dimanche

sympa ce texte
flirtant sur une ligne jeu de mots et double lecture
difficile équilibre à réaliser
pour que le lecteur reçoive le fond du texte, amoureux et charnel, sans trop se laisser aller dans la grivoiserie facile

bienvenue à vous parmi nous, les écrivatouilleurs de poètzie !!! :-) ,
amitié
frédéric

(... euh... sinon, les règles du jeu, c'est un texte, poésie et prose, par semaine....)

Merci pour ta critique, et désolé pour le manquement aux règles ( ça commence bien...)
J'ai d'ailleurs remarqué qu'un des textes que j'ai posté ici était un doublon, y aurait-il une possibilité de l'effacer de moi-même ?
A bientôt

Non, il suffit de poster un mot dans le fil "pour les demandes à la modération" dans la partie Conversations du forum, merci (en indiquant de quel texte il s'agit).

Un joli dérouler de hanches, débouler de sentiments, et en plus dans la nature...

lecture acrosympathique avec jeux de mots sexitiques... tout pour le plaire )))
la petite musique et le rythme changent d'un coup après : "Pour épouser tout nos ébats"
comme pour signifier au lecteur la fin des débats... (en passant "tous nos ébats")
une fabiotte moderne avec morale, presque à la Elisabéthaine... manque le rythme soutenu.

Pour info, le doublon a été supprimé.

Déjà je trouvais que dans 4sauts à Estoril il y avait des accents de Renaud (version qu'il était jeune et Société tu l'auras pas), par exemple avec


J’me lève, j’ai les yeux qui collent
Et hier, j’ai pas bu d’alcool
J’ai fumé du mauvais chichon
Mais c’était ça ou rien c’est con

là je trouve aussi rinaldien ce passage :

Tu me traitas d'héros
De sot puis de blaireau