critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
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critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
Critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaïque imagée
à Monsieur Ouestlebec et à tous les joueurs de pipeau dans mon (son mensonge) genre.
"Glorifier le culte des images, ma grande, mon unique, ma primitive passion“ (Baudelaire)
La vue de ce dessin me pose question : serait-ce du cosmoréalisme ?
En conséquence (séquence) je me lance cette fois dans une performance autistique critique (tac) comme un camisard de la camisole (lazzi, comédie de l'art).
Je rappelle (pelle) que la cosmoréalité est une déviance moderniste destinée à réduire la dichotomie : poésie = romantisme et pathos / réalité = calcul et grisaille.
Est-il raisonnable de penser les astres (désastres) en terme de rêverie sur les ordres de grandeurs ?
Est-il cohérent de considérer un algorithme comme une poésie dysfonctionnelle ?
Faut-il enfin penser la poésie cosmoréaliste ?
Peut-on (petits petons) critiquer un dessin ?
Quand on sait que Grigori Perelman, asperger (arrosé), effectue des recherches mathématiques sur les surfaces en selle de cheval dans des espaces euclidiens situé dans un HLM de Saint Petersbourg (Petrograd, Leningrad…) et qu'il refuse des prix de plusieurs millions de dollars, on est en droit de penser que tel ou tel artiste (autiste) qui se couperait (couperet, corps humain, sang, osier et techniques mixtes) la tête au cours d'une de ses performances serait assuré d'obtenir un retentissement international. Mais il y aurait également de fortes chances pour qu'il se voit privé de la célébrité qui en découlerait.
Ce qui serait toutefois la résolution définitive du paradoxe essentiel : regarde l'autre, c'est toi, observe les planètes (plats nets), c'est moi, vide ton sac pour comprendre où se trouve la vacuité (acuité).
La cosmoréalité, c'est pouvoir envisager tout cela depuis le fin fond de l'obscurité d'un placard. Ne pas omettre d'y emmener sa vieille mère desséchée (mer des Seychelles) et du pain rassis (raciste).
Vous avez ci-dessus une tête coupée au dessus des seins (dessin, dessein, destin) un peu escrabouillée par la fatalité (alitée), et que demander de plus à notre époque de légumes biologiques (logique).
D'où je conclus que la cosmoréalité est un concept flou en forme de selle de cheval flottant dans un ou des espace(s) non euclidien(s) et que, peut être, je trouve —grâce à la contemplation et à la relecture mantrique (trique) de mon texte mantra (mentir, menhir) critique (tac) poético-réaliste (liste)— une voie possible vers la résolution de l'un des problèmes (blêmes) de Smale (smile), le plus difficile, P=NP (problème = no problème). En temps polynomial et parisien (mais pas rodique) ; évidemment.
Je déclare dès à présent que je ne refuserais pas le million de dollars du Prix du Millénaire, contrairement à mon collègue, lorsque ces Messieurs auront réussi à comprendre mon raisonnement. On ne sait jamais. Ils leur arrive de comprendre. Encore faudrait-il qu'ils fassent évoluer le règlement pour accepter les tautologies de la Société Alpine Occulte (S.A.O.).
On verra bien.
Comme quoi, quand on est dans la guidance, il ne faut pas lâcher le guidon sous peine d'être sidéré par la danse de Saint Guy et de devoir faire des méninges.
Un dessin ma fois bien intéressant car récent (caressant) et bien torché “alla grappa“.
à Monsieur Ouestlebec et à tous les joueurs de pipeau dans mon (son mensonge) genre.
"Glorifier le culte des images, ma grande, mon unique, ma primitive passion“ (Baudelaire)
La vue de ce dessin me pose question : serait-ce du cosmoréalisme ?
En conséquence (séquence) je me lance cette fois dans une performance autistique critique (tac) comme un camisard de la camisole (lazzi, comédie de l'art).
Je rappelle (pelle) que la cosmoréalité est une déviance moderniste destinée à réduire la dichotomie : poésie = romantisme et pathos / réalité = calcul et grisaille.
Est-il raisonnable de penser les astres (désastres) en terme de rêverie sur les ordres de grandeurs ?
Est-il cohérent de considérer un algorithme comme une poésie dysfonctionnelle ?
Faut-il enfin penser la poésie cosmoréaliste ?
Peut-on (petits petons) critiquer un dessin ?
Quand on sait que Grigori Perelman, asperger (arrosé), effectue des recherches mathématiques sur les surfaces en selle de cheval dans des espaces euclidiens situé dans un HLM de Saint Petersbourg (Petrograd, Leningrad…) et qu'il refuse des prix de plusieurs millions de dollars, on est en droit de penser que tel ou tel artiste (autiste) qui se couperait (couperet, corps humain, sang, osier et techniques mixtes) la tête au cours d'une de ses performances serait assuré d'obtenir un retentissement international. Mais il y aurait également de fortes chances pour qu'il se voit privé de la célébrité qui en découlerait.
Ce qui serait toutefois la résolution définitive du paradoxe essentiel : regarde l'autre, c'est toi, observe les planètes (plats nets), c'est moi, vide ton sac pour comprendre où se trouve la vacuité (acuité).
La cosmoréalité, c'est pouvoir envisager tout cela depuis le fin fond de l'obscurité d'un placard. Ne pas omettre d'y emmener sa vieille mère desséchée (mer des Seychelles) et du pain rassis (raciste).
Vous avez ci-dessus une tête coupée au dessus des seins (dessin, dessein, destin) un peu escrabouillée par la fatalité (alitée), et que demander de plus à notre époque de légumes biologiques (logique).
D'où je conclus que la cosmoréalité est un concept flou en forme de selle de cheval flottant dans un ou des espace(s) non euclidien(s) et que, peut être, je trouve —grâce à la contemplation et à la relecture mantrique (trique) de mon texte mantra (mentir, menhir) critique (tac) poético-réaliste (liste)— une voie possible vers la résolution de l'un des problèmes (blêmes) de Smale (smile), le plus difficile, P=NP (problème = no problème). En temps polynomial et parisien (mais pas rodique) ; évidemment.
Je déclare dès à présent que je ne refuserais pas le million de dollars du Prix du Millénaire, contrairement à mon collègue, lorsque ces Messieurs auront réussi à comprendre mon raisonnement. On ne sait jamais. Ils leur arrive de comprendre. Encore faudrait-il qu'ils fassent évoluer le règlement pour accepter les tautologies de la Société Alpine Occulte (S.A.O.).
On verra bien.
Comme quoi, quand on est dans la guidance, il ne faut pas lâcher le guidon sous peine d'être sidéré par la danse de Saint Guy et de devoir faire des méninges.
Un dessin ma fois bien intéressant car récent (caressant) et bien torché “alla grappa“.
gaspard- Nombre de messages : 132
Age : 107
Date d'inscription : 06/04/2014
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
je viens de te lire, j'ai apprécié les jeux de mots, je reviendrai pour m'en imprégner complètement
So-Back- Nombre de messages : 3658
Age : 101
Date d'inscription : 04/04/2014
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
Je ne crois pas qu'il y ai un seul jeu de mot dans ce texte : peut-être une ou deux mauvais calembours. C'est une blague bien entendu. Merci d'avoir lu le texte et de vouloir y revenir. Si je suis franc, j'avoue que ça m'intrigue. j'ai soif d'échanges (change).So-Back a écrit:je viens de te lire, j'ai apprécié les jeux de mots, je reviendrai pour m'en imprégner complètement
gaspard- Nombre de messages : 132
Age : 107
Date d'inscription : 06/04/2014
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
ça fuse dans tous les sens. je compatis à votre recherche d'une issue explicative.
hi wen- Nombre de messages : 899
Age : 27
Date d'inscription : 07/01/2011
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
hi wen a écrit:ça fuse dans tous les sens. je compatis à votre recherche d'une issue explicative.
Lao Tseu à dit : “les gens sont comme les fusées,: ce sont toujours les meilleurs qui partent“
gaspard- Nombre de messages : 132
Age : 107
Date d'inscription : 06/04/2014
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
So Back dit "la cosmoréalité c'est la science du tangible et de l'illusoire""
alla grappa si non è vero è bene trovato
alla grappa si non è vero è bene trovato
So-Back- Nombre de messages : 3658
Age : 101
Date d'inscription : 04/04/2014
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
C'est un peu lourd quand même.
Qu'est ce qui serait plus beau qu'une performance artistique mortelle et volontaire ? Elle aurait tellement de succès ! Mais ce serait inutile : tout le monde y pense, personne ne l'ose, c'est déjà-vu avant d'être fait. C'est un fantasme.
Pour ce qui est du texte, je crois qu'il faut que j'y revienne.
Qu'est ce qui serait plus beau qu'une performance artistique mortelle et volontaire ? Elle aurait tellement de succès ! Mais ce serait inutile : tout le monde y pense, personne ne l'ose, c'est déjà-vu avant d'être fait. C'est un fantasme.
Pour ce qui est du texte, je crois qu'il faut que j'y revienne.
humpf- Nombre de messages : 247
Age : 29
Localisation : gsilva-89@hotmail.fr
Date d'inscription : 25/09/2012
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
Je regrette l'absence d'Alexandre Grothendieck dans tout ceci. Et aussi dans cela.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
Sahkti a écrit:Je regrette l'absence Alexandre Grothendieck dans tout ceci. Et aussi dans cela.
C'est bien entendu son décès qui m'a inspiré ceci et cela…
gaspard- Nombre de messages : 132
Age : 107
Date d'inscription : 06/04/2014
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
Je ne trouve pas beaucoup d'intérêt à ce type d'exercice qui doit beaucoup amuser son auteur mais laisse sur la touche le lecteur. De quoi nous parlez-vous exactement ? Qu'est-ce que vous cherchez à transmettre comme message ? Je ne vois qu'un fatras de mots sans ligne directrice, encombré de liens qui nous renvoient dans tous les sens, le tout assaisonné de jeux de mots indigestes. Ca ne ressemble pas à de la littérature et inutile de me sortir les grands discours sur l'écriture affranchie. Sous couvert de modernité, de contemporain, se cache bien souvent une profonde médiocrité. Je ne dis pas que Gaspard est médiocre, je dis que je considère cet écrit mauvais car il ne me raconte rien.
Jano- Nombre de messages : 1000
Age : 55
Date d'inscription : 06/01/2009
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
Jano, vous allez devoir bientôt changer les oreilles de vos yeux, afin d'accéder au stade suivant. Vous rigolerez plus souvent, ensuite.
minuit- Nombre de messages : 420
Age : 66
Date d'inscription : 24/05/2014
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
Il faut faire quoi, décidément, pour raconter quelque chose à vous !
minuit- Nombre de messages : 420
Age : 66
Date d'inscription : 24/05/2014
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
Vous parler de silures, de montagnes !?
minuit- Nombre de messages : 420
Age : 66
Date d'inscription : 24/05/2014
minuit- Nombre de messages : 420
Age : 66
Date d'inscription : 24/05/2014
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
Salut,
J'aime bien ces parenthèses entre un écho déformant et la voix off d'un diablotin farceur, le volume obtenu a un petit quelque chose de l'éléphant avalé par le boa dans le petit prince, ça ressemblerait à un chapeau :-)
J'aime bien ces parenthèses entre un écho déformant et la voix off d'un diablotin farceur, le volume obtenu a un petit quelque chose de l'éléphant avalé par le boa dans le petit prince, ça ressemblerait à un chapeau :-)
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
"On pouvait voir l'orange commencer doucement à s'affaisser sur elle même, bien qu'elle n'eût pas de fesses pour justifier cela. Au contraire des fesses qui, elles, pouvaient avoir la peau d'orange."
Je ne sais pas pourquoi j'ai cité ça.
Je voulais seulement dire que je trouve déjà mieux une écriture qui cherche, plutôt qu'une écriture qui pense qu'elle à trouvé.
C'est plus par principe que par rapport à ce texte, mais pour l'occasion, ça fera pour les deux.
Je ne sais pas pourquoi j'ai cité ça.
Je voulais seulement dire que je trouve déjà mieux une écriture qui cherche, plutôt qu'une écriture qui pense qu'elle à trouvé.
C'est plus par principe que par rapport à ce texte, mais pour l'occasion, ça fera pour les deux.
minuit- Nombre de messages : 420
Age : 66
Date d'inscription : 24/05/2014
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
Enfin qui cherche ou qui joue, mais c'est idem en fin de compte.
minuit- Nombre de messages : 420
Age : 66
Date d'inscription : 24/05/2014
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
minuit a écrit:D'edelweis ?
Il manque un s,
mais c'est normal de ne pas trop aimer écrire ss.
Sauf pour Loch Ness,
quand on a résolu la théorie du monstre.
minuit- Nombre de messages : 420
Age : 66
Date d'inscription : 24/05/2014
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
Bonjour,
J'ai deux "s" l'un derrière l'autre (SS) dans mon nom de famille ...
J'ai deux "s" l'un derrière l'autre (SS) dans mon nom de famille ...
midnightrambler- Nombre de messages : 2606
Age : 71
Localisation : Alpes de Haute-Provence laclefdeschamps66@hotmail.fr
Date d'inscription : 10/01/2010
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
texte qui se mord la queue
(ceci n'est pas un jugement de valeur, juste un jugement)
amitié mon cher Gaspard
(ceci n'est pas un jugement de valeur, juste un jugement)
amitié mon cher Gaspard
Re: critique déraisonnable de la cosmoréalité : essai de poésie prosaîque imagée
ça doit faire mal... tssssss !Frédéric Prunier a écrit:texte qui se mord la queue
je n'avais pas trouvé de raison(s) pour poster le moindre commentaire à l'époque... je n'en vois toujours pas la queue d'une aujourd'hui.
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
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