Exercice en direct Mercredi 2 avril 2008 - 21.00

Mentos : Très originale cette idée d'être enfermé "dehors" ! Le sens du détail aussi, oui. Je regrette juste que tu n'aies pas utilisé la malle d'Antoine...me suis dite qu'il y avait un truc à faire là ...que tu allais t'en servir, en jouer. La prochaine fois alors ! Et puis finalement pas trop rouillée la vieille Mentos....et merci voisine Sahkti ;-)

Voilà je pense avoir fait le tour du "dance floor". Tous vos textes m'ont plu à leur façon, je pense que c'était une soirée "grand cru" et effectivement merci à Panda pour le rabattage aussi ! Voilà l'homme qui savait parler aux véliens ;-)

— Je dois vous avouer que je suis déçu ?
— Quelle est donc la raison de cette attitude affligée qui ne caractérise point votre habituelle mine enjouée ?
— Je croyais dur comme fer, réaliser de mes propres doigts, l'arrimage de ses dentelles fines sous la robe de la mariée, notre cousine. Mais les petites mains ont gagné à l'arraché.
— Arracher, quoi ? Les dessous chics ?
— Les petites mains des filles d'honneur, Paul-Louis, qui ont replacées les bas en haut. Répliqua Renaud en baissant les bras. Puis le sarcasme prenant le dessus :
C'est une satisfaction de bavarder avec vous Paul-Louis, vous comprenez vite les choses.
— Ah oui ! Les filles d'honneur !
Je n'étais pas sur la même longueur d'onde. Merci pour le compliment. Eh bien, la première confidence que je vous ferai dans ce petit cagibi, où respirer de concert n'est pas une sinécure, c'est que je ne vous ferai pas de confidence.
Le sourire, franc et navré de Renaud eut pour effet de retrousser sa moustache au centre de ses joues plissées.
— Mais si, mon cher Paul-Louis, vous changerez d'avis, je vous l'assure. Le fait de nous trouver vous et moi coincés dans ce placard, si...proches l'un de l'autre, n'est-ce pas là signe que nous converserons et que je recueillerai vos paroles, car, si vous ne dîtes mot, je n'aurais pas de raison d'être. Or j'ai une raison d'être. Donc vous parlerez, confidences à l'appui ou non.
— Question syllogisme, vous m'épatâtes.
— C'est ma spécialité répondit Renaud
— Si je comprends votre raisonnement, il suffirait de retourner votre proposition, pour que vous vous abîmassiez dans le plus néant des néants sombre et biscornu de la non-existence. Supposez qu'à l'instant je me taise. Vous voilà sans raison d'être...
— Je suppose surtout que je ne voudrais pas connaître le néant sans avoir éprouvé la satisfaction de céder à cette irrémissible envie de vidanger ma vessie
— Vous aussi ? Répliqua Paul-Louis
— Ah ! Chapeau ! Vous voyez, que la proximité incite aux confidences ? Souria Renaud l'oeil plissé par l'effet d'une autosatisfaction non dissimulée.
Comment est-ce déjà ? Supposons que vous ayez une boule, et vous voilà bilboquet ?...Je vous le répète : vous vous compliquez l'existence. Au lieu de constater les faits, vous avez la fâcheuse habitude de les supposer.
— Je ne suis pas mouche gobant grenouille. Je regarde comme je peux.
— C'est peu, rigola Renaud.
— Assez pour imaginer la notion de causalité de ces faits entre eux.
 — C'est ce que vous croyez, mon cher Paul-Louis. En tout cas quand deux personnes aussi respectables que nous, se retrouvent coincées dans un tel endroit, la réalité donne raison aux rires moqueurs entendus derrière cette porte depuis plus d'une heure déjà.
Je suppose que le jeu est terminé, hurla Paul Louis ? Libérez-nous, je vous prie ! J’en ai ras le bol.
Une foi n'est pas coutume : votre supposition rejoint ma réalité. Entendons-nous bien, cousin, pour enfoncer l'huisserie.

Oups je t'oubliais Numéri !

Ton texte est super bien rythmé voire "musclé".
Et puis ceci :

Go c’est notre pote traiteur, d’ailleurs ça sent les nems dans tout l’ascenseur...
....
les yeux fixes sur la poitrine de Sabrina –le genre « bonnet M », tu vois le tableau-

qui m'a bien fait rigoler. ;-)

Bertrand : Voilà un texte peu banal, lu et relu et j'y ai découvert à chaque fois un peu plus ! De bien jolis badinages ;-)

Voilà : Time for this night !
Que je vous souhaite belle et remplie de dreams.

.

Une situation bien créative comme j'aime, mon gendre. Approchez, délicieuses, mes patates !

Un grand merci à tous pour votre participation !
Je n 'ai pas réussi a transformer ma nouvelle d'intro d'éxo en éxo.
Vais pas vous infliger une daube truffée de fautes par dessus le marché.
Soyons raisonnables.
Et merci Loup pour le rattrapage en vol.
:-)

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J'ai bien aimé l'originalité de Zouk, de Gobi et de Mon Gendre, les dialogues de Ti-Sahk (un peu moins le Père, je trouve, manque de nuances), et un peu le ping-pong de Claire, le jeu de Numéro-pum ! et le drôle de perdonnage en boule de Krys. Dormez bien !

T'étais sur une exoplanète, Panda Earth !

Père d'honagre toi-même, Apou !

panda, que faire à présent des costumes loués ? Tu nous as manqué.

Y a pas mal de textes sympas ce soir! Je commente tout le monde demain, j'ai trop de trucs à terminer, là, tout de suite...

bertrand-môgendre a écrit:panda, que faire à présent des costumes loués ? Tu nous as manqué.

:-) On verra, un éxo pas live :-)
Du coup j'ai vu le petit matin, les gosses en uniformes courir au bus, avec une certitude: il fera beau aujourd'hui.

mentor : JUST BEFORE A BOOM IN LONDON
J'attendais la chute avec impatience.
J'eu ri noir si la dame eut pu serrer la main du dit Guy.
Sympa, là : … Hi oi ien à e-an !
(mince, j'ai oublié light)

Bluewitch
où rire sans retenue,
appela grande déconvenue,
qu'en substance se libéra,
d'une urgence sans embarra.

Krystelle : chute de pieds, soirée batracienne et autres inepties : Heureux que tu puisses nous raconter cette fabuleuse expérience.
Une idée à faire breveter sans tarder.
(remince, j'ai oublié tampon aussi)

Arielle:
J'adore la chlorophobie des billevesées chimériques,
où panda, bien qu'inconscient, fut de la partie

Sahkti : Ah ! Y'a du Bidochon là dedans ou je me trompe
La mère - Jean… Maintenant que tu en parles… Tu sais… Heu
T'as raison Momone, profite de cette intimité partagée. Dialogues à la Audiard.

Zou :où il est bien question d'un bol et de rien d'autre.
Bien amené sur un joli plateau ciselé fin , ton bol

MENTOR: J'adore "Soulagement, embrassades, rires, odeur de pipi". Drôle, peut-être un brin trop appuyé par moments, notamment quand Guy parle, mais en même temps, c'est une scène cocasse.

BLUEWITCH:Bien souri à la réplique sur la perruque :-) Et aussi l'intensité émotionnelle et mictionnelle! Et la dernière phrase, rhooo!! Super Blue, vraiment!

KRYSTELLE: Fin un peu abrupte qui ne colle pas trop avec le reste du texte, plaisant et de qualité. J'aime comment tu déroules cette scène.

ARIELLE: hé hé, clin d'oeil et humour, une scène bien vivante :-)

ZOU:Pas très crédible mais drôle :-) Notamment le clin d'oeil à Vermeer et c'est un dialogue de sourds qui est bien rendu.

GOBU: nos suites de Bois d’Arcy Palace... :-) Bien écrit, humour et gravité, il y a de tout et ça se lit bien.

LOUPBLEU: Haha, j'adore ton texte Loup! Un plaisir de lecture, rien à redire! La réflexion de fin est super.

SOURIS: Court mais extra! Tu as bien utilisé les contraintes et ton texte est mignon tout plein, une belle petite histoire!

APOUTSIAK: On s'y croirait. Bien écrit, j'ai aimé cette histoire de tension qui monte, à la limite de l'exagération. Le chauffeur m'a fait penser au flic un peu couillon de Taxi (Diefenthal)

PILI: Héhéhé! Chouette Pili, j'aime ton texte, c'est une scène très réaliste et tu restitues l'ambiance de tension qui doit exister dans de pareils cas. Notamment le coup de la baffe ou de la blague idiote sur la mousse tache :-)

CLAIRE: Haaa ces voyages en voiture quand on commence à s'engueuler... J'aime bien le contraste entre la tension automobile et le calme apparent de Nancy qui regarde le temps s'écouler.

MENTOS: Une scène pas vraiment drôle et pourtant assez touchante. Tu fais bien passer le malaise qui devait exister à ce moment-là.

NUMERIPLUME: Au début, j'avais peur que le ton narratif trop descriptif prenne le dessus mais en fait, tu balances l'action dans tous les sens et ça donne un truc un peu déjanté qui est plutôt pas mal.

BERTRAND: Rupture complète de style par rapport aux textes précédents, ça désarçonne :-) Et c'est plaisant, tu reconstitues un dialogue assez particulier, avec les tournures, le langage et tout et tout, agréable à lire!


J'espère n'avoir oublié personne! Si oui, faites un signe (Medames et le marchand se rendra chez vous... heu pardon, rien à voir ça :-)

gobu : huis clos : l'enfer, paraît que c'est les autres...
Si en plus dans nos exercices, nous devons saupoudrer nos textes de mots d'anthologies, nous allons y gagner en respectabilité.
Ces petites visites en lieux clos ne déplairaient pas à José Bové, pour remonter sa côte de popularité.
Si je mentionne : fort bien écrit, je me répète ?
Trop tard, je l'ai déjà dit.

Karen (pardon, loupbleu):
texte simple et léger à l'image de ton héroïne bon enfant.

Souris : c'est quoi ce bruit.
Efficace, ton texte remporte la palme de la concision parfaite des contraintes imposées et respectées.
Bonne continuation avec nous.

Apou : y'a ma moto qu'à pas capoté.
L' originalité du propos, cumulée à la finesse des jeux de mots, donnent une scène à déguster avec la digne @thé due.
Sincère @ thé

pili : And… suddenly the light goes down .
Oh misère des peurs dans le noir, alimentées par des bruits amplifiés, des images induites déstabilisant les repères sécurisants. Pili, tu voudrais bien s'il te plait, actionner l'interrupteur. C'est pas drôle à la fin, de nous entrainer dans tes frayeurs.
Bien réussit, pili.

Claire : après Noël.
Tu sais que tu serais douée, toi, pour écrire des scénarii (ou scénarios c'est selon)de feuilletons ? Ton « ouverture » finale est une manière de terminer en pointillés la scène, invitant le téléspectateur à attendre la suite au prochain numéro.

Mentos : soirée grands frissons.
Très bonne idée de rester enfermé dehors.
Bravo mentos. Ici, n'est pas le lieu des fautes à corriger, mais d'apprécier, comme chez toi, la spontanéité.

Numériplume :STAY IN ELEVATOR
Oh brothers tu attends là, sans soeur, ni fleurs ni couronne, et tu vas me faire avaler qu' en cinq heures, personne ne toucha aux nems, même un peu souillés ?
Court, net et précis, incrusté d'un panda, le tableau vif donne un goût de perfection.

Conclusion générale : dans ces exercices, j'aime vos changements d'écriture (je ne parlerai pas de style, au risque de provoquer une émeute), ces mots qui me dépaysent, vos histoires avec l'humour à la clé (ici, c'était de circonstance). J'espère que mon dépassement d'horaire, n'indisposa personne.
Merci à tous, et surtout à Panda qui a su nous enfermer, si serrés, dans cette boite d'où surgit une lumineuse idée mise en scène par loupbleu.

Pas le temps de tout commenter, mais tout est plus ou moins agréable à lire et je trouve l’exercice très sympa.

Juste :

Zou, elles sont z’où les contraintes ? Zou se zoue des contraintes et z’aime bien cette idée-là.

Tonton Gobu, tout une époque ! de demain, dès l’aube jusqu’au bout de la nuit ! j’adore tes histoires et ton ton…

à+

Sahkti a écrit:Si oui, faites un signe (Medames et le marchand se rendra chez vous... heu pardon, rien à voir ça :-)

Hahaha ;-)))))))) Ca me fait toujours marrer ça.....;-)))) M'en vais trier le garage pour voir si il n'y a pas qqs vieux fers qui trainent, histoire de voir le marchand d'un peu plus près ;-)))

MENTOR: Dépaysant ce voyage de noce dans les ascenseurs londoniens, les autochtones sont sympas, beaucoup moins coincés qu'ils n'en ont la réputation.

BLUEWITCH: De la boue, de la pluie, du pipi…"aqueux" cette histoire, dirait Johnny! Mais on s'y vautre avec un réel plaisir.

KRYSTELLE: Moralité, ne jamais perdre ses pieds de vue même quand ils ne sont plus sur terre. J'adore la dernière phrase!

SAHKTY: Plus Reiser que Bidochons cet humour grinçant et la conclusion est à la hauteur…

ZOU: Quand la poésie descend d'un tableau de Vermeer avec son portable à la main c'est signé Zou et j'aime!

GOBU: Plus vrai que nature ce huis-clos bourré de friandises typiquement Gobu. Savoureux!

LOUPBLEU: La tension monte, insoutenable et…le mystère reste entier, Karen serait-elle un peu sorcière?

SOURIS: Super Souris! Si tu fais lire à tes parents je suis sûre qu'ils te pardonneront d'avoir triché un peu avec l'horaire. J'adore les" auto-tampon-neuses" pour coller à la contrainte. Vraiment, un petit bijou ton texte!

APOUTSIAK: J'avais, dans le dos, le même frisson que ton chauffeur en te lisant…d'où l'intensité de l'éclat de rire qui m'a libérée à la fin. Bravo!
PILI: Superbe! En si peu de lignes on a l'esquisse de vrais caractères qui se révèlent dans ce boyau infernal et on regrette que ce soit déjà fini.

CLAIRE: A part les -25° à Aubagne, on s'y croit vraiment, on voit toute la scène, les deux même mieux qu'au théâtre avec l'odeur du poulet en prime

MENTOS: Moi, j'aurais bien vu l'horreur (sous une forme quelconque) sortir de la malle ou même simplement le petit frère, caché là, sous ses moustaches, avec sa clé dans la poche mais l'ambiance générale est bien rendue et tout à fait crédible.

NUMERIPLUME: Très vivant, on se lance dans ce texte au présent comme si tu nous le racontais, là, avec les gestes. Juste un regret…pour les nems gâchés ;-)

BERTRAND: Un ton étonnant qui donne a une situation somme toute assez triviale un parfum précieux, inimitable pour enfoncer les huisseries avec la grâce d'une ballerine…
Une excellente soirée en définitive malgré la défection de Panda épuisé par son travail de rabatteur. Merci encore à Loup bleu pour avoir si bien pris la relève.

Bluewitch : L’intensité mictionnelle a cédé devant Jésus ! J’aime beaucoup cette scène somme toute réaliste et bien rendue. Sympa de te retrouver sur VE, Blue, toujours en verve de clavier.

Krystelle : Les gens qui prennent l’ascenseur de peur de l’escalier, voilà une idée qu’elle est originale ! Et je parle pas de l’« espace-tampon » digne de notre grand savant Allègre… J’ai passé un bon moment de lecture.

Arielle : Excellent le dialogue, et le clin d’œil à Panda. T’as choisi un couple, coquine ;-) Ah le fantasme de l’ascenseur. Au moins ceux-là ils ont su comment déstresser.

Sahkti : C’est bien du Sahkti ça ! M’enfin ! j’aurais quand même pas cru que tu allais les faire s’entretuer, ça non ! ;-)))) Bons dialogues

Zou : à mon avis le Johannes conservateur, il va se la conserver la Ariane ;-) Ouf en tout cas, la salle des peintres du Nord au Louvre ça t’a une autre gueule qu’une cabine d’ascenseur, merci !

Gobu : « Totor, balance, j’aurai ta peau », aïe, qu’est-ce que je t’ai fait ??? :-))) T’as réussi à les rendre sympas tes malfrats refaits par leur revendeur. Une bonne description, même si ça m’a manqué d’humour, mais tu nous as trop habitués à plus que mieux, et puis là, c’est du live.

Loupbleu : « que quelqu'un nous ouvre, que Karen avait déclaré qu'elle avait », petites lourdeurs là avec tous ces « que ». Je rigole parce que c’est un de mes défauts et maintenant je le vois chez les autres. ;-) Comme pour Gobu, j’ai souri mais pas ri comme souvent je ris avec tes textes déjantés.

Souris : une souris, un loup, un ours, une grenouille et 2 blaireaux. T’aurais pu en faire une fable ! Jolie première participation Souris, il fallait oser !

Apoutsiak : une véritable petite nouvelle qui tient la route, pleine d’humour et de doubles sens, tout cela me plaît beaucoup. Tu as de belles facilités d’écriture, sans aucun doute ! Bravo.

Pili : ça m’a foutu les boules ton histoire, Pili, sans blague. Et je saurai jamais la vérité. Dur. Tu t’es un peu retenue, non ?

Claire : un peu longuet pour en arriver là je trouve. Sans compter que les noms entre parenthèses APRES les répliques, ça m’a un peu gêné, pour suivre. Je dois être un peu trop attaché aux formes. Le parallèle entre les invités et l’hôtesse est bien mené.

Mentos : également très sympa de te retrouver sur VE, et pour un exo live qui plus est ! Jolie petite histoire, parfaitement écrite, qui se lit bien, et se termine bien. Tu as intégré les contraintes au mieux, 19/20 ;-)

Numériplume : « On a pas vu la Panda de la soirée », excellent ! :-))) Bon, au moins ils sont pas morts de faim avec tous ces nems ;-)

Bertrand-Môgendre : que voilà une prose qui vous sied, maître, il m’eût été douloureux de la point lire d’une traite (à quelle heure la traite, au fait ?). Bravo B-Mô, l’humour de ce dialogue est bien déjanté, de plus j’aime les syllogismes et tous ces genres de choses. Une corde de plus à ton arc, apparemment.

Pandaworks : le couac : il s'agit d'une semoule sèche plus ou moins grossière dont la couleur va du jaune vif au gris en passant par le blanc. Il est fabriqué traditionnellement à partir des variétés de manioc amer. Pour l'obtenir, on commence par éplucher les tubercules. Puis on les réduit en une pâte grossière à l'aide de la "planche à grager", une tôle criblée d'impacts de pointe, ou pour les plus primitives, une planche de bois où l'on incruste de petits cristaux de quartz (aujourd'hui, lorsque c'est possible un broyeur tend à remplacer cet instrument). La bouillie ainsi obtenue est ensuite introduite dans une "couleuvre", une vannerie tubulaire allongée, souvent ouvragée, pourvue d'une boucle à chaque extrémité. La couleuvre est ensuite étirée pour presser la pâte et en exprimer le jus toxique (cyanure). Le jus toxique est récupéré puis détoxifié à son tour par une longue cuisson, et peut être consommé sous forme de soupe. Le tapioca se concentre généralement dans le bas de la couleuvre. La pulpe détoxifiée et compressée est parfois vendue sur les marchés. Il arrive qu'on la laisse ensuite reposer quelques jours afin qu'elle se colore et prenne un goût plus fort. La pulpe est alors effritée et tamisée à l'aide d'un manaré tressé, pour extraire les fibres ligneuses et les gros morceaux. Cette semoule crue est alors grillée sur une grande platine en acier (à l'origine en terre cuite) de diamètre supérieur à 1m, posée sur un feu. Pendant cette opération, il faut veiller à retourner sans cesse la semoule pour éviter qu'elle ne s'agglomère. Cette semoule grillée est appelée "couac" ou "farine de manioc". Absorbant, le couac remplace le pain lors de tous les repas. Il peut être consommé seul (cru), en salade (façon taboulé), grillé à la poêle dans des matières grasses pour un accompagnement, en gratin, etc. De conservation longue et facile, nourrissant, naturellement déshydraté, il entre idéalement dans le menu des gens séjournant en forêt.
:-)))

Encore une super séance, merci Panda pour le lancement et la pub et Loupbleu pour l'à propos !

Pour les commentaires, je n'oublie pas mais je suis chez une amie donc dès que je rentre je lis tous les textes =D

Mentor
Ahah ! On ne s’imagine pas : pendant que d’aucuns rêvent d’évasion dans les îles tropicales, les habitants des îles, eux, prennent leurs vacances en Angleterre.
Les idées sont bonnes, la situation est claire. Le texte un peu précipité par le souci d’insérer les contraintes. Sinon, beaucoup aimé ce raccourci : « Soulagement, embrassades, rires, odeur de pipi. »

Blue
Contente de retrouver ton écriture. Un récit enlevé, visuel, une ambiance toute personnelle et qui sonne vrai. Des pointes d’humour bien distillées aussi.
« On était donc « quelque part », mais elle ne savait pas trop où. Perdus, quoi. »

Krys
Ah ! le coup de l’espace-tampon ! Ah ! les systèmes D à la Krys. Toujours surprenante. Le ton particulier de tes textes me plaît toujours autant.

Arielle
Un dialogue qui se tient bien. De chouettes clins d’œil à VE . Me manque toutefois un peu de surprise ou une ambiance un peu plus marquée.

Sahkti
Je verrais bien ce dialogue monté en sketch. Il y a des réparties vraiment bien vues. J’apprécie moins la chute, un peu téléphonée, je trouve.

Zou
Un rêve éveillé ? Ah se pâmer dans les bras du beau Vermeer (selon le film du moins)
Etre une heure, une heure seulement... la jeune fille à la perle.
C’est bien trouvé.

Gobu
Il y a quelques très bons passages dans ce tableau bien écrit qui pourrait cependant décoller un peu plus des conventions du genre.

Mentor: du bon, du drôle et de la sensualité. Je sais dorénavant que tu ne pèses "que" 70 kilos, dont je me rappellerai au prochain écart de langage.

Bluewitch: Quelle percussion dans l'écriture, si j'avais su que tu participais, j'aurais sniffé un rail, mais ici la SNCF ne les vend pas. Chapeau pour ton émiction en direct.

Krys: conte ordinaire de la naiveté. Mi-improbable mi-tendre, et pourquoi pas? Une sympathie se développe dans ton texte pour nos trois larrons.
Un peu Cartoon.

Arielle: Pandadort inspirateur d'éros malgré lui, merci :-)

Sahkti: le retour de La miss avec un grand S. Une minutie dans la rédaction des comportements et des caractères qui se dilue dans le drôle et tout le monde y meurt à la fin. Superbe !


Je commente les autres demains.

Mentor: j'ai adoré, c'était vraiment très bien écrit.
Bluewitch: j'ai bien aimé, c'était amusant.
Krystelle: C'était trop bien.
Arielle: C'était très bien ce dialogue !
Sahkti: Trop, trop bien , c'était super génial !!
Zou: C'était bien et aussi très amusant.

La suite arrive et j'ai aussi remarqué que beaucoup avait pensé à l'ascenseur et sans ce concerter. Trop bizarre!

Loup
J’aime bien le ton, la situation, le côté obsessionnel du type sur le pipi de Karen. C'est toujours un régal de te lire même si j'ai trouvé ton écriture un peu moins soignée que d’habitude. Je sais que c'est moins facile quand on fait MC en même temps.

Souris
Joli moment. Vif, frais et souriant. Tu en feras encore des exos j'espère.

Apoustiak
Une bonne histoire, pleine d’humour, bien menée, le ton est approprié, on visualise parfaitement la scène. Juste un petit basculement dans les temps employés.

Claire
J’aime beaucoup. Ta façon très habile de casser les conventions de forme tout en conservant une parfaite adéquation avec le fond. Une langue innovante donc et qui donne très cinéma.

Mentos
Très réussi, Mentos. Comme Loup, j’aime beaucoup les détails dont tu parsèmes ton récit. Ça sonne vrai.

Numéri
Une scène très vivante et émaillée d’humour. Beaucoup de chiffres dans ton texte, perso, j’aurais écrit certains en lettres.

Bertrand-Mô
Bonne idée que d’avoir mixé la préciosité du verbe de tes personnages avec une situation aussi triviale.

Je continue en qwerty:

GOBU: petite histoire de garde a vue. Des éclairs d'humour. Le tout un peu retenu. Normal, t'attendais de la musique. Mes excuses.

LOUPBLEU: C'est du grand Loup, ton texte nous balade avec simplicité dans ce huis-clos ou les ingrédients sont inexistants mais la situation drôle.
Et son jeans Lewis est sec.. Ou vas-tu chercher des idees pareilles? :-)))

SOURIS: super-souris, oui, ta fable animalière post-moderne me plait bien.
Pas si enfantine que cela! Bravo pour ta participation.

APOU: je ne commente pas les textes avec chinetoques ecrit.

PILI: Un bien beau texte, qu'il m'est difficile de commenter. très abouti, le mystère est préservé.

CLAIRE: hop ! contraintes au poil, quel talent, la dualité entre les énervés
est magnifique.

MENTOS; c'est qui s'en passe des choses, dans ta chambre... merci pour ta participation ! faut changer la gamine?

NUMERIPLUME: un plaisir de te lire, ton texte tient la route, tu t'es applique.
genial! Sais-tu que Ike Turner était par moment un sale connard violent?
Si, je l'ai su a la télévision.C'est lui qui aurait du frapper.
Merci pour le clin d'oeil a Panda :-))

BERTRAND: du beau boulot. Situation originale, écriture inspirée, un gout de confessionnal mixé a la "wedding crashers" cette série de comédies américaines. Bien Joué ; bravo.

PANDA: vraiment confus pour mon absence, j'ai coince la thématique du suppose éxo dans le fil annexe. Pour mémoire. Je vous dois donc un exercice; un Loiseau et un appel à texte. Vais tenter le tout la semaine prochaine. Ensuite je n'aurai vraisemblablement plus trop le temps a cause du nouveau boulot.

Et vive le record battu !
:-)

Mentor merci pour la chanson de Kassav'
;-)))))

voilà la suite:

Gobu: c'était bien, chouette.
Loupbleu: Oh, c'était trop bien, j'ai bien aimé.
Souris: Court mais vraiment très chouette.
Apoutsiak: Chouette et bien écrit.
Pili: j'ai bien aimé.
Claire: Très chouette et amusant.
Numériplume: J'ai bien aimé.
Bertrand-môgendre: c'était bien.

Tous les textes étaient vraiment très chouettes !!! =D

.

- Oui, approche mon petit. Ôôôh, il est timide. Tu t'appelles comment ?
- Gaspard.
- Gaspard. Gaspard. Quel nom merveilleux ! Tes parents sont là ?
- Oui.
- Ah, ton père, c'est l'athlète, là avec une magnifique cravate ?
- mmmmh oui.
- Et ta mère, là, avec une étourdissante robe à fleurs ?

(...)

Ils ont tous gagné !!!!!!!!!!!

j'ai pas encore eu le temps de tout lire; j'essaie de faire ça avant de basculer dans le w.e.; en tout cas je salue la participation de mentos et de souris: "du joli monseigneur!" (piqué à Espitallier)!

Bertrand: J'adore ce vous! et que tu nous mettes directement dans la boîte, sans préparatifs. Un peu emberlificoté par moments, mais cabotin à souhait.

Zou: Bonne idée de lieu d'enfermement; ça m'a l'air tout à fait plaisant; oui le musée, pour de multiples plaisirs à partager, un endroit de choix.

Pili: Un super (beau) texte; pas une seule fausse note dans l'écriture.

Arielle: C'est drôle, on se marre bien dans ton ascenseur.

Krystelle: Super petit texte avec une touche de naïveté du personnage/narratrice.

Bluewitch: Un texte plutôt vif et une situation bien trouvée. En fait ce n'est pas tant que les personnages sont enfermés qu'ils ne veulent pas sortir!

Sahkti: On s'y croirait... dans une comédie; je reconnais bien ces façons de parler. J'ai pensé dès le départ que le père allait régler ses comptes avec la mère... J'aime moins l'annonce au JT à la fin.

Souris: Super les "auto-tampon-neuses" pour une fois que "tampon" est utilisé autrement qu'en rapport avec une femme et son sac à main! Merci souris pour cette petite chose bien vue! chouette!

Loup: J'aime bien Franckie qui tape à la porte de la SDF, Franckie qui ... dans sa suite, Franckie qui flanche: un homme de la porte!!
et un narrateur au regard délicat sur le personnage féminin.

Mentor: D'un mauvais goût achevé, bravo! Une vulgarité bien rendue dans l'absence de finesse des personnages.

Numéri: Un moment resserré dans l'espace et raccourci dans le temps, tu tiens là un rythme qui permet de passer 5h en quelques lignes.
(j'ai le droit de dire, que les commentaires en aparté ne ma plaisent pas des masses?!)

Mentos: Eh bien, même si tu as un peu triché, c'est pas de la triche parce que ton texte c'est toi qui l'a écrit et l'histoire c'est toi qui l'a racontée. Moi, je trouve que tu écris bien et que tu sais raconter des choses (visuel et un brin cruel aussi.) Y a que le coup de la malle que je trouve superflu, mais bon...
(PS: ennuyeuses et pas ennuyantes! mais c'est p.ê. voulu)

Apoutsiak: J'ai failli arrêter ma lecture ou la mener de façon ultra rapide pour les mêmes raisons que panda; mais bon, si tu voulais créer le personnage d'un sale c..., c'est réussi.

Gobu: Une bonne introduction à ton histoire. Je le trouve drôlement acide-lucide , ton "brigand", sur les lourdeurs administratives et les réductions budgétaires qui touchent le Palais de Justice!
Pas mal de gouaille et des mélanges, de temps en temps, de niveau de langue dans la bouche du narrateur. On sent que tu aimes l'ampleur qui se déroule. Et j'aime bien le raccourci imagé qui va de la mandarine à l'éléphant; une histoire de rondeur qui se dégonfle!

Merci à loup pour nous avoir dégoté ces trouvailles de consignes et à panda pour sa mission d'annonceur menée à bien.

Mentor : Des dialogues vivants, de l’humour, ça ne se prend pas au sérieux et tant mieux !

Blue : Elle m’a bien amusée ta fi-fille et ses péripéties. Tu devrais repasser plus souvent tu sais !

Arielle : Une petite scène de vie, de couple, racontée avec légèreté, ça se lit agréablement.

Sahkti : Un trio qui prête à sourire... c’est vrai qu’il y a un petit côté « sketch » dans tout ça.

Zou : J’aime les clins d’œil, les références qui ponctuent le texte et qui nous font oublier les contraintes qui n’y sont pas !

Gobu : J’aime bien ce texte et le petit bout d’histoire qu’il nous raconte, je regrette juste cette fin qui n’en est pas vraiment une. Je crois que j’aurais aimé en lire un peu plus (mais je sais bien, on avait dit 2000 signes...)

Loup : Il est bien construit ce texte et l’ambiance glauque de cette soirée manquée est parfaitement rendue.

Souris : Elle est mignonne cette petite histoire et puis les contraintes y sont toutes, l’air de rien...

Apoutsiak : Je le trouve réussi ce texte, le narrateur et sa parano nous amusent du début à la fin.

Pili : Très efficace. On ne sait pas où on est, ni où tu nous emmènes, ni avec qui, mais malgré tout, ça fonctionne.

Claire : J’aime bien le décalage sur lequel tu joues et la tonalité générale du texte. Comme Mentor j’ai été un peu surprise par ces prénoms en bout de phrase, je crois que ça n’apporte pas grand chose.

Mentos : Ah le bruit d’un robinet qui coule, c’est redoutable ! Je l’ai trouvée agréable à lire cette petite histoire pleine de vie !

Numeriplume : C’est court mais plaisant. Les passages en italique sont parfois un peu « too much » mais j’ai lu le texte avec un grand sourire.

Bertrand : Changement de registre et c’est plutôt réussi. J’aime les textes qui me surprennent…

MENTOR :
Ca m’a fait bien marrer. J’aime bien le « bon, on va pas regarder, hein Guy » au cas où le Guy serait tenté de mater. ;-)
« Hi oi ien à e-an ! » il manque plus que l’écho ah ah ah

Bluewitch
C’est simple, cela se lit vite, c’est fluide et drôle, notamment le coup de la perruque et l’expression « car-jacking interne » fallait trouver.

Krystelle
La peur de l’escalier : quelle imagination ! bien vue
L’espace tampon et la physique expérimentale : La science au service du comique de situation. L’héroïne doit être la sœur cachée des frères Bogdanoff.

Arielle
Bill c’est profité des situations à risque le coquin râleur ;-). Texte sympathique

Sahki :
Et ben ! ça tourne au vinaigre cette histoire de famille. J'aime ton écriture.

ZOU :
Excellent, j’en ri encore. Sacré Johannes !

Je note quand même que la plupart des histoires qui se déroulent dans un ascenseur il y’a une personne qui porte un chapeau. Etonnant non ?

La suite arrive...

claire a écrit:
Apoutsiak: J'ai failli arrêter ma lecture ou la mener de façon ultra rapide pour les mêmes raisons que panda; mais bon, si tu voulais créer le personnage d'un sale c..., c'est réussi.

Je ne comprends rien à cette réaction : quel est le problème de mettre dans la pensée d'un personnage de roman le mot "chinetoque" (ou pire) ? En l'occurrence, il traduit la pensée d'un personnage, pas celle de l'auteur.
Par ailleurs, il m'est arrivé, dans un restaurant chinois, de rigoler dans ma tête en appelant "chinetoque" un Chinois un peu bizarre : premièrement la consonance de ce mot me fait marrer, secundo, je ne lui ai pas manqué pour autant tout le respect que je lui dois et cela n'a rien à voir avec la sympathie que j'ai, a priori, pour tous les êtres humains de cette planète.

Enfin, je ne vois absolument pas ce qui te fait dire que le monsieur chinois est tel que tu le qualifies. Il se tient correctement à l'arrière, prononce des mots sybillins et demande poliment une solution pour satisfaire son envie pressante de manière digne. C'est tout. Le reste se passe dans l'imagination.

.

Gobu
Je me demande toujours où tu va trouver toutes ces expressions : sandwich au pain mollasson, avec une tranche de jambon si fine que tu dirais qu’elle a qu’une face, et une mandarine plus fripée que le cul d’un éléphant. Tu est trop fort ;-)
Les contraintes sont présentes. Le style impeccable. Mais je ne suis pas emballé par l’histoire.

Loupbleu
Ah ! Pour le savoir faut trouver le Tampon ! hi hi
J’aime bien cette façon que tu as de commencer l’histoire (par un feeedback) c’est pas la première fois je crois.

Apoutsiak
Tension, suspens tous est bien décrit mais je reste déçu par la fin.

Pili
Enfermé dans le tuyau, ca change, c’est original et drôle (bien vue la mousse tache).

Claire
Excellent le parallèle entre une situation tendu et une situation ZEN, c’est très bien mené, j’ai adoré.

apoutsiak a écrit:

claire a écrit:Apoutsiak: J'ai failli arrêter ma lecture ou la mener de façon ultra rapide pour les mêmes raisons que panda; mais bon, si tu voulais créer le personnage d'un sale c..., c'est réussi.

Je ne comprends rien à cette réaction : quel est le problème de mettre dans la pensée d'un personnage de roman le mot "chinetoque" (ou pire) ? En l'occurrence, il traduit la pensée d'un personnage, pas celle de l'auteur.
Par ailleurs, il m'est arrivé, dans un restaurant chinois, de rigoler dans ma tête en appelant "chinetoque" un Chinois un peu bizarre : premièrement la consonance de ce mot me fait marrer, secundo, je ne lui ai pas manqué pour autant tout le respect que je lui dois et cela n'a rien à voir avec la sympathie que j'ai, a priori, pour tous les êtres humains de cette planète.

Enfin, je ne vois absolument pas ce qui te fait dire que le monsieur chinois est tel que tu le qualifies. Il se tient correctement à l'arrière, prononce des mots sybillins et demande poliment une solution pour satisfaire son envie pressante de manière digne. C'est tout. Le reste se passe dans l'imagination..

Pas de polémique , cher Apou, de mon coté je ne commente simplement pas les textes avec ce mot, et pas seulement celui-là: en vrac et au hasard : "le sale pédéraste de Solers" de l'ami Orakei, " sale arabes " du même auteur, enfin bref tous les textes dont la fiction sert de support aux mots offensifs tels qu'il sont définis par le littré: vulgaires, injurieux.
Voilà, libre à toi d'écrire ce que tu veux, bien sûr.
Je ne commente pas par défaut, pas de colère.
:-)

Panda, je pense n'avoir aucun sale tchic ou tchac dans mon exo et t'as pas commenté bouhouhouuuuuuuuu.. Ah m...le zollandais lol

Zou a écrit:Panda, je pense n'avoir aucun sale tchic ou tchac dans mon exo et t'as pas commenté bouhouhouuuuuuuuu.. Ah m...le zollandais lol

Chère amie Zou,

effectivement oui, je ne vous ai pas commenté: c'est un scandale.
Si on en enlève le C il devient UNE sandale, ce qui ajoute encore une couche à la confusion des genres, surtout au regard de la puissance érotique qui lui est conférée par Yali. Surtout l'indienne.
Ton texte, est marrant, original, je me suis penché de plus prêt, car je suis amateur éclairé de peinture, oui, mais je commence demain.
Compte tenu du fait que je devine tout le temps quand je ne sais pas, je pense que ton Johanes qui parle Flamand, en rose, à la belle, c'est barré de sa toile pour compter fleurette justement, à la même belle.
Tout plein de mystère entouré d'humour, j'ai adoré.
Me reste à aller voir sur google si je ne viens pas de raconter une bêtise plus grosse que la pyramide.

:-)