Mon projet de roman SF
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Anne Veillac
Lucy
Patounou
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Mon projet de roman SF
Voila voila , j'ai 15 ans et sa fais quelque anées que je me suis consacré à l'écriture , en ce moment je suis sur un roman de science fiction , voici la première des deux parties du chapitre 0 . Bonne lecture , et soyez critique svp.
PS : A la fin du texte le lien de mon blog pour lire la suite tous les mercredi après midi (environ 5-10 pages par semaines).
«Ventura Boulevard est l'un des axes principal est-ouest de la vallée de San Fernando, au nord de Los Angeles en Californie. Et c’est ici que commence cette invraisemblable et énigmatique histoire, Ventura Boulevard … Un riche boulevard typique de Californie constituer par des magasins , des supermarchés de la Vallée, ainsi que de nombreux restaurants, des librairies et des petits commerces. De nombreux film tournée, mais ce n’est pas de cette ville que nous allons discuter. Mais bien de moi, ou plutôt de mon moi antérieur, celui qui à vingt ans de moins … Mais entrez donc dans cette curieuse machine et remonter dans le temps pour voir ce que j’ai vu, à ma manière …»
Chapitre 0: Prologue
Ventura Boulevard, Rublio Ave (street); 2092
Un Taxi arpente avec rapidité les rues de Californie McCormick St, puis Otsego St, dans un laps de temps énormément limité. Une précipitation se sent chez le chauffeur, comme si c’était une question de vie ou de mort, mais le stress des chauffeurs de Taxi n’étaient pas rare et les suicides ou autre mutilation et barbarerie inutiles étaient de plus en plus fréquent, certain gère mal le stress qui s’empare vite d’eux, d’autres sont bouffés par l’alcool et avance avec vélocité, et, pour se diriger ver une mort inévitable mettant en danger leurs propres clients pour une seul raison «L’argent». Maudite invention me diriez vous! Qui à la base, est censé aider, certes pratique mais qui apporte souvent plus de mal que de bien… Personne n’est à l’abri (La jalousie, les meurtres, la pauvreté, les femmes qui ne vous aiment que pour votre pognon, mais la liste serait trop longue et il faudrait y dédier toute une encyclopédie appelée «Les problèmes qu’amènent l’argent» faute de papier, je m’en vois mal écrire les 2700 pages de 2m² qui comprendrait tous les fameux problèmes qu’amènent l’argent à pleine certitude…). Ce Taxi jaune d’apparence Française des plus classique se distingue à vol d’oiseau plus ou moins aux centre de Ventura Boulevard, il est aux alentours de quatre heure et demie de la matinée, dans ce fameux Taxi se discerne un homme, d’origine Marocaine du nom de Souhail Saber par certitude , le nom étant gravé sur une plaque d’argent en forme d’étiquette et agrafé par une épine sur le torse de l’homme, l’air pâle , pressé , et plutôt bel homme d’une certaine manière puisque , devant le volant , était consacré un livre sur toutes ses femmes , visible du fait qu’il est tout simplement ouvert à la page de photo de femme plutôt … alléger! Il roule à un peu plus de 90 Km selon une vue aérienne, rue peu fréquentée? Il est évident que non! Doublant sans peine au fur et à mesure de son parcours semblant interminable. Le conducteur est t’il tous simplement aviné? L’alcool ne se fait pas rare, mais le chauffeur parait juste et précis, n’a pas l’air fatigué mais plutôt stressé et semblant vouloir finir son bouleau et partir rejoindre une des nombreuses femmes sur laquelle il avait dédié son livre. J’en conclue donc que, il n’était probablement pas ivre, voila qu’il commence à ralentir peu à peu, jusqu'à s’arrêter net, faisant comprendre qu’il était à destination, son périple arrivé à sa fin .Il arrive à quatre heures trente-cinq précisément et s’arrête avec justesse devant une belle et grande résidence, de là, il ouvre la fenêtre et regarde un homme, tapis dans l’ombre, dans la pénombre totale, le bagage à la main, regard coléreux et mystérieux.
-«Monsieur …, c’est vous monsieur sh…»
D’un air songeur, et par inquiétude du à l’anxiété de l’homme il préféra ne pas exposer son nom et se contenta de se taire. Il se tu donc et fit un signe d’excuse et délicatement de grâce.
*
«Mon chère Max», regardant l’homme en lui faisant discrètement comprendre qu’il s’agissait d’un nom de code, et pour ne pas faire l’erreur qu’aurait pu commettre le chauffeur, appeler l’homme par son nom!
Reprenant son souffle sous forme d’expiration prolongé et répétée dans un laps de temps assez long pour apaiser sa voix, et toussa pour rendre sa voix claire, sans oublier de se moucher avec le tissu épais qu’il avait sortit de sa poche et qui faisait office de mouchoir . Le contact entre l’air expirant et le morceau de tissu fit un sifflement éclair , un peut comme les nouveau matériaux anti-jeunes (Je parle bien entendu des sonneries) Il avait probablement beaucoup à faire partager à quelqu'un , de longue discussion semblait t’il. Mais cela ne sembla pas intéresser le chauffeur, qui se contenta de s’avancer avec des manières précautionneuses telles que font les vendeurs pour attirer et garder les clients, l’homme s’avança, poliment, et ajouta:
*
«…Pile à l’heure! Vous n’êtes pas en retard pour une fois, Max, vous m’en voyiez, quel mot pourrai je employer…»
Tirant sa manche pour dissimuler ses yeux à peine visible et ainsi pouvoir , aux seuls yeux du chauffeur , lui faire un clin d’œil désignant discrètement les hommes , sur les côtés , et qui semblait les observait dû à ses airs mafieux …
Puis il ripostait plus aisément en disant avec «gentillesse» pour masquer sa profonde méchanceté qui semblait prendre le dessus lui obligeant à forcé/imité une voix douce et agréable sans pour autant passer pour une femme, d’une voix d’homme semblant généreux aux sens agréable bien évidement!
-«Comblé!» rétorqua l’homme, en passant sa main par la fenêtre du Taxi et ainsi serrer la main du chauffeur, laissant une certaine tentions, puisque, le chauffeur se hâta sans comprendre pourquoi, comment, il avait bien pu bouger sont bras dont il n’avait pas commander, avait pu se retrouver dans la main de l’homme.
Beaucoup de passants discutaient dans la rue, ils regardaient les deux hommes étrangement, les trafics de drogue ou autre tendance illégale ne se faisait pas rare dans cette zone, se sentant espionné, l’homme encore dehors et celui qui paraissait le plus suspect aux yeux des civils leur fit signe brutalement de déguerpir, puis le jeune Marocain d’une trentaine d’année environ, du nom de «Max» lui confia discrètement:
-«Entrez dans la voiture, la rue est remplie de balance, si vous voyez ce que je veux dire.»
L’homme étrange le saisit à la veste tirant le cou du chauffeur, et dans un vif instant, lui rétorqua:
-«Seriez vous en train de me prendre pour un dealer? Les regards de ces civils vous monteraient-ils à la tête?!»
Puis, mis à part qu’il semblait avoir une poignée de titan ; l’air pensant se rendant compte de l’erreur qui venait de commettre, qui installa le doute dans les passants qui commençaient à se réunir autours de la voiture, il riposta avec délicatesse.
-« Mais qu… qu’ai- je fais? Vous m’en voyez navré, mes préjugés détériorent ma misérable conscience, et mon accident, brûler, j’ai été défiguré …»
Puis désignant un civil , s’agenouillant et l’attrapa à la ceinture , criantavec un air de comédie que chauffeur avait comprit dés lors qu’il était entré dans son jeu…:
*
«Savez vous ce que c’est de souffrir de la solitude de jour en jour! d’être défiguré par la douleur et le temps, d’être pauvre et d’être obligé de travaillait durement pour des allemands, pour, juste espérer le minimum d’argent pour voyager avec assez d’argent en essayant de gagner du temps! Savez vous? savez vous. Vous dîtes que l’argent n’est rien, mais nous les pauvres qui ne sommes rien!et dont l’argent vaut plus que nos vies aux yeux du monde!»
Continuant de s’agripper à la personne, non choisie au hasard, puisque c’était un homme aux vêtements riches, jeune, et beau, sûrement avocat, ou autre métier très bien payé.
Ses paroles avait beaucoup touchées, les civils s’étaient en allés peu à peu avec une majorité de regard de pitié, certain avaient même jetés des pièce, enfonçant encore plus et vexant probablement l’homme, mais cela avait échoué, sa comédie avait marché, tout le monde s’était enfuit et désormais aucun témoin ne pourrait contredire sa route ou mettre des battons dans ses roues au cas ou il y aurait un problème.
Les nuages autres fois noires de colère avait gagné sur le temps, en effet, une pluie tomba, suivit de beaucoup d’autre. Dix minutes se passa le temps que l’homme se remette clean, abîmait par la scène de comédie qu’il venait de déclanché et terminer avec pudeur et réussite.
Il pleuvait donc beaucoup à ce moment-là l’homme, malgré son agitation, semblait trop habillé pour qu’on ne distingue sont véritable visage ou même sa couleur de peau ou son origine. D’un point de vue, on aurait dit un accent italien, mais les étranger se faisait rare dans ce coin, et nombreux moyens pour les criminelle à la base pour les films (notamment Dark Vador qui, si vous le connaissez, aviez pu constater qu’il n’a pas une voix naturelle) était vendue ce qu’on prénommer «Les changeurs/imiteurs de voix». Il se glissa dans la voiture.
L’homme de couleur, est le seul homme qu’on pouvait distinguer dans l’actuel moment, semblait stressé, marqué au cou, du à l’interpellation précèdent la lourde comédie, torsadé par une forte tension, une pression que lui sentait, et une impression bizarre lui faisant croire que la simple erreur pourrait lui coûter la vie …
-«Où … je vous emmène …?»
-«Le consul vous visualisez? Eh bien je vous ordonne d’allez là-bas …»
Il lui tendit plusieurs billets, les zones du consul étaient interdite, mais, voyant le triple argent du nécessaire, il oublia volontairement ce détail qu’il qualifie de «petit», grosse gaffe?
L’homme désigna l’emplacement ou il voulait se rendre dans le consul, l’endroit étant très large et étendue … c’est dans le consul, que les différents hommes politique et même où l’ambassadeur de Californie, Arnold Swarchenegger deuxième du nom, fils de son père de même nom (Mort quelque année précèdent sont élection), d’une allure beaucoup plus anorexique comparait à son père, et métis, issue d’une mère africaine, c’est donc à ce fameux consul, qu’ils se réunissaient secrètement. L’homme étrange désigna sa montre à cinq heures, faisant comprendre au chauffeur qu’il lui suffisait maintenant de patienter dans la voiture jusqu’à ce qu’il sonne cinq heures …
La cinquième sonneries s’entendit, et l’ambassadeur, sortit, regarda avec prudence, et se dirigea ver le Taxi.
-«Ouvre la porte de suite, dit l’homme déjà dans la voiture avec le chauffeur. Toi, chauffeur , j’aimerai m’entretenir secrètement avec l’ambassadeur , sort , ne t’approche pas , reste à minimum cinq mètre et assure toi que personne n’entende , ne voit ou n’écoute notre discutions , sa t’incluse , personne n’est autoriser à s’approcher, tu défendra notre intimité , aux péril de ta propre vie , ou jusqu’à ce que mort s’en suive ou que je t’ordonne d’arrêter …»
Le chauffeur s’exécuta comme contrôler à distance par une force plus mentale que physique il sortit donc sous l’ordre des hommes et attendit dehors pendant une bonne demi heure, aux péril de sa vie comme le lui avait ordonné l’homme mystérieux qui s’éloigner de son champ de vision du aux périmètre qu’il se sentait obligé de respecte entre la voiture et lui , scrutant les horizons jusqu'à ce que mort s’en suive…sans quoi il sentait que si il désobéissait il n’aurait pas vécu très longtemps mais ceci ne le toucha guère , sans émotions , comme dirigé par quelqu’un il obéissait au doigt et à l’œil et attendait une possible action qu’il attendait et distinguait comme sa raison de vivre, quelque heures suivant les arrangements entre les deux hommes , l’hommes lui fit signe de reprendre sont état normale et de revenir , ajoutant d’oublier les moments débutant à la vision de l’ambassadeur ce soir la, et il revint donc dans son Taxi. Les deux hommes avaient fini, l’homme étrange dit:
*
«Vous me voyiez ravit que nous ayons trouvé un accord, et n’oubliez pas que si vous ne le respectez pas, ne soyez pas étonnez si … enfin, la mort arrive vite vous devriez le savoir …c’est une leçon essentielle de la vie …»
L’homme et l’ambassadeur se serrèrent la main, puis, le chauffeur ayant regagné son «trône» ou tous simplement sont volant de taxi, il dit;
-«Mais qu’est-ce que l’ambassadeur fait là? Me serais-je endormi?»
Puis, tout excité par la présence d’un invité de marque, il bourra de questions l’ambassadeur, disant la dernière phrase qu’il prononcera dans sa pauvre vie:
-«Si je puis me permettre ,désolé qu’une personne miteuse que je suis vous adresse la parole en osant vous dire que je suis fan des films qu’a tournés votre père.»
Puis l’homme «mafieux» anxieux, ne répondit pas, qui avait probablement imposé quelque chose à l’ambassadeur, dit:
-«Monsieur l’ambassadeur, allez vous vous taire sur cette soirée?»
-«Heu, bien sûr, évidement! répondit l’ambassadeur.»
L’homme sortit un revolver muni d’un silencieux, un pistolet haut calibre, et dans un vif instant appuyas sur la gachéte , chose qu'il avait probablement commune de faire . Il abatis de sang froid le chauffeur, le sang coula discrètement sur la banquette et la voiture se stoppa net, klaxonnant du au fait de la tête s’aplatit sur le volant, de l’homme mort précédemment, chauffeur de Taxi son sang s’écroula sur son livre sur ces femmes, qu’il quitta à tous jamais...
L’ambassadeur quant à lui sort dans la pénombre , l’homme mafieux prit une autre voiture américaine de marque «Chrysler» placée là à l’avance puis disparu , l’ambassadeur quitta le consul pour rejoindre son domicile , et , dans un vif instant , fut transpercé au cœur , un coup de sniper professionnel, le lendemain serait décisif , l’annonce de sa mort mettra des battons dans les roues de l’homme aux corps entièrement caché , mais qui donc a voulu mettre un terme à la vie de l’ambassadeur et ainsi contrecarrer les plans de l’homme?...
Chapitre 0 2/2 à venir + debut Chapitre 1
blog : http://patouchou.blog.jeuxvideo.com/
PS : A la fin du texte le lien de mon blog pour lire la suite tous les mercredi après midi (environ 5-10 pages par semaines).
«Ventura Boulevard est l'un des axes principal est-ouest de la vallée de San Fernando, au nord de Los Angeles en Californie. Et c’est ici que commence cette invraisemblable et énigmatique histoire, Ventura Boulevard … Un riche boulevard typique de Californie constituer par des magasins , des supermarchés de la Vallée, ainsi que de nombreux restaurants, des librairies et des petits commerces. De nombreux film tournée, mais ce n’est pas de cette ville que nous allons discuter. Mais bien de moi, ou plutôt de mon moi antérieur, celui qui à vingt ans de moins … Mais entrez donc dans cette curieuse machine et remonter dans le temps pour voir ce que j’ai vu, à ma manière …»
Chapitre 0: Prologue
Ventura Boulevard, Rublio Ave (street); 2092
Un Taxi arpente avec rapidité les rues de Californie McCormick St, puis Otsego St, dans un laps de temps énormément limité. Une précipitation se sent chez le chauffeur, comme si c’était une question de vie ou de mort, mais le stress des chauffeurs de Taxi n’étaient pas rare et les suicides ou autre mutilation et barbarerie inutiles étaient de plus en plus fréquent, certain gère mal le stress qui s’empare vite d’eux, d’autres sont bouffés par l’alcool et avance avec vélocité, et, pour se diriger ver une mort inévitable mettant en danger leurs propres clients pour une seul raison «L’argent». Maudite invention me diriez vous! Qui à la base, est censé aider, certes pratique mais qui apporte souvent plus de mal que de bien… Personne n’est à l’abri (La jalousie, les meurtres, la pauvreté, les femmes qui ne vous aiment que pour votre pognon, mais la liste serait trop longue et il faudrait y dédier toute une encyclopédie appelée «Les problèmes qu’amènent l’argent» faute de papier, je m’en vois mal écrire les 2700 pages de 2m² qui comprendrait tous les fameux problèmes qu’amènent l’argent à pleine certitude…). Ce Taxi jaune d’apparence Française des plus classique se distingue à vol d’oiseau plus ou moins aux centre de Ventura Boulevard, il est aux alentours de quatre heure et demie de la matinée, dans ce fameux Taxi se discerne un homme, d’origine Marocaine du nom de Souhail Saber par certitude , le nom étant gravé sur une plaque d’argent en forme d’étiquette et agrafé par une épine sur le torse de l’homme, l’air pâle , pressé , et plutôt bel homme d’une certaine manière puisque , devant le volant , était consacré un livre sur toutes ses femmes , visible du fait qu’il est tout simplement ouvert à la page de photo de femme plutôt … alléger! Il roule à un peu plus de 90 Km selon une vue aérienne, rue peu fréquentée? Il est évident que non! Doublant sans peine au fur et à mesure de son parcours semblant interminable. Le conducteur est t’il tous simplement aviné? L’alcool ne se fait pas rare, mais le chauffeur parait juste et précis, n’a pas l’air fatigué mais plutôt stressé et semblant vouloir finir son bouleau et partir rejoindre une des nombreuses femmes sur laquelle il avait dédié son livre. J’en conclue donc que, il n’était probablement pas ivre, voila qu’il commence à ralentir peu à peu, jusqu'à s’arrêter net, faisant comprendre qu’il était à destination, son périple arrivé à sa fin .Il arrive à quatre heures trente-cinq précisément et s’arrête avec justesse devant une belle et grande résidence, de là, il ouvre la fenêtre et regarde un homme, tapis dans l’ombre, dans la pénombre totale, le bagage à la main, regard coléreux et mystérieux.
-«Monsieur …, c’est vous monsieur sh…»
D’un air songeur, et par inquiétude du à l’anxiété de l’homme il préféra ne pas exposer son nom et se contenta de se taire. Il se tu donc et fit un signe d’excuse et délicatement de grâce.
*
«Mon chère Max», regardant l’homme en lui faisant discrètement comprendre qu’il s’agissait d’un nom de code, et pour ne pas faire l’erreur qu’aurait pu commettre le chauffeur, appeler l’homme par son nom!
Reprenant son souffle sous forme d’expiration prolongé et répétée dans un laps de temps assez long pour apaiser sa voix, et toussa pour rendre sa voix claire, sans oublier de se moucher avec le tissu épais qu’il avait sortit de sa poche et qui faisait office de mouchoir . Le contact entre l’air expirant et le morceau de tissu fit un sifflement éclair , un peut comme les nouveau matériaux anti-jeunes (Je parle bien entendu des sonneries) Il avait probablement beaucoup à faire partager à quelqu'un , de longue discussion semblait t’il. Mais cela ne sembla pas intéresser le chauffeur, qui se contenta de s’avancer avec des manières précautionneuses telles que font les vendeurs pour attirer et garder les clients, l’homme s’avança, poliment, et ajouta:
*
«…Pile à l’heure! Vous n’êtes pas en retard pour une fois, Max, vous m’en voyiez, quel mot pourrai je employer…»
Tirant sa manche pour dissimuler ses yeux à peine visible et ainsi pouvoir , aux seuls yeux du chauffeur , lui faire un clin d’œil désignant discrètement les hommes , sur les côtés , et qui semblait les observait dû à ses airs mafieux …
Puis il ripostait plus aisément en disant avec «gentillesse» pour masquer sa profonde méchanceté qui semblait prendre le dessus lui obligeant à forcé/imité une voix douce et agréable sans pour autant passer pour une femme, d’une voix d’homme semblant généreux aux sens agréable bien évidement!
-«Comblé!» rétorqua l’homme, en passant sa main par la fenêtre du Taxi et ainsi serrer la main du chauffeur, laissant une certaine tentions, puisque, le chauffeur se hâta sans comprendre pourquoi, comment, il avait bien pu bouger sont bras dont il n’avait pas commander, avait pu se retrouver dans la main de l’homme.
Beaucoup de passants discutaient dans la rue, ils regardaient les deux hommes étrangement, les trafics de drogue ou autre tendance illégale ne se faisait pas rare dans cette zone, se sentant espionné, l’homme encore dehors et celui qui paraissait le plus suspect aux yeux des civils leur fit signe brutalement de déguerpir, puis le jeune Marocain d’une trentaine d’année environ, du nom de «Max» lui confia discrètement:
-«Entrez dans la voiture, la rue est remplie de balance, si vous voyez ce que je veux dire.»
L’homme étrange le saisit à la veste tirant le cou du chauffeur, et dans un vif instant, lui rétorqua:
-«Seriez vous en train de me prendre pour un dealer? Les regards de ces civils vous monteraient-ils à la tête?!»
Puis, mis à part qu’il semblait avoir une poignée de titan ; l’air pensant se rendant compte de l’erreur qui venait de commettre, qui installa le doute dans les passants qui commençaient à se réunir autours de la voiture, il riposta avec délicatesse.
-« Mais qu… qu’ai- je fais? Vous m’en voyez navré, mes préjugés détériorent ma misérable conscience, et mon accident, brûler, j’ai été défiguré …»
Puis désignant un civil , s’agenouillant et l’attrapa à la ceinture , criantavec un air de comédie que chauffeur avait comprit dés lors qu’il était entré dans son jeu…:
*
«Savez vous ce que c’est de souffrir de la solitude de jour en jour! d’être défiguré par la douleur et le temps, d’être pauvre et d’être obligé de travaillait durement pour des allemands, pour, juste espérer le minimum d’argent pour voyager avec assez d’argent en essayant de gagner du temps! Savez vous? savez vous. Vous dîtes que l’argent n’est rien, mais nous les pauvres qui ne sommes rien!et dont l’argent vaut plus que nos vies aux yeux du monde!»
Continuant de s’agripper à la personne, non choisie au hasard, puisque c’était un homme aux vêtements riches, jeune, et beau, sûrement avocat, ou autre métier très bien payé.
Ses paroles avait beaucoup touchées, les civils s’étaient en allés peu à peu avec une majorité de regard de pitié, certain avaient même jetés des pièce, enfonçant encore plus et vexant probablement l’homme, mais cela avait échoué, sa comédie avait marché, tout le monde s’était enfuit et désormais aucun témoin ne pourrait contredire sa route ou mettre des battons dans ses roues au cas ou il y aurait un problème.
Les nuages autres fois noires de colère avait gagné sur le temps, en effet, une pluie tomba, suivit de beaucoup d’autre. Dix minutes se passa le temps que l’homme se remette clean, abîmait par la scène de comédie qu’il venait de déclanché et terminer avec pudeur et réussite.
Il pleuvait donc beaucoup à ce moment-là l’homme, malgré son agitation, semblait trop habillé pour qu’on ne distingue sont véritable visage ou même sa couleur de peau ou son origine. D’un point de vue, on aurait dit un accent italien, mais les étranger se faisait rare dans ce coin, et nombreux moyens pour les criminelle à la base pour les films (notamment Dark Vador qui, si vous le connaissez, aviez pu constater qu’il n’a pas une voix naturelle) était vendue ce qu’on prénommer «Les changeurs/imiteurs de voix». Il se glissa dans la voiture.
L’homme de couleur, est le seul homme qu’on pouvait distinguer dans l’actuel moment, semblait stressé, marqué au cou, du à l’interpellation précèdent la lourde comédie, torsadé par une forte tension, une pression que lui sentait, et une impression bizarre lui faisant croire que la simple erreur pourrait lui coûter la vie …
-«Où … je vous emmène …?»
-«Le consul vous visualisez? Eh bien je vous ordonne d’allez là-bas …»
Il lui tendit plusieurs billets, les zones du consul étaient interdite, mais, voyant le triple argent du nécessaire, il oublia volontairement ce détail qu’il qualifie de «petit», grosse gaffe?
L’homme désigna l’emplacement ou il voulait se rendre dans le consul, l’endroit étant très large et étendue … c’est dans le consul, que les différents hommes politique et même où l’ambassadeur de Californie, Arnold Swarchenegger deuxième du nom, fils de son père de même nom (Mort quelque année précèdent sont élection), d’une allure beaucoup plus anorexique comparait à son père, et métis, issue d’une mère africaine, c’est donc à ce fameux consul, qu’ils se réunissaient secrètement. L’homme étrange désigna sa montre à cinq heures, faisant comprendre au chauffeur qu’il lui suffisait maintenant de patienter dans la voiture jusqu’à ce qu’il sonne cinq heures …
La cinquième sonneries s’entendit, et l’ambassadeur, sortit, regarda avec prudence, et se dirigea ver le Taxi.
-«Ouvre la porte de suite, dit l’homme déjà dans la voiture avec le chauffeur. Toi, chauffeur , j’aimerai m’entretenir secrètement avec l’ambassadeur , sort , ne t’approche pas , reste à minimum cinq mètre et assure toi que personne n’entende , ne voit ou n’écoute notre discutions , sa t’incluse , personne n’est autoriser à s’approcher, tu défendra notre intimité , aux péril de ta propre vie , ou jusqu’à ce que mort s’en suive ou que je t’ordonne d’arrêter …»
Le chauffeur s’exécuta comme contrôler à distance par une force plus mentale que physique il sortit donc sous l’ordre des hommes et attendit dehors pendant une bonne demi heure, aux péril de sa vie comme le lui avait ordonné l’homme mystérieux qui s’éloigner de son champ de vision du aux périmètre qu’il se sentait obligé de respecte entre la voiture et lui , scrutant les horizons jusqu'à ce que mort s’en suive…sans quoi il sentait que si il désobéissait il n’aurait pas vécu très longtemps mais ceci ne le toucha guère , sans émotions , comme dirigé par quelqu’un il obéissait au doigt et à l’œil et attendait une possible action qu’il attendait et distinguait comme sa raison de vivre, quelque heures suivant les arrangements entre les deux hommes , l’hommes lui fit signe de reprendre sont état normale et de revenir , ajoutant d’oublier les moments débutant à la vision de l’ambassadeur ce soir la, et il revint donc dans son Taxi. Les deux hommes avaient fini, l’homme étrange dit:
*
«Vous me voyiez ravit que nous ayons trouvé un accord, et n’oubliez pas que si vous ne le respectez pas, ne soyez pas étonnez si … enfin, la mort arrive vite vous devriez le savoir …c’est une leçon essentielle de la vie …»
L’homme et l’ambassadeur se serrèrent la main, puis, le chauffeur ayant regagné son «trône» ou tous simplement sont volant de taxi, il dit;
-«Mais qu’est-ce que l’ambassadeur fait là? Me serais-je endormi?»
Puis, tout excité par la présence d’un invité de marque, il bourra de questions l’ambassadeur, disant la dernière phrase qu’il prononcera dans sa pauvre vie:
-«Si je puis me permettre ,désolé qu’une personne miteuse que je suis vous adresse la parole en osant vous dire que je suis fan des films qu’a tournés votre père.»
Puis l’homme «mafieux» anxieux, ne répondit pas, qui avait probablement imposé quelque chose à l’ambassadeur, dit:
-«Monsieur l’ambassadeur, allez vous vous taire sur cette soirée?»
-«Heu, bien sûr, évidement! répondit l’ambassadeur.»
L’homme sortit un revolver muni d’un silencieux, un pistolet haut calibre, et dans un vif instant appuyas sur la gachéte , chose qu'il avait probablement commune de faire . Il abatis de sang froid le chauffeur, le sang coula discrètement sur la banquette et la voiture se stoppa net, klaxonnant du au fait de la tête s’aplatit sur le volant, de l’homme mort précédemment, chauffeur de Taxi son sang s’écroula sur son livre sur ces femmes, qu’il quitta à tous jamais...
L’ambassadeur quant à lui sort dans la pénombre , l’homme mafieux prit une autre voiture américaine de marque «Chrysler» placée là à l’avance puis disparu , l’ambassadeur quitta le consul pour rejoindre son domicile , et , dans un vif instant , fut transpercé au cœur , un coup de sniper professionnel, le lendemain serait décisif , l’annonce de sa mort mettra des battons dans les roues de l’homme aux corps entièrement caché , mais qui donc a voulu mettre un terme à la vie de l’ambassadeur et ainsi contrecarrer les plans de l’homme?...
Chapitre 0 2/2 à venir + debut Chapitre 1
blog : http://patouchou.blog.jeuxvideo.com/
Patounou- Nombre de messages : 2
Age : 32
Date d'inscription : 22/04/2008
Re: Mon projet de roman SF
Patounou a écrit :
Quelques petites choses en vrac :
Attention à ton orthographe ! Certaines erreurs pourraient être facilement évitées.
Ne fais pas de phrases aussi longues : j'étais tentée de placer des points afin d'écourter certaines phrases et de leur redonner un peu de souffle. Ce sera plus facile pour toi ( tu verras ) et pour tes lecteurs de te suivre si tes phrases sont plus concises. De fait, certains passages ne sont pas très clairs et on peut décrocher facilement.
"L'homme étrange" pourrait être désigné par une lettre comme K ou D. Je ne sais pas. Quelque chose comme ça qui permettrait de garder cette étrangeté à ton personnage et qui le rendrait, tout de suite, reconnaissable pour le lecteur. C'est juste une idée.
Le chauffeur de taxi et "l'homme étrange" m'ont rappelé deux personnages d'un film avec Tom Cruise, juste pour la mise en situation.
Je ne ressens pas tellement l'univers SF, pour l'instant, mais je ne demande qu'à voir la suite. Il faudrait un peu plus d'étrangeté pour basculer dans un autre univers.
Retravaille ton texte, rends-le plus accessible au lecteur ! Ce ne sont pas des critiques qui visent à te désarçonner mais, je l'espère, à te faire avancer. L'écriture n'est qu'une petite partie du travail quand on rédige un roman. La réécriture te demande, bien souvent, beaucoup plus de temps. Ne néglige pas cette étape ! Bon courage pour la suite de l'aventure !
Apparemment, c'est plus qu'un projet puisqu'un blog est né. Ne porte-t-il pas de titre, ton écrit ? Même un provisoire ?Mon projet de roman SF
Quelques petites choses en vrac :
Attention à ton orthographe ! Certaines erreurs pourraient être facilement évitées.
Ne fais pas de phrases aussi longues : j'étais tentée de placer des points afin d'écourter certaines phrases et de leur redonner un peu de souffle. Ce sera plus facile pour toi ( tu verras ) et pour tes lecteurs de te suivre si tes phrases sont plus concises. De fait, certains passages ne sont pas très clairs et on peut décrocher facilement.
"L'homme étrange" pourrait être désigné par une lettre comme K ou D. Je ne sais pas. Quelque chose comme ça qui permettrait de garder cette étrangeté à ton personnage et qui le rendrait, tout de suite, reconnaissable pour le lecteur. C'est juste une idée.
Le chauffeur de taxi et "l'homme étrange" m'ont rappelé deux personnages d'un film avec Tom Cruise, juste pour la mise en situation.
Je ne ressens pas tellement l'univers SF, pour l'instant, mais je ne demande qu'à voir la suite. Il faudrait un peu plus d'étrangeté pour basculer dans un autre univers.
Retravaille ton texte, rends-le plus accessible au lecteur ! Ce ne sont pas des critiques qui visent à te désarçonner mais, je l'espère, à te faire avancer. L'écriture n'est qu'une petite partie du travail quand on rédige un roman. La réécriture te demande, bien souvent, beaucoup plus de temps. Ne néglige pas cette étape ! Bon courage pour la suite de l'aventure !
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 47
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Mon projet de roman SF
Je trouve qu'il y a plein de bonnes idées dans ce texte, plein de "trouvailles". Il y a de l'ambiance. L'écriture est créative. Mais je vais jouer les maîtresses d'école (que je suis...). Il faut retravailler l'orthographe et la grammaire (la ponctuation, les temps des verbes etc...). Ce n'est pas pour être embêtante que je dis ça. Le respect des normes facilite la lecture. Tu dois te dire que les lecteurs sont des gens paresseux, qui ne font pas d'efforts.
Re: Mon projet de roman SF
Ouaouh ! je viens de faire un gros effort, j'ai lu facilement le quart de ton texte, mais là vraiment, j'en peux plus, j'arrête, trop mal écrit
Et je suis sûr que si tu vas sur le site bonpatron.com pour corriger les fautes, tu seras bien vite découragé et tu ne persévéreras pas
Non, vraiment, j'ai carrément l'impression de lire une très mauvaise traduction en "français" d'un texte écrit dans une autre langue au départ.
Je te jure, il y a des phrases, mais alors, sans même parler de l'ortho : imbittables (passe-moi l'expression)
Genre : « Dix minutes se passa le temps que l’homme se remette clean, abîmait par la scène de comédie qu’il venait de déclanché et terminer avec pudeur et réussite »
A croire que tu le fais exprès.
J’étais parti pour relever point par point les maladresses, les phrases un peu longues, ou un peu tordues, par exemple je commençais comme ceci :
« Par certitude, A pleine certitude » : drôles d’expressions ! Je connais « en toute certitude, mais pas celles-là
« agrafé par une épine sur le torse de l’homme » : c’est Rambo ce type ? :-))))
« l’air pensant » : plutôt l’air pensif, non ?
Et puis, non, décidément je renonce, je vais y passer mon après-midi…
Mais ne te décourage pas surtout car tu sembles avoir beaucoup à dire, à sortir de toi. Mais fais-toi aider please.
Autre chose : j’ai pas non plus envie de passer mon temps sur des blogs ou sur d’autres sites, si tu veux nous passer la suite, fais-le ici svp pour les gens intéressés.
Bye
Et je suis sûr que si tu vas sur le site bonpatron.com pour corriger les fautes, tu seras bien vite découragé et tu ne persévéreras pas
Non, vraiment, j'ai carrément l'impression de lire une très mauvaise traduction en "français" d'un texte écrit dans une autre langue au départ.
Je te jure, il y a des phrases, mais alors, sans même parler de l'ortho : imbittables (passe-moi l'expression)
Genre : « Dix minutes se passa le temps que l’homme se remette clean, abîmait par la scène de comédie qu’il venait de déclanché et terminer avec pudeur et réussite »
A croire que tu le fais exprès.
J’étais parti pour relever point par point les maladresses, les phrases un peu longues, ou un peu tordues, par exemple je commençais comme ceci :
« Par certitude, A pleine certitude » : drôles d’expressions ! Je connais « en toute certitude, mais pas celles-là
« agrafé par une épine sur le torse de l’homme » : c’est Rambo ce type ? :-))))
« l’air pensant » : plutôt l’air pensif, non ?
Et puis, non, décidément je renonce, je vais y passer mon après-midi…
Mais ne te décourage pas surtout car tu sembles avoir beaucoup à dire, à sortir de toi. Mais fais-toi aider please.
Autre chose : j’ai pas non plus envie de passer mon temps sur des blogs ou sur d’autres sites, si tu veux nous passer la suite, fais-le ici svp pour les gens intéressés.
Bye
Re: Mon projet de roman SF
Je trouve aussi qu'il ne faut pas que tu te décourages. Tu es encore très jeune, tu as toute une vie d'écriture devant toi. Un peu de travail, et tout sera parfait.
Dans n'importe quel texte, il y a deux choses :
- le fond
- la forme (l'orthographe, la longueur des phrases, le rythme, les mots choisis, la ponctuation etc..)
Il faut que tu travailles la forme. Parce que, en ce qui concerne le fond, on sent une véritable envie d'écrire, des choses originales, à toi. Rends tes idées lisibles à tous, c'est tout.
PS : tu n'as pas répondu à nos messages. Es-tu toujours sur ce forum ?
Dans n'importe quel texte, il y a deux choses :
- le fond
- la forme (l'orthographe, la longueur des phrases, le rythme, les mots choisis, la ponctuation etc..)
Il faut que tu travailles la forme. Parce que, en ce qui concerne le fond, on sent une véritable envie d'écrire, des choses originales, à toi. Rends tes idées lisibles à tous, c'est tout.
PS : tu n'as pas répondu à nos messages. Es-tu toujours sur ce forum ?
Re: Mon projet de roman SF
Anne Veillac a écrit:
PS : tu n'as pas répondu à nos messages. Es-tu toujours sur ce forum ?
Effectivement, pas de retour... Peut-être s'agissait-il de nous renvoyer uniquement vers un blog ?
Remarque, c'était annoncé d'emblée :
Me concernant, je n'irai pas lire la suite, à moins que tu ne la postes ici. J'ai eu du mal à entrer dans ce texte et je ne suis pas allée au bout en raison de toutes les maladresses d'écriture.
PS : A la fin du texte le lien de mon blog pour lire la suite tous les mercredi après midi (environ 5-10 pages par semaines).
Avoir des idées ne suffit pas Patounou, encore faut-il les mettre en forme et si tu t'imposes d'écrire 5 - 10 pages par semaine, tu risques bien de négliger cette partie formelle qui est pourtant essentielle.
Il faudrait peut-être revoir la démarche, tu ne crois pas ?
Re: Mon projet de roman SF
Krystelle a écrit:Avoir des idées ne suffit pas Patounou, encore faut-il les mettre en forme et si tu t'imposes d'écrire 5 - 10 pages par semaine, tu risques bien de négliger cette partie formelle qui est pourtant essentielle.
Il faudrait peut-être revoir la démarche, tu ne crois pas ?
> Boarf, écrire, écrire, écrire, c'est encore le meilleur moyen de s'améliorer, non ? Bon, je dis pas qu'il faut le faire sans rigueur, mais s'imposer 5 - 10 pages par semaines je pense que c'est pas mauvais en soi, et que si il le fait vraiment, dans quelques années ça donnera quelque chose de bon :-)
Re: Mon projet de roman SF
Beaucoup de fautes, beaucoup de maladresses dans l'écriture et de phrases bancales et trop longues... je n'ai pas tenu, d'autant que le sujet m'intéresse moyennement.
Dommage que ça ne soit une fois de plus, apparemment, que l'occasion de faire de la pub pour un blog ou un site...
Dommage que ça ne soit une fois de plus, apparemment, que l'occasion de faire de la pub pour un blog ou un site...
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Mon projet de roman SF
Dommage... Il en faut pour cracher une histoire, passer de l'imagination au papier est déjà une victoire en soit; j'espère qu'il va continuer, c'est comme pour tout, de l'exercice, encore et encore pour s'améliorer... Rares sont ceux qui pondent une histoire en tous points cohérentes d'un coup....
J'vais allé jeter un coup d'oeil sur son blog, voir où ça en est...
J'vais allé jeter un coup d'oeil sur son blog, voir où ça en est...
Cédric- Nombre de messages : 20
Age : 40
Date d'inscription : 09/05/2008
Re: Mon projet de roman SF
Des fautes en veux-tu en voilà, toujours pas mal d'incohérence, de gros problèmes de syntaxe, de ponctuation et de rythme... Et je crois qu'il a abandonné... Dommage...
Cédric- Nombre de messages : 20
Age : 40
Date d'inscription : 09/05/2008
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