Jamais deux sans trois
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Jamais deux sans trois
La gourde, renversée par dessus sa bouche, scintillait mille reflets métallique.
Eblouissant son compagnon qui détourna le regard sur une jument alezane, brouttant tout près.
L'eau récupérée à la fontaine du dernier patelin, maintenant caché par une colline,était déjà tiède.
La fraîcheur leur sera désormais privée jusqu'à la tombée de la nuit.
-Il était drôlement mignon ce village. Dit Arnaud,
son compagnon, était très sensible à toute forme d'esthétique,
une sensibilité qui faisait contraste avec ce visage dur,
martyrisé par le soleil.
L'homme bouchonna la gourde et passa sa manche sur les lèvres.
-T'as raison, dommage que ses habitants ne soient pas à son image.
Ils ne disaient rien, mais je les entendais quand même nous maudire.
deux minutes de plus et ils nous auraient chassé comme de la vermine.
Il crachat par terre pour marquer son mépris. L'autre ne l'écoutait pas.
-J'aimerais être né ici, avoir grandis dans ces prés avec la marmaille du coin.Tout le monde me connaisserait bien,
ils diraient "Arnaud c'est un type honnête"
Car je suis honnête, seulement personne ne m'a fréquenté assez longtemps pour s'en être apperçue.
Arnaud fixait l'horizon en fronçant les sourcils.
-Et une fois vieux et aigri, sans avoir jamais manqué à ma réputation
Je resterais de longues après-midi à la terrasse du café de la place
ruminant contre quelques rare vagabonds dans notre genre.
L'homme ne répondit pas. Son compagnon de route s'inventais d'heureux souvenirs facticeque lui aussi aurait voulu posséder.
"Mes souvenirs sont mieux là où ils sont, les raviver m'enlèverai la force de m'en faire de nouveaux."
-On y va?
Comme un seul homme ils se mirent en route. Des ustensiles pendaient de part en d'autre de leurs sacs à dos à chaque déhanchement,
un tintement sec marquait le pas.
A l'instar les flûtes d'Alexandre ou les tambours de Napoléon,
les gamelles de deux errants
leurs mettaient du baume au coeur pour aller de l'avant.
La jument leva la tête, considérant les deux silhouettes qui s'enfonçaient
dans cette toile bucolique, le seul paysage connu de mémoire de cheval.
De doux galbes verdoyant accidentés de ci de là
par un ruisseau sans âge tapissant son lit au fond d'un sommier de travertin, qui se rejoignent tous au centre de ce petit monde,
une enclave plate, boisé élégamment des logis d'une faune aux plumage bigarré et au duvet roux.
L'un dèrrière l'autre, ils déambulaient sur le monticule à l'axe du sentier, là où les énormes roues de tracteur
n'avaient pu brasser la terre en gadoue gluante.
Les clôtures se succédèrent lentement sur leurs flancs, les moustiques pullulaient par endroits.
Des essaims entier s'attaquaient, vorace, à leur cuir basané, qui malgré de vaine résistances gesticulées
cédait sous les attaques incessante des aiguillons parasite.
Méandre sur méandre leurs sillons profilèrent cette trajectoire butée, exempte de fourvoiements
qui se refuse à ceux qui savent qu'un bol de soupe les attend.
Le soleil atteignit son zénith, le décor qui s'épanouissait sous ses flatteries devenait
impossible à maintenir en vue bien longtemps sans se masquer les yeux de la mains.
Les frémissements du mercure semblaient se fondre aux chants continuel des oiseaux.
L'homme utilisa le bas de sa chemise bleu terne pour éssuyer son visage en sueur.
Son camarade l'imita et se frotta les yeux avec le pouce et l'index.
-On pourrait peut-être s'arrèter un peu à l'ombre. Suggéra Arnaud.
-Ca me semble raisonnable, Il y a un érable là-bas sur le talus. L'endroit parfait pour nous reposer.
Sur ce, ils quittèrent le sentier et traversèrent un champs dont l'herbe arrivait à hauteur de chevilles,
parsemée de jonquilles et autres boutons dorés, qui ensemble,
semblaient sacrifier leur dernières gouttes de rosée à cette fin de matinée.
Bientôt l'érable était clairement distinct, et surtout ce panache sombre qui s'écoulait de son tronc
tant convoitée par les deux hommes épuisés.
En s'avançant, l'homme remarqua une autre tâche brunâtre qui partait à l'oblique, impie.
Il envoya un coup de coude dans l'estomac d'Arnaud
et lui indiqua d'un mouvement de tête l'anomalie.
Ils s'approchèrent, circonspects, firent le tour de l'arbre,
qui leur divulgua une vielle femme assoupie.
Les jambes étalées devant elle, la bouche entre-ouverte, le dos contre l'écorce, endormie.
Elle portait une robe à fleur, un ruban écarlate noué à la taille.
Ses pieds étaient nus, mais ce qu'il frappait le plus était son chapeau, rescapé d'une autre époque, huppé d'une margerite fraîchement cueillit, d'où s'échappait des mèches d'albâtre enveloppant un visage
qui autrefois fût beau.
Ils étaient là, plantés comme des piquets, étonnés par leur découverte.
Elle ouvrit les yeux d'un coup, et ne parût pas le moins du monde surprise par ce couple d'admirateurs sortit de nulle part.
-Et bien, bien le bonjour à vous messieurs.
-B-bonjour. Baffouilèrent-ils à l'unison, toujours immobiles
-Humm vous essayez peut-être d'immiter cet érable? De prendre racines?
Est-ce un jeu auquel les règles m'échappe?
-En fait... Commença Arnaud, mais fût coupé court par son acolyte qui se jugeait mieux apte à s'exprimé.
-En fait, madame, nous sommes venus ici dans l'idée d'y faire une pause,
la chaleur rendant notre marche laborieuse...
Nous ne nous étions doutés que l'emplacement était occupé...
-Comme vous le voyez, répondit la femme, je suis vielle mais guère grasse, quant à "l'emplacement" comme vous dîtes si bien monsieur peut sûrement accueillir deux paumés de plus.
Les deux hommes restèrent cois, le temps de digérer l'invitation, puis se posèrent là où ils se tenaient.
L'un assis, les jambes remontées jusqu'au torse entourrées de ses longs bras sec et poilus
l'autre allongé sur le ventre ramassa une brindille sêche qu'il s'empressa de coincée entre ses dents.
Un long moment s'écoula sans qu'un mot brise le silence, que même les oiseaux tantôt babillards n'osaient se faire trop indiscrets.
L'homme paraissait somnoler, tandis qu'Arnaud lui, dévisageait la femme, qui était retournée à ses affaires, sereine.
Finalement Arnaud décida qu'elle était une ancienne fille de joie, qui après une existance
tourmentée, devenue vielle, déchue, sombra insensiblement dans la folie et la misère.
Satisfait de son raisonnement, il se permit de s'étendre de tout son long pour rejoindre ses deux voisins dans un coin lobulaire de l'inconscience.
Dand un immeuble un rien vétuste, 96 marches de 18 centimètres chacune plus haut que le niveau de la mer, assis à un secrétaire,
se trouve un homme.
Les coudes sur son bureau, la tête entre ses mains, torturant la peau
de ce siiiiiiii joli visage, comme si en s'écorchant vif, une divinité prendrait pitiéde lui, et d'un seul souffle, touché par la grâce,
lui donnerait ce talent que les gênes lui on refusé.
Dans cet esprit stéril, surchauffé par quelques lignes médiocres,
subsiste encore une petite voix, une voix usée, fatiguée, désabusée.
Ca ne mene à rien. C'est à cause de la vioque tout ça. Elle était censée débiter de longs soliloques philosophique, sur la vie, la pauvreté, tout ça..
Mais non, elle dort. Elle fait que ça, dormir.
Moi j'écris un petit préambule, nickel
et une fois arrivé au moment fatidique
où elle devait sortir le pourquoi du comment,
Rien. Elle en fait qu'à sa tête la croûte sénile.
Je vais quand même envoyer ça.
Attend ça fait une heure que j'y suis dessus, ça me fait chier de le jeter.
Je vais juste faire une petite fin...
Ha ouais! Je vais faire une fin où on me retrouve en train de m'arracher les cheveux.
Ca serait pas mal...Je sais, je vais leur écrire un tuc du genre:
Dand un immeuble un rien vétuste, 96 marches de 18 centimètres chacune plus haut
que le niveau de la mer...
Eblouissant son compagnon qui détourna le regard sur une jument alezane, brouttant tout près.
L'eau récupérée à la fontaine du dernier patelin, maintenant caché par une colline,était déjà tiède.
La fraîcheur leur sera désormais privée jusqu'à la tombée de la nuit.
-Il était drôlement mignon ce village. Dit Arnaud,
son compagnon, était très sensible à toute forme d'esthétique,
une sensibilité qui faisait contraste avec ce visage dur,
martyrisé par le soleil.
L'homme bouchonna la gourde et passa sa manche sur les lèvres.
-T'as raison, dommage que ses habitants ne soient pas à son image.
Ils ne disaient rien, mais je les entendais quand même nous maudire.
deux minutes de plus et ils nous auraient chassé comme de la vermine.
Il crachat par terre pour marquer son mépris. L'autre ne l'écoutait pas.
-J'aimerais être né ici, avoir grandis dans ces prés avec la marmaille du coin.Tout le monde me connaisserait bien,
ils diraient "Arnaud c'est un type honnête"
Car je suis honnête, seulement personne ne m'a fréquenté assez longtemps pour s'en être apperçue.
Arnaud fixait l'horizon en fronçant les sourcils.
-Et une fois vieux et aigri, sans avoir jamais manqué à ma réputation
Je resterais de longues après-midi à la terrasse du café de la place
ruminant contre quelques rare vagabonds dans notre genre.
L'homme ne répondit pas. Son compagnon de route s'inventais d'heureux souvenirs facticeque lui aussi aurait voulu posséder.
"Mes souvenirs sont mieux là où ils sont, les raviver m'enlèverai la force de m'en faire de nouveaux."
-On y va?
Comme un seul homme ils se mirent en route. Des ustensiles pendaient de part en d'autre de leurs sacs à dos à chaque déhanchement,
un tintement sec marquait le pas.
A l'instar les flûtes d'Alexandre ou les tambours de Napoléon,
les gamelles de deux errants
leurs mettaient du baume au coeur pour aller de l'avant.
La jument leva la tête, considérant les deux silhouettes qui s'enfonçaient
dans cette toile bucolique, le seul paysage connu de mémoire de cheval.
De doux galbes verdoyant accidentés de ci de là
par un ruisseau sans âge tapissant son lit au fond d'un sommier de travertin, qui se rejoignent tous au centre de ce petit monde,
une enclave plate, boisé élégamment des logis d'une faune aux plumage bigarré et au duvet roux.
L'un dèrrière l'autre, ils déambulaient sur le monticule à l'axe du sentier, là où les énormes roues de tracteur
n'avaient pu brasser la terre en gadoue gluante.
Les clôtures se succédèrent lentement sur leurs flancs, les moustiques pullulaient par endroits.
Des essaims entier s'attaquaient, vorace, à leur cuir basané, qui malgré de vaine résistances gesticulées
cédait sous les attaques incessante des aiguillons parasite.
Méandre sur méandre leurs sillons profilèrent cette trajectoire butée, exempte de fourvoiements
qui se refuse à ceux qui savent qu'un bol de soupe les attend.
Le soleil atteignit son zénith, le décor qui s'épanouissait sous ses flatteries devenait
impossible à maintenir en vue bien longtemps sans se masquer les yeux de la mains.
Les frémissements du mercure semblaient se fondre aux chants continuel des oiseaux.
L'homme utilisa le bas de sa chemise bleu terne pour éssuyer son visage en sueur.
Son camarade l'imita et se frotta les yeux avec le pouce et l'index.
-On pourrait peut-être s'arrèter un peu à l'ombre. Suggéra Arnaud.
-Ca me semble raisonnable, Il y a un érable là-bas sur le talus. L'endroit parfait pour nous reposer.
Sur ce, ils quittèrent le sentier et traversèrent un champs dont l'herbe arrivait à hauteur de chevilles,
parsemée de jonquilles et autres boutons dorés, qui ensemble,
semblaient sacrifier leur dernières gouttes de rosée à cette fin de matinée.
Bientôt l'érable était clairement distinct, et surtout ce panache sombre qui s'écoulait de son tronc
tant convoitée par les deux hommes épuisés.
En s'avançant, l'homme remarqua une autre tâche brunâtre qui partait à l'oblique, impie.
Il envoya un coup de coude dans l'estomac d'Arnaud
et lui indiqua d'un mouvement de tête l'anomalie.
Ils s'approchèrent, circonspects, firent le tour de l'arbre,
qui leur divulgua une vielle femme assoupie.
Les jambes étalées devant elle, la bouche entre-ouverte, le dos contre l'écorce, endormie.
Elle portait une robe à fleur, un ruban écarlate noué à la taille.
Ses pieds étaient nus, mais ce qu'il frappait le plus était son chapeau, rescapé d'une autre époque, huppé d'une margerite fraîchement cueillit, d'où s'échappait des mèches d'albâtre enveloppant un visage
qui autrefois fût beau.
Ils étaient là, plantés comme des piquets, étonnés par leur découverte.
Elle ouvrit les yeux d'un coup, et ne parût pas le moins du monde surprise par ce couple d'admirateurs sortit de nulle part.
-Et bien, bien le bonjour à vous messieurs.
-B-bonjour. Baffouilèrent-ils à l'unison, toujours immobiles
-Humm vous essayez peut-être d'immiter cet érable? De prendre racines?
Est-ce un jeu auquel les règles m'échappe?
-En fait... Commença Arnaud, mais fût coupé court par son acolyte qui se jugeait mieux apte à s'exprimé.
-En fait, madame, nous sommes venus ici dans l'idée d'y faire une pause,
la chaleur rendant notre marche laborieuse...
Nous ne nous étions doutés que l'emplacement était occupé...
-Comme vous le voyez, répondit la femme, je suis vielle mais guère grasse, quant à "l'emplacement" comme vous dîtes si bien monsieur peut sûrement accueillir deux paumés de plus.
Les deux hommes restèrent cois, le temps de digérer l'invitation, puis se posèrent là où ils se tenaient.
L'un assis, les jambes remontées jusqu'au torse entourrées de ses longs bras sec et poilus
l'autre allongé sur le ventre ramassa une brindille sêche qu'il s'empressa de coincée entre ses dents.
Un long moment s'écoula sans qu'un mot brise le silence, que même les oiseaux tantôt babillards n'osaient se faire trop indiscrets.
L'homme paraissait somnoler, tandis qu'Arnaud lui, dévisageait la femme, qui était retournée à ses affaires, sereine.
Finalement Arnaud décida qu'elle était une ancienne fille de joie, qui après une existance
tourmentée, devenue vielle, déchue, sombra insensiblement dans la folie et la misère.
Satisfait de son raisonnement, il se permit de s'étendre de tout son long pour rejoindre ses deux voisins dans un coin lobulaire de l'inconscience.
Dand un immeuble un rien vétuste, 96 marches de 18 centimètres chacune plus haut que le niveau de la mer, assis à un secrétaire,
se trouve un homme.
Les coudes sur son bureau, la tête entre ses mains, torturant la peau
de ce siiiiiiii joli visage, comme si en s'écorchant vif, une divinité prendrait pitiéde lui, et d'un seul souffle, touché par la grâce,
lui donnerait ce talent que les gênes lui on refusé.
Dans cet esprit stéril, surchauffé par quelques lignes médiocres,
subsiste encore une petite voix, une voix usée, fatiguée, désabusée.
Ca ne mene à rien. C'est à cause de la vioque tout ça. Elle était censée débiter de longs soliloques philosophique, sur la vie, la pauvreté, tout ça..
Mais non, elle dort. Elle fait que ça, dormir.
Moi j'écris un petit préambule, nickel
et une fois arrivé au moment fatidique
où elle devait sortir le pourquoi du comment,
Rien. Elle en fait qu'à sa tête la croûte sénile.
Je vais quand même envoyer ça.
Attend ça fait une heure que j'y suis dessus, ça me fait chier de le jeter.
Je vais juste faire une petite fin...
Ha ouais! Je vais faire une fin où on me retrouve en train de m'arracher les cheveux.
Ca serait pas mal...Je sais, je vais leur écrire un tuc du genre:
Dand un immeuble un rien vétuste, 96 marches de 18 centimètres chacune plus haut
que le niveau de la mer...
choobe- Nombre de messages : 33
Age : 39
Date d'inscription : 19/04/2008
Re: Jamais deux sans trois
.
J'aimerais bien lire ton texte, mais pourrais-tu, s'il te plaît, le relire et en corriger les nombreuses fautes : orthographe, syntaxe en particulier : Aie un peu de pitié pour ton lecteur !
J'aimerais bien lire ton texte, mais pourrais-tu, s'il te plaît, le relire et en corriger les nombreuses fautes : orthographe, syntaxe en particulier : Aie un peu de pitié pour ton lecteur !
Re: Jamais deux sans trois
Choobe a écrit :
Je ne parlerai pas de ton orthographe, sinon d'un mot et un seul : "vielle". Pour une femme âgée, on dit vieille. La "vielle" m'évoquait la vielle à roue, instrument de musique que j'aime entendre lorsque j'écoute de la musique à danser du moyen-âge ou de la Renaissance mais qui ne m'aide pas à visualiser une dame d'un certain âge ( ou d'un âge certain ! ^-^). Il mérite d'être retravaillé, ce texte.
Cette fin, un peu déroutante, y est pour quelque chose. Dis-moi, seulement, qu'elle est voulue et que tu ne l'as pas bâclée en deux temps trois mouvements pour te dépêtrer d'un texte dont tu ne savais pas comment te défaire. Il faut choyer ton lectorat, Choobe !
J'aime ça. Travertin/traversin... comme on fait son lit, on se couche, etc,...tapissant son lit au fond d'un sommier de travertin
Je ne parlerai pas de ton orthographe, sinon d'un mot et un seul : "vielle". Pour une femme âgée, on dit vieille. La "vielle" m'évoquait la vielle à roue, instrument de musique que j'aime entendre lorsque j'écoute de la musique à danser du moyen-âge ou de la Renaissance mais qui ne m'aide pas à visualiser une dame d'un certain âge ( ou d'un âge certain ! ^-^). Il mérite d'être retravaillé, ce texte.
Cette fin, un peu déroutante, y est pour quelque chose. Dis-moi, seulement, qu'elle est voulue et que tu ne l'as pas bâclée en deux temps trois mouvements pour te dépêtrer d'un texte dont tu ne savais pas comment te défaire. Il faut choyer ton lectorat, Choobe !
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 47
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Jamais deux sans trois
Choobe? t'as pas vraiment l'air de tenir compte des demandes qui te sont faites dans les fils de tes textes :-)
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
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