PHOTO COMMUNE - Berlin
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PHOTO COMMUNE - Berlin
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C’est étrange la façon dont parfois notre mémoire fonctionne. Je suis incapable de vous décrire le visage de ma femme que je vois pourtant quotidiennement et à l’inverse, aujourd’hui, j’ai reconnu du premier coup d’œil ce militaire que je n’avais pourtant vu qu’une seule fois. Le visage a vieilli, la peau distendue ne masque pas la mâchoire carrée et autoritaire de l’homme. Seul le regard n’est pas le même. La peur qu’il m’avait renvoyée à l’époque semble s’être diluée dans les années, encore présente, mais au fond, tout au fond d’un tas de souvenirs. A hauteur de la boutique, l’homme se penche sur la vitrine, il lève la tête et cherchant à apercevoir l’intérieur à contre-jour, croise mon regard. Il se raidit instantanément, il me semble alors qu’il serre la main de son petit-fils un peu plus fort. Après tout, il a choisi de venir, il savait qu’il risquait de me trouver là, il a mis tant de temps à trouver ce courage, presque trente ans.
Mon unique rencontre avec lui reste mon seul repère de mes dix premières années. Cette soirée avait tout balayé, de ma mémoire, de ma vie. Des souvenirs d’enfance me reviennent parfois, par bribes, désordonnés, sans chronologie ni contexte, vaporisés, dispersés. Comme souvent l’été, nous étions en famille à la boutique. Je restais dans la petite salle de derrière, à dessiner, regarder n’importe quel journal, observer les allées et venues dans la galerie. J’attendais patiemment la fermeture. Les dernières semaines, plusieurs fois, des policiers ou des militaires étaient passés et avaient demandé leurs papiers aux commerçants et aux clients. Je ne comprenais pas pourquoi, on ne m’expliquait pas non plus et tout semblait finalement assez normal. Ce soir-là, l’orage avait pris possession du ciel berlinois et j’imaginais, comme toujours, la place de la grande étoile et son bel ange doré sous les éclairs. Enfant, je croyais que la statue de la victoire dirigeait les grandes stries de lumières, déchirant le ciel et frappant de sa foudre où elle le désirait. Maintenant, quand je revois l’ange, je ne pense plus à l’orage, je pense à Bruno Ganz et à Wim Wenders. La galerie s’était remplie de quelques passants supplémentaires, ceux-là cherchaient un abri. Je me souviens que je n’avais pas compris quand papa avait dit qu’ils étaient plus courageux que les autres, ceux qui restaient dehors par cette pluie. Puis, ils étaient arrivés, pas plus de cinq ou six mais faisant le bruit de trente. Ils avaient hurlé à plusieurs reprises : « Sortez ! Commerçants, sortez ! Tout le monde dehors des boutiques ! » Papa m’avait dit de rester dans la petite salle du fond et il était sorti avec maman qui m’avait embrassé sur le front en m’assurant que tout irait bien, que nos papiers étaient en règle et que de toute façon, nous n’étions pas juifs.
Ils parlaient forts comme s’ils voulaient s’assurer d’être entendu de tout le monde. Ils passaient en revue chaque homme, chaque femme. Tu es juif, ils disaient ? Si, tu es juif ? Alors mets-toi sur la gauche. Si l’accusé niait, ils insistaient. Bien sûr que tu es juif. Qui t’a fourni ses faux papiers ? Et si tu n’es pas juif, pourquoi travailles-tu dans la galerie Schmidt ? Tu bosses pour les juifs ? Et ainsi de suite. D’où j’étais, je pouvais voir mes parents de dos. Ils avaient bien essayé de se faire entendre mais ils avaient également fini sur la gauche. Ce triage m’avait semblé bien ridicule et singulièrement effectué puisqu’au final, il ne devait, selon les uniformes, y avoir que des juifs.
Cet homme dont le regard pour la deuxième fois de sa vie vient de franchir la devanture de verre de notre boutique familiale, cet homme, était parmi les militaires. Il semblait bien jeune et ne faisait pas partie de ceux qui hurlaient. Il regardait, vers le fond, vers la petite salle, vers moi. Il m’avait vu, il se demandait sans doute s’il devait me dire de sortir. Peut être avait-t-il naïvement et furtivement pensé pouvoir faire quelque chose pour mes parents ou peut être simplement, ne s’était-il pas posé de questions. Il était là, il devait le faire, on lui avait ordonné alors … Les commerçants furent alignés au milieu du passage, agenouillés, le chef des uniformes semblant passer en revue les papiers d’identité qu’ils avaient récoltés. C’était sûr, ils allaient s’apercevoir que mes parents étaient de bons berlinois et ils allaient revenir, vers moi, vers la petite salle du fond. Le chef des uniformes a désigné quelques têtes au hasard, apparemment, une sur deux. Ma mère n’était bizarrement pas à côté de mon père, le libraire s’était involontairement, sans doute, intercalé entre mes parents. Le jeune soldat a cessé de me regarder, il s’est avancé, a sorti son arme. Je me souviens surtout de l’écho, long, assourdissant puis le silence, plus une parole, plus de bruits de pas, l’orage, même, semblait s’être tu. Le libraire est ensuite venu me chercher, il pleurait.
Trente ans plus tard, il n’est plus là et un marchand de chaussure a pris la place de sa librairie. S’il avait osé, je crois qu’il me l’aurait demandé. Mais il ne pouvait pas faire ça à un gosse de dix ans. Il n’en a pas eu besoin. L’idée a germé, seule, dans mon esprit, sans nécessité qu’on me la suggère. Le revolver est là, dans le tiroir du secrétaire de la petite salle du fond. Il n’attend que ce visiteur, ce jeune soldat sur lequel j’ai focalisé ma haine et ma douleur des années durant. A l’orphelinat de Zurich où le libraire m’avait emmené - sans trop de difficulté, d’ailleurs, lui-même n’étant pas juif non plus pouvait relativement facilement se déplacer dans le pays – j’avais ressenti le besoin de me raccrocher à quelque chose, un but, un avenir. Tandis que les autres enfants, tous juifs, espéraient naïvement, pour la plupart, revoir leurs parents à la fin de la guerre, je n’aspirais qu’à me venger de ce soldat qui avait osé me regarder, longuement, avant de décider du reste de ma vie. Je restais à l’orphelinat jusqu’en 1946, mes seize ans. Là-bas, le libraire m’avait présenté comme un enfant juif et il avait essayé de m’expliquer qu’en Suisse, à l’inverse, je devais être juif pour être protégé, pour être sûr de pouvoir rester. Je me souviens avoir pensé que les adultes étaient fous. Rapidement, je compris qu’effectivement, je n’avais aucun intérêt à me déclarer allemand et catholique. Les autres enfants m’auraient sans doute pris pour souffre-douleur, l’Allemand étant avant tout dans leur esprit le responsable de toutes ces horreurs. Et donc pendant six ans, je me fis passer pour juif. Par la suite, j’ai tenté de vivre seul, de me fabriquer une autonomie. Peu à peu, j’ai essayé de penser moins souvent à ma vengeance, d’autres soucis plus quotidiens s’imposant à moi. Mais régulièrement, cette obsession ressurgissait. Le temps essayait bien de tempérer ma rancœur, sûrement qu’il ne pouvait pas faire autrement, sûrement qu’il risquait sa vie à désobéir, sûrement et pourtant, je le haïssais toujours.
En rachetant la boutique, j’étais convaincu qu’il viendrait, nul besoin de le chercher, il viendrait. Aussi sûrement que l’on n’oublie pas le regard du bourreau de ses parents, on n’oublie pas non plus le dernier regard d’innocence que l’on va détruire. A moins d’être mort ou coincé à Berlin Est, il reviendrait. Alors, je laissais la devanture telle qu’elle était à l’époque. Bien sûr, les affaires n’étaient, du coup, pas florissantes et les autres commerçants m’enjoignaient à moderniser ma vitrine mais je voulais être sûr qu’il la reconnaisse le jour venu.
Et il l’avait reconnue, évidemment. Peut-être, naïvement, avait-il décidé de venir accompagné de son petit-fils, pour me dire que lui aussi était humain, pour me dire de ne pas faire la même erreur que lui, de ne pas tuer l’innocence, de ne pas ajouter au malheur. Je regarde ce gosse et je me demande s’il sait qui est son papi, s’il sait ce qu’il m’a fait. Sans doute pas mais de toute façon, quelle importance cela pourrait avoir à ses yeux. Il ne sait pas et je l’envie, j’envie ce regard clair et insouciant, je l’envie d’être entouré, j’envie son enfance. Alors, je les observe, le vieil homme ne me salue pas mais nos yeux se comprennent. Ce doit être ça le pardon, refermer un tiroir sur un revolver et tuer un souvenir plutôt qu’un homme.
C’est étrange la façon dont parfois notre mémoire fonctionne. Je suis incapable de vous décrire le visage de ma femme que je vois pourtant quotidiennement et à l’inverse, aujourd’hui, j’ai reconnu du premier coup d’œil ce militaire que je n’avais pourtant vu qu’une seule fois. Le visage a vieilli, la peau distendue ne masque pas la mâchoire carrée et autoritaire de l’homme. Seul le regard n’est pas le même. La peur qu’il m’avait renvoyée à l’époque semble s’être diluée dans les années, encore présente, mais au fond, tout au fond d’un tas de souvenirs. A hauteur de la boutique, l’homme se penche sur la vitrine, il lève la tête et cherchant à apercevoir l’intérieur à contre-jour, croise mon regard. Il se raidit instantanément, il me semble alors qu’il serre la main de son petit-fils un peu plus fort. Après tout, il a choisi de venir, il savait qu’il risquait de me trouver là, il a mis tant de temps à trouver ce courage, presque trente ans.
Mon unique rencontre avec lui reste mon seul repère de mes dix premières années. Cette soirée avait tout balayé, de ma mémoire, de ma vie. Des souvenirs d’enfance me reviennent parfois, par bribes, désordonnés, sans chronologie ni contexte, vaporisés, dispersés. Comme souvent l’été, nous étions en famille à la boutique. Je restais dans la petite salle de derrière, à dessiner, regarder n’importe quel journal, observer les allées et venues dans la galerie. J’attendais patiemment la fermeture. Les dernières semaines, plusieurs fois, des policiers ou des militaires étaient passés et avaient demandé leurs papiers aux commerçants et aux clients. Je ne comprenais pas pourquoi, on ne m’expliquait pas non plus et tout semblait finalement assez normal. Ce soir-là, l’orage avait pris possession du ciel berlinois et j’imaginais, comme toujours, la place de la grande étoile et son bel ange doré sous les éclairs. Enfant, je croyais que la statue de la victoire dirigeait les grandes stries de lumières, déchirant le ciel et frappant de sa foudre où elle le désirait. Maintenant, quand je revois l’ange, je ne pense plus à l’orage, je pense à Bruno Ganz et à Wim Wenders. La galerie s’était remplie de quelques passants supplémentaires, ceux-là cherchaient un abri. Je me souviens que je n’avais pas compris quand papa avait dit qu’ils étaient plus courageux que les autres, ceux qui restaient dehors par cette pluie. Puis, ils étaient arrivés, pas plus de cinq ou six mais faisant le bruit de trente. Ils avaient hurlé à plusieurs reprises : « Sortez ! Commerçants, sortez ! Tout le monde dehors des boutiques ! » Papa m’avait dit de rester dans la petite salle du fond et il était sorti avec maman qui m’avait embrassé sur le front en m’assurant que tout irait bien, que nos papiers étaient en règle et que de toute façon, nous n’étions pas juifs.
Ils parlaient forts comme s’ils voulaient s’assurer d’être entendu de tout le monde. Ils passaient en revue chaque homme, chaque femme. Tu es juif, ils disaient ? Si, tu es juif ? Alors mets-toi sur la gauche. Si l’accusé niait, ils insistaient. Bien sûr que tu es juif. Qui t’a fourni ses faux papiers ? Et si tu n’es pas juif, pourquoi travailles-tu dans la galerie Schmidt ? Tu bosses pour les juifs ? Et ainsi de suite. D’où j’étais, je pouvais voir mes parents de dos. Ils avaient bien essayé de se faire entendre mais ils avaient également fini sur la gauche. Ce triage m’avait semblé bien ridicule et singulièrement effectué puisqu’au final, il ne devait, selon les uniformes, y avoir que des juifs.
Cet homme dont le regard pour la deuxième fois de sa vie vient de franchir la devanture de verre de notre boutique familiale, cet homme, était parmi les militaires. Il semblait bien jeune et ne faisait pas partie de ceux qui hurlaient. Il regardait, vers le fond, vers la petite salle, vers moi. Il m’avait vu, il se demandait sans doute s’il devait me dire de sortir. Peut être avait-t-il naïvement et furtivement pensé pouvoir faire quelque chose pour mes parents ou peut être simplement, ne s’était-il pas posé de questions. Il était là, il devait le faire, on lui avait ordonné alors … Les commerçants furent alignés au milieu du passage, agenouillés, le chef des uniformes semblant passer en revue les papiers d’identité qu’ils avaient récoltés. C’était sûr, ils allaient s’apercevoir que mes parents étaient de bons berlinois et ils allaient revenir, vers moi, vers la petite salle du fond. Le chef des uniformes a désigné quelques têtes au hasard, apparemment, une sur deux. Ma mère n’était bizarrement pas à côté de mon père, le libraire s’était involontairement, sans doute, intercalé entre mes parents. Le jeune soldat a cessé de me regarder, il s’est avancé, a sorti son arme. Je me souviens surtout de l’écho, long, assourdissant puis le silence, plus une parole, plus de bruits de pas, l’orage, même, semblait s’être tu. Le libraire est ensuite venu me chercher, il pleurait.
Trente ans plus tard, il n’est plus là et un marchand de chaussure a pris la place de sa librairie. S’il avait osé, je crois qu’il me l’aurait demandé. Mais il ne pouvait pas faire ça à un gosse de dix ans. Il n’en a pas eu besoin. L’idée a germé, seule, dans mon esprit, sans nécessité qu’on me la suggère. Le revolver est là, dans le tiroir du secrétaire de la petite salle du fond. Il n’attend que ce visiteur, ce jeune soldat sur lequel j’ai focalisé ma haine et ma douleur des années durant. A l’orphelinat de Zurich où le libraire m’avait emmené - sans trop de difficulté, d’ailleurs, lui-même n’étant pas juif non plus pouvait relativement facilement se déplacer dans le pays – j’avais ressenti le besoin de me raccrocher à quelque chose, un but, un avenir. Tandis que les autres enfants, tous juifs, espéraient naïvement, pour la plupart, revoir leurs parents à la fin de la guerre, je n’aspirais qu’à me venger de ce soldat qui avait osé me regarder, longuement, avant de décider du reste de ma vie. Je restais à l’orphelinat jusqu’en 1946, mes seize ans. Là-bas, le libraire m’avait présenté comme un enfant juif et il avait essayé de m’expliquer qu’en Suisse, à l’inverse, je devais être juif pour être protégé, pour être sûr de pouvoir rester. Je me souviens avoir pensé que les adultes étaient fous. Rapidement, je compris qu’effectivement, je n’avais aucun intérêt à me déclarer allemand et catholique. Les autres enfants m’auraient sans doute pris pour souffre-douleur, l’Allemand étant avant tout dans leur esprit le responsable de toutes ces horreurs. Et donc pendant six ans, je me fis passer pour juif. Par la suite, j’ai tenté de vivre seul, de me fabriquer une autonomie. Peu à peu, j’ai essayé de penser moins souvent à ma vengeance, d’autres soucis plus quotidiens s’imposant à moi. Mais régulièrement, cette obsession ressurgissait. Le temps essayait bien de tempérer ma rancœur, sûrement qu’il ne pouvait pas faire autrement, sûrement qu’il risquait sa vie à désobéir, sûrement et pourtant, je le haïssais toujours.
En rachetant la boutique, j’étais convaincu qu’il viendrait, nul besoin de le chercher, il viendrait. Aussi sûrement que l’on n’oublie pas le regard du bourreau de ses parents, on n’oublie pas non plus le dernier regard d’innocence que l’on va détruire. A moins d’être mort ou coincé à Berlin Est, il reviendrait. Alors, je laissais la devanture telle qu’elle était à l’époque. Bien sûr, les affaires n’étaient, du coup, pas florissantes et les autres commerçants m’enjoignaient à moderniser ma vitrine mais je voulais être sûr qu’il la reconnaisse le jour venu.
Et il l’avait reconnue, évidemment. Peut-être, naïvement, avait-il décidé de venir accompagné de son petit-fils, pour me dire que lui aussi était humain, pour me dire de ne pas faire la même erreur que lui, de ne pas tuer l’innocence, de ne pas ajouter au malheur. Je regarde ce gosse et je me demande s’il sait qui est son papi, s’il sait ce qu’il m’a fait. Sans doute pas mais de toute façon, quelle importance cela pourrait avoir à ses yeux. Il ne sait pas et je l’envie, j’envie ce regard clair et insouciant, je l’envie d’être entouré, j’envie son enfance. Alors, je les observe, le vieil homme ne me salue pas mais nos yeux se comprennent. Ce doit être ça le pardon, refermer un tiroir sur un revolver et tuer un souvenir plutôt qu’un homme.
Charles- Nombre de messages : 6288
Age : 49
Localisation : Hte Savoie - tophiv@hotmail.com
Date d'inscription : 13/12/2005
Re: PHOTO COMMUNE - Berlin
PS : merci Sahkti pour la relecture. J'ai corrigé les fautes et incorrections relevées. Pour le moment, peu de temps et d'envie pour étoffer le texte ... mais je garde précieusement les commentaires et pistes évoquées pour l'enrichir.
Charles- Nombre de messages : 6288
Age : 49
Localisation : Hte Savoie - tophiv@hotmail.com
Date d'inscription : 13/12/2005
Re: PHOTO COMMUNE - Berlin
Tuer un souvenir ... Y arrive-t-on vraiment ?
Très beau texte en tout cas.
Très beau texte en tout cas.
Lull- Nombre de messages : 9
Age : 38
Date d'inscription : 28/07/2008
Re: PHOTO COMMUNE - Berlin
Peut-être un peu brouillon parfois, mais le narrateur le justifie en disant :
Un phrase à revoir :
Un sujet qui n'en finit pas d'inspirer, et qui remue toujours autant. Je ne sais pas si tout est crédible concernant le rachat de la boutique par l'enfant devenu adulte, mais pourquoi pas ? j'ai envie d'y croire.Des souvenirs d’enfance me reviennent parfois, par bribes, désordonnés, sans chronologie ni contexte, vaporisés, dispersés.
Un phrase à revoir :
Ils parlaient fort comme s’ils voulaient s’assurer d’être entendus de tout le monde
Invité- Invité
Re: PHOTO COMMUNE - Berlin
Charles, acceptes-tu un conseil ? Ré écrit ce texte en supprimant répétitions et maladresses anodines. Tu tiens là un superbe sujet.
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Re: PHOTO COMMUNE - Berlin
Argh ! Courageux personnage qui accepte de pardonner quand on pense à " la vengeance est un plat qui se mange froid ". Sujet fort, s'il en est.
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 47
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: PHOTO COMMUNE - Berlin
Ayant pris du plaisir à lire ce texte avant postage, malgré ses maladresses, je le retrouve ici et le lis avec un autre regard, un certain recul. Cette histoire et ces personnages me plaisent, c'est certain. Toutefois, ce format ne permet sans doute pas de mettre tout cela en valeur. A revoir sur du plus long, avec une écriture toujours aussi fluide mais sans doute plus étoffée. A toi de voir pour plus tard :-)
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
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