Misère, oh misère
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grieg
Marc Galan
Krystelle
Yali
Thomek
9 participants
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Misère, oh misère
(C'est mon premier texte soyez indulgent)
Misère, oh misère
Quel misère, mais quel misère. Suer sang et eau pour construire quelque chose et un misérable, un infime petit moment pour le détruire. La misère se trouve plus facilement que n'importe quoi d'autre. Comme si le reste n'était que une illusion, une vaste blague. Misérable petite vermine, enfant de rien, assassin de bonheur. Miséricorde, Dieu pardonne moi et pardonne Toi. Ma misère, ma folie, ma souffrance. Plus d'argent au début du mois, misère. Loyer pas payé, misère. Retour à l'hôpital. Solitude, misère. Assassinat de mon amour, misère, misère, misère. Allez bruler dans les flammes de l'enfer! Foutre de Dieu et corne de brume, j'espère que dans ma folie latente les voix ne réapparaitront pas. Les océans ont été formé par les larmes qui ont coulé. Le sans à nourri la terre trop de fois et ça n'a engendré que plus de sang et plus de pleurs.
Penses-tu valoir, toi qui lis ça, toi qui écrit ça, plus que le malheureux ou la malheureuse devant toi. Misère de l'esprit, misère corporel, misère dans la vie, définition humaine. Ah merde, j'ai du verre pillé dans le coeur et de la cendre dans la bouche. Notre souffrance nous fait creuser des sillons à l'endroit où les larmes coulent.
Elle est partout, elle se cache, elle se tapie. Elle nous attend au tournant d'un rayon de supermarché, sous la douche, dans une banalité déconcertante, du Grand Lac des Esclaves à la mer d'Okhotsk. Elle se ballade dans les bras de Zéphyr, à cause d'elle on vol, on tue, on détruit, on viole et j'en passe. Vous l'avez reconnue, vous avez compris de qui je veut parler. De cette grande putain qui s'immisce dans la vie de tout le monde ou presque. Ah Dieu pourquoi ne sommes nous pas tous égaux dans ta création?
Prenons notre courage à deux mains au lieu de prendre nos jambes à nos cou et bouton la misère hors de chez nous. Acculons la dans une impasse et passons la à tabac.
Sauvez-vous, partez, mais surtout rester loin de moi.
Sarajevo dans ma tête, Tchernobyl dans mon corps, Pyongyang dans ma vie.
La misère des uns fait mieux supporter la misère des autres. Quand on croise quelqu'un de plus misérable que soit, on se bit que l'ont est quand même content de ce qu'on a. JE NE VEUT PAS ME CONTENTER DE CE QUE J'AI, JE NE VEUT PLUS, J'AI ÉTAIT SAGE ET JE VEUT DU BONHEUR.
Petit conseil pratique, faites attention, il y aura toujours un enculé derrière vous pour vous remettre le nez dans votre merde et appuyé sur votre tête avec ses chaussures. Alors le temps où vous êtes le nez en dehors, profitez en pour respirer car ça ne dure pas longtemps. Quand les autres disent ne pas vouloir vous faire de mal, je pense qu'une trépanation de l'antiquité égyptienne est moins douloureuse. Je ne sais pas comment ça se passe chez les autres, je parle de ce que je connais, mais dans ma famille, la vie, la misère, la mort et la folie sont loin de nous avoir épargné. Mais de toute façons, je croit que les gens aiment ça, sa permet de rendre les instants moins pire plus beau. Déjà qu'ils ne sont pas très nombreux. Pourquoi doit-on les payer rubis sur l'ongle? C'est trop cher, trop cher, trop cher, trop, trop, trop, trop, tout simplement trop. Quelque part je crois que l'ont l'aimé cette putain de misère, parce que l'on finit toujours par broyer les bonnes choses que l'on sert aux creux de nos bras.
Ah que je suis malheureux. Potence à la main, aiguille dans le corps, j'erre dans les couloirs blanc de l'antichambre de la mort, seul sans personne pour me prendre par la main et me guider vers de nouveaux horizons. Pourquoi dont-on sacrifier son rayon de soleil pour le bonheur des autres? Voilà ma misère à moi, qui va me conduire au plus bas de moi même, à ma folie. Tien, tien, vielle carne, ça faisait longtemps que tu n'avais pas pointé le bout de ton nez , patience, patience, bientôt tu reprendras possession de ma tête, on seras alors à nouveau ensemble, à nouveau unis. Oh misère pourvu que les voix ne reviennent pas.
Tomek.
Misère, oh misère
Quel misère, mais quel misère. Suer sang et eau pour construire quelque chose et un misérable, un infime petit moment pour le détruire. La misère se trouve plus facilement que n'importe quoi d'autre. Comme si le reste n'était que une illusion, une vaste blague. Misérable petite vermine, enfant de rien, assassin de bonheur. Miséricorde, Dieu pardonne moi et pardonne Toi. Ma misère, ma folie, ma souffrance. Plus d'argent au début du mois, misère. Loyer pas payé, misère. Retour à l'hôpital. Solitude, misère. Assassinat de mon amour, misère, misère, misère. Allez bruler dans les flammes de l'enfer! Foutre de Dieu et corne de brume, j'espère que dans ma folie latente les voix ne réapparaitront pas. Les océans ont été formé par les larmes qui ont coulé. Le sans à nourri la terre trop de fois et ça n'a engendré que plus de sang et plus de pleurs.
Penses-tu valoir, toi qui lis ça, toi qui écrit ça, plus que le malheureux ou la malheureuse devant toi. Misère de l'esprit, misère corporel, misère dans la vie, définition humaine. Ah merde, j'ai du verre pillé dans le coeur et de la cendre dans la bouche. Notre souffrance nous fait creuser des sillons à l'endroit où les larmes coulent.
Elle est partout, elle se cache, elle se tapie. Elle nous attend au tournant d'un rayon de supermarché, sous la douche, dans une banalité déconcertante, du Grand Lac des Esclaves à la mer d'Okhotsk. Elle se ballade dans les bras de Zéphyr, à cause d'elle on vol, on tue, on détruit, on viole et j'en passe. Vous l'avez reconnue, vous avez compris de qui je veut parler. De cette grande putain qui s'immisce dans la vie de tout le monde ou presque. Ah Dieu pourquoi ne sommes nous pas tous égaux dans ta création?
Prenons notre courage à deux mains au lieu de prendre nos jambes à nos cou et bouton la misère hors de chez nous. Acculons la dans une impasse et passons la à tabac.
Sauvez-vous, partez, mais surtout rester loin de moi.
Sarajevo dans ma tête, Tchernobyl dans mon corps, Pyongyang dans ma vie.
La misère des uns fait mieux supporter la misère des autres. Quand on croise quelqu'un de plus misérable que soit, on se bit que l'ont est quand même content de ce qu'on a. JE NE VEUT PAS ME CONTENTER DE CE QUE J'AI, JE NE VEUT PLUS, J'AI ÉTAIT SAGE ET JE VEUT DU BONHEUR.
Petit conseil pratique, faites attention, il y aura toujours un enculé derrière vous pour vous remettre le nez dans votre merde et appuyé sur votre tête avec ses chaussures. Alors le temps où vous êtes le nez en dehors, profitez en pour respirer car ça ne dure pas longtemps. Quand les autres disent ne pas vouloir vous faire de mal, je pense qu'une trépanation de l'antiquité égyptienne est moins douloureuse. Je ne sais pas comment ça se passe chez les autres, je parle de ce que je connais, mais dans ma famille, la vie, la misère, la mort et la folie sont loin de nous avoir épargné. Mais de toute façons, je croit que les gens aiment ça, sa permet de rendre les instants moins pire plus beau. Déjà qu'ils ne sont pas très nombreux. Pourquoi doit-on les payer rubis sur l'ongle? C'est trop cher, trop cher, trop cher, trop, trop, trop, trop, tout simplement trop. Quelque part je crois que l'ont l'aimé cette putain de misère, parce que l'on finit toujours par broyer les bonnes choses que l'on sert aux creux de nos bras.
Ah que je suis malheureux. Potence à la main, aiguille dans le corps, j'erre dans les couloirs blanc de l'antichambre de la mort, seul sans personne pour me prendre par la main et me guider vers de nouveaux horizons. Pourquoi dont-on sacrifier son rayon de soleil pour le bonheur des autres? Voilà ma misère à moi, qui va me conduire au plus bas de moi même, à ma folie. Tien, tien, vielle carne, ça faisait longtemps que tu n'avais pas pointé le bout de ton nez , patience, patience, bientôt tu reprendras possession de ma tête, on seras alors à nouveau ensemble, à nouveau unis. Oh misère pourvu que les voix ne reviennent pas.
Tomek.
Thomek- Nombre de messages : 4
Age : 39
Date d'inscription : 20/10/2008
Re: Misère, oh misère
J'aime assez l'intensité de votre texte, malgré le sujet quand même pas mal rebattu... Néanmoins j'ai eu un peu de mal à arriver au bout, d'une part parce que j'ai eu l'impression d'avoir déjà lu de nombreuses fois ce genre de lamentations (mais avec une force intérieure qui ici, pour moi, soutient l'ensemble), d'autre part à cause des fautes de langue parfois assez énormes.
Bienvenue sur Vos Ecrits, à vous relire bientôt j'espère !
Bienvenue sur Vos Ecrits, à vous relire bientôt j'espère !
Invité- Invité
Re: Misère, oh misère
Difficile de lire ça comme un texte, c'est plutôt genre journal intime. Ça ne s'encapsule dans rien : pas de trame, pas de mise en situation donc pas de mise en perspective qui ferait un peu participer le lecteur, l'aiderait à ne pas se sentir extérieur, l'aiderait à être autre que simple observateur.
Yali- Nombre de messages : 8624
Age : 60
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Misère, oh misère
Le côté litanie tantôt cucul, tantôt vulgaire, du texte ne me convainc pas. On oscille toujours entre le cliché, le trivial et le pathos. A aucun moment je n'ai été surprise dans ce texte et j'ai trop souvent buté sur les fautes d'orthographe.
Je sais, question indulgence, mon commentaire n'est pas top ! Je suis désolée Thomek, mais je ne donne qu'un avis, le mien et même en y mettant les formes, je ne peux pas m'inventer une nouvelle opinion !
Je sais, question indulgence, mon commentaire n'est pas top ! Je suis désolée Thomek, mais je ne donne qu'un avis, le mien et même en y mettant les formes, je ne peux pas m'inventer une nouvelle opinion !
Re: Misère, oh misère
Sarajevo dans ma tête, Tchernobyl dans mon corps, Pyongyang dans ma vie.
Jolie formule !
Sinon, c'est vrai que la grammaire et toi ne font pas bon ménage. Mais il y a dans ton texte une vraie force et un vécu.
Un théoricien politique américain a dit : Rendez les gens jaloux non des riches et des puissants, mais de leurs égaux, ou même de leurs inférieurs, en mettant en avant un avantage qu'ils n'ont pas. Je fréquente beaucoup de forums littéraires. Je remarque qu'on n'y critique pas les "abonnés à la télé et aux suppléments littéraires", mais les auteurs qui essaient de s'en sortir et de se faire connaître sans un réseau puissant autour d'eux.
En tout cas, tu as raison de te battre. Et tu exprimes avec force cette volonté.
Jolie formule !
Sinon, c'est vrai que la grammaire et toi ne font pas bon ménage. Mais il y a dans ton texte une vraie force et un vécu.
Un théoricien politique américain a dit : Rendez les gens jaloux non des riches et des puissants, mais de leurs égaux, ou même de leurs inférieurs, en mettant en avant un avantage qu'ils n'ont pas. Je fréquente beaucoup de forums littéraires. Je remarque qu'on n'y critique pas les "abonnés à la télé et aux suppléments littéraires", mais les auteurs qui essaient de s'en sortir et de se faire connaître sans un réseau puissant autour d'eux.
En tout cas, tu as raison de te battre. Et tu exprimes avec force cette volonté.
Marc Galan- Nombre de messages : 63
Age : 64
Date d'inscription : 19/10/2008
Re: Misère, oh misère
quel con !Marc Galan a écrit:Sarajevo dans ma tête, Tchernobyl dans mon corps, Pyongyang dans ma vie.
Jolie formule !
Sinon, c'est vrai que la grammaire et toi ne font pas bon ménage. Mais il y a dans ton texte une vraie force et un vécu.
Un théoricien politique américain a dit : Rendez les gens jaloux non des riches et des puissants, mais de leurs égaux, ou même de leurs inférieurs, en mettant en avant un avantage qu'ils n'ont pas. Je fréquente beaucoup de forums littéraires. Je remarque qu'on n'y critique pas les "abonnés à la télé et aux suppléments littéraires", mais les auteurs qui essaient de s'en sortir et de se faire connaître sans un réseau puissant autour d'eux.
En tout cas, tu as raison de te battre. Et tu exprimes avec force cette volonté.
(pardon, véliens, j'avais dit que je que je la fermerais, mais bon...)
même quand tu critiques les autres tu ne parles que de toi
grieg- Nombre de messages : 6156
Localisation : plus très loin
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Misère, oh misère
grieg a écrit:quel con !Marc Galan a écrit:Sarajevo dans ma tête, Tchernobyl dans mon corps, Pyongyang dans ma vie.
Jolie formule !
Sinon, c'est vrai que la grammaire et toi ne font pas bon ménage. Mais il y a dans ton texte une vraie force et un vécu.
Un théoricien politique américain a dit : Rendez les gens jaloux non des riches et des puissants, mais de leurs égaux, ou même de leurs inférieurs, en mettant en avant un avantage qu'ils n'ont pas. Je fréquente beaucoup de forums littéraires. Je remarque qu'on n'y critique pas les "abonnés à la télé et aux suppléments littéraires", mais les auteurs qui essaient de s'en sortir et de se faire connaître sans un réseau puissant autour d'eux.
En tout cas, tu as raison de te battre. Et tu exprimes avec force cette volonté.
(pardon, véliens, j'avais dit que je que je la fermerais, mais bon...)
même quand tu critiques les autres tu ne parles que de toi
Pas mieux.
Sinon pour ce qui est du texte, je le trouve sympa mais manquant un peu d'innovation pour un texte qui à mon sens privilégie le fond sur la forme.
ekue- Nombre de messages : 51
Age : 38
Date d'inscription : 16/10/2008
Re: Misère, oh misère
Votre réponse prouve simplement que j'avais raison. Désolé, les p'tits n'enfants.
Marc Galan- Nombre de messages : 63
Age : 64
Date d'inscription : 19/10/2008
Re: Misère, oh misère
On se demande quand même ce qui ne prouverait pas que vous avez raison ...
Invité- Invité
Re: Misère, oh misère
Sinon, j'aurais assez envie d'être indulgente, pour un premier texte et pour quelqu'un qui le demande, mais autant de lamentations et de fautes d'orthographe, ça m'use l'indulgence ! Vite, un deuxième, que je puisse revoir ma première impression !
Invité- Invité
Re: Misère, oh misère
coline Dé a écrit:On se demande quand même ce qui ne prouverait pas que vous avez raison ...
"PROUVER que j'ai raison serait accorder que je puisse avoir tort"..
pierre-henri- Nombre de messages : 699
Age : 66
Localisation : Raiatea
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: Misère, oh misère
faitesMarc Galan a écrit:
Sinon, c'est vrai que la grammaire et toi ne font pas bon ménage.
En effet.
Invité- Invité
Re: Misère, oh misère
Merci de cette remarque.
Marc Galan- Nombre de messages : 63
Age : 64
Date d'inscription : 19/10/2008
Re: Misère, oh misère
Beaucoup de fautes d'ortho et de grammaire Thomek, des tournures maladroites et un rythme pas mal déséquilibré.
Ces lamentations ont fini par m'ennuyer au plus haut point, non seulement pour le nombrilisme qu'elles mettent en avant (celui du narrateur, on est d'accord) mais aussi parce que j'ai l'impression que ça ne mène nulle part.
Se plaindre est toujours plus facile que construire, critiquer les autres toujours plus aisé que se regarder en face et constater.
Vérités établies et connues donc, tu n'arrives pas à dépasser cela, dommage.
De plus, l'alternance entre passages plus triviaux et longues mélopées sur le sens de la vie me paraît assez raté.
A alléger sans doute et à mener dans une autre direction, qui sait !
Ces lamentations ont fini par m'ennuyer au plus haut point, non seulement pour le nombrilisme qu'elles mettent en avant (celui du narrateur, on est d'accord) mais aussi parce que j'ai l'impression que ça ne mène nulle part.
Se plaindre est toujours plus facile que construire, critiquer les autres toujours plus aisé que se regarder en face et constater.
Vérités établies et connues donc, tu n'arrives pas à dépasser cela, dommage.
De plus, l'alternance entre passages plus triviaux et longues mélopées sur le sens de la vie me paraît assez raté.
A alléger sans doute et à mener dans une autre direction, qui sait !
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Misère, oh misère
... Le sans à nourri la terre trop de fois et ça n'a engendré... supprime ça.
... bouton la misère... non
... Petit conseil pratique, faites attention, il y aura toujours un enculé derrière vous pour vous remettre le nez dans votre merde... Joli conseil.
Un effort de lecture de notre part en mériterait un de la tienne pour une sévère correction.
... bouton la misère... non
... Petit conseil pratique, faites attention, il y aura toujours un enculé derrière vous pour vous remettre le nez dans votre merde... Joli conseil.
Un effort de lecture de notre part en mériterait un de la tienne pour une sévère correction.
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
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