Ainsi la Vie
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Ainsi la Vie
Ainsi la Vie, juste la Vie dans notre coeur et nos esprits,
Ce sentiment inclassable qui, suivant son triste chemin
Jour après matin et soir en déclin se promène sur nos terrains,
Oui, la Vie n'est qu'une compagne de nos existences limpides ;
La Vie se promène dans les forêts boisées, au bord des lacs fleuris,
Près des sentiers gazonnées, sur ces routes goudronnées, dans cette imposante
Cité de pierre et de fer forgé. La Vie accroché à nos bras, dans mille lieux à la fois
Nous balade fermement comme une mère protégeant tendrement son enfant.
Puis vient ce jour où la dispute éclate, les grands éclats de rage de notre Mère Vie
Frappe nos petits visages d'homme de frayeur et d'horreur;
Atrophier par le terrible courroux de Mère, nous prions la Terre,
Notre Père de nous gracier à jamais, de brandir le glaive face à cette odieuse génitrice,
Saleté de Vie maternelle ! Mais bien fatiguer de ses enfants, Père Terre, lâche et insouciant
S'endort tranquillement la tête posée sur le noyau ardent.
Et la Mère Vie, infâme sorcière, vil traitresse ce réjouit de nous voir seul, abandonnés
Au néant, près à nous recouvrir d'un blanc linceul.
Elle s'approche de nous, tranquillement et d'une main noueuse et puissante
S'empare de notre fin corps pour commencer à le cerner de ces longues griffes tranchantes tel la lame longuement affûtée;
Puis d'un accès soudain de rage folle, mettant fin à ce jeu sournois,
Serre d'une vive puissance notre corps qui meurt en l'instant d'un souffle roque. Ainsi va la Vie.
Ce sentiment inclassable qui, suivant son triste chemin
Jour après matin et soir en déclin se promène sur nos terrains,
Oui, la Vie n'est qu'une compagne de nos existences limpides ;
La Vie se promène dans les forêts boisées, au bord des lacs fleuris,
Près des sentiers gazonnées, sur ces routes goudronnées, dans cette imposante
Cité de pierre et de fer forgé. La Vie accroché à nos bras, dans mille lieux à la fois
Nous balade fermement comme une mère protégeant tendrement son enfant.
Puis vient ce jour où la dispute éclate, les grands éclats de rage de notre Mère Vie
Frappe nos petits visages d'homme de frayeur et d'horreur;
Atrophier par le terrible courroux de Mère, nous prions la Terre,
Notre Père de nous gracier à jamais, de brandir le glaive face à cette odieuse génitrice,
Saleté de Vie maternelle ! Mais bien fatiguer de ses enfants, Père Terre, lâche et insouciant
S'endort tranquillement la tête posée sur le noyau ardent.
Et la Mère Vie, infâme sorcière, vil traitresse ce réjouit de nous voir seul, abandonnés
Au néant, près à nous recouvrir d'un blanc linceul.
Elle s'approche de nous, tranquillement et d'une main noueuse et puissante
S'empare de notre fin corps pour commencer à le cerner de ces longues griffes tranchantes tel la lame longuement affûtée;
Puis d'un accès soudain de rage folle, mettant fin à ce jeu sournois,
Serre d'une vive puissance notre corps qui meurt en l'instant d'un souffle roque. Ainsi va la Vie.
ArthurF- Nombre de messages : 6
Age : 35
Date d'inscription : 12/06/2009
Re: Ainsi la Vie
Beaucoup de fautes, notamment sur les terminaisons verbales.
Et puis dans la multitude, ces deux-là qui passent plus mal que le reste :
vil traitresse : vile traîtresse
roque : rauque
Et puis dans la multitude, ces deux-là qui passent plus mal que le reste :
vil traitresse : vile traîtresse
roque : rauque
Invité- Invité
Re: Ainsi la Vie
Commençons par l’ortho…vu que mon word n’a détecté aucune faute dans votre poème, je vais essayer de vous aider à en trouver quelques unes…
« Ainsi la Vie, juste la Vie dans notre cœur et nos esprits,
Ce sentiment inclassable qui, suivant son triste chemin
Jour après matin et soir en déclin se promène sur nos terrains,
Oui, la Vie n'est qu'une compagne de nos existences limpides ;
La Vie se promène dans les forêts boisées, au bord des lacs fleuris,
Près des sentiers gazonnées, sur ces routes goudronnées, dans cette imposante
Cité de pierre et de fer forgé. La Vie accrochée à nos bras, dans mille lieux à la fois
Nous balade fermement comme une mère protégeant tendrement son enfant.
Puis vient ce jour où la dispute éclate, les grands éclats de rage de notre Mère Vie
Frappe nos petits visages d'hommes de frayeur et d'horreur;
Atrophiés par le terrible courroux de Mère, nous prions la Terre,
Notre Père de nous gracier à jamais, de brandir le glaive face à cette odieuse génitrice,
Saleté de Vie maternelle ! Mais bien fatigué de ses enfants, Père Terre, lâche et insouciant
S'endort tranquillement la tête posée sur le noyau ardent.
Et la Mère Vie, infâme sorcière, vile traitresse, se réjouit de nous voir seuls, abandonnés
Au néant, prêts à nous recouvrir d'un blanc linceul.
Elle s'approche de nous, tranquillement et d'une main noueuse et puissante
S'empare de notre fin corps pour commencer à le cerner de ses longues griffes tranchantes telle la lame longuement affûtée;
Puis d'un accès soudain de rage folle, mettant fin à ce jeu sournois,
Serre d'une vive puissance notre corps qui meurt en l'instant d'un souffle rauque. Ainsi va la Vie. »
Voila, il doit y en avoir quelques unes en moins…
Quand au poème :
Un texte en deux partie où d’un seul coup tout bascule...
La première partie est agréable,
La transition trop brutale,
Et la deuxième partie…je ne l’ai pas trop aimée…
Bon l’ennui c’est que la poésie ce n’est pas trop mon domaine…
J’ai toutefois la sensation de découvrir un bon poème qui a besoin d’être revu, relu, perfectionné…
La première chose à faire est de le Poster sur un site où des spécialistes vont vous aider à…
Ah tiens…vous l’avez déjà fait…
Il est bien parti ce poème !
« Ainsi la Vie, juste la Vie dans notre cœur et nos esprits,
Ce sentiment inclassable qui, suivant son triste chemin
Jour après matin et soir en déclin se promène sur nos terrains,
Oui, la Vie n'est qu'une compagne de nos existences limpides ;
La Vie se promène dans les forêts boisées, au bord des lacs fleuris,
Près des sentiers gazonnées, sur ces routes goudronnées, dans cette imposante
Cité de pierre et de fer forgé. La Vie accrochée à nos bras, dans mille lieux à la fois
Nous balade fermement comme une mère protégeant tendrement son enfant.
Puis vient ce jour où la dispute éclate, les grands éclats de rage de notre Mère Vie
Frappe nos petits visages d'hommes de frayeur et d'horreur;
Atrophiés par le terrible courroux de Mère, nous prions la Terre,
Notre Père de nous gracier à jamais, de brandir le glaive face à cette odieuse génitrice,
Saleté de Vie maternelle ! Mais bien fatigué de ses enfants, Père Terre, lâche et insouciant
S'endort tranquillement la tête posée sur le noyau ardent.
Et la Mère Vie, infâme sorcière, vile traitresse, se réjouit de nous voir seuls, abandonnés
Au néant, prêts à nous recouvrir d'un blanc linceul.
Elle s'approche de nous, tranquillement et d'une main noueuse et puissante
S'empare de notre fin corps pour commencer à le cerner de ses longues griffes tranchantes telle la lame longuement affûtée;
Puis d'un accès soudain de rage folle, mettant fin à ce jeu sournois,
Serre d'une vive puissance notre corps qui meurt en l'instant d'un souffle rauque. Ainsi va la Vie. »
Voila, il doit y en avoir quelques unes en moins…
Quand au poème :
Un texte en deux partie où d’un seul coup tout bascule...
La première partie est agréable,
La transition trop brutale,
Et la deuxième partie…je ne l’ai pas trop aimée…
Bon l’ennui c’est que la poésie ce n’est pas trop mon domaine…
J’ai toutefois la sensation de découvrir un bon poème qui a besoin d’être revu, relu, perfectionné…
La première chose à faire est de le Poster sur un site où des spécialistes vont vous aider à…
Ah tiens…vous l’avez déjà fait…
Il est bien parti ce poème !
boc21fr- Nombre de messages : 4770
Age : 54
Localisation : Grugeons, ville de culture...de vin rouge et de moutarde
Date d'inscription : 03/01/2008
Re: Ainsi la Vie
Pardonné moi pour ces fautes, je n'aurais pas dû me précipiter pour le publier sans le relire.
Objectif: aucune faute au prochain post...
Et merci pour les corrections.
Objectif: aucune faute au prochain post...
Et merci pour les corrections.
ArthurF- Nombre de messages : 6
Age : 35
Date d'inscription : 12/06/2009
Re: Ainsi la Vie
Pardonnez-moi (raaa encore une)
ArthurF- Nombre de messages : 6
Age : 35
Date d'inscription : 12/06/2009
Ainsi la vie
boc21fr, j'en ai trouvé encore deux : "des sentiers gazonnés" et non gazonnées et puis "traîtresse", et non traitresse. Navrant que les gens ne sachent plus écrire correctement leur langue. La faute incombe aux divers changement de méthode d'instruction. Beau résultat. Vraiment dommage, ArthurF, ton texte tient la route, mais si tu savais comme ces fautes le font déprécier ! Pardonne mon grain de sel, mais j'ai eu plaisir à te lire malgré tout.
Invité- Invité
Re: Ainsi la Vie
embellie a écrit:Aïe : "divers changements". Tu vois, moi aussi je m'y mets. Mimétisme.
héhé...moi aussi je fais des fautes...assez souvent du reste...
Un jour, notre langue changera, c'est inévitable...
Il y a quelques siècles, "Le roi c'est moi" se prononçait :
Lé Rouéééééé, c'est mouééééééé... avec un accent de paysan d'il y a 100 ans...
Pour l'instant nous corrigeons, bientôt nous nous adapterons -J'exagère peut-être un peu là...-
boc21fr- Nombre de messages : 4770
Age : 54
Localisation : Grugeons, ville de culture...de vin rouge et de moutarde
Date d'inscription : 03/01/2008
Re: Ainsi la Vie
boc21fr a écrit:Un jour, notre langue changera, c'est inévitable...
Parce que vous ne trouvez pas qu'elle a déjà changé, à la multiplication des fautes grossières imprimées partout -à la vue des enfants!- aux profs de français incapables d'orthographier correctement, à la glorification universelle de la roupie de sansonnet slammée en place de la poésie vraie? Notre combat d'arrière-garde serait héroïque s'il n'était pathétique: notre langue est mourante, la francophonie se rétrécit comme peau de chagrin, le Liban ne compte plus que quelques vieillards égrotant qui lisent en français. Les peuples ont les gouvernements qu'ils méritent, et quand ils n'aiment plus assez leur langue, ils la perdent. Est-il normal que sur cet espace, ici même où tant de talents joutent, rivalisent, rayonnent, le lectorat soit de quelques centaines? Il devrait y avoir dans toutes les classes de français un atelier d'écriture, où les textes de chacun seraient confrontés à ce qu'ont tiré les maîtres des mêmes thèmes. Pour aimer la langue, il faut s'y colleter.
silene82- Nombre de messages : 3553
Age : 67
Localisation : par là
Date d'inscription : 30/05/2009
Re: Ainsi la Vie
D'autant plus que c'est clairement demandé dans la ligne éditoriale, sous peine de verrouillage ou de suppression de texte :-)ArthurF a écrit:Pardonné moi pour ces fautes, je n'aurais pas dû me précipiter pour le publier sans le relire.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Ainsi la Vie
Je suis passée à côté, désolée, et pas vraiment à cause des fautes, mais plutôt par cet excès de lyrisme autour d'idées préconçues si souvent vues. Une impression de rabâché, de tirer sur le fil pour faire dire à des mots ce qu'on n'arrive pas à leur extirper alors on a emballé pour faire joli mais une fois le papier cadeau déchiré, que reste-t-il? La faim, l'envie de savoir autre chose que ces fausses vérités sur la vie, l'envie de ressentir une émotion... bref, pas pour moi cette fois.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
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