Exercice en direct : mercredi 15 juillet à 21h

J'étais partie en conversation msnique et chattique... tout à la fois ! (ne rajoutez pas un "i" a chat... siouplé.):-)))
Besoin de me détendre un brin après cet exo qui fût une grande première pour moi.
Ça continue de poster... VE est inspiré par MC Chako Solar ! Que je remercie bien d'avoir proposé un tel remue-méninges. ;-)
Je lirais demain, il fera jour.

Pour l'heure, bonne nuit à tous.

arrivée un peu tard j'en conviens

si qq 'un peut me balancer une couleur, un objet et un animal ( c'est ça ? ) je pondrai peut-être un petit qqchose au réveil . Pour l'heure : DODO !
( pour les contraintes purement littéraires il faudrait que je vérifie le sens des mots dans le dico et ça ... ça va pas être facile ! )

bonne nuit à tous !

pasdepannick a écrit:arrivée un peu tard j'en conviens

si qq 'un peut me balancer une couleur, un objet et un animal ( c'est ça ? ) je pondrai peut-être un petit qqchose au réveil . Pour l'heure : DODO !
( pour les contraintes purement littéraires il faudrait que je vérifie le sens des mots dans le dico et ça ... ça va pas être facile ! )

bonne nuit à tous !

Je te propose Rouge et éventail
Pour le reste rapporte-toi aux contraintes de Chako qui se trouvent en page 3 de ce fil

Je souhaite une belle nuit à ceux qui sont encore ici, aux autres, c'est pas la peine, ils rêvent déjà.

Et un grand merci à MC Chako.

La vache j'en écris des tonnes....
Dans quoi je me suis embarqué moi...
des mots funambules forment les lignes déséspérées de paragraphes déséquilibrés; lesquels engendrent maladroitement d'improbables chapitres
jusqu'à une chutte qui ne vient roujours pas...

Rhaaaa je m'en sors pas...Et en plus je suis seul et sans la sollicitude de ceux qui noircissent ici d'ordinaire les pixels blancs et bêtes de leurs écrans bien calibrés...
snif snif...

boc: si ça peut te consoler, MC Chako est insomniaque.. ^^

Je lis les petits messages postés à gauche à droite, ça me fait vraiment plaisir, vraiment!

bertrand-môgendre a écrit:Après minuit, je passe, car j'ai trop envie de participer.

Si jamais tu passes.. tu choisis une couleur entre rouge, vert, bleu et noir, tu cases une télécommande quelque part dans le texte, et tu te reportes page 3.

Rappelle toi Jardiland

Jardiland : Un matin aux mains de rose mâtiné de mangue se lève sur le drame quotidien de lapins enfermés à quelques mètres de molosses affamés menaçant de les manger.
Un certain lapin périra ce matin, égorgé sous les coups de l’infortune, et non par les crocs canins.
Une âme en sera blessée, une autre s’y sera seulement assassinée : Un mystère, une énigme, un drame, une tragédie.
Le rideau diaphane de la scène s’est inutilement levé pour dévoiler une froide et implacable mécanique. Un ange, pourtant, et non un Dieu, en sortira.
Et se fera loup.




Des milliards d’années durant, sa pensée et son être vivaient à l’unisson au cœur de l’esprit divin. La création entière n’était que la manifestation matérielle de Ses moins subtiles pensées.
Il les voyait tous, entendait leurs joies ou leurs désillusions, vivait leurs regrets et s’attristait souvent des heurts et des souffrances imposées aux êtres prisonniers de la réalité matérielle.
Car le plus grand péril qui soit pour un ange auquel il est donné de connaître l’ordonnancement du monde n’est pas de se rire de la vanité de ceux qui y vivent une gloire éphémère, mais plutôt de trop compatir aux avanies de ceux dont le cœur pur, doux et sensible, est incessamment déchiré par la cruauté des hommes.
Depuis plusieurs mois déjà, son cœur ne bâtait plus à l’unisson de l’amour divin mais s’attachait aux intenses émotions qui bouleversaient l’âme d’un de ces êtres d’exception :
l’ange s’émouvait devant une nature douce et serviable, poussée à la générosité et à l’oubli de soi d’une manière instinctive.
Sa vie était pourtant une maîtresse tyrannique : Elle lui apportait certes sa ration quotidienne de douceur, mais avec une parcimonie calculatrice qui lui arrachait souvent quelques gémissements.
Pour la première fois, son être immatériel sembla porté par une brise invisible, vive de vie et de volonté : il vit.
Un lieu nommé Jardiland, un lapin égorgé, une accusation injuste, des coups, une violence d’intolérable cruauté…
Alors lorsque l’ange, du haut de son omniscience, vit venir l’instant déchirant où cette belle âme sombrerait dans la nuit sous les coups d’une inflexible fortune et il commit la plus terrible des fautes :
Il négligea l’amour des hommes et n’aima plus que cet être épuisé par un monde dont la lourdeur liait chaque acte de bonté à une fatigue infinie.
Dieu, dans son infinie mansuétude, ne pouvait rien pour cet ange dont tout l’être avait désiré vivre auprès de cet unique objet de son affection.
Il y eut d’abord un vertige : une pensée qui cesse d’être, un oubli au sein de l’omniscience. Une musique qui se perd, se cherche autour d’elle-même et ne se trouve nulle part.
Le vertige devint étourdissement, l’étourdissement collapsus, et l’ange lentement s’effaça de la lueur divine.
La brise devint souffle, résidu d’un murmure porté par le vent du désir d’un seul. Le souffle se vit vent, bourrasques de colères et d’indignations, tempêtes à l’approche d’un monde hideux, ouragan de mots et de pensées abjectes, maelström de folies individuelles…Chaos.
La chute.


Le lac kir était une célèbre et artificielle étendue d’eau située non loin d’une usine de moutarde. Hommes réputés pour leur amour du goût, les dijonnais aimaient s’y exposer au regard des oies sauvages et à la vue des voyageurs de la France entière.
Peu de gens savaient que la route nationale et la ligne des TGV desservant la liaison Paris-Lyon-Marseille offraient ainsi une escale à la plage en plein cœur de la bourgogne.
Le vénérable chanoine kir avait voulu offrir un lieu de détente et de repos à ses administrés, mais il n’avait probablement pas prévu que ses successeurs suivraient l’esprit qui avait prévalu à sa conception sans le faire jusqu’à la lettre : sous l’impulsion du nouveau maire, le lac était devenu une station balnéaire où la graisse de ses administrés se mêlaient aux eaux usées de l’usine de moutarde qui avait financé son élection.
Il avait pourtant demandé un audit auprès des représentants de sa commune pour s’informer des désirs de la populace, qu’elle soit populaire ou bourgeoise.
L’électorat populaire de la fontaine d’ouche rêvait de prendre le train ou la voiture pour se rendre à la plage, et le maire avait répondu à leur désir.
En ce qui concernait les desideratas des moins démunis, toutefois, les hommes chargés de l’audit éprouvèrent les pires difficultés : comment offrir quelque chose à quelqu’un qui a déjà tout ou peut tout obtenir ?
Comment justifier l’argent qui leur serait prélevé chaque année en impôts locaux ?
Les avis divergèrent tant et si bien parmi les membres de l’audit qu’il fut convenu de créer un auditorium où chacun pourrait enfin s’entendre auditer dans les meilleures conditions possibles.
Si l’on exceptait les quelques musiciens, danseurs et autres concertistes qui encombraient parfois de leur présence ces lieux dédiés au confort des auditeurs, tout se passa pour le mieux.

Lorsque Irénée de Grezner se faisait promener par son chien le long du canal de l’ouche en ce soir d’automne, le froid était moins piquant que le brouillard (ce dernier émanait de l’usine de moutarde et n’était pas bio).
Elle se rendait précisément au lac Kir lorsqu’un éléphant lui sembla tomber du ciel, vidant l’ouche d’une portion non négligeable de son débit. La dite portion atterrit en partie sur ses frêles épaules.

« Je n’ai vraiment pas de chance » s’auto apitoya la jeune femme, « ce n’est pas tous les jours qu’un pachyderme tombe du ciel, et il fallait que cela soit sur… »

-Eh bien quand on me parlait de chute…je croyais qu’il s’agissait d’une métaphore fit un magnifique Apollon en sortant des eaux.

L’homme était d’une taille gigantesque et parfaitement proportionné jusque dans les moindres recoins de son anatomie…Il affichait une expression de douceur infinie en dépit de la mésaventure qui venait de le frapper.

Irénée avait du mal à détacher ses yeux d’un des moindres recoins de son anatomie en question…

-Vous…vous êtes un cascadeur ? bégaya la jeune femme frigorifiée. Vous…vous avez tenté d’établir un record de chute Libre ?

Le choc de sa mésaventure, la beauté nue de l’Apollon de la promenade de l’ouche et le froid ambiant avaient ôté tout esprit critique à Irénée : Le niveau de l’Ouche était si bas que les hérons cendrés se cognaient systématiquement le bec en essayent d’y attraper des poissons. Alors une chute libre dans ce mince filet de graisse et de moutarde…l’homme aurait du se transmuer en omette en touchant le lit de cailloux.

-C’est un peu ça admit le bel étranger en éclatant d’un rire joyeux qui inquiéta Irénée. Mais l’eau a un drôle de goût…je n’arrive pas à le définir…

L’inconnu s’avança rapidement vers la jeune femme qui recula d’autant. Son animal, un épagneul breton, sauta littéralement sur lui…afin de jouer.
Irénée se blotti contre un arbre. Un regard mauvais à l’attention de son chien défigura un bref instant son visage.

-Je…je vous en prie…vous êtes nu bredouilla la jeune femme passablement inquiète.
Voyiez-vous vraiment votre viril et valeureux vit pensa-telle. Ah voui…vous le voyez.
Ah comme je sens mon sein saillir sous mon sweet…comme tu me taquines toi par taille de ta…

-Mes vêtements arrivent bientôt certifia le beau géant, arrachant Irénée à ses pensées en avisant l’objet de son désir : trois jeunes gens vont bientôt tenter de vous voler les quelques euros que vous avez en poche. Bien entendu, vous refuserez.
Et en essayant de vous défendre, vous tomberez et vous fracasserez le crâne…

-Ca…ça…ce n’est pas ma chienne qui irait me déf…défendre bafouilla-elle, confuse

-Vous avez tort : tout le monde vous aime Irénée, même et surtout votre chienne qui vous suivra dans la mort au bout de longues semaines de carême volontaire. Un vif sentiment de culpabilité rouvrira le tombeau d’une douleur sans nom, enfoui sous l’hypocrisie et le parjure : Rappelle-toi Jardiland.

-Qu…qu…quoi ? Bredouilla la jeune femme.

Trois jeunes gens venaient effectivement dans leur direction en empruntant le chemin qui menait du lac jusqu’à la ville.

-Et cela, je ne peux le permettre…continua le géant

L’un des trois jeunes portait un couteau, mais il le rangea immédiatement en apercevant le géant dénudé.
Intimidés par sa musculature, ils frôlèrent le grillage du camping sur leur gauche et se préparaient à rire de l’événement…une fois trente mètres plus loin.
Mais le bel Apollon s’interposa.
Les trois jeunes gens étaient terrifiés.

-Je veux tes vêtements, tes bottes et ta trottinette ordonna l’ange déchu en essayant de se retenir de rire.

Il y a longtemps que j’attendais de la placer celle là

Les trois jeunes gens tournèrent lentement les talons : la marche se fit sautillante d’abord, petites foulées vite allongées en une course inquiète avant la ruée éperdue pour fuir une terreur sans nom.
Car le plus grand d’entre eux, malheureux possesseur de la trottinette hurlait.
Il avait senti une main se refermer sur son blouson en cuir avant de se retrouver soulevé du sol. Il y avait bien quinze ans que cela ne lui était pas arrivé.

-Tes vêtements…susurra l’ange déchu en laissant sourdre de subtiles et insidieuses menaces.

Le jeune homme ôta son pantalon avec frénésie. Le fait de se trouver à un mètre au dessus du sol lui simplifia les choses.
Une fois en slip, il fut reposé puis délesté de son blouson de cuir avant que l’inconnu ne le laisse s’enfuir.

-N’oublie pas que tes amis n’ont même pas essayé de te défendre ! Lança l’ange déchu par réflexe : ce simple constat aiderait le jeune homme à comprendre bien des choses.

Irénée vivait un véritable tourment intérieur en réalisant que le bel inconnu était en train de s’habiller : Cette scène où il avait fait jouer ses muscles en soulevant un jeune homme l’avait terriblement excitée…elle en appela derechef la police tandis que sa chienne aboyait gaiement autour d’elle.

Le pantalon de cuir mettait en valeur un des recoins de son anatomie qui n’avait décidément rien de moindre.
Etre possédée à l’abri d’un rocher par un Apollon de ce calibre était son fantasme récurrent.

-J’ai…j’ai…j’ai froid se plaignit la jeune femme en s’approchant de l’éphèbe tout en minaudant…
-Vous êtes vraiment irrésistible avoua l’ange gardien…je comprends mes frères déchus maintenant.
-Irénée se jeta lascivement contre l’irrésistible inconnu…

En dépit de ses affirmations, elle senti que l’impressionnant recoin de l’anatomie Apollinienne n’en restait pas moins un simple recoin.

-J’ai envie de vous…de votre chaleur…de votre corps…je vous veux près de moi…en moi susurra la tentatrice en remuant contre le corps de son futur partenaire…
-Vous étiez plus désirable quand vous aviez simplement froid releva-t-il sur un ton plus glacé encore que le brouillard aromatisé.

Aucun mâle ne lui avait jamais résisté… le feu qui irradiait dans son corps devint une brûlure qui dévasta à la fois son cœur et son amour propre. La haine grandit subitement en elle comme un brasier ardent.
Elle se mordit les lèvres jusqu’au sang en fixant son regard sur les yeux de son partenaire. Elle sentait confusément que cet être incarnait tout ce qu’elle haïssait.

-Nous avons tout le temps du monde...commença l’inconnu. La police ne vous a pas cru quand vous lui avez affirmé qu’un homme nu se préparait à vous violer...

La femme se détacha du corps du géant et recula de deux pas.

-Rares sont les femmes qui ont à la fois la présence d’esprit et le temps de téléphoner dans de telles situations.

La peur naquit dans l’âme d’Irénée et y affronta sa haine.

-Mais si il n’y avait que cela...ils seraient venus quand même affirma le géant en caressant la tête de l’épagneul breton.

L’apprentie succube tremblait sans savoir si le froid, la peur ou la haine avait eu raison du contrôle qu’elle exerçait habituellement sur son frêle petit corps.

-Mais l’officier au standard était un ami de l’inspectrice qui s’est suicidée à cause de cet écrivain que vous avez piégé il y a deux ans :
Vous aviez appelé la police avant de le pousser, lui prude, à prendre le parti de pandémos la putain, puis copuler avec vous. Il y a cinq minutes, en affirmant tout bas au téléphone que l’on tentait de vous violer, vous recommencez.
la jeune inspectrice vous a cru...
Mais lorsque le jeune écrivain s’est tué dans sa cellule après avoir clamé son innocence une dernière fois, elle a compris bien trop tard qu’elle avait été manipulée.
Vous aviez été rassurée n’est-ce pas qu’elle n’ait laissé aucun mot pour expliquer son geste ?
Elle n’avait aucune famille hormis la police, et elle avait honte devant ses collègues et amis.
Vous saviez qu’elle serait devenue la femme de votre malheureuse victime sans votre intervention ? Les âmes sentent assurément cela...C’est terrible...ce sentiment confus que quelque chose d’essentiel est irrémédiablement perdu...

-Mais mais...que dites-vous ?

-Il aurait du se rendre au commissariat un mois plus tard pour s’imprégner du climat et des méthodes de la police...afin de le restituer dans son roman.
Ils se seraient aimés sans cette sale, stupide, sournoise et insidieuse invention suscitée par votre âme malade. Mais le pire de tout, l’origine de tout : rappelle toi Jardiland…

-Je ne parlais pas de cela ! rectifia Irénée

Un coup monté...tout ceci ne peut-être qu’un prodigieux et terrible coup monté pour me faire avouer...pensa à tort la frêle jeune femme.
La haine avait triomphé de la peur, mais elle n’avait pas eu raison du froid qui avait envahi le cœur d’Irénée depuis longtemps.
Elle s’avança vers l’ange déchu comme la promesse d’une mort glacée, confiante en ses capacités de séduction jusqu’à la folie.
L’absence totale d’imagination de la jeune femme l’empêchait de percevoir l’énormité de la situation et l’absurdité de ses conclusions.

-Je suis un ange venu sauver une âme d’une vie abominable avoua l’inconnu tandis que la mante religieuse s’approchait de lui.

La chienne se colla aux jambes de sa maîtresse en gémissant.

-vous êtes plutôt un magnifique et jeune policier de choc qui ne sait rien de la vie que je peux lui offrir avança la tentatrice au pinacle de ses capacités de séduction
-Je...je possède un corps physique depuis peu de temps...je ne peux me contrôler...bredouilla le géant...ne faites pas...ne faites pas cela...Je vois…je sens…ce qui va se produire…ce que vous allez faire…ne me tentez pas !

Aucun recoin au monde n’aurait pu dissimuler le membre viril de l’ange.
L’animal gémit de plus belle..
Il s’interposa entre les deux êtres, essayant de sauver sa maîtresse d’un désastre.

-Je vous excite maintenant… minauda la succube en approchant sa main du recoin en question
-Ne...ne faites pas cela ! Prévint le bel Apollon...ne faites pas cela

La chienne tenta de bousculer sa maîtresse, laquelle lui expédia un coup de pieds d’une violence inouïe.
La pauvre créature, vaincue, alla se cacher derrière un arbre.
Maintenant, je suis toute à vous roucoula la jeune femme en se retournant vers son beau compagnon.
Mais les yeux de ce dernier irradiaient dorénavant d’un feu qui n’était pas une simple métaphore.
Irénée recula, terrifiée, tandis qu’une épée de feu apparu dans la main droite de l’ange déchu.

-vous...vous êtes venu sauver mon âme !? Tenta la jeune femme tandis que l’ange avançait vers elle.

-votre âme est aussi laide que l’argent pour lequel vous l’avez souillée tout en détruisant d’innombrables vies trancha l’ange vengeur. Je n’aurais pas sacrifié une seconde de mon éternité pour elle continua-t-il écœuré, en levant son épée. Vous n’imaginez pas le plaisir qui est le mien maintenant stupide petite idiote ! Des siècles durant, j’ai assisté, impuissant, au triomphe des monstres de ton espèce sur les êtres doux et innocents.

Alors que l’arme de l’ange allait s’abattre sur sa maîtresse, la chienne vint à ses cotés et aboya de désespoir.
L’ange retint son bras vengeur et souleva Irénée du sol :
-Ta perversité a failli souiller mon âme et te coûter la vie ! Heureusement que cette âme pure était là...
-qu...qu...
-Je suis venu sauver une des dernières âmes innocentes de ce monde de fous, et ce n’est certes pas la tienne.
Rappelle toi Jardiland…rappelle-toi : avant de te trouver à l’origine de la mort d’un homme innocent, tu as acquis cette âme pure de la même manière. Tu avais égorgé toi-même ton lapin domestique et l’avais glissé dans ton sac avant de te rendre au magasin....Tu as rendu cette chienne coupable d’un meurtre et elle a connu maintes souffrances avant que tu puisses l’acquérir gratuitement. La menace de poursuites a su terroriser le directeur…
Mais là, ici et maintenant, il est temps de payer !

Et l’ange déshabilla la jeune femme avant de la balancer dans l’ouche comme un fétu de paille.
Elle hurla, luttant en vain contre le courant qui la projetait contre les rocs.

-Ne t’inquiète pas répondit l’ange à un couinement inquiet de l’épagneul : un pêcheur la récupérera bientôt, inconscient de la nature funeste de sa pêche.

Faisant appel aux pouvoirs inhérents à ceux de son espèce, l’ange assuma l’apparence, la voix et l’odeur d’Irénée de Grezner.
La douce, innocente et fidèle chienne fut totalement abusée par les pouvoirs de l’ange, et reconnu sa maîtresse en dépit de la promesse de douceur qui irradiait de son regard et s’incarnait dans ses mains caressantes.

-Ta vraie maîtresse sortira défigurée de son passage dans l’ouche avoua l’ange métamorphosé. Lorsqu’elle affirmera à tous qu’elle y a été projetée par un ange désireux de sauver l’âme de son épagneul breton, on commencera à douter de son équilibre mental. Lorsqu’elle affirmera enfin être Irène Grezner et que l’on découvrira que la célèbre éditrice se trouve à son domicile, elle finira en Hôpital psychiatrique.

La chienne aboya, comme pour rappeler à sa maîtresse qu’elle ne comprenait rien au langage des hommes.

-Allez viens ! Nous allons tenter de réparer les dégâts occasionnés par ton ancienne maîtresse...tout du moins lorsque ce sera possible.
Après, pour toi, je serai bien plus qu’un homme :

Je serai ton Loup.

bon...c'est un peu du Werber...mais j'étais trop naze pour faire mieux...sorry...
maintenant je vais vraiment me faire plaisir et vous lire...

Ah zut plein de fautes de frappe...
omette = omelette of course...
Des articles oubliés...
pfffff

Easter: j’avais oublié: le retournement du « Sakawoulé » à la Modestine.. Dis-donc! ^^

Halicante: je crois qu’on est nombreux à avoir eu une inspiration commune pour le sujet bleu ^^ La correction du "Autant faire ce que peut" m'a fait sourire. Un texte très agréable, rien à redire.

Gév: très content de voir que quelqu’un a réussi à caser la loutre comme un réel protagoniste! Et j’aime beaucoup le délire progressif du père soixante-huitard qui, avec sa bite et son couteau, repart à la guerre comme à la guerre. Expérience rare et vivifiante, je veux bien le croire! Un beau premier exo. =)
Et ça, c’est une belle phrase:

Gév a écrit:oui, je suis tout prêt à inculquer à mon petit ange les bonnes valeurs complètement branque de la grande muette qui ferait bien de le rester au lieu de nous assourdir à grand coups de tsoin-tsoin et de mirage 2000 fendant l’air.

Pili: aaaah réductrice!! ^^ Néanmoins, au vu du résultat, je ne suis pas déçu des libertés que tu as prises. Toujours cette habileté à donner vie, certes éphémère, à des personnages attachants. Une grande histoire en peu de mots. Et cette chute, magnifique cette chute, pythonesque, vraiment, et c’est le plus beau compliment qu’on puisse faire à une chute, Niagara mis à part!

Gobu:

Gobu a écrit:moi je te case une allitération et une interjection antillaise dans une seule phrase ; ça s’appelle le métier

Non mais comment oses-tu? Et pis.. merde, encore un coup de maître! Tu oses! Ben je refuse de commenter, na! Ça t'apprendra à toujours faire dans la grande qualité - et je pèse mes mots! -
Hau! :0))

Boc et chako d'exo du petit matin !
Vous me faites rire. Ce qui tres bien.
Bonne nuit donc !

boc21fr: fiouuu!! éclectisme quand tu nous tiens! Il y a de tout là-dedans! Des trucs bien drôles (vêtements, bottes et trottinette.. ça me dit quelque chose ça, tiens?), des trucs un peu lourdauds aussi (oui, le fameux coin de son anatomie.. un peu plus et ça vire carrément au porno! ^^), parfois un zeste de lyrisme, et puis je constate que question allitérations tu t'es fait plaisir. Et j'ai carrément kiffé le premier paragraphe, même si j'ai mis un peu de temps à comprendre qui était qui, de la belle âme à Irénée (ce qui fait que je ne voyais pas trop où l'ange voulait en venir..)
En fait c'est la fin qui donne la clé du texte!
Maintenant que j'ai tout bien remis dans l'ordre, je le relirai à tête reposée.
En tout cas, c'est sûr, c'était déjanté. =)

Et salut panda! Si t'as le temps de lire, fais-toi plaiz, y a de bien belles choses par ici!

Sur ce, bonne nuitée!

Pas trop vieux, plus tard :-))

bonne nuit Panda !

Bonjour Chako Noir & Cie

Bravo et merci d'avoir organisé tout cela d'une main de maître Chako Noir, j'ai l'impression que malgré les doutes du début, au final tu t'en sois bien sorti.

J'essaierai de me pencher sur cet exo un peu plus tard, je viens bientôt avoir quelques vacances, je pourrai lire tout cela à tête reposée !

Ah ah ! Je poste, vous lis & vous commente ce soir.
Sur ce, bonne journée moi je vais bosser...c'est parti pour une journée au bagne :-)

Pili

Très joli texte, dessiné comme une aquarelle. Du beau boulot, j'ai beaucoup aimé

Gobu

Ya pas, le travail artisanal, on peut dire ce qu'on veut, c'est du cousu main. C'est comme me disait Mr Silensberg pas plus tard qu'hier "Quante vous mette le kalité (Mr Silensberg il accentue les k, c'est un souvenir de l'Allemagne), touchours tu te retrouffe (Mr Silensberg il confond le tu et le vous comme les flamands)
Ca en devient chiant, Gob, tu pourrais pas nous rater un truc, de temps en temps, je sais pas moi, mal écrit, pas intéressant, putain, en cherchant un peu, quand on veut...
Regarde, t'as qu'à te mettre des handicaps, genre tu tapes ce que t'as en tête, mais à l'aveugle sur ton clavier; ou à l'envers, dos tourné: ça au moins, ça serait une vraie contrainte.

Partie trop vite hier, et oublié de remercier Chako qui s'est débrouillé comme un Chef !!!!!

Boc

Un chouia déçu; je sais que c'est ta marque de fabrique, et je ne nie pas que les ectoplasmes surgissent de tes manches avec la prestesse d'un prestidigitateur. Personnellement, ça me gave assez vite, dans le mesure où dans la loufoquerie, le seul cadre étant celui qu'on se donne, on peut dévider inlassablement et interminablement des histoires qui se raboutent (comme le mât du même nom)
Tu fais ce que tu veux de ta plume, mais je trouve dommage que cette énergie ne soit pas un peu plus canalisée.

boc21fr : j'ai beaucoup aimé, parce que, pour moi, vous saviez où vous alliez dès le début, je n'ai pas eu l'impression que vous fonciez à l'aveuglette. Une belle énergie, oui, un peu de lourdeur parfois aussi, je suis d'accord avec Chako Noir sur le recoin anatomique, mais de l'abattage, pour sûr !

J'avoue que quand j'ai une heure ou deux devant moi et une idée, je pars...
j'en écris des tonnes...
APRES j'améliore -ou non- le texte brut.
Je suis désolé, Silène, de m'être permis un plaisir coupable hier, et encore plus d'heurter ton sens de la pudeur littéraire...
Le fait est que tu as raison...
Au prochain exo, la contrainte qui sera mienne deviendra :
Pas de loufoquerie...
ça va pas être simple !

boc21fr a écrit:J'avoue que quand j'ai une heure ou deux devant moi et une idée, je pars...
j'en écris des tonnes...
APRES j'améliore -ou non- le texte brut.
Je suis désolé, Silène, de m'être permis un plaisir coupable hier, et encore plus d'heurter ton sens de la pudeur littéraire...
Le fait est que tu as raison...
Au prochain exo, la contrainte qui sera mienne deviendra :
Pas de loufoquerie...
ça va pas être simple !

c'est ça, pour que je me fasse incendier par tout le monde pour t'avoir châtré; t'es pas bien, non? Reste comme tu es, je te donnais juste mon avis perso de lecteur sortant de ton texte. Si tu veux que j'en rajoute une couche, à mon avis tu as les défauts de tes qualités. Ca me fait une belle jambe, me diras-tu, mais encore? Tu as une belle imagination, ce qui ne gâte rien, et de surcroît de la matière, car tu sais installer un climat, tu es drôle dans les dialogues, et tu as lu et retenu, ce qui est appréciable. Après tout, sans matos en magasin, on va pas loin, que ce soit dans le commerce ou dans l'écriture.
Il y a un public pour ce que tu fais, donc ne te casse pas la tête, si c'est ce que tu aimes, zyva. Mais si tu veux gagner en profondeur, il faudra un peu moins loufoquer: mais tu le sais très bien.

Ben oui j'ai bien peur de ne pas trop arriver à écrire autrement silène...
Tu connais "Wilt" de Tom Sharpe ?
Un sacré bon bouffon celui-là...
A mourir de rire...

silene82 : je regrette, j'ai moyennement apprécié votre texte cette fois-ci. J'ai trouvé que le style engloutissait un peu le récit.

Mure: j'ai bien aimé le délire, le fait que ça soit finalement un rêve ne m'a pas gêné.

Coline Dé: sympa, votre texte est maitrisé et agréable à lire. Par contre c'est vrai que les 14 juillet relatés ici ont tendance à se ressembler, y aurait-il un vécu collectif qui fait que fête nationale rime avec marmot insupportable ?

Gév: bravo j'ai trouvé le tout fluide et très réussi, même si visiblement vous êtes aussi du complot! :))

Pili: génial! Arriver à un résultat pareil en si peu de temps, je suis époustouflé! Un grand bravo, j'ai beaucoup aimé votre récit qui est très touchant sans être mièvre, d'une brièveté incroyablement juste.

Gobu: du très bon, encore une fois. On retrouve tout de même beaucoup votre griffe par rapport à l'autre exo live, j'aurais beaucoup aimé vous voir vous essayer à quelque chose de différent. M'enfin vous excellez quand même.

boc21fr: votre délire est beaucoup plus contrôlé que ne le laissait croire vos messages, vous vous en sortez bien! Quelques aspects Werberiens, mais le tout se tient quand même vraiment. J'ai beaucoup aimé l'intro.

boc21fr a écrit:Ben oui j'ai bien peur de ne pas trop arriver à écrire autrement silène...
Tu connais "Wilt" de Tom Sharpe ?
Un sacré bon bouffon celui-là...
A mourir de rire...

Non, connais pas. Mais sorti de mes trucs, moi, tu sais... A propos, ça fait 15 jours que j'ai envoyé les thunes à l'éditeur de ton génie méconnu pour CV et j'ai toujours pas vu la couleur de la première page; tu vas voir qu'il s'est barré avec la caisse au Brésil....

socque: Joli texte dans l'ensemble... l'idée est très bonne, le narrateur est crédible sur tous les points. Le seul moment qui en manque (de crédibilité ) c'est là :

« A y est, Tonton ! T’es cool ! Donne-moi mon drapeau ! »
Merde, qu’est-ce que j’en ai fait de ce truc ? « Euh, désolé, je ne le trouve plus…
— Ça fait rien, je m’en fous,[...]

Vu la description initiale de l'enfant et même après sa verbalisation un peu sensée (la demande du drapeau), le fait qu'il ne fasse pas un caprice est plus que louche.
Après, en ce qui concerne les contraintes, je ne trouve pas la gradation (je cherche, je cherche... :-)) et l'objet qui vous était assigné est manquant si je ne m'abuse... tout comme "sakawoulé" mais, j'ai vu plus tard que Chako Noir avait restreint les contraintes.

Nath: Rien à dire ! Tout y est ! Je parle aussi bien des contraintes que du style. J'ai trouvé votre texte très drôle !
Ça, c'est bon :

il a fallu qu’ils nous filent une WhatElse! J’te jure! Il en aura fait du mal ce Clooney!

^o^
Juste une remarque sur "caoua" qui s'entend un peu à la répétition (je sais, il n'est écrit que deux fois, mais, le deuxième est de trop selon moi.).

Chako Noir: Belle histoire, bonne intrigue, belle fin (à la Walt Disney. Hihi... je te taquine Chako Noir).
Les contraintes sont respectées (c'eût été malheureux venant du MC que le contraire soit. :-D ). Par contre, j'ai tilté sur

« Merde ! J’ai laissé la petite ! Ah quel con ! »

Vu que juste avant, il y avait ça :

et nous deux comme des couillons on cavalait à pattes en pleine rue,

Mais, je l'ai surpassé facilement, me disant que dans sa presque trouille, le narrateur était confus soudain.

******
La suite des lectures un peu plus tard, je vais manger une glace. :-p

Mure a écrit:socque: (...)
Après, en ce qui concerne les contraintes, je ne trouve pas la gradation (je cherche, je cherche... :-)) et l'objet qui vous était assigné est manquant si je ne m'abuse... tout comme "sakawoulé" mais, j'ai vu plus tard que Chako Noir avait restreint les contraintes.
(...)

La gradation : "Je sollicite, je demande, je veux, j'exige (...)"
L'objet, oui, j'y ai pensé au début, et pis j'y ai plus pensé, voilà ; j'adore mon subconscient !

Bonne glace, Mure !

socque a écrit:

Mure a écrit:socque: (...)
Après, en ce qui concerne les contraintes, je ne trouve pas la gradation (je cherche, je cherche... :-)) et l'objet qui vous était assigné est manquant si je ne m'abuse... tout comme "sakawoulé" mais, j'ai vu plus tard que Chako Noir avait restreint les contraintes.
(...)

La gradation : "Je sollicite, je demande, je veux, j'exige (...)"
L'objet, oui, j'y ai pensé au début, et pis j'y ai plus pensé, voilà ; j'adore mon subconscient !

Bonne glace, Mure !

Ah oui ! Même en cherchant bien, je n'aurais pas trouvé la gradation (j'ai encore beaucoup à apprendre, mais, j'aime ça.) merci donc.
Et pour le heurtoir de porte, je le comprends un peu votre subconscient ! Hihi ! (silene82, si vous le prenez mal, ce ne sera pas le heurtoir que je prendrais moi...).

La glace avait un goût de pas assez, pas à la mûre.

Halicante a écrit:

Halicante a écrit:Bon, il semblerait que mon homme ait commis une erreur de connexion... Il vient de s'enregistrer sur le site mais a posté son texte sous mon pseudo !

Il y aura peut-être un gentil modérateur pour arranger les choses ?! Donc : le texte qui commence par "Putain de journée" n'est pas d'Halicante mais de Gév... (hé oui, je fais des émules !)

Si c'est possible ?
:-)


Oui ?
Non ?
Peut-être ?
Ne sait pas.
Ne se prononce pas.
(Cochez la réponse appropriée)

Sinon, il y a aussi l'option changer d'homme !

Pardon Halicante, je n'ai rien à faire dans cet exo, je sors de suite ;-)

Peter Pan a écrit:Pardon Halicante, je n'ai rien à faire dans cet exo, je sors de suite ;-)[/size]

Surtout qu'on attend toujours le premier bouclé, hmmm?...

Chako Noir : Du suspense, de l’action, du frisson, et les consignes respectées… Que demander de plus, franchement, je vous le demande ! ;-)

Easter : La chute tombe (normal !) un peu à plat, mais sinon, le supermarché, je m’y serais crue… (comme les pâtes, non, c’est meilleur cuit…)

Silene82 : J’ai eu du mal à entrer dans l’histoire, le temps de comprendre qui est qui et qui parle, et, même là, j’étais pas sûre… Difficile à suivre, donc, mais j’ai bien aimé l’alternance entre les styles, et puis j’ai appris deux mots : Laquépem et haquenée, merci, Silène !

Mure : Je n’ai pas compris la fin à la première lecture, mais sinon, ta vision du futur est marrante (si, si !)

Saint Georges : J’ai bien ri ! Les dialogues sont savoureux !
(T comme Thibault ?
- Non, T comme « tu fais chier »
- Entrée incorrecte
- Bordel.
- Entrée incorrecte.
- T comme Thibault.
- Matricule exact. Accordez vous la permission à M. Brasey de la Galaxie Form…
- Oui
-…ulax B-71 d’entrer dans la station?
- OUI)
(pour ne reprendre que celui-là) et il y a plein de petits détails marrants (« Les portes s’ouvrirent dans un bruit d’aspirine », « vivre dans l’espace était devenu l’état naturel de l’homme et pourtant on avait toujours des sonnettes qui faisaient : « Ding Dong !»".), un monde kafkaïen bien dépeint, et la dernière réplique qui tue ! J’aurais aimé que ça continue… Et puis là aussi j’ai appris un mot (« Orichalque », pas facile à replacer dans la conversation, mais bon… :-))

Gév : Difficile pour moi de commenter, vu qu’on en a discuté at home… Bon, j’ai trouvé quelques phrases un peu trop longues (parce que je lis souvent à voix haute, alors quand je dois reprendre ma respiration c’est qu’il y a quelque chose en trop dans la phrase – à moins que je n’aie le nez bouché, allez savoir !) Bref, tout ça pour dire que j’ai bien aimé l’histoire, sinon, et l’humour, bien sûr ! Pour une première c’est un bon cru !

Les trois derniers plus tard !
(Les derniers seront les derniers, tiens, pour une fois !) :-)

Peter Pan a écrit:Sinon, il y a aussi l'option changer d'homme !

Pardon Halicante, je n'ai rien à faire dans cet exo, je sors de suite ;-)

Ben ça ne changerait rien : le texte de Gév serait toujours posté sous mon pseudo... N'est-ce pas ?!
;-)

Mure a écrit:(silene82, si vous le prenez mal, ce ne sera pas le heurtoir que je prendrais moi...).

J'ai une réputation que bonjour...J'ai pourtant pas le sentiment d'être si raide, comme quoi.

silene82 a écrit:

Peter Pan a écrit:Pardon Halicante, je n'ai rien à faire dans cet exo, je sors de suite ;-)

Surtout qu'on attend toujours le premier bouclé, hmmm?...

C'est vrai, ça, Peter, qu'est-ce que tu fais à trainer dans cet exo alors que tu en as un à terminer, hein ?
Je vais quand même pas remettre ma casquette d'ex-MC pour te remonter les bretelles, si ?!

(Voix d’outre-tombe
SORS DE CET EXO, PETER ! JE T'EN CONJURE !

Halicante a écrit:Silene82[/b] : J’ai eu du mal à entrer dans l’histoire, le temps de comprendre qui est qui et qui parle, et, même là, j’étais pas sûre… Difficile à suivre, donc, mais j’ai bien aimé l’alternance entre les styles, et puis j’ai appris deux mots : Laquépem et haquenée, merci, Silène !

Si j'ai bien capté, tu es la version Canada Dry de Hali, célèbre disciple de Kant, dont son patronyme hybride.
Car j'ai déjà eu un commentaire sensiblement différent: tu es donc démasqué, Gev, ou l'inverse, finalement....

Ben nom finalement, n'importe quoi, j'ai dû rêver, beg your pardon