On s'dépoile en direct ce vendredi 13-11-2009 !

Oui par nouvelles du font il fallait comprendre nouvelles du Front...
Évidement...
pfffff....

Impossible ce soir. À demain.

Ah, Chako tu as fait très fort, un vraie lettre de poilu imberbe, bravo !!!
T'as un peu z^ppé les deux vers toi aussi , mais c'est vraiment toi le meilleur, sinon !

coline Dé a écrit:
T'as un peu zappé les deux vers toi aussi, mais c'est vraiment toi le meilleur, sinon !

...Enfin, pour l'instant ! Bertrand n'a pas encore dégoupillé !

mentor a écrit:à mon avis il est resté sur Plotine
(enfin, je m'entends, hein ! :-))))

M'enfin !

mentor a écrit:j'ai l'impression que Plotine ne se manifeste plus ?

PLOTINE !?

Mille excuses mais dans ma maison de retraite, ils éteignent les feux à 20 heures. Alors, la prochaine fois il faudrait prévoir ce genre d'exercice vers 17 heures, avant le dîner quoi qui est à 18 heures. Merci.

Ah chako bravo pour ton texte frappé au front de la folie des hommes.
T'es le seul qui a gardé l'idée originelle d'une lettre de vrai poilu, de vrai dépoilu en l'occurence, tant il est vrai que les prochaines guerres seront chimiques et irradiantes.

Mon cher Bertrand,

Quelle surprise quand j'ai reçu ta lettre, hier, m'annonçant que tu es toujours vivant ! Ça te fait quel âge maintenant ? Dans les 108 ans, à peu près comme moi, il me semble me souvenir que nous étions presque jumeaux.
C'est bien volontiers que j'accepte de reprendre notre vie commune, trop tôt interrompue par ton décès ta disparition, mais il faudra que tu m'expliques quand même ce que tu as fait pendant tout ce temps !
Cela dit, je te dois aussi quelque confession. Après t'avoir accordé deux années pour te donner le temps de retrouver le chemin de la maison, j'avoue qu'en 1920, j'ai dû me résoudre à ne compter que sur moi pour gagner ma vie. Et c'est donc courageusement que j'ai accepté un emploi
de danseuse dans un cabaret où mon numéro se terminait par une exhibition à poil sur un piano.
Je ne te cacherai pas que j'ai eu des amants de tous poils mais, tu comprendras sans mal que,

C'est, vaincue par le chagrin
Que j'ai dû, telle Terpsichore
Donner tant de coups de rein
Et faire, las, don de mon corps

Ah,c'est du joli, Plotine !

Chako,
Super ! J'ai beaucoup aimé ! (C'est vrai qu'on est tous parti sur du velu, on avait un peu mis de côté l'option "lettre de poilu", alors si en plus il s'agit des poils du poilu !) C'est très vivant et plein d'humour.

Plotine du haut de son déambulateur dernier modèle à propulsion cryptocybergénique améliorée.

Mon cher Bertrand,

Quelle surprise quand j'ai reçu ta lettre, hier, m'annonçant que tu es toujours vivant ! Ça te fait quel âge maintenant ? Dans les 108 ans, à peu près comme moi, il me semble me souvenir que nous étions presque jumeaux.
C'est bien volontiers que j'accepte de reprendre notre vie commune, trop tôt interrompue par ton décès ta disparition, mais il faudra que tu m'expliques quand même ce que tu as fait pendant tout ce temps !
Cela dit, je te dois aussi quelque confession. Après t'avoir accordé deux années pour te donner le temps de retrouver le chemin de la maison, j'avoue qu'en 1920, j'ai dû me résoudre à ne compter que sur moi pour gagner ma vie. Et c'est donc courageusement que j'ai accepté un emploi
de danseuse dans un cabaret où mon numéro se terminait par une exhibition à poil sur un piano.
Je ne te cacherai pas que j'ai eu des amants de tous poils mais, tu comprendras sans mal que,

C'est, vaincue par le chagrin
Que j'ai dû, telle Terpsichore
Donner tant de coups de rein
Et faire, las, don de mon corps

Avec une telle amorce, je change mon fusil d'épaule et amorce une rebuffade vigoureuse, si tant est qu'à cet âge la vigueur ne puisse s'entendre qu'avec l'aide d'un soutien efficace.
Pas avant dimanche soir.
Désolé, je suis resté dur de la feuille et mou du stylo.

Bon, j'arrive un peu tard mais le facteur prolonge sa tournée le samedi-matin et il nest plus très frais quand il arrive à ma boîte aux lettres :


Cher Poilu aux dents jaunes,

Excuse l'écriture un peu tordue de ce message. Mais depuis qu'on nous a surpris, l'autre jour, toi et moi, dans le lit de la vieille, je suis enfermée, condamnée à l'eau et au pain sec dans le petit cabinet sous l'escalier de la cave. Sans lumière, cela va sans dire !
Il parait que je dois réfléchir à l'énormité de ma faute et à mon avenir compromis. C'est ce qu'affirme ma mère mais moi, dans ma soupente, j'ai mieux à faire mon loup !

Je vis et je revis notre folle aventure, les délicieux instants que j'ai passés entre tes grands bras. Je vois briller dans l'ombre la fièvre de tes yeux à l'instant où tu m'as fait entrer avec toi sous les draps. Je flaire encore sur ma peau le parfum envoûtant de ton torse velu. Je frissonne au souvenir de ton oreille pointue me chatouillant l'aisselle … Ah, le choc de tes dents contre mes lèvres entrouvertes!

Pourquoi faut-il que ce maudit chasseur entrât à cet instant …

Mais nous nous reverrons, mon ami doux, je te promets de sortir bientôt de ce cul de basse fosse et de te retrouver où tu sais sans tarder.

Ton Alphonsine

PS : Non, non je n'oublierai pas le petit pot de beurre !

Chako Noir a écrit:On est tout nu et dans la mouise.
Poilus comme des vers de terre.
La peau collée à nos chemises.
Devenus proies des courants d’air.

Les vers j'en ai mis quatre, j'avais trop d'encre pour l'en laisser que deux.
Merci, lecteurs et trices.
Mes délires nocturnes n'ont que plus d'ampleur lorsque mon état physique est lamentable: c'est bon à savoir.
Bises, je reviendrai lire.

Chako, d'accord, je ne vais pas trop m'en faire :-)
T'es dans une drôle de situation là dis donc, te faut un petit verre de cognac pour recharger les batteries ! Et puis j'aime bien quand on dit "saleté de Suédois"; on n'entend jamais ça, sauf quand on monte un meuble Ikéa :-))


Plotine, tout est dit en quelques lignes, assez cinglantes sous leur apaprence douce et sincère. J'ai particulièrement aimé trop tôt interrompue par ton décès ta disparition, j'ai trouvé ça cruel et drôle.


Arielle, contente de te voir jouer avec nous !
La phrase de fin, un régal ! Hahahaha, elle donne une coloration particulière à l'ensemble, ça m'a fait sourire.

Huit textes Mentor, pas si mal !
Et il y aura sans doute des retardataires à venir :-)

Cher Jean-Louis :


C'est avec un grand bonheur mais pas beaucoup de surprise que j'ai reçu ton faire-part de mariage. En raison de mon activité débordante, que malheureusement je ne vais pas être en mesure d'interrompre, il va m'être très difficile de me rendre aux noces et tu m'en vois désolé. Qu'à cela ne tienne, mes souhaits t'accompagneront tout au long du périple qui te mènera au Triangle d'or, lieu mythique si il en est, et surtout propice à de sérieuses réjouissances. Je suis personnellement ravi que tu aies choisi Mae-Mae. Des photos que j'ai pu consulter, je retiens ses sourcils soignés au dessus d'un regard à la fois lumineux et dense. Je ne doute pas qu'elle fera une épouse satisfaisante, comme le sont la plupart des natives du Nord. En fait, tous les hommes de la terre devraient se pencher sérieusement sur l'idée, seulement, de nos jours, ils ne se penchent sur plus grand-chose et c'est regrettable.

Pour ne pas rentrer dans les détails de la guerre de tranchée qui oppose l'homme à l'homme et qui n'est pas de circonstance, je ne m'éterniserai pas en mots vains, simplement ces quelques mots :


Chanceux Jean-Louis au couchant s'est endormi,
Une mèche sur son épaule, la main sur un pubis,
Celui à sa douce : motte genre cœur d'artichaut
Sauvé pour toujours de l'horrible rêche,
du frisé du dru des dames : de Roncevaux.

Tous mes vœux de bonheur !


Jean-jacques.

Roncevez mon cher Panda mes félicitations sincères pour cette belle bafouille !

Rhaaa Panda ! M'en vais changer le prénom, y a un Louis en trop, et je lui envoie en signant Marielle, ça compensera mon manque d'enthousiasme :-)

Et pourquoi on a du mal, souvent, à penser à la sexualité de ses parents... :-(

Bon je vais faire une lettre à Chak'oneal, le basketteur de verres de cognac.

Sahkti : Ah ça, voilà un accueil dont je ne serais pas prête de me remettre si j'étais Demi-lune : une copine comme ça c'est une bénédiction, elle est vraiment gâtée !

Demi-lune : Bravo pour ces révélations à … double tranchant. Grâce à toi et à RAZAFOND Sahkti se lance dans la pub. C'est un scoop !

Coline En Mama Vodoo tu es plus impayable que jamais et ce pauvre Mentor n'a plus qu'à s'adresser à Demi-lune pour obtenir l'outil adéquat.

Mentor : Quel garçon adorable ce Mentor ! Je sens que je vais devenir jalouse. J'ai pas un poil de pseudo, moi, mentor si tu veux savoir … ça devrait ajouter à mon charme, non?

Rebecca : Je l'ai reconnu, je l'ai reconnu ton destin à terre : c'est Cadet Roussel
Cadet ROUSSEL a trois cheveux : (bis)
Un pour chaqu'face, un pour la queue, (bis)
Pourtant parfois avec adresse
Il les met tous les trois en tresse : Ah ! Ah ! Ah ! etc....

Chaco : Avec le bel élan de ta jeunesse tu nous embarques tous, "la fleur au fusil" et on se bat à tes côtés, tout azimut et le sourire aux lèvres ( attends, je soulève ma moustache pour te faire voir)

Plotine : Décidément c'est le jour des révélations sur VE et nous apprenons enfin le sulfureux passé de Plotine

Panda : Je la mets précieusement de côté ta lettre-type pour le prochain mariage qu'on m'annonce. De toutes façons j'y vais jamais … pour apprendre un nouveau divorce dans l'année qui suit !!!

désolé pour ma disparition subite d'hier, me suis écroulé
et aujourd'hui j'ai dormi jusqu'à 14h, même sauté un repas, moi !
bref, m'en vais vous relire et commenter

plotine
Avec doigté tu nous racontes tes exhibitions sur un piano...Vas y piano dans tes révélations plotine, sinon ils vont tous vouloir te ...ploter.

arielle
j'aime beaucoup cette coquine enfant lutinant dans la soupente ...une histoire au poil...ce petit pot de beurre...et la galette? forme réduite de la gale dans les torses velus dans les torses torsadés ? attention aux maladies capillairement transmissibles.

panda
tu vas par monts et par vaux et les chemins de ronce mènent parfois à l'horrible rêche du frisé du dru des damnées dames; noces impudiques, noces pubiques, tour pandable.

Sahkti : excellente idée ce courriel, c'est très in et réaliste. Et méchant, et faux jeton. Pôv' demi-lune, comme s'il lui fallait, en plus, une copine pareille ! :-)))

Demi-lune : Sans le savoir tu rédigeais en même temps une sacrée charge contre dame Sahkti ! Tout en demi-teintes mais ça fait mouche dans un style très adéquat. Bravo.

Coline : c'est bien la peine que mentor y se décarcasse pour s'en prendre une pareille en travers ! sous prétexte de disette financière tu veux disposer de mon corps... belle mentalité. Tiens, je vais commander une statuette et les épingles qui vont bien à Mâme Vodoo...

Rebecca : non, ton texte n'est ni rébarbatif ni barbant, au contraire. Il foisonne de jeux de mots que tu affectionnes, un registre qui te va bien.

Chako : de la SF qui décoiffe, je ne m'y attendais pas, imaginatif en diable, humoristique malgré le sujet, et l'introduction des noms de plusieurs membres de VE permet de reprendre chaque fois un peu de souffle. Sympa.

Plotine : court mais percutant ! une chouette participation qu'on n'osait plus espérer, du moins moi. ;-) Pas mal du tout, j'aime cet humour.

Arielle : j'ai cru jusqu'au bout que la fille s'était faite un orang-outang ! détrompe-moi ! Influence de notre feuilleton La Princesse et le Président ? :-))) Très bon texte.

Panda : ça manque un peu de poils, mais bon, che veux bien croire que l'imagination t'ait manqué, pour une fois. Je pense qu'au prochain coup on inposera un maximum de plumes, pour changer, et là tu n'auras plus d'excuses, rapport à Petite Oie. ;-)

Bravo à tous et notamment à demi-lune pour cette première avec nous
ce fut un plaisir
vivement un prochain direct !

mentor a écrit:Sahkti : Arielle : j'ai cru jusqu'au bout que la fille s'était faite un orang-outang ! détrompe-moi ! Influence de notre feuilleton La Princesse et le Président ? :-))) Très bon texte.

euh...le petit chaperon rouge s'est fait le loup mentor à l'aide du petit pot de beurre jusqu'à ce que le chasseur les interrompe

D en/avec un chaperon ...maybe but Président as a loup ? Houuuuuuuu!
Quel d'Estaing...

Rebecca a écrit:euh...le petit chaperon rouge s'est fait le loup mentor...

"mon loup" !! mais quelle quiche ! pas récupéré, moi
merci Reb !
;-)

Arielle, ton Alphonsine est une dévergondée délicieuse ! J'offrirai une brosse à dents à son loup pour Noël.

J'ai vraiment bien aimé le thème de cet exo.
Vos textes sont drôles et tous réussis... bravo à vous.
Je regrette presque de ne pas avoir été là hier soir, peut-être qu'avec l'entrain du direct, j'aurais eu un POIL d'inspiration. ^o^

Plotine mon amie,

Comme je suis content d'avoir reçu ta lettre !
Ma première missive ressemblait à une bouteille de Kiravi jetée dans le Rhône. Très heureux de savoir que tu pêches encore.

À mon tour à présent, de te raconter un peu ce qui s'est passé dans ma vie depuis notre séparation forcée en 1914.
Blessé sur le front le jour même de mon anniversaire le 26 août, je fus évacué jusqu'à Saint-Quentin. Pendant le transport, un infirmier me fit une piqure qui infecta ma jambe. L'amputation fut douloureuse, car je n'ai pas aimé leur mauvais alcool de betterave qui m'avait en outre, rendu malade. Les Anglais m'ont soigné grossièrement puis j'ai rejoint l'hôpital de Dijon. Avec moi, d'autres gueules cassées, raccommodées ou non devisaient sur l'avenir en sirotant un bock.

Ma guerre à moi se résuma en lits d'hôpitaux, puis en services de rééducation. Six années se sont écoulées avant de pouvoir relever la tête rabibochée et de regagner mon beaujolais natal celui où nous foulions allègrement le raisin dans le pressoir de feu mon père. Tu t'en souviens ?
Me voyant chanceler en traversant la cour de la ferme, les béquilles mal assurées, le pilon en aluminium rivé à la hanche gauche dépassant du pantalon et la face pourtant bien rafistolée, la mère, cette poétesse méconnue, m’a accueilli avec ces mots :


En cette période, la présence d’une bouche de plus à nourrir suffisait à faire vaciller l’équilibre économique si précaire de leur petite ferme viticole ! Poils drus, jambe raide, dès le premier jour j'irritai tout le monde. Maman me rasa.

Peu après, j'ai pu bénéficier d’un de ces emplois réservés attribués à certains des mutilés de la Grande Guerre. Je devins buraliste. À partir de 1936, je vendis des billets de la Loterie Nationale.
La semaine suivant mon accréditation, j'ai acheté un billet entier. La chance a tourné rond pour moi. Chaque semaine le tirage avait son lot de perdants et celui de gagnants. J'appartenais à la seconde catégorie. Je gagnais sans interruption petites et grosses sommes, jusqu'à ce que l'on me ferme boutique pour suspicion de fraude. Au procès, le jugement m'innocenta. Je fus lavé de tout soupçon, mais interdit de vendre les billets de loterie.

Déménagé en Corse, c'est avec mes gains que je pus investir dans une affaire rémunératrice. Le débit de tabac et le café-restaurant "la galette bretonne” me satisfirent un moment jusque dans les années cinquante. Je construisis un hôtel grand standing et une boîte de nuit. Une fois, j'ai même cru vaguement te reconnaitre dans les yeux d'une des filles strip-teaseuses qui tentait de se faire embaucher.
Était-ce bien toi qui postulas là ? C'est vrai qu'avec ma sale gueule tu ne pouvais pas me reconnaître.
Voilà en gros où je suis arrivé.

Amicalement.
bertrand-môgendre

P.-S. Ci-joint tu trouveras une invitation pour le pèlerinage de Lourdes organisé par les copains. Tous frais payés ! Tu verras on rigole bien.
Quand je vais leur annoncer que tu joues du piano debout... ça va être au poil !

Rebecca a écrit:plotine
Avec doigté tu nous racontes tes exhibitions sur un piano...Vas y piano dans tes révélations plotine, sinon ils vont tous vouloir te ...ploter.

Jusqu'aux commentaires, j'aurai apprécié la relation Plotine - B-Mô.

(d'ailleurs bertrand ça n'a aucun rapport, mais je le glisse-là parce que je sais que tu le lyra*: BERNARD DE GRÉMONT doit s'écrire majuscule.)

* vu que t'es parrain de notre fille, j'ai pas pu m'empêcher... c'est beau la vie vélienne...

J'ai moi aussi adoré cette lettre Bertrand, mais tu ne facilites pas la tache de ton futur biographe, celui qui accompagnera ta suite de gentilshommes en 2023.
Comment as-tu pu te faire casser la gueule en 14, amputer d'une jambe et conduire encore une 4 ailes plus d'un siècle plus tard ?
La chirurgie esthétique, passe encore pour le visage ; mais je ne vois pas comment te faire repousser une jambe...
Et puis les dates ne collent pas : 18 ans en 1914 -> 127 ans en 2023.
Ou alors tu as découvert la pierre philosophale...

Ou alors Plotine est la nouvelle sainte de Lourdes ; grande régénératrice des membres et abonnés absents par le toucher de piano ; grande accordeuse devant l'éternel.
Et toi un immortel béni (ou maudit) de Dieu...va savoir
en tout cas fais moi confiance, tu as raison, ça va être au poil
Je suis sur le coup

Mure a écrit:l'entrain du direct, j'aurais eu un POIL d'inspiration. ^o^

Et à retardement, non ?

A Bertrand : Lourdes ? Non merci.
D'ailleurs je ne suis pas libre, la maison de retraite nous a organisé un voyage à Las-Vegas. Je vais peut-être en profiter pour me remarier avec mon voisin de chambre. Tu ne m'en veux pas ?

boc comptable

Et puis les dates ne collent pas : 18 ans en 1914 -> 127 ans en 2023.

Je suis né en 1910.
C'est gamin que j'ai été blessé ! (ouf, ça passe) C'est vrai que plotine m'a aimé jeune... mais j'étais en visite chez mes oncles et tantes lorsque j'ai reçu ce méchant obus.

Comment as-tu pu te faire casser la gueule en 14, amputer d'une jambe et conduire encore une 4 ailes plus d'un siècle plus tard ?

La MERCEDES - BENZ 220 SEB Automatic - 1963 est bien équipée pour un chanceux au jeu comme moi.

Chako toujours aussi vif

(d'ailleurs bertrand ça n'a aucun rapport, mais je le glisse-là parce que je sais que tu le lyra*: BERNARD DE GRÉMONT doit s'écrire majuscule.)

Bonne idée !

Plotine

A Bertrand : Lourdes ? Non merci.
D'ailleurs je ne suis pas libre, la maison de retraite nous a organisé un voyage à Las-Vegas. Je vais peut-être en profiter pour me remarier avec mon voisin de chambre. Tu ne m'en veux pas ?

Non, ce n'est que partie remise. Préviens-moi lorsque vous reviendrez, que nous fêtions l'heureux évènement ensemble dans un bouchon. Le musée à Lyon te conviendrait ?

Je ne connais pas Lyon et pourtant j'aimerais beaucoup.
Je connais quelqu'un de génial là-bas. Tiens il fait des photos aussi, comme toi. Les tiennes sont très belles. Les siennes aussi mais complètement différentes.

http://photo.net/photodb/user?user_id=1571496

Franchement entre celles-ci et celles de Yohanntv... y'a pas photo !

Bien cher Chako,


Poilus, barbus, soyez velus
Pas de rasoir, pas de coupe-chou
Poilus, barbus, tous bienvenus
Salut à vous, antimandchous !


Hali

Elle est sympa ta lettre Hali !

Sahkti fait dire qu’elle écoute U2 en pensant à vous
Même quand elle n'y pense pas :-))

Super lettre Hali ! Sincère, simple (dans le bon sens), familière et charmante. On devine une pointe de tendresse derrière tout cela, ça fait du bien.

Couple Sahkti Demi-Lune :
Une bonne copine comme celle-là, il faut la réduire au bain-marie, la faire sécher entre des feuilles de papier journal puis la plastifier comme sous-main, qu'elle demeure à jamais un modèle au quotidien ! Mais comment donc la petite demi-lune va-t-elle réagir à ce message trop love ?

Couple Demi-Lune Sahkti :
J'adore les conseils avisés d'une experte en pilosité. À ce propos, je souhaite un RAZAFOND pour mon corps qui en aurait grand besoin. Trouve-t-on facilement le matériel, ou faut-il se déplacer dans le Limousin ?

Couple Coline Mentor :
J'ai vraiment du mal à croire que tu ais pu inventer toute cette histoire. Si Mentor se désiste, pense à moi, l'affaire m'intéresse.
Y sont complètement allumés ce soir !

Couple Mentor Coline :
Belle déclaration que voilà.
Pourtant, un doute persiste. Je me demande si l'ami mentor ne serait pas capable de caresser son acheteuse exclusive, dans le bon sens du poil, juste pour la flatter et obtenir en retour une meilleure cote de sa toison.

Couple Rebecca destin à taire inconnu :
Rusée, tu uses, abuses d'expressions gominées ou non pour brosser ton tableau.
Ton pinceau, en poils de martre sacrifiée, peaufine le trait jusqu'au minimalisme état : l'imberbitude absolue.

Couple Chako Noir et les survivants :
Ta page photo journalisme restera dans les mémoires des disques durs allégés au marc de café éthiquable. Quoi de plus moderne qu'un conflit dérisoire. Les armes sont mystiques, les munitions toniques. Alors, à te lire, épilons-nous le cerveau !
Bien joué.
Pardonne ma désaffection, j'avais rendez-vous avec plotine.

Félicitations appuyées aux personnes qui réalisent l'exercice en direct.