Pas que du cinéma

Wadjda. Les filles, allez-y !
Les garçons aussi.

ha ça tombe bien j'y vais mardi (jour du cinéma moins cher avec Orange) !

bonsoir, film à voir absolument


Purification, extrait de Yeelen

Bon, moi le cinéma c'est mon truc, alors à voir si ce n'est déjà fait :

Django : juste parce que c'est Tarantino et ça me suffit, et rien que pour le clin d’œil aux Monty Python. Les acteurs, j'en parle même pas !

Holy Motor : je déteste Carax, Denis Lavant me dégoûte, je suis allée voir ce film tirée par la peau des fesses. Des années que je n'avais ressenti un tel bouleversement au cinéma (sans doute plus tant Paris, Texas m'avait à l'époque scotchée). Ce film est d'une beauté exceptionnelle, il est dérangeant, poétique, parfois dégoûtant, on ne sait absolument pas où l'on va, il y a des scènes renversantes notamment la scène dans l'ancien magasin de la Samaritaine (j'en aurais pleuré). C'est une ode au cinéma, on ressort à la fois totalement enchanté et dérouté. Des films comme ça je veux bien en voir tous les jours.

Dans la série "Les revenants", la petite jumelle victime d'un accident de bus crève l'écran.
Je l'ai revue cette semaine à deux reprises à la téloche dans deux très bons films : "17 filles" et "Les crapuleuses"
Elle s'appelle Yara Pilartz et y est tout aussi bouleversante.

bien d'accord Tizef

légère déception pour les amants passagers, quelques longueurs mais de bons moments jouissifs aussi, à voir quand même donc

Vu Django unchained. Comme tous les Tarentino un film nerveux, bien conçu, bien filmé, mais encore une fois écœurant par sa violence. Je finis par croire que ce cinéaste est définitivement malsain, qu'il y a quelque chose de sadique chez lui pour exposer ainsi la souffrance. Certains crient au génie, moi je dis plutôt névrose, obsession de l'hémoglobine.

Tout le contraire de Populaire avec Romain Duris, comédie légère et rafraîchissante où l'on assiste à d'étonnants concours de dactylos. Beaucoup de charme, de nostalgie et d'excellents acteurs.

D'un côté du cinéma américain brutal, obnubilé par la violence, de l'autre un film français qui respire la joie de vivre. Faites votre choix ...

on n'est pas obligé de choisir...
et les visions personnelles peuvent différer...

Populaire est frais et gentil oui, amusant, rétro, lorgnant vers les comédies romantiques à l'ancienne (que j'adore)

Django est un film d'auteur, du moins le film d'un auteur, c'est sûr que si on ne voit pas le second degré derrière les éneaurmes tonnes d'hémoglobine et qu'on n'explose pas d'un rire jouissif et complice avec le réalisateur au moment où les têtes explosent... mais ce n'est pas qu'un film qui revisite un genre, ce n'est pas que de la violence et surtout pas gratuite, c'est un film à message, un film engagé et intelligent.

The bling ring
Dénonciation qui frôle la fascination complaisante, un poil loupé donc pour moi mais ça reste du vrai cinéma quand même

Tiens pis je rattrape mon retard :

Mud : sublime, ambiance, paysages, personnages, introspection et difficile apprentissage de la vie et de l'amour, un film plein d'humanité et de sensibilité, oublier la dernière minute, se souvenir du reste

J'en avais parlé dans babils, mais je le replace ici.
Die Wand, un film intéressant, assez puissant, malgré des apparences faussement contemplatives. Du genre qui fait réfléchir sur soi, aussi.

http://www.arte.tv/fr/die-wand/6392184,CmC=6401284.html

elea a écrit:The bling ring
Dénonciation qui frôle la fascination complaisante, un poil loupé donc pour moi mais ça reste du vrai cinéma quand même

pas encore vu mais dans la liste des à faire, d'autant plus que j'aime bien ce que fait Sofia Coppola. Pourquoi tu le trouves loupé ?

pas totalement loupé, juste un poil :-)
parce que je trouve que le film donne une sensation de fascination pour le "gang" de la part de la réalisatrice
alors justement que le but était de ne pas prendre parti et d'avoir un regard neutre
mais ce n'était que mon humble avis

Ha ok, merci ! Me réjouis d'aller le voir en tout cas !

elea a écrit:
Tiens pis je rattrape mon retard :

Mud : sublime, ambiance, paysages, personnages, introspection et difficile apprentissage de la vie et de l'amour, un film plein d'humanité et de sensibilité, oublier la dernière minute, se souvenir du reste

Sans ce commentaire, je ne serai pas allée le voir, même pas pour Sam Sheppard (et pourtant... pfffff soupir éloquent)... En tout cas je ne suis pas déçue du voyage, disons même que je suis enchantée et que je recommande ce film avec le plus vif enthousiasme, y compris la dernière minute qui a réchauffé mon coeur de mûre mais incorrigible midinette.
Et donc grand merci elea.

Pour Rebecca, et les autres cinéphiles que cela peut intéresser, suis tombée par hasard sur l'émission : http://www.franceinter.fr/emission-pendant-les-travaux-le-cinema-reste-ouvert-que-reste-t-il-de-jean-eustache

elea a écrit:pas totalement loupé, juste un poil :-)

Finalement, j'y suis allée avant mon dernier séjour club med... et je te trouve gentille avec ce film :-)
L'ide de départ est bonne mais la réalisatrice en fait peu de choses, je trouve. La fascination, passe encore (ce monde bling bling doit en faire rêver plus d'un), elle restitue assez bien la vacuité de tout cela mais ça ne va pas très loin, elle passe à côté; dommage car elle est douée.

Easter(Island) a écrit:Pour Rebecca, et les autres cinéphiles que cela peut intéresser, suis tombée par hasard sur l'émission : http://www.franceinter.fr/emission-pendant-les-travaux-le-cinema-reste-ouvert-que-reste-t-il-de-jean-eustache

Ho merci easter !

Vu Elysium, avec Matt Damon et Jodie Foster :



Un avis mitigé. La première partie est excellente, on est vraiment dans de la science-fiction avec tout ce qu'elle a d'imaginative et qui s'apuie en même temps sur des bases solides.
Sur une terre surpeuplée et ravagée par la pollution vit le commun des mortels. Des robots impitoyables y font régner un semblant d'ordre.
Au-dessus, dans l'espace, une minorité de privilégiés s'est fait construire un havre de paix, une station spatiale qui offre les meilleures conditions de vie. Les réalisateurs se sont sans doute inspirés de modèles existants, la station est fascinante.
Vous l'aurez compris, les gueux essaient de rejoindre cet éden et bing bang boum, ça devient de la grosse baston et l'intérêt s'effiloche. Dommage qu'Hollywood soit incapable de faire des films d'anticipation sans introduire de la violence. Kubrick, reviens !

Tout s'ordonne sur un triple ruban. Ruban de la vie, malhabile et étouffante. Ruban de l'asphalte, prometteur et labyrinthique. Ruban de l'écriture, fuyante et offerte. Sillonner, à seule fin de tenter de ressaisir  le sens perdu de la vie ou le sens de la vie perdue. De s'éblouir, dans l'abandon ou la furie de l'instant. De perdre le sens commun. De fuir ses repères. De creuser jusqu'au délire ses propres territoires aux confins de l'alcool et des opiacés. Passager noir qui cherche spasmodiquement sa forme dans un jazz frénétique, dans une sensualité débridée. Qui trouve spasmodiquement sa forme dans un rouleau infini de mots qu'on fume comme un long cylindre psychédélique. Rouleau infini de mots brûlés, exterminés dans le grand incendie de la vitesse et de la mémoire.

Ce film pourra sembler interminable. À juste titre... mais il obéit rigoureusement, en cela, au but qu'il s'était fixé. Ce film pourra sembler insoutenable. Il l'est, puisqu'il s'applique à traquer obsessionnellement Georges et Anne. La scène, en deux tableaux, du coiffage puis du solde de tout compte signifié à l'infirmière, est remarquable. À elle seule, elle justifie le visionnage du film. Mais l'élément le plus prégnant de ce huis-clos reste, évidemment, ce vaste appartement, réceptacle et creuset de la vie d'un couple. On pressent assez vite que l'intrusion ponctuelle de la caméra dans les pièces adjacentes à l'action principale (cuisine, puis salle de bains, toilettes) est annonciatrice des quatre actes qui constitueront bientôt le noyau de l'existence (manger, boire, se laver, faire ses besoins). Le lieu transitoire que constitue le couloir semble avoir pour fonction essentielle de ménager des respirations (scène du fauteuil roulant électrique) ou des pistes narratives (scène de la pluie par la fenêtre ouverte, scène de l'exercice de la marche, scènes du pigeon). Au fil de l'histoire, l'espace domestique prend, en quelque sorte, la forme d'un navire. Navire saisi par une houle infernale, en plein roulis entre le tribord du salon et le bâbord de la chambre. Entre un espace social fissuré, fracturé, puis totalement déserté et un espace intime réduit à une âme qui s'enfuit inéluctablement d'un corps graduellement privé de toute autonomie.

Buenos Aires. Un service d'urgence, la nuit. L'interminable litanie des corps ensanglantés, abîmés, martyrisés de partout. Dans une ville gangrénée par une corruption généralisée, où plus aucun code n'est respecté (en particulier celui de la route), une vie humaine se mesure à l'aune exacte de ce qu'elle peut rapporter. Le jeu consiste à rentabiliser la misère en profitant des failles du système et des plus abjectes complicités. On tabasse, éventuellement à mort si l'on ne peut rien obtenir par l'intimidation. Pour Sosa et Luján (dont les visages sont fouillés au scalpel), l'amour n'est évidemment qu'une chance presque insolente, qu'un sursis, qu'un halètement, qu'un souffle. Si la passion est douée, dans ses ébauches, de la fraîcheur enivrante des premiers matins, elle ressemble ensuite à l'expression la plus pure du désespoir. C'est une branche improbable qui s'offre, juste l'espace d'un instant, à deux naufragés promis à la noyade.

Un père et sa fille viennent "retaper" une maison qu'un ami propriétaire à l'intention de vendre sous peu.

Prévisible dès les toutes premières minutes, la mort violente et inexplicable du père provoque chez le spectateur une légère (et néanmoins incontrôlable) crise d'hilarité. Puis, pendant environ 45 minutes, nous allons suivre le parcours cahotique et poussif de la jeune femme à travers la maison. Parviendra-t-elle à survivre ? Parviendra-t-elle à découvrir l'origine du mal qui peut s'abattre sur elle à tout moment ? Le Polaroïd fou livrera-t-il son terrible secret ? Le spectateur se pose inlassablement l'angoissante question : "Qu'est-ce-que je fo*s là ?". Maso, sans le moindre doute. A 20 minutes de la fin semble soudain se dessiner l'ébauche d'une trouée dans ce gouffre d'inexorable ennui. Soulagement de courte durée. L'invraisemblance du scénario nous fait rapidement entrevoir la cruelle et désormais implacable vérité : le réalisateur, vachement culotté, s'est fo*tu de notre g*eule dans les grandes largeurs. Il nous a bel et bien roulé dans la farine, cet enfo*ré ! Le spectateur quitte donc la salle vaguement contrarié, avec la nette impression de s'être fait ent*ber de quelques euros.

Deux heures, est-ce trop long pour un polar ? D'illustres exemples nous prouvent le contraire. Dans ce type d'oeuvre, les longueurs sont souvent un gage de qualité exceptionnelle comme le prouvent, par exemple, "L'impasse" de Brian de Palma ou "Heat" de Michael Mann. Les lenteurs du scénario appuient sur les blessures secrètes, auscultant au scalpel l'intériorité des personnages, dessinant avec force les étapes obligées de leur parcours tragique. Polar suédois, "Easy Money" est bien dans cette veine : réaliste, violent, humain, impitoyable. Le diable semble poursuivre comme sa créature ce jeune et brillant étudiant en école de commerce, beau comme un dieu. Et nous pourchassons, à travers son regard d'enfant grandi dans la misère, les méandres d'une conscience adolescente toujours en éveil, craintive certes mais, par-dessus tout, avide de richesses, de reconnaissance sociale. Lorsque l'occasion se présente, il ignore évidemment que, dans cette arène où les fauves sont lâchés, la loyauté est un  fruit pourri et la déloyauté la règle absolue.

Un exercice de style brillant et pervers.

"Même pieds nus, la pluie n'irait pas danser."

Pour "Silent House", je sais peu de choses de cette version (originale et tournée en une seule prise, ce qui a le mérite d'être sympa). Vu la trame US et, si imparfait soit-elle, j'ai pas trouvé ça à jeter. Peut-être la petite comédienne était-elle convaincante ? Je ne sais pas, mais pas détesté.

peut-être encore possible de voir sur Arte en différé
ce film que j'ai trouvé magnifique: "The tree", ou L'arbre
de Julie Bertuccelli.
et spécial hommage à la mini grande comédienne qui porte ce film sur ses toutes petites épaules blondes: Morgana Davies...8 ans, mazette.

Je n'ai jamais, je crois, ressenti avec autant de force que dans ce film l'ambiguïté et la richesse de l'appellation "arts martiaux". Plasticité, harmonie, ballet, d'un côté. Combat, dilapidation, mort, de l'autre. À cette aune, l'expression "revoir les 64 mains" (sorte de pendant platonique au proustien "faire catleya") restera pour moi la métaphore centrale, le point d'ancrage essentiel de cette fresque virtuose et bouleversante sur laquelle je ne saurais tarir d'éloges.

malheureusement je ne pense pas qu'on puisse encore le voir en salles mais si vous pouvez, courez voir "Omar" pour le moment mon coup de cœur de la rentrée (bien entamée la rentrée) à égalité, bien que dans un genre totalement différent, avec "Alabama Monroe" qui persiste encore dans quelques salles

l'un est un thriller politico-sentimental ce qui ne le résume pas bien, c'est un film qui parle de résistance, d'occupation (de nos jours), d'amitié, d'enfance, d'amour, d'espionnage, de paranoïa, de manipulations, de silence, de danger, d'injustice
oui, tout ça
et ça prend aux tripes et ça reste longtemps
il a comme seul défaut d'avoir une fin (vraiment la toute fin) peu claire (pas que pour moi mais pour tous ceux qui l'ont vu et avec qui j'en ai parlé)

l'autre est un mélodrame sur le fil, jamais dans le pathos, toujours dans la retenue de la douleur, je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer pendant au moins 3/4 d'heures, mais je n'étais pas la seule dans la salle à en croire par le nombre de reniflements et mouchages
il vaut par son lieu, ses acteurs, la vie qui s'en dégage malgré tout, l'amour entier et viscéral, l'image

dans le plus léger, "9 mois fermes" se regarde avec plaisir, faut aimer Dupontel mais ce n'est pas son plus déjanté, Kiberlain y est magnifique (comme souvent)

"snowpiercer" ne fait pas l'unanimité, moi j'ai aimé, quasi plus rien à voir avec la BD d'origine que j'avais adoré et que j'ai relu ensuite, mais il y a une patte, quelque chose qui en fait plus qu'un énième film d'action/anticipation  

et...
avec des avis mitigés aussi mais pas le mien, parce que je suis amoureuse depuis longtemps des deux frères, parce que la BO est à tomber, parce que des films comme ça, qui prennent cette liberté là, de l'introspection lente du personnage, du peu d'action, de l'audace de l'écriture et du pari du spectateur, et d'un acteur sublime qui n'a pas été doublé dans le chant, il FAUT voir "Inside Llewyn Davis"

elea a écrit:il FAUT voir "Inside Llewyn Davis"

Entièrement d'accord avec toi !

très intéressant à lire, ce fil !
je vous trouve bien bons en commentaires de films, ça donne envie d'aller voir ce qu'on n'a pas encore vu.
nourritures intellectuelles et émotionnelles en perspective, c'est toujours réjouissant.

je lis entre autres Jano, et son avis sur Tarantino et l'hémoglobine :
il me semble plutôt que la catharsis est saine, pour moi ce réalisateur dégage plutôt que la névrose une grande créativité, beaucoup d'"appétit", il a l'air épanoui. tout ça c'est du second degré, il est plus fin que ça. je dis ça parce que j'adore. pas l'hémoglobine, mais Tarantino.
contrairement à David Lynch, il ne m'a jamais déçue et expérimente des registres à chaque fois différents.
un bijou de scénario : Jackie Brown.

je chercherais plus volontiers la nevrose chez Lars Von Trier, à qui je n'ai toujours pas pardonné ma pire expérience cinématographique : Antichrist. bark !

"... me and Franky laughing and drinking
nothing feels better than blood on blood."

Pendant toute la projection, Springsteen m'a trotté dans la tête. Il y a, dans The Fighter, quelque chose de l'univers cabossé de "Nebraska". Des vies comme engluées, des êtres cassés, des losers, crispés sur leurs blessures secrètes. Évidemment, on pense à ces deux frères de "Highway Patrolman" : le bon et le mauvais, le protecteur et l'autre, le foireux. De fait, le film est admirable : il possède toute l'âpreté et toute la beauté de ces familles à la fois haïssables... et magnifiques. Pousser à bout la désespérance, la noirceur de cette histoire aurait été une tentation trop facile. On a fort heureusement préféré se coltiner, avec un certain bonheur, le sang, la sueur et les larmes. La foutue colère.

Très bon, ce Django ! La longueur n'y est pas tout à fait étrangère. Di Caprio et Samuel L. Jackson sont impressionnants. Ce film mériterait évidemment un article approfondi. Mention particulière pour l'épisode des cagoules. J'adore ce sens aigu de l'absurde, de la dérision. Ce western constitue une sorte d'hommage cumulé à Corbucci (présence de Franco Nero), à Leone (on pense, parmi d'autres choses, à la scène la plus marquante de l'homme à l'harmonica), à Peckinpah (par la sursaturation de violence) et à John Woo. L'épisode du crâne est particulièrement troublant quand on le met en parallèle avec une certaine scène de "Une balle dans la tête". Il semble se dessiner ici un jeu subtil d'analogie et de contraste.

TIME - VOL. 183, N° 8 - 2014 - Oscars : The moment of truth - Pages 34 à 38 et 40 à 45 -

alors ce n'est pas du cinéma, un film, c'est une série TV que j'ai adoré : Breaking Bad.
J'ai dévoré la totalité des saisons en une semaine.

Oui. "Breaking bad" ... et "Sons of Anarchy" sont deux très belles séries. Je reste en questionnement sur la fin de "Dexter"...

jfmoods a écrit:Oui. "Breaking bad" ... et "Sons of Anarchy" sont deux très belles séries. Je reste en questionnement sur la fin de "Dexter"...

Je n'ai pas vu la dernière saison de Dexter... une série que je suis tous les dimanches... même si j'ai déjà vu les épisodes qui passent actuellement... cela comble le vide

un film que je suis allée voir avec ma fille, trop mignon, super bien fait, une réalisation impeccable, c'est Minuscule, la vallée des fourmis perdues... génial ! en 3D tourné dans un décor naturel.. vraiment fortiche.. vous êtes tout de suite embarqué dans l'histoire, on ne s'ennuie pas, c'est formidable.

jfmoods a écrit:
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n'en dit pas trop, je l'ai pas encore vu )))