Pas que du cinéma
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Re: Pas que du cinéma
Merci, oh merci. C'est tellement plus rêveux!
Beau cadeau que tu me fais là! Pour Noël ?
De quoi finir par y croire encore!
En tout cas mille mercis.
Je suis sûr qu'y en a un paquet sur VE à te préfèrer ainsi.
Peur qu'ils n'avouent jamais.
Pour l'idée, j'attends de voir ce qui se dessine.
Fortes chances que l'accouchement se fasse pas les doigts dans le nez! Un siège, peut-être?
Enfer:
Allons nous éviter la Cesarienne?
Beau cadeau que tu me fais là! Pour Noël ?
De quoi finir par y croire encore!
En tout cas mille mercis.
Je suis sûr qu'y en a un paquet sur VE à te préfèrer ainsi.
Peur qu'ils n'avouent jamais.
Pour l'idée, j'attends de voir ce qui se dessine.
Fortes chances que l'accouchement se fasse pas les doigts dans le nez! Un siège, peut-être?
Enfer:
Allons nous éviter la Cesarienne?
outretemps- Nombre de messages : 615
Age : 77
Date d'inscription : 19/01/2008
Re: Pas que du cinéma
Merci de vos réactions.
Pour résumer ma position : VE est un site de littérature, pas de cinéma, et VE est un site de création pas de critique.
Donc, quelle que soient les modalités, je suis pour tout ce qui va dans ce sens.
Par ailleurs, je ne veux pas être borné : si certains veulent juste parler des films qu'ils aiment (ou pas), faire une petite critique, poster un lien vers une scène, etc. je n'y vois aucun problème, tant que le fil ne se résume pas à ça.
Ce que nous ne pouvons hélas pas faire, c'est un "vrai" forum ciné (ça serait intéressant pourtant) en créant un fil par film, il y en a tellement de bons et d'intéressants... (Encore que si quelqu'un est prêt pour animer un tel forum, qu'il se lance bien sûr !)
Pour résumer ma position : VE est un site de littérature, pas de cinéma, et VE est un site de création pas de critique.
Donc, quelle que soient les modalités, je suis pour tout ce qui va dans ce sens.
Par ailleurs, je ne veux pas être borné : si certains veulent juste parler des films qu'ils aiment (ou pas), faire une petite critique, poster un lien vers une scène, etc. je n'y vois aucun problème, tant que le fil ne se résume pas à ça.
Ce que nous ne pouvons hélas pas faire, c'est un "vrai" forum ciné (ça serait intéressant pourtant) en créant un fil par film, il y en a tellement de bons et d'intéressants... (Encore que si quelqu'un est prêt pour animer un tel forum, qu'il se lance bien sûr !)
Loupbleu- Nombre de messages : 5838
Age : 52
Localisation : loupbleu@vosecrits.com
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Pas que du cinéma
Je suis bien contente que tu ais ouvert ce fil Lucy !
ça devrait être intéressant ;0)
ça devrait être intéressant ;0)
Re: Pas que du cinéma
Je ne pensais pas spécifiquement à cette scène de Godard... je voulais dire qu'on aurait pu prendre une scène de n'importe quel film et couper le son (pas la peine en ce qui concerne les films muets !) et récrire le scénario avec notre vision de ce qui se passe ou de ce que les personnages peuvent penser en essayant de faire abstraction de ce qu'on connaît de l'histoire si on a déjà vu le film...Rebecca a écrit:Je ne comprends pas vite peter.
J'ai vu la scène...tu proposes qu'on remplace le soliloque de godard par un autre de notre cru? Qu'on réimagine dans cet exemple à quoi peuvent penser les personnages ?
En même temps ça ne doit pas être ça car tu dis "on peut décrire tout ce qui se passe."...alors dans ce cas s'il s'agit de décrire la danse et les 3 personnages le lieu, bref ce qu'on voit, on peut le faire avec n'importe quelle scène.(Description littéraire je suppose, pas cinématographique ou les deux incluant la description du point de vue de la caméra?)
ps: je sais c'est pas bien mais je le dirai quand même pire je l'écrirai!
Cette scène: wouahhhhh, trop bien, vachement top, supercalifragilisticexpialidocious,extra .
Par exemple, dans Mulholland Drive (c'est juste un exemple), tu choisis la scène où Betty et Rita sont dans le théâtre et tu écris toutes les émotions qui te passent par la tête, tu inventes une nouvelle histoire, de nouveaux prénoms, de nouveaux dialogues (y'en a pas trop dans cette scène en même temps !)... tu peux pourquoi pas aussi t'imposer un genre comme récrire cette scène de façon comique ou je ne sais quoi... enfin voilà ! quelle idée de me poser des questions après une journée de mille heures de travail ! (oui je sais, ça augmente à chaque fois !)
Peter Pan- Nombre de messages : 3709
Age : 48
Localisation : Pays des rêves et de l'imaginaire
Date d'inscription : 16/04/2009
Re: Pas que du cinéma
vu Avatar....
Bof le genre de film que je déteste...faux cul comme pas deux
Sous prétexte de leçon de morale, on nous montre encore un film basé sur la fascination de la haine et de la violence....Sur deux heures de film 1h30 de combats....missiles mitrailleuse bande son apocalyptique bombes explosions ...on est bel et bien dans un film américain ....la guerre la guerre la guerre ....la fascination du combat et puis of course le héros l'héroïne les supers zeros....Et puis l'univers des jeux video avec armes super destroy engins volants hi tech monstres rampants et volants
Vivement qu'il y ait un beau film à voir en 3 D parce que le procédé lui est génial il en fout plein les mirettes!
Bof le genre de film que je déteste...faux cul comme pas deux
Sous prétexte de leçon de morale, on nous montre encore un film basé sur la fascination de la haine et de la violence....Sur deux heures de film 1h30 de combats....missiles mitrailleuse bande son apocalyptique bombes explosions ...on est bel et bien dans un film américain ....la guerre la guerre la guerre ....la fascination du combat et puis of course le héros l'héroïne les supers zeros....Et puis l'univers des jeux video avec armes super destroy engins volants hi tech monstres rampants et volants
Vivement qu'il y ait un beau film à voir en 3 D parce que le procédé lui est génial il en fout plein les mirettes!
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Pas que du cinéma
Ah ben je comprends mieux...les combats de robots et tutti quanti....
Je viens de réaliser que Cameron c'est celui qui a réalisé les Terminator!
Je viens de réaliser que Cameron c'est celui qui a réalisé les Terminator!
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Pas que du cinéma
Argh! Deux fois que je vais au ciné 1h avant pour voir Avatar, deux fois que c'est complet... pourtant petite ville ici...
bon ben nouvel essai la semaine prochaine après réservation :0)
bon ben nouvel essai la semaine prochaine après réservation :0)
Re: Pas que du cinéma
J'ai hâte de voir en 3D même si je trouve ça assez flippant... ai peur que le 2D d'ici quelques dizaines d'année n'existe plus (j'suis une jeune vieille :0))
Ce serait malheureux. Après, peut-être qu'il n'est pas si facilement détrônable.
Ce serait malheureux. Après, peut-être qu'il n'est pas si facilement détrônable.
Villa Amalia
Quelle fougue, quelle vie dans tes descriptions et du livre et du film.....merci Rebecca, je viens de passer un bon moment. Je suis complètement d'accord avec la supposition que nos états d'âme influencent nos états de lecteur(trice).
Quand à l'idée de Peter Pan elle est déjà exploitée sur certains forums belges.
Quand à l'idée de Peter Pan elle est déjà exploitée sur certains forums belges.
Re: Pas que du cinéma
C’était il y a deux ans, de ça.
Tu viens manger chez nous ? J’ai pris un film au Lien. C’est avec Luc Picard.
Ma première rencontre.
Avec Luc Picard ? Connais pas.
Il est ben connu, au Québec.
Même genre que Patrick Huard ?
Non, tu verras.
Ouais, j’ai vu. Pas le même genre. Du tout.
Fin de « L’Audition », le film en question. Le mari de mon amie commente.
Ben c’était plate à chier !
Elle, pas mieux. Je me tais, qu’est-ce que tu veux que je dise ? Je viens de rencontrer Luc Picard.
« L’Audition », par bien des aspects, n’a pas été sans me rappeler « De battre mon cœur s’est arrêté ». Les deux films montrent un personnage principal de truand à la petite semaine qui cherche à s’offrir une rédemption – l’un par le jeu, en devenant acteur, l’autre par la musique. Si je suis restée assez insensible au film français malgré tout le battage qui en avait été fait, cela n’a pas été le cas avec l’outsider québécois. Si je ne suis pas fan de Duris, pas fan de qui que ce soit tout court, par principe, je suis devenue inconditionnelle de Picard. Mais on n’est pas ici pour parler de « L’Audition » dont on peut facilement trouver la bande-annonce sur le web. Non. On est là pour discutailler de « 2O h 17 rue Darling ». Toujours avec Picard.
Le DVD de ce film se trouvait dans un placard, dans le Centre Culturel où je me procure la plupart de mes locations. Chose rare, j’ai choisi un film en fonction de son acteur principal. J’ai eu le plaisir de ramener Luc Picard à la maison et de passer la soirée avec lui. Nice date!
En quelques mots, voici le synopsis tel qu’il apparaît sur la jaquette :
« Gérard ( Luc Picard ), ex-journaliste aux faits divers et Alcoolique Anonyme, revenu vivre en bout de course dans Hochelaga, le quartier de son enfance, est un homme qui doit la vie à un lacet détaché. À cause de ce contretemps, il arrive chez lui quelques minutes après l’explosion de son immeuble. Six personnes sont mortes dans le sinistre. Des questions le tenaillent : pourquoi ses voisins sont-ils morts et pas lui ? Cet événement a-t-il un sens ? La vie a-t-elle un sens ? Pour y répondre, Gérard fouille le passé des victimes. De Hochelaga à Maniwaki, il mène l’enquête et fait toutes sortes de rencontres. »
Tout au long de l’histoire, on suit le personnage de Gérard dans ses errances et ses questionnements. L’ancien journaliste/alcoolique mène une enquête qui prend des allures de quête intérieure, sans jamais verser dans la facilité. Rien de larmoyant, de facile, juste des faits. Un côté film noir que son réalisateur/auteur a traité à la manière d’un road movie, porté par une musique intrigante qui entretient le mystère, du début à la fin. Pas de courses poursuites, pas de gros flingues, de grosses bastons, une véritable réflexion, des personnages crédibles, humains, au service d’une intrigue qui tient la route. En voyant ce film, je m’étais posée la question de savoir s’il était tiré d’un roman rapport à ses qualités narratives. J’ai eu la bonne surprise de voir que le roman était né « à cause » du projet du réalisateur. Celui-ci a entrepris de bâtir son scénario et a, finalement, achevé l’écriture de son premier roman. Voici donc un roman né d’un synopsis, et pourquoi pas ?
Je ne vous raconte rien de mes impressions pour ne pas vous influencer, je dirai seulement que j’ai énormément apprécié ce film et que je peux le voir et le revoir, comme on lit et relit un bon bouquin. Pour laisser le premier rôle à qui de droit, j’ai joué le rôle de la fille qui prend des notes pour vous servir le début du film. Le ton est donné dès cette entrée en matière et le reste est dans la même veine. Si vous n’aimez pas, passez votre chemin, sinon, bienvenue Rue Darling.
« Je m’appelle Gérard et je suis alcoolique. Je suis sobre depuis six mois et deux jours, et normalement je devrais être mort. J’aime pas la mer, mais à Saint-Jean-Port-Joli, au printemps, y a pas grand-chose d’autre à faire que de la regarder. Ça fait que je la regarde. C’est dur de savoir, exactement, comment les histoires commencent. On pourrait dire que la mienne a commencé par un coup de téléphone. »
Tu viens manger chez nous ? J’ai pris un film au Lien. C’est avec Luc Picard.
Ma première rencontre.
Avec Luc Picard ? Connais pas.
Il est ben connu, au Québec.
Même genre que Patrick Huard ?
Non, tu verras.
Ouais, j’ai vu. Pas le même genre. Du tout.
Fin de « L’Audition », le film en question. Le mari de mon amie commente.
Ben c’était plate à chier !
Elle, pas mieux. Je me tais, qu’est-ce que tu veux que je dise ? Je viens de rencontrer Luc Picard.
« L’Audition », par bien des aspects, n’a pas été sans me rappeler « De battre mon cœur s’est arrêté ». Les deux films montrent un personnage principal de truand à la petite semaine qui cherche à s’offrir une rédemption – l’un par le jeu, en devenant acteur, l’autre par la musique. Si je suis restée assez insensible au film français malgré tout le battage qui en avait été fait, cela n’a pas été le cas avec l’outsider québécois. Si je ne suis pas fan de Duris, pas fan de qui que ce soit tout court, par principe, je suis devenue inconditionnelle de Picard. Mais on n’est pas ici pour parler de « L’Audition » dont on peut facilement trouver la bande-annonce sur le web. Non. On est là pour discutailler de « 2O h 17 rue Darling ». Toujours avec Picard.
Le DVD de ce film se trouvait dans un placard, dans le Centre Culturel où je me procure la plupart de mes locations. Chose rare, j’ai choisi un film en fonction de son acteur principal. J’ai eu le plaisir de ramener Luc Picard à la maison et de passer la soirée avec lui. Nice date!
En quelques mots, voici le synopsis tel qu’il apparaît sur la jaquette :
« Gérard ( Luc Picard ), ex-journaliste aux faits divers et Alcoolique Anonyme, revenu vivre en bout de course dans Hochelaga, le quartier de son enfance, est un homme qui doit la vie à un lacet détaché. À cause de ce contretemps, il arrive chez lui quelques minutes après l’explosion de son immeuble. Six personnes sont mortes dans le sinistre. Des questions le tenaillent : pourquoi ses voisins sont-ils morts et pas lui ? Cet événement a-t-il un sens ? La vie a-t-elle un sens ? Pour y répondre, Gérard fouille le passé des victimes. De Hochelaga à Maniwaki, il mène l’enquête et fait toutes sortes de rencontres. »
Tout au long de l’histoire, on suit le personnage de Gérard dans ses errances et ses questionnements. L’ancien journaliste/alcoolique mène une enquête qui prend des allures de quête intérieure, sans jamais verser dans la facilité. Rien de larmoyant, de facile, juste des faits. Un côté film noir que son réalisateur/auteur a traité à la manière d’un road movie, porté par une musique intrigante qui entretient le mystère, du début à la fin. Pas de courses poursuites, pas de gros flingues, de grosses bastons, une véritable réflexion, des personnages crédibles, humains, au service d’une intrigue qui tient la route. En voyant ce film, je m’étais posée la question de savoir s’il était tiré d’un roman rapport à ses qualités narratives. J’ai eu la bonne surprise de voir que le roman était né « à cause » du projet du réalisateur. Celui-ci a entrepris de bâtir son scénario et a, finalement, achevé l’écriture de son premier roman. Voici donc un roman né d’un synopsis, et pourquoi pas ?
Je ne vous raconte rien de mes impressions pour ne pas vous influencer, je dirai seulement que j’ai énormément apprécié ce film et que je peux le voir et le revoir, comme on lit et relit un bon bouquin. Pour laisser le premier rôle à qui de droit, j’ai joué le rôle de la fille qui prend des notes pour vous servir le début du film. Le ton est donné dès cette entrée en matière et le reste est dans la même veine. Si vous n’aimez pas, passez votre chemin, sinon, bienvenue Rue Darling.
« Je m’appelle Gérard et je suis alcoolique. Je suis sobre depuis six mois et deux jours, et normalement je devrais être mort. J’aime pas la mer, mais à Saint-Jean-Port-Joli, au printemps, y a pas grand-chose d’autre à faire que de la regarder. Ça fait que je la regarde. C’est dur de savoir, exactement, comment les histoires commencent. On pourrait dire que la mienne a commencé par un coup de téléphone. »
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 46
Date d'inscription : 31/03/2008
20h17 rue darling
Je viens de faire un tour sur le net.
Ce film semble invisible en france. (Livre idem...)
Vendu seulement sur sites américains et canadiens en dvd zone 1 c'est à dire qui ne fonctionne pas ici...
Mais merci d'élargir nos horizons et pour ce texte de présentation
Ce film semble invisible en france. (Livre idem...)
Vendu seulement sur sites américains et canadiens en dvd zone 1 c'est à dire qui ne fonctionne pas ici...
Mais merci d'élargir nos horizons et pour ce texte de présentation
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Pas que du cinéma
C'est pourquoi j'ai choisi de parler de ce film, Rebecca, même en le survolant. Il est dommage de trouver facilement de mauvais films et si difficilement de bons films. Qui plus est, sur la jaquette du DVD, il apparaît que "20h17..." a eu droit à Cannes en 2003. Alors, pourquoi ne le trouve-t-on pas ? C'est un film québécois, certes, mais avec un propos terriblement universel. Le cinéma disponible, ici ( dans ma province ), est bourré de blockbusters et de comédies romantiques toutes plus imbuvables les unes que les autres. Je sature !!! Ayant ( par choix ) refusé de prendre la télé à domicile, je me suis vite retrouvée à acheter des films... et ai été très souvent déçue au plus haut point. Maintenant, on peut louer des vidéos au village ( tant mieux ! ) et je me suis vite retrouvée à courir après le cinéma indépendant sous peine de me lobotomiser méchamment. Je ne dis pas qu'un film doit, forcément, être intelligent ( même si c'est mieux ), je dis, seulement, qu'il ne doit pas nous prendre que pour des cons ( pour plagier un certain humoriste ).
En tout cas, pour le problème de zone du DVD, il se règle facilement en le regardant via un ordinateur. L'ordi indique à son utilisateur, d'une voix flutée :
Hey ! C'est pas la bonne zone, coco. Est-ce que tu veux changer ? T'as droit à quatre chances. Parce qu'à la cinquième, je m'autodétruis, mais si t'es sûr de toi...
Alors, tu peux changer. Ou pas. Mais il est possible de voir un DVD d'ailleurs grâce à cette fonction. J'avais ce problème avec les films ramenés de France. ^^
Pour ce qui est du livre, j'attends la réouverture de la bibli du village et je le commande. Suis curieuse de voir ce que cela donne. Au besoin, Rebecca, je peux te le faire parvenir en le commandant via une librairie voisine, si tu es intéressée à le lire.
En tout cas, pour le problème de zone du DVD, il se règle facilement en le regardant via un ordinateur. L'ordi indique à son utilisateur, d'une voix flutée :
Hey ! C'est pas la bonne zone, coco. Est-ce que tu veux changer ? T'as droit à quatre chances. Parce qu'à la cinquième, je m'autodétruis, mais si t'es sûr de toi...
Alors, tu peux changer. Ou pas. Mais il est possible de voir un DVD d'ailleurs grâce à cette fonction. J'avais ce problème avec les films ramenés de France. ^^
Pour ce qui est du livre, j'attends la réouverture de la bibli du village et je le commande. Suis curieuse de voir ce que cela donne. Au besoin, Rebecca, je peux te le faire parvenir en le commandant via une librairie voisine, si tu es intéressée à le lire.
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 46
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Pas que du cinéma
Pour ceux qui ont déjà vu Avatar :
https://www.youtube.com/watch?v=UdIIqoDakHU&feature=player_embedded
https://www.youtube.com/watch?v=UdIIqoDakHU&feature=player_embedded
Re: Pas que du cinéma
Le sauvetage : Le synopsis ayant l’air prometteur, j’emprunte ce DVD, le range ( il faut jamais faire ça quand on a une tête de linotte, par exemple ), l’oublie. Classique. Le hasard faisant de temps à autre bien les choses, je retrouve le boîtier de plastique. Chargement du film dans le lecteur et c’est parti. Après une ingurgitation de cinéma sirupeux ou formaté… et quelques fraises Tagada, c’est une bonne surprise de se retrouver face à une histoire de ce genre. Dépaysement : l’action se passe à Montréal dans une Université. Découverte d’un système, cela ne fait jamais de mal. L’accent des acteurs, c’est sympa aussi. Des visages inconnus : merveilleux ! Un professeur plus vrai que nature ; des étudiants remontés dans un contexte de grèves qui m’a rappelé certaines AG dans un certain amphi à une époque, maintenant, lointaine ; un recteur au physique de François Hollande avec des idées plutôt de droite ( je vous jure que c’est étonnant ! ) ; un élève paumé à la personnalité dérangeante : une bombe à retardement.
J’ai embarqué tranquillement dans une histoire qui se laisse suivre avec plaisir, on rentre dans le film qu’on soit étudiant ou non, jeune ou plus vieux. À mesure que l’histoire avance, on va vers une violence difficilement contenue dans les propos et, surtout, les actes. On hésite entre drame et tragédie. Cette violence qui parcourt l’ensemble du film qu’elle soit faite à soi-même ou tournée vers les autres, qu’elle soit sociale ou plus personnelle donc, cette violence est, parfois, assez pénible à supporter. Point de torture, mais des personnages et des spectateurs sous pression. Une cocotte-minute dont on aurait négligé de dévisser la soupape de sécurité.
J’entre dans ce monde que l’on dépeint avec d’autant plus de facilité que je vis à Pleasantville, lieu où tout le monde il est beau et tout le monde il est gentil, où on va à l’église le dimanche et où on lave son âme en se déchargeant de ses mauvaises pensées en les racontant à un petit bonhomme tout de noir vêtu, où on regarde des films interdits au moins de treize ans et que Disney ne renierait pas, où on est pétri de bons sentiments et… et… et… La soupape de sécurité a besoin de se relâcher, par moment.
Je ne dirai pas que ce film fait l’apologie de la violence, même s’il force probablement le trait par moments. Il s’appuie sur un scénario coup de poing, qui essaie de faire réagir ceux qui le visionnent. Il est de son temps.
Gros points forts :
• Les dialogues.
• Le personnage du professeur incarné par Alexis Martin.
• L’élève campé par Benoît McGinnis qu’on sent prêt à exploser à la moindre provocation et dont on attend, tout au long du film, de voir ce qu’il va bien pouvoir faire.
Le tout se passe dans une Université qui est, en quelque sorte, une microsociété en soi. Oui, il y a critique du système éducatif québécois, mais pas seulement. Et, sincèrement, dans ce pays ou ailleurs, on retrouve de belles similitudes. Je ne connais rien à ce système, pourtant je n’ai eu aucun problème à comprendre de quelle manière il fonctionne.
Je ne glisse aucune bande-annonce. On la trouve facilement sur la toile. Je me contenterai du synopsis et de l’affiche du film. Certes, c’est un peu court, mais l’envie de réagir à chaud a été la plus forte.
Synopsis
Montréal, temps présent. L'université est une véritable poudrière. Les membres de l'association étudiante, dirigée par deux leaders à couteaux tirés, grondent et menacent de déclencher la grève. Sourd à leurs revendications, le recteur tire en coulisses les ficelles d'un projet immobilier douteux. Dans sa classe, un professeur de cinéma passionné tente de neutraliser un étudiant désaxé qui conteste sa méthode et le provoque sans relâche. Peu après que l'enseignant eut commis l'erreur de réagir physiquement à son persécuteur, la grève est déclenchée, coïncidant avec la tenue d'un banquet en l'honneur du recteur. La fille de ce dernier, mère célibataire toxicomane, y débarque subitement, annonçant sans le savoir le grand malheur qui est sur le point de se produire.
J’ai embarqué tranquillement dans une histoire qui se laisse suivre avec plaisir, on rentre dans le film qu’on soit étudiant ou non, jeune ou plus vieux. À mesure que l’histoire avance, on va vers une violence difficilement contenue dans les propos et, surtout, les actes. On hésite entre drame et tragédie. Cette violence qui parcourt l’ensemble du film qu’elle soit faite à soi-même ou tournée vers les autres, qu’elle soit sociale ou plus personnelle donc, cette violence est, parfois, assez pénible à supporter. Point de torture, mais des personnages et des spectateurs sous pression. Une cocotte-minute dont on aurait négligé de dévisser la soupape de sécurité.
J’entre dans ce monde que l’on dépeint avec d’autant plus de facilité que je vis à Pleasantville, lieu où tout le monde il est beau et tout le monde il est gentil, où on va à l’église le dimanche et où on lave son âme en se déchargeant de ses mauvaises pensées en les racontant à un petit bonhomme tout de noir vêtu, où on regarde des films interdits au moins de treize ans et que Disney ne renierait pas, où on est pétri de bons sentiments et… et… et… La soupape de sécurité a besoin de se relâcher, par moment.
Je ne dirai pas que ce film fait l’apologie de la violence, même s’il force probablement le trait par moments. Il s’appuie sur un scénario coup de poing, qui essaie de faire réagir ceux qui le visionnent. Il est de son temps.
Gros points forts :
• Les dialogues.
• Le personnage du professeur incarné par Alexis Martin.
• L’élève campé par Benoît McGinnis qu’on sent prêt à exploser à la moindre provocation et dont on attend, tout au long du film, de voir ce qu’il va bien pouvoir faire.
Le tout se passe dans une Université qui est, en quelque sorte, une microsociété en soi. Oui, il y a critique du système éducatif québécois, mais pas seulement. Et, sincèrement, dans ce pays ou ailleurs, on retrouve de belles similitudes. Je ne connais rien à ce système, pourtant je n’ai eu aucun problème à comprendre de quelle manière il fonctionne.
Je ne glisse aucune bande-annonce. On la trouve facilement sur la toile. Je me contenterai du synopsis et de l’affiche du film. Certes, c’est un peu court, mais l’envie de réagir à chaud a été la plus forte.
Synopsis
Montréal, temps présent. L'université est une véritable poudrière. Les membres de l'association étudiante, dirigée par deux leaders à couteaux tirés, grondent et menacent de déclencher la grève. Sourd à leurs revendications, le recteur tire en coulisses les ficelles d'un projet immobilier douteux. Dans sa classe, un professeur de cinéma passionné tente de neutraliser un étudiant désaxé qui conteste sa méthode et le provoque sans relâche. Peu après que l'enseignant eut commis l'erreur de réagir physiquement à son persécuteur, la grève est déclenchée, coïncidant avec la tenue d'un banquet en l'honneur du recteur. La fille de ce dernier, mère célibataire toxicomane, y débarque subitement, annonçant sans le savoir le grand malheur qui est sur le point de se produire.
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 46
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Pas que du cinéma
C'est plaisant de lire des avis détaillés !
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Pas que du cinéma
Ne pas jouer le jeu de faire dans la critique de presse ou de spectateur ; réfléchir, par contre. Penser. C’est toujours possible, c’est toujours souhaité. En explorant, toujours, ce que le cinéma canadien ( québécois, surtout ) a à offrir, découlant du visionnage du Banquet, m’est tombé entre les mains Polytechnique.
Peu intéressée par les faits divers, surtout ceux de ce type, mais après avoir lu des critiques de spectateurs et vu la bande-annonce du film, je me suis lancée.
Quelques mouchoirs sur la table, la soirée devant moi, le tour était joué.
Au final, que dire ? Les trois mouchoirs en papier étaient toujours sur la table, inutilisés, les yeux de la spectatrice plutôt secs, l’émotion sous contrôle. Pas de problème ! Mais alors, pourquoi suis-je restée dans mon fauteuil ? Pourquoi, aussi, avoir inséré le second DVD avec ses suppléments dans le lecteur et les avoir regardé ? Il faut croire que quelque chose me chiffonnait, si vous me passez l’expression. Et c’est heureux. Je n’aime pas rester simple spectatrice et me contenter de dire : « C’était pas mal » ou « Un vrai nanar », puis passer mon chemin. Et qu’est-ce qui fait qu’un film sait retenir votre attention ? À quel niveau cela se passe-t-il ?
Je me suis sentie rassurée de ne pas avoir joué les fontaines à l’issue de la projection. Rassurée par la vision du réalisateur, par le travail de scénarisation, par le jeu si juste des acteurs, par le fait que, probablement, j’avais bien vécu ce regard jeté sur un événement hors norme du passé auquel je n’avais pas participé, pour lequel je n’avais pas à m’en faire, d’une certaine façon.
Revenons sur les faits. Le 6 Décembre 1989. École Polytechnique. Montréal. Plutôt que de vous raconter par le menu car peut-être, comme moi jusqu’à il y a encore quelques semaines, vous ignorez tout de ce qui s’est joué ce jour-là, je vais vous donner à lire un extrait de lettre non corrigée. Voici :
« […] Veillez noter que si je me suicide aujourd'hui 89/12/06 ce n'est pas pour des raisons économiques (car j'ai attendu d'avoir épuisé tout mes moyens financiers refusant même de l'emploi) mais bien pour des raisons politiques. Car j'ai décidé d'envoyer Ad Patres les féministes qui m'ont toujours gaché la vie. Depuis 7 ans que la vie ne m'apporte plus de joie et étant totalement blasé, j'ai décidé de mettre des bâtons dans les roues à ces viragos.[…] »
Entrer dans une « histoire » comme celle-ci au lendemain de la Journée de la femme était un hasard, probablement, calculé. Je ne crois pas à la chance, à la malchance ou à l’adversité. Les événements se succèdent dans un ordre, parfois, incompréhensible, mais ils viennent quand il le faut. Surtout les mauvais… dans mon cas.
Je peux comprendre la lassitude, le ras-le-bol, le désespoir : je les vis en plein. Pourtant, jamais il ne me viendrait à l’esprit de prendre une arme et quelques balles pour faire un carton dans quelque institution que ce soit. En lisant des informations autour du film, j’ai noté plusieurs références à Elephant ( tueurs de masse, parti pris par le(s) réalisateur(s), etc… ), pourtant il n’y a pas plus différent que ces deux longs métrages. Ayant été très insensible à celui de Van Sant, je vais m’abstenir d’en parler plus avant.
Revenons à Polytechnique : fin de la projection. Oui, c’est bien fichu. Un coup d’œil sur les suppléments ( dont un gros coup d’oreille sur ceci : http://archives.radio-canada.ca/societe/criminalite_justice/dossiers/382-2179/ ! ) et on se prépare pour la nuit.
Et on se réveille.
Des images plein le crâne.
Des questions, de l’incompréhension plein la tête.
Plusieurs fois, cette nuit-là.
Comme l’écrivait Lépine dans sa lettre, comme l’a souligné Bourgault dans sa relecture des événements, on peut parler d’un acte politique. En 1989, un truc pareil, ça fout les jetons, pour faire simple !
En pensant au 8 Mars, journée ne différant nullement des autres dans une semaine de travail bien remplie, je me suis prise à me demander ce que cela signifiait d’être une femme. J’ai écris un article, l’ai déposé sur les murs de notre Centre Communautaire, ai placé à côté de celui-ci une affiche sur laquelle les femmes présentes ce jour-là pouvaient écrire le nom des femmes qui étaient ou avaient été importantes dans leur vie ( des anonymes, pas des personnalités ) et, comme d’habitude, c’est passé inaperçu. Je me la pose toujours, cette question. Je me demande, aussi, comment un homme a pu faire l’amalgame entre être femme et être féministe et je ne trouve pas de réponse.
Un film, pour ma part, nécessaire. En noir et blanc ( merci au réalisateur, et pas que pour le côté esthétique, il avait la volonté de ne pas en faire un film gore où le sang serait au premier plan et, également, pour sa référence au « Guernica » de Picasso ! ) Un brouillage des époques ( des années 80, on n’a que quelques musiques qui semblent s’être perdues dans la bande-son ) : cela pourrait se passer il y a vingt ans, il y en a dix, aujourd’hui ou demain. Un acte isolé, mais qui révèle un malaise, à mon sens, plus profond que le pétage de plombs de deux ados ou d’un étudiant qui veut faire plus fort que « ses modèles ». La mise en images d’un fait divers qui joue le jeu de faire du cinéma. Une histoire qui ne bouleverse pas, sur l’instant, mais qui remue et fait réfléchir.
« Je ne crois pas que les hommes soient meilleurs que les femmes, mais je ne crois pas que les femmes soient meilleures que les hommes. »
Peu intéressée par les faits divers, surtout ceux de ce type, mais après avoir lu des critiques de spectateurs et vu la bande-annonce du film, je me suis lancée.
Quelques mouchoirs sur la table, la soirée devant moi, le tour était joué.
Au final, que dire ? Les trois mouchoirs en papier étaient toujours sur la table, inutilisés, les yeux de la spectatrice plutôt secs, l’émotion sous contrôle. Pas de problème ! Mais alors, pourquoi suis-je restée dans mon fauteuil ? Pourquoi, aussi, avoir inséré le second DVD avec ses suppléments dans le lecteur et les avoir regardé ? Il faut croire que quelque chose me chiffonnait, si vous me passez l’expression. Et c’est heureux. Je n’aime pas rester simple spectatrice et me contenter de dire : « C’était pas mal » ou « Un vrai nanar », puis passer mon chemin. Et qu’est-ce qui fait qu’un film sait retenir votre attention ? À quel niveau cela se passe-t-il ?
Je me suis sentie rassurée de ne pas avoir joué les fontaines à l’issue de la projection. Rassurée par la vision du réalisateur, par le travail de scénarisation, par le jeu si juste des acteurs, par le fait que, probablement, j’avais bien vécu ce regard jeté sur un événement hors norme du passé auquel je n’avais pas participé, pour lequel je n’avais pas à m’en faire, d’une certaine façon.
Revenons sur les faits. Le 6 Décembre 1989. École Polytechnique. Montréal. Plutôt que de vous raconter par le menu car peut-être, comme moi jusqu’à il y a encore quelques semaines, vous ignorez tout de ce qui s’est joué ce jour-là, je vais vous donner à lire un extrait de lettre non corrigée. Voici :
« […] Veillez noter que si je me suicide aujourd'hui 89/12/06 ce n'est pas pour des raisons économiques (car j'ai attendu d'avoir épuisé tout mes moyens financiers refusant même de l'emploi) mais bien pour des raisons politiques. Car j'ai décidé d'envoyer Ad Patres les féministes qui m'ont toujours gaché la vie. Depuis 7 ans que la vie ne m'apporte plus de joie et étant totalement blasé, j'ai décidé de mettre des bâtons dans les roues à ces viragos.[…] »
Entrer dans une « histoire » comme celle-ci au lendemain de la Journée de la femme était un hasard, probablement, calculé. Je ne crois pas à la chance, à la malchance ou à l’adversité. Les événements se succèdent dans un ordre, parfois, incompréhensible, mais ils viennent quand il le faut. Surtout les mauvais… dans mon cas.
Je peux comprendre la lassitude, le ras-le-bol, le désespoir : je les vis en plein. Pourtant, jamais il ne me viendrait à l’esprit de prendre une arme et quelques balles pour faire un carton dans quelque institution que ce soit. En lisant des informations autour du film, j’ai noté plusieurs références à Elephant ( tueurs de masse, parti pris par le(s) réalisateur(s), etc… ), pourtant il n’y a pas plus différent que ces deux longs métrages. Ayant été très insensible à celui de Van Sant, je vais m’abstenir d’en parler plus avant.
Revenons à Polytechnique : fin de la projection. Oui, c’est bien fichu. Un coup d’œil sur les suppléments ( dont un gros coup d’oreille sur ceci : http://archives.radio-canada.ca/societe/criminalite_justice/dossiers/382-2179/ ! ) et on se prépare pour la nuit.
Et on se réveille.
Des images plein le crâne.
Des questions, de l’incompréhension plein la tête.
Plusieurs fois, cette nuit-là.
Comme l’écrivait Lépine dans sa lettre, comme l’a souligné Bourgault dans sa relecture des événements, on peut parler d’un acte politique. En 1989, un truc pareil, ça fout les jetons, pour faire simple !
En pensant au 8 Mars, journée ne différant nullement des autres dans une semaine de travail bien remplie, je me suis prise à me demander ce que cela signifiait d’être une femme. J’ai écris un article, l’ai déposé sur les murs de notre Centre Communautaire, ai placé à côté de celui-ci une affiche sur laquelle les femmes présentes ce jour-là pouvaient écrire le nom des femmes qui étaient ou avaient été importantes dans leur vie ( des anonymes, pas des personnalités ) et, comme d’habitude, c’est passé inaperçu. Je me la pose toujours, cette question. Je me demande, aussi, comment un homme a pu faire l’amalgame entre être femme et être féministe et je ne trouve pas de réponse.
Un film, pour ma part, nécessaire. En noir et blanc ( merci au réalisateur, et pas que pour le côté esthétique, il avait la volonté de ne pas en faire un film gore où le sang serait au premier plan et, également, pour sa référence au « Guernica » de Picasso ! ) Un brouillage des époques ( des années 80, on n’a que quelques musiques qui semblent s’être perdues dans la bande-son ) : cela pourrait se passer il y a vingt ans, il y en a dix, aujourd’hui ou demain. Un acte isolé, mais qui révèle un malaise, à mon sens, plus profond que le pétage de plombs de deux ados ou d’un étudiant qui veut faire plus fort que « ses modèles ». La mise en images d’un fait divers qui joue le jeu de faire du cinéma. Une histoire qui ne bouleverse pas, sur l’instant, mais qui remue et fait réfléchir.
« Je ne crois pas que les hommes soient meilleurs que les femmes, mais je ne crois pas que les femmes soient meilleures que les hommes. »
Pierre Bourgault.
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 46
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Pas que du cinéma
Vivement qu'il y ait un beau film à voir en 3 D parce que le procédé lui est génial il en fout plein les mirettes!
Sûr! Je n'irai au 3d que lorsque Miyasaki sera passé par là !!! (autant dire, encore de la marge...)
Polixène- Nombre de messages : 3287
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Date d'inscription : 23/02/2010
Re: Pas que du cinéma
rrrrrrrrrrrrrhooooooooo désolée, plantée dans ma citation de la phrase de Rebecca.
C'est réparé.
La Modération
ok ok , cette fois j'y vais .
C'est réparé.
La Modération
ok ok , cette fois j'y vais .
Polixène- Nombre de messages : 3287
Age : 61
Localisation : Dans un pli du temps . (sohaz@mailo.com)
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Re: Pas que du cinéma
http://www.lexpress.fr/culture/cinema/des-films-de-melies-ford-et-griffith-retrouves_898104.html
Re: Pas que du cinéma
À propos de cinéma, j'aimerais bien que chacun s'essaie à un classement de disons vingt films (vos vingt films parce que j'ai sûrement peut-être loupé quelque chose)
Yali- Nombre de messages : 8624
Age : 59
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Pas que du cinéma
Yali a écrit:À propos de cinéma, j'aimerais bien que chacun s'essaie à un classement de disons vingt films (vos vingt films parce que j'ai sûrement peut-être loupé quelque chose)
Sais pas si faut mettre ça ici ou dans le fil "cinéma.
mais bon...
1. Citizen Kane (1941) de Orson Welles
2. Le Dictateur (1940) et Les temps Modernes (1936) de Charlie Chaplin
3. La Fureur de Vivre (1955), de Nicholas Ray et tout Nic Ray
4. Bus Stop (1956) de Joshua Logan
5. Opening Night (1978), Gloria (1980) de John Cassavetes et tout Cassavetes
6. Le salaire de la peur (1953) d’Henri-Georges Clouzot
7. Un Taxi pour Tobrouk (1960) de Denys de la Patellière et surtout les dialogues de Michel Audiard
8. L’île Nue (1960), de Kaneto Shindô
9. A bout de souffle (1960) et Pierrot le fou (1965) de jean-Luc Godard
10. 2001, Odyssée de l’espace (1968) et Orange Mécanique (1971) de Stanley Kubrick
11. Apocalypse Now (1970) de Francis Ford-Coppola
12. Family live (1971) et Raining Stones (1993) de Ken Loach
13. Le Conformiste (1970) et 1900 (1975), de Bernardo Bertolucci
14. Le Décameron (1971) de Pier Paolo Pasolini
15. Alice n’est plus ici (1974) et Taxi Driver ( 1976) de Martin Scorsese
16. Propriété Interdite (1968) et On achève bien les chevaux (1969) de Sydney Pollack
17. Affreux, sales et méchants (1976) d’Ettore Scola
18. Manhattan (1979) Annie Hall ( 1977) de Woody Allen
19. Georgia (Four Friends), 1981 de Arthur Penn et tout Arthur Penn
20. Le ventre de l’architecte ( 1987) de Peter Greenaway
21. Paris Texas (1984) et Les ailes du désir (1987) de Wim Wenders
22. Le temps des gitans (1988) et La vie est un miracle (2004) de Emir Kusturica
23. L’odeur de la papaye verte (1993) de Tran Anh Hung
24. In de Mood for Love (2000) et 2046 2004) de Wong Kar-waï
25. Le Ruban Blanc (2009) de Michael Hanneke
Choix très difficile! Voici une sélection parmi mes films préférés mais j’aurais tout aussi sincèrement pu en choisir 25 autres.
Kilis- Nombre de messages : 6085
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Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Pas que du cinéma
Pas de champignons à l'horizon mais des délices sous la mousse :
1. Mort à Venise
2. Et vogue le navire
3. Vol au-dessus d'un nid de coucou
4. La dentellière
5. Affreux, sales et méchants
6. Orange mécanique
7. Shinning
8. Rocco et ses frères
9. La strada
10. Vincent, François...
11. Max et les ferrailleurs
12. The servant
13. Z
14. Dossier 51
15. Boys don't cry
16. Elephant man
17. Le bal des maudits
18. L'œuf du serpent
19. La terrasse des Finzi Contini
20. Brazil
sans compter les autres endormis dans la mémoire.
1. Mort à Venise
2. Et vogue le navire
3. Vol au-dessus d'un nid de coucou
4. La dentellière
5. Affreux, sales et méchants
6. Orange mécanique
7. Shinning
8. Rocco et ses frères
9. La strada
10. Vincent, François...
11. Max et les ferrailleurs
12. The servant
13. Z
14. Dossier 51
15. Boys don't cry
16. Elephant man
17. Le bal des maudits
18. L'œuf du serpent
19. La terrasse des Finzi Contini
20. Brazil
sans compter les autres endormis dans la mémoire.
Ba- Nombre de messages : 4855
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Localisation : Promenade bleue, blanc, rouge
Date d'inscription : 08/02/2009
Re: Pas que du cinéma
21. Blade runner
22. Adieu ma concubine
23. Fantasia
24. Délivrance
25.Le souper
22. Adieu ma concubine
23. Fantasia
24. Délivrance
25.Le souper
Ba- Nombre de messages : 4855
Age : 71
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Re: Pas que du cinéma
Bonjour.
Amours chiennes (2000) d'Alejandro González Iñárritu ;
Bagdad Café (1987) de Percy Adlon ;
Citizen Kane (1941) Le Procès (1962) de Orson Welles
Cocorico Monsieur Poulet (1989) de Jean Rouch ;
Farrebique (1946) et Biquefarre (1984) de Georges Rouquier ;
Funny games (1998) de Mickael Haneke ;
Into the Wild (2007) de Sean Penn ;
La Femme du boulanger (1938) de Marcel Pagnol ;
La trilogie de l'île aux coudres (1963) de Pierre Perrault ;
L'homme qui plantait des arbres (1987) de Frédéric Back ;
Little Big Man (1970) d'Arthur Penn ;
Lolita (1962) de Stanley Kubrick ;
Le Sorgho rouge (1987) de Zhang Yimou ;
Métropolis (1927) de Fritz Lang ;
Mon oncle (1958) de Jacques Tati ;
Paï (Whale Rider) (2003) de Niki Caro ;
Requiem for a dream (2000) de Darren Aronofsky ;
Sous le soleil de Satan (1987) de Maurice Pialat ;
The Big Lebowski (1997) des frères Coen ;
The Constant Gardener (2005) de Fernando Meirelles ;
Z (1968) de Costa Gavras ;
2046 (2004) de Wong Kar-Wai ;
Vous avez bien dit 22 pour le 10/10/10 ?
Amours chiennes (2000) d'Alejandro González Iñárritu ;
Bagdad Café (1987) de Percy Adlon ;
Citizen Kane (1941) Le Procès (1962) de Orson Welles
Cocorico Monsieur Poulet (1989) de Jean Rouch ;
Farrebique (1946) et Biquefarre (1984) de Georges Rouquier ;
Funny games (1998) de Mickael Haneke ;
Into the Wild (2007) de Sean Penn ;
La Femme du boulanger (1938) de Marcel Pagnol ;
La trilogie de l'île aux coudres (1963) de Pierre Perrault ;
L'homme qui plantait des arbres (1987) de Frédéric Back ;
Little Big Man (1970) d'Arthur Penn ;
Lolita (1962) de Stanley Kubrick ;
Le Sorgho rouge (1987) de Zhang Yimou ;
Métropolis (1927) de Fritz Lang ;
Mon oncle (1958) de Jacques Tati ;
Paï (Whale Rider) (2003) de Niki Caro ;
Requiem for a dream (2000) de Darren Aronofsky ;
Sous le soleil de Satan (1987) de Maurice Pialat ;
The Big Lebowski (1997) des frères Coen ;
The Constant Gardener (2005) de Fernando Meirelles ;
Z (1968) de Costa Gavras ;
2046 (2004) de Wong Kar-Wai ;
Vous avez bien dit 22 pour le 10/10/10 ?
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
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Re: Pas que du cinéma
Hello Hallo hola hi !
- Breaking the waves (von Trier)
- Les idiots (von Trier)
- La jeune fille et la mort (Polanski)
- Les mains d’Orlac (Wiene)
- Dogville (von Trier)
- Benny’s video (Haneke)
- Le pianiste (Polanski)
- 4 minutes (Kraus)
- Les ailes du désir (Wenders)
- M le maudit (Lang)
- Nosferatu (Murnau)
- Le cabinet du docteur Caligari (Wiene)
- Le dernier métro (Truffaut)
- Le dictateur (Chaplin)
- Le mariage de Maria Braun (Fassbinder)
- L’ange bleu (von Sternberg)
- Le cuirassé Potemkine (Eisenstein)
- L’échange (Eastwood)
- The reader (Daldry)
- Festen (Vinterberg)
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Ciné
Intéressant tout ça, on continue.
Yali- Nombre de messages : 8624
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;
Au tout venant :
-eureka!
-mystic river
-the thing
-saw
-hostel
-nosferatu (n&b)
-sin city
-american story x
-crash
-dead snow
-irréversible
-haute-tension
-37°2
-la chute du faucon noir
-la ligne verte
-shawshank redemption
-soldat Ryan
-shutter island
-une nuit sure terre
-kill bill
-Gaspard hauser
-les 7 samouraïs n&b
-wolf's creek
-the messengers
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Invité- Invité
Re: Pas que du cinéma
SM : j'ai vu un truc sur une plateforme "PunBB" : possibilité d'éditer son message pendant quelques minutes avant verrouillage. (définies par l'admin). C'est pas beau la vie ?
Invité- Invité
Re: Pas que du cinéma
C'est dans le désordre, mais parmi les films que j'ai préféré je citerai :
- Blue Velvet
- Elephant Man
- Alice in wonderland (téléfilm de 1999 qui m'a obsédée pendant des années)
- Moulin Rouge
- Revolutionnary Road (en français, les noces rebelles)
- Finding Neverland (qui me fait pleurer, oui je suis une chochotte)
- Eternal Sunshine of the Spotless Mind
- Fur (portrait imaginaire de Diane Arbus, dont certaines scènes m'ont fascinée)
- Together (film chinois)
- Shutter Island
- The Shining
- Into the Wild
- Pulp Fiction
- Romeo + Juliette
- Strictly ballroom
- Edward Scissorhands
- Tideland
- Antichrist
- Coraline
- The nightmare before Christmas
J'en ai sûrement oublié des que j'aime encore plus que certains de ceux que j'ai proposé, mais pour l'instant c'est tout ce qui me vient en tête.
- Blue Velvet
- Elephant Man
- Alice in wonderland (téléfilm de 1999 qui m'a obsédée pendant des années)
- Moulin Rouge
- Revolutionnary Road (en français, les noces rebelles)
- Finding Neverland (qui me fait pleurer, oui je suis une chochotte)
- Eternal Sunshine of the Spotless Mind
- Fur (portrait imaginaire de Diane Arbus, dont certaines scènes m'ont fascinée)
- Together (film chinois)
- Shutter Island
- The Shining
- Into the Wild
- Pulp Fiction
- Romeo + Juliette
- Strictly ballroom
- Edward Scissorhands
- Tideland
- Antichrist
- Coraline
- The nightmare before Christmas
J'en ai sûrement oublié des que j'aime encore plus que certains de ceux que j'ai proposé, mais pour l'instant c'est tout ce qui me vient en tête.
Re: Pas que du cinéma
C'est un truc de fous ça, à me faire passer une nuit blanche !
Ecco, en vrac plus ou moins :
Fitzcarraldo (Werner Herzog)
Le Christ s'est arrêté à Eboli (F Rosi)
Une journée particulière (Scola)
Le Mariage de Maria Braun (R Werner Fassbinder)
In the mood for love (Wong Karwai)
Dancer in the dark (Lars von Trier)
On golden pond (la maison du lac - Mark Rydell)
Jeremiah Johnson (S. Pollack)
Violence et passion (L Visconti)
Once were warriors (Lee Tamahori)
The hours (S Daldry)
Bagdad café (P Adlon)
Meurtre dans un jardin anglais (P Greenway)
César et Rosalie (Cl. Sautet)
Jules et Jim (HP Roché)
Le dîner de cons (F Veber)
Million dollar baby (Eastwood)
Into the wild (S Penn)
The big Lebowsky (Coen brothers)
Z (Costa-Gavras)
et aussi :
Vincent François Paul et les autres (Cl Sautet)
Zorba the Greek (M Cacoyannis)
Casablanca (M Curtiz)
E.T. (S Spielberg)
Educating Rita (L Gilbert)
Rain man (B Levinson)
The graduate (M Nichols)
Douze hommes en colère (S Lumet)
To kill a mocking bird (R Mulligan)
Apocalyse now (FF Coppola)
Witness (P Weir)
The servant (Losey)
Toto le héros (Jaco Van Dormael)
Whistle down the wind (B Forbes)
the life of Brian (Monty Python)
Psycho (A Hitchcock)
Ecco, en vrac plus ou moins :
Fitzcarraldo (Werner Herzog)
Le Christ s'est arrêté à Eboli (F Rosi)
Une journée particulière (Scola)
Le Mariage de Maria Braun (R Werner Fassbinder)
In the mood for love (Wong Karwai)
Dancer in the dark (Lars von Trier)
On golden pond (la maison du lac - Mark Rydell)
Jeremiah Johnson (S. Pollack)
Violence et passion (L Visconti)
Once were warriors (Lee Tamahori)
The hours (S Daldry)
Bagdad café (P Adlon)
Meurtre dans un jardin anglais (P Greenway)
César et Rosalie (Cl. Sautet)
Jules et Jim (HP Roché)
Le dîner de cons (F Veber)
Million dollar baby (Eastwood)
Into the wild (S Penn)
The big Lebowsky (Coen brothers)
Z (Costa-Gavras)
et aussi :
Vincent François Paul et les autres (Cl Sautet)
Zorba the Greek (M Cacoyannis)
Casablanca (M Curtiz)
E.T. (S Spielberg)
Educating Rita (L Gilbert)
Rain man (B Levinson)
The graduate (M Nichols)
Douze hommes en colère (S Lumet)
To kill a mocking bird (R Mulligan)
Apocalyse now (FF Coppola)
Witness (P Weir)
The servant (Losey)
Toto le héros (Jaco Van Dormael)
Whistle down the wind (B Forbes)
the life of Brian (Monty Python)
Psycho (A Hitchcock)
Invité- Invité
Re: Pas que du cinéma
Oh oui, je n'avais pas pensé à "the meaning of life", des Monthy Python, qui me fait pourtant mourir de rire chaque fois que je le vois !
Et (seul film français de ma liste), j'avoue que j'ai adoré "La cité de la peur" :-) !
Et (seul film français de ma liste), j'avoue que j'ai adoré "La cité de la peur" :-) !
Re: Pas que du cinéma
Au fait, visionné Broken Flowers aujourd'hui. Grand ! Merci Pili du tip (et tant pis pour le franglais !).
Invité- Invité
Re: Pas que du cinéma
Mouais…Easter(Island) a écrit:Au fait, visionné Broken Flowers aujourd'hui. Grand ! Merci Pili du tip (et tant pis pour le franglais !).
Yali- Nombre de messages : 8624
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Re: Pas que du cinéma
C'est dur de se restreindre à 20
En plus j'ai dû en oublier plein mais en premier jet voilà ce qui me vient
The Kid ou La ruée vers l’or - Chaplin
Lost in translation - Sofia Coppola
La vie est un miracle - Emir Kusturica
Tout sur ma mère ou Parle avec elle - Pedro Almodovar
La leçon de piano - Jane Campion
Dancer in the dark - Lars von Trier
O brother - les Frères Cohen
Reservoir dogs - Quentin Tarantino
Delicatessen - Carot et Jeunet
La vie des autres - Henckel von Donnersmarck
De battre mon cœur s’est arrêté - Jacques Audiard
Éléphant man ou Mulholland drive - David Lynch
Arsenic et vieilles dentelles ou la vie est belle - Franck Capra
La passante du sans-souci - Jacques Rouffio
Le vieux fusil - Robert Enrico
Il était une fois dans l’ouest - Sergio Leone
Taxi driver - Martin Scorsese
Orange mécanique ou Barry Lyndon - Stanley Kubrick
Sleepy Hollow ou Beetlejuice - Tim Burton
Sacré graal - Monthy python
En plus j'ai dû en oublier plein mais en premier jet voilà ce qui me vient
The Kid ou La ruée vers l’or - Chaplin
Lost in translation - Sofia Coppola
La vie est un miracle - Emir Kusturica
Tout sur ma mère ou Parle avec elle - Pedro Almodovar
La leçon de piano - Jane Campion
Dancer in the dark - Lars von Trier
O brother - les Frères Cohen
Reservoir dogs - Quentin Tarantino
Delicatessen - Carot et Jeunet
La vie des autres - Henckel von Donnersmarck
De battre mon cœur s’est arrêté - Jacques Audiard
Éléphant man ou Mulholland drive - David Lynch
Arsenic et vieilles dentelles ou la vie est belle - Franck Capra
La passante du sans-souci - Jacques Rouffio
Le vieux fusil - Robert Enrico
Il était une fois dans l’ouest - Sergio Leone
Taxi driver - Martin Scorsese
Orange mécanique ou Barry Lyndon - Stanley Kubrick
Sleepy Hollow ou Beetlejuice - Tim Burton
Sacré graal - Monthy python
elea- Nombre de messages : 4894
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Re: Pas que du cinéma
En 1Easter(Island) a écrit:Down by law, bien évidemment :-)
Yali- Nombre de messages : 8624
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Re: Pas que du cinéma
Pour ce putain de travling sur la musique de Tom waits
Yali- Nombre de messages : 8624
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Re: Pas que du cinéma
The reader
Je vais bien, ne t’en fais pas
Les petits mouchoirs
Persepolis
Matrix
La jetée (Chris Marker)
Gran torino
Harvey Milk
Titanic
Boy A
Le huitième jour
Le concert
Tatie Daniel
Flashdance
Inception
Pretty woman
Mme Doubtfire
Forest Gump
La ligne verte
Il y a longtemps que je t’aime
Mon oncle
Le pianiste
Inglorious bastered
Gamines
Nous trois
Paysages manufacturés
Reservoir dogs
…
(20 c’est trop difficile !)
Et comme Elea, premier jet, surement que hier ou demain, c’est pas la même liste :0)
Je vais bien, ne t’en fais pas
Les petits mouchoirs
Persepolis
Matrix
La jetée (Chris Marker)
Gran torino
Harvey Milk
Titanic
Boy A
Le huitième jour
Le concert
Tatie Daniel
Flashdance
Inception
Pretty woman
Mme Doubtfire
Forest Gump
La ligne verte
Il y a longtemps que je t’aime
Mon oncle
Le pianiste
Inglorious bastered
Gamines
Nous trois
Paysages manufacturés
Reservoir dogs
…
(20 c’est trop difficile !)
Et comme Elea, premier jet, surement que hier ou demain, c’est pas la même liste :0)
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