Une vie au goût amer

Trouve la force intérieur, exerce la sur les autres, louange ta joie et ton horreur, gratifie la vie autant qu’elle veuille l’être, n’espère rien venant de la part des autres car rien ni personne ne peut t’aider. Sors ton esprit de l’obscurité afin de voir la triste réalité qui t’es confié, jamais tu ne sauras réellement ce que tu vois, jamais tu ne sauras réellement ce que tu es, pourquoi tu penses. Tout ce mélange, on ne distingue plus le vrai du faux, on en devient fous. C’est atroce de voir comment bat le cœur du monde de nos jours, à quoi il faut penser pour essayer de croire exister. Du sang sur les murs, du sang sur le parterre, l’hémoglobine encore fraiche d’une plaie ouverte. Signe de défaillance humaine, faiblesse incontestable bien que regrettable. Les ravages de mes pleurs à l’intérieur de mon corps, un tsunami accompli accompagné d’une fureur si intense et si dense que je n’en vois pas la contenance.

Débordement assuré, bonheur éteint, étincelle d’espoir dans un souffle de souffre sur la lanterne déchu de mon cœur trempé de perles salées. Ne me sauve pas des flammes de l’enfer et laisse moi y périr, tu crois pouvoir t’en sortir seul et déployer tes ailes, et ton corps et ton cœur, et ton regard et ton ouïe, rien n’y fait, piégé dans le cercle endiablé d’une torture inimaginable, tu frôles la frénésie d’un coup de folie sur le bord d’un précipice d’injustice, la sensation encore de haïr, aussi détestable soit elle, aussi détestable sont les gens qu’un monde de sang impur est relativement désintégré sur le seuil d’une pensée interlocutrice d’un monde de paix.
Aussi brutal soit la colère qui t’animes, agis sur le coup quitte à perdre tout ce que tu peux avoir, quitte à gagner tout ce que tu veux, la vie est basé de coup de tête, de hasard et tout autre bazar, quitte ce monde pour vivre dans ton rêve, mais ne crois pas en ton rêve si tu veux revenir dans ce monde. Oublie la torture que tu t’infliges pour penser au plaisir que tu auras d’avoir souffert, l’expérience n’apporte rien, l’expérience est faite d’erreur, la vie est une erreur.

Châtiment du diable, malédiction, horreur de l’erreur qui écœure les mœurs plus que le cœur qui pleur des larmes de peur de commettre l’erreur d’un être qui se meurt. Le son de ta voix n’est que l’appel au secours, tes cordes vocales vibrant dans le vide aucun son ne sortant, tu t’étouffes de tes propres cris, tu avales tes paroles et avales ta langue de peur de parler de ce qui t’as été prohiber ainsi mettant en cause le péril d’une âme sensible, un bûcher à découvert, des coups de matraque t’affaiblissant à chaque coups sans que tu ne puisse rien faire, illusion parfaite et images reconnues par la pensée, conscience de pouvoir mourir tout en vivant, sentir la mort arriver sans que rien ne se passe, invasion de parasite en toi ainsi te privant de toute lois subsistante à une réalité réelle, le pouvoir d’une puissance supérieur, prie pour elle et sens la venir en toi, soumet toi à elle tout en décidant de tes pas, subit là et écoute la, ne te frustre pas à son appel, écoute la, ne te braque pas contre elle, écoute la.
On ne changera rien, accablé d’une accalmie si torride qu’elle en devient inexistante au yeux de tous, toi qui peut voir ce que tu penses, ne t’attardes pas a essayer de voir ce que les autres voient, personne ne saura jamais ce que tu ressens vraiment, chacun est unique, tu ne peux rien partagé car les sentiments, car les paroles, car les gestes sont pris de telles façon par chacun qu’on ne peut être sur des réactions qui subsistent dans un contexte défini dans le temps. Lame tranchante au coin des lèvres, telle est la punition de vouloir parler, telle est la punition de vouloir apaisé ses souffrances.

La confiance ne se gagne pas elle n’est même pas là, comment peut on croire en quelque chose d’irréel et dont personne n’a aucun respect pour cette notion. On peut faire des efforts mais pas seul, sinon il reste en vain. Perpétuité a avaler son propre sang et à parler sa propre langue, on ne se comprend même pas nous même.
Guillotiné, décapité, brûlé, acidifié, torturé, pendu, noyé, intoxiqué, empoisonné, scarifié, défoncé, arraché, drogué, fusillé, destiné, mordu, empalé, écartelé, momifié, tranché, haché, étouffé, suicidé, souffrant, médicalisé, injecté, déstabilisé, hémorragique…
Incorrigiblement correct dans la vue d’un futur martyre, souffrance extériorisé, pensée du diable, ne jamais suivre son instinct sous peine de mort incurable.
Je m’offre à l’être supérieur, je m’offre corps et âme a celui qui fera de moi ce que je serais, instabilité du génome humain, instabilité et perpétuel changement de vie, retrouver celle qu’on veut, ma vie n’était qu’un rêve, nouvelle raison, et je crève.


Ps: s'il ya des fautes, veuillez m'en excuser...

up? ...

Uniii-k a écrit:up? ...

tu fais ça encore une fois et je te bannis à vie !!!
naméo !

:-))))))))))))))

non, sans blague, ça se fait pas.
Tu n'as pas encore lu notre page d'accueil ?
VOS ECRITS n'est pas une VITRINE
faut participer un minimum, pas juste attendre des remarques sur tes chefs-d'oeuvre, d'ac ?

et puis pour ton texte, là : https://vosecrits.1fr1.net/forum-vos-ecrits-prose-f1/ce-n-est-pas-une-vie-mais-un-etat-d-ame-t5371.htm#181225 on avait essayé de bien t'aider, non ? et puis, hop, disparu

Et d'ailleurs dès ton inscription, je t'avais annoncé la couleur :
https://vosecrits.1fr1.net/conversations-atelier-f4/presentez-vous-ici-t4887-400.htm#181208
:-(((

Oupsss.. =S
Sorry
Et si j'ai lu mais je savais pas *:$*

Et oui je comptais participer mais en ce moment (depuis mon inscription) je suis assez chargé, là c'est déjà mieux, enfin je m'étale pas plus.
Et pou mon ancien texte, oui j'ai pris en compte les remarques (je crois), donc pourquoi cette remarque?
Et demain promis je vais faire une belle présentation ( je pensais l'avoir faite :s)

tu n'as pas suivi mon lien ?
https://vosecrits.1fr1.net/conversations-atelier-f4/presentez-vous-ici-t4887-400.htm#181208
tu l'as faite et je t'avais déjà fait la remarque

Autre "règle" : on ne répond pas aux commentaires dans le fil de son propre texte, de manière à laisser la même visibilité à tous, sinon ton texte reste en haut de page au détriment de ceux des autres
d'où ma réaction à ton "up" ! yes ?

bon, quand tout ça sera bien assimilé, j'effacerai cet échange et on repartira du bon pied

C'est un peu, beaucoup, ramassé tout ça. Pour les fautes, oui, on en trouve un paquet. C'est dommage, ça fait qu'on sort de sa lecture, par endroits, et ce n'est pas bénéfique au texte. Il faudrait que je le relise, du reste, un peu trop fatiguée pour rester concentrée sur la longueur. Je me redonne une chance.

j'ai eu du mal à terminer, j'ai eu du mal à trouver un fil, une histoire pour porter le tout, un contexte.
Ceci étant dit, les images évoquées restent bien en tête et tu t'exprimes bien , si ce n'est peut-etre des phrases trop longues, qui mériterait des césures, pour reprendre notre souffle et nos idées.

Je ne ferai pas de relevé exhaustif, quelques petites choses au passage, cependant :

Trouve la force intérieure

évite d’ouvrir ton texte sur un truc pareil, ça peut dissuader de poursuivre sa lecture.

L’entrée en matière, ça va. Par contre, pas certaine que ça le fasse sur la longueur, ce relevé. Le texte gagnerait, probablement, à moins en dire. L’impression de tourner en rond, passé un moment. J’avoue décrocher en arrivant au troisième paragraphe.

Châtiment du diable, malédiction, horreur de l’erreur qui écœure les mœurs plus que le cœur qui pleur des larmes de peur de commettre l’erreur d’un être qui se meurt.

C’est pas pire, mais cela ressort étrangement, de mon point de vue.

Guillotiné, décapité, brûlé, acidifié, torturé, pendu, noyé, intoxiqué, empoisonné, scarifié, défoncé, arraché, drogué, fusillé, destiné, mordu, empalé, écartelé, momifié, tranché, haché, étouffé, suicidé, souffrant, médicalisé, injecté, déstabilisé, hémorragique…

Trop long.

mort incurable

tu m’étonnes ! ^^

Je m’offre à l’être supérieur

: est-il question de divinité ? Un texte axé sur cette caractéristique pas mal judéo-chrétienne qui veut qu’on soit des paumés que rien ne peut sauver si ce n’est un dieu ? Cela changerait la donne de ce texte, sa réception auprès de la lectrice que je suis. La fin, en tout cas, est abrupte.

Je décroche, je suis sincèrement désolé.
Les premières lignes me donnent l'impression de lire un texte qui m'enjoint d'adhérer à une secte tellement on a affaire à un ton impérieux et péremptoire, le ton teinté de termes à connotation fortement religieuse.
J'ai donc du mal à adhérer au propos.
Quant au style, je crois qu'on te l'a déjà fait remarquer alors je ne répète pas.

A te relire bientôt, ce sera sûrement mieux la prochaine fois ! ;-)