Maudits souvenirs

Les jambes tremblantes, la peau brulante je marchais en direction de mon lit, fiévreuse. La mélodie du piano que jouait ma mère il y a quelques années resurgit pendant que je me trainais jusqu'à mon lit. Comme ci la souffrance n'était pas assez terrible, les souvenirs devait refaire surface. Rien n'était plus douleur que d'entendre la berceuse que ma mère me jouait, elle me l'avait jouer il a quelques années avant de mourir de la grippe espagnol. Mon cœur était encore plus déchiré quand je l'entendais. Je me souvins alors de la citation de Phillippe Besson que mon père me répétait chaque fois : « Ne plus être écrasé par les souvenirs mais apprendre à vivre avec eux, ne plus être écrabouillé par le chagrin mais le dominer, ne plus être dans le ressassement mais simplement dans l'effleurement. Ce serait bien alors. Je serais sur la voie de la guérison. » . C'était tellement dur ! J'aurais mille fois préférais mourir en compagnie de ma mère que la voir agonisé, que de la voir rechanté ma berceuse avant de s'éteindre ! A ce moment précis, je voudrais en finir. En finir de ces souvenirs de souffrance, de ses souvenirs agonisant. Que ma vie se termine, je n'avais plus rien à perdre. J'étais en sueur, mes yeux avait triplé de volume et ma peau était encore plus blanche que d'habitude et mes pommettes rosées s'étaient effacées. Les murs de ma chambre immaculés de blanc, formé le portrait de ma mère, ce qui était encore plus terrible. J'étais pétrifiée, et mon pouls était irrégulier. J'avais cette impression, cette impression que vous êtes vide, que votre sang n'est plus que du venin terrible, que vous estomac comme tout autres organes a disparu. L'impression qu'un trou béant est formé au niveau de votre torse. J'aurais voulu rejoindre ma mère, au lieu de continuer à vivre une vie de misère. Mes prunelles bleues avaient virées au gris, gris sombre. Je n'avais plus aucuns espoir, et je savais très bien que je n'allais pas survivre à cette douleur, extérieur comme intérieur. Mon cœur ne battait plus, et il n'avait plus aucuns raison de battre sans ma mère, la personne qui m'avais mise au monde. J'entendais les cris, les cris des personnes qui ne voulaientt pas me voir partir, j'étais si jeune, si petite, si paisible mais ils ne savaient pas qu'au fond de moi se cachait la douleur, la douleur la plus noir qu'il existe. Ils n'auraient plus à pleurer sur mon sort, je savais très bien que ce n'était qu'un rêve, et que je devrais vivre avec mes souvenirs atroces.

Pour moi, il est quasiment impossible de m'abandonner aux images, à l'émotion convoyées par un texte aussi perclus de fautes de langue (que je vous signale ci-dessous ; vous avez notamment des problèmes avec les formes verbales). Il me semble important – prioritaire – de présenter des textes fluides, où l'idée puisse transparaître, et je ne la vois pas l'idée, quand à chaque instant ma lecture se heurte à des erreurs de langage.

Bienvenue sur Vos Écrits, à vous lire bientôt !

Mes remarques :
« la peau brûlante je marchais »
« pendant que je me traînais »
« Comme si la souffrance n'était pas assez terrible, les souvenirs devaient refaire surface »
« Rien n'était plus douleur (« douloureux » ?) que d'entendre la berceuse que ma mère me jouait, elle me l'avait jouée (elle m’avait joué quoi ? « l’ », mis pour la berceuse ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici) il (y ?) a quelques années avant de mourir de la grippe espagnole »
« Je serais sur la voie de la guérison. » . » : un point avant le guillemet, un après, c’est un de trop
« J'aurais mille fois préféré (essayez de changer de verbe : « j’aurais mille fois voulu mourir », donc la forme du verbe est le participe passé) mourir »
« que la voir agoniser (pareil, essayez de changer de verbe : « que la voir s’éteindre », donc ici la forme du verbe est l’infinitif), que la voir (et non « de la voir ») rechanter (même remarque que tout à l’heure) ma berceuse »
« Les murs de ma chambre immaculés de blanc, formaient (je pense qu’ici c’est l’imparfait qui s’impose) le portrait de ma mère »
« ce qui était encore plus terrible. J'étais pétrifiée, et mon pouls était irrégulier » : la répétition se voit, je trouve
« que vous votre ?) estomac comme tout autres (« tous les autres », je pense) organes a disparu »
« Mes prunelles bleues avaient viré (et non « virées ») au gris »
« Je n'avais plus aucun (et non « aucuns ») espoir, et je savais très bien que je n'allais pas survivre à cette douleur, extérieure comme intérieure »
« il n'avait plus aucune raison »
« la douleur la plus noire »

Je voudrais juste savoir, comment supprimer un poste et un compte, comment fait on ? Désolée, de poster mon message ici.

Bonsoir Happiness,

Allons, allons, Happiness, c'est avec bonheur que nous vous accueillons sur VE ...
Ce n'est pas votre compte qu'il faut supprimer, ce sont les fautes dans vos textes et cela ce n'est pas difficile ...
L'idée est intéressante et le vocabulaire est riche ... nous vous demandons simplement un petit effort de relecture car nous ne voulons pas que vous ne soyez plus qu'un souvenir, un joli souvenir ...

Caresses et Bise à l'Oeil,
Midnightrambler

< Il suffit d'envoyer un message "motivé" au webmaster ou à la Modération qui transmettra.
La Modération >
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Hello,

J'ai tenté, mais n'ai pas pu. Il y a sans doute des intentions, mais pour arriver à les délivrer, il faut pour cela en passer par certaines contraintes. Respecter un minimum la langue, toutes ces choses rébarbatives qu'on nous a inculquées au primaire, l'orthographe, la conjugaison, enfin...

Perso, je n'ai rien appris de tel à l'école, je ne suivais pas. Mais je lisais énormément et c'est ainsi que j'ai intégré ces règles, en les induisant de mes fréquentations livresques.

Là, rebuté et découragé par les cafouillages divers, j'avoue avoir renoncé.

Dommage.

Ubik.