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souricettedu.94
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Message  souricettedu.94 Mer 31 Mar 2010 - 20:22

Rencontre dans un magasin


Je ne suis pas de très bonne humeur, faire les courses m'exaspère, et je n'aime pas cet enseigne, mais pas le choix il n'y a que là que je trouve certains articles.

Je speed dans les rayons pas de temps à perdre et je n'ai pas trop de courses a faire, les enfants étant en vacances avec leur père.

Je regarde l'heure, dans 15 minutes le bus va passé et il m'attendra pas, aller zou encore un truc a prendre et direction les caisses et me voila faisant un virage un peu trop serré. Je percute de plein fouet un autre cadis, a son bord un homme. je m'excuse. Il me regarde grand sourire, et répond, "il va falloir que vous repassiez votre permis, entre, grillé les feus rouge et excès de vitesse...."

je suis hébété, et ne sais que répondre, enfin je répond "Monsieur l'agent, je suis très pressé, j'ai une urgence, ne me verbalisé pas, je vous promet de ne plus commettre d'infraction."

- "C'est bon pour cette fois, circulé...dit il en riant, et moi aussi. avant de le quitté j'ai tous de même pris le temps de regardé ces doigts, c'est apparemment un homme à prendre...

A la caisse je souris encore de mes bêtises et me dit que cet homme, avait non seulement le sens de l'humour, mais était d'un charme fou. Un bruit , une voix imitant un klaxonne me fais sursauter et je me retourne... c'est ce beau brun, avec qui j'ai eu cet accident de cadis. Il a encore ce sourire ravageur, et moi je commence a fondre, il fais chaud, et j'ai encore plus chaud, je sens mon cœur qui bas la chamade , aller une pensé douce, pas d'angoisse il va rien se passer, il manquerait plus que je tombe dans les vape. . Puis il ouvre sa bouche, et me dit "on a pas choisi la bonne caisse", en effet, Il y a un souci le client qui viens de passé à oublier son code. Je regarde l'heure et me pince les lèvres.
- vous avez un rendez-vous,
- Euh non je vais juste devoir rentrée, à pied, sous un soleil de plomb, car mon bus va me passé sous le nez,
- Je vous ramènes, je vis à coté?
- a coté???? Il me connaît et moi pas! et un homme avec ce sourire ravageur je m'en serait souvenu,
- oui j'ai emménagé dans votre rue, "Bobillot" près de l'avenue Carnot il y a 15 jours....
Vite réfléchi, je vais tous de même pas me laissé ramener par ce beau gosse que je ne connais pas et dit vivre dans ma rue....je suis coincé, je pouvais pas me taire....
- vous inquiétez pas je ne mord pas. Il se présente a moi : Je m'appelle Patrick, Il me regarde sourire taquin, je vous ai croisé lors de mon enménagement dans votre rue, vous parliez a une voisine, et mes nouveaux voisins se sont fait une joie de me parler de vous.

Je revois la scène et en effet j'ai pas fait attention aux déménageurs, je leur avais juste dit bon courage avec un petit sourire. Il était habillé salement et n'avais pas retenu mon attention. Alors que là... bien coiffé, propre sur lui. Ce n'est plus le même homme....



Je pense que se sera une petite nouvelle de 10 pages environ....
Soyez indulgent, je n'ai pas la plume de certain et ne fais que m'exercer..... (et je suis miss faute d'orthographe)



< Si vous utilisez Word, servez-vous du correcteur intégré, sinon vous pouvez utiliser le site www.bonpatron.com qui vous aidera, ou encore faites-vous relire par meilleur que vous, merci. Il est bien demandé de veiller à la bonne forme des textes sur VOS ECRITS par respect pour les lecteurs.
La Modération >

.
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Message  Invité Mer 31 Mar 2010 - 20:41

Oh la la l'orthographe ! La modération a raison, il va falloir aller consulter un correcteur, quel qu'il soit, parce que y a pas à dire, ça gâche la lecture.
Sinon, eh bien, voir la suite du texte. J'espère que ça ne va tourner trop romantique.

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Message  Invité Mer 31 Mar 2010 - 20:43

Pour être franche, tel quel votre texte est difficile à lire, à cause précisément des nombreuses fautes d'orthographe, surtout dans les formes verbales. Il est presque impossible pour moi de m'intéresser à l'histoire...

Ci-dessous, mes remarques de langue ou de typographie ; si vous prenez la peine de vérifier presque systématiquement vos verbes en écrivant, vous prendrez peu à peu l'habitude d'écrire correctement et de donner à lire un texte agréable.
« je n'aime pas cette enseigne »
« pas trop de courses à faire »
« dans 15 minutes le bus va passer (essayez de changer de verbe : « le bus va me mordre », c’est donc la forme infinitive du verbe à employer) et il m'attendra pas, allez zou encore un truc à prendre et direction les caisses et me voilà »
« Je percute de plein fouet un autre caddy, à son bord un homme (un peu bizarre, quelqu’un à bord d’un caddy, puisqu’il le pousse). Je »
« votre permis, entre, (pourquoi une virgule ici ?) griller les feux rouges »
« Je suis hébétée (puisque la narratrice est une femme) »
« enfin je réponds »
« je suis très pressée, j'ai une urgence, ne me verbalisez pas, je vous promets »
« circulez...dit-il en riant, et moi aussi. Avant de le quitter j'ai tout de même pris le temps de regarder ses (ce sont les doigts du gars, les siens) doigts »
« je souris encore de mes bêtises et me dis que cet homme, (pourquoi une virgule ici ?) avait non seulement »
« une voix imitant un klaxon (et non « klaxonne ») me fait sursauter »
« accident de caddy »
« il fait chaud, et j'ai encore plus chaud, je sens mon cœur qui bat la chamade , allez une pensée douce, pas d'angoisse il va rien se passer, il manquerait plus que je tombe dans les vapes. . (deux points, un de trop) »
« le client qui vient de passer a oublié »
« Vous (une majuscule en début de phrase) avez un rendez-vous »
« je vais juste devoir rentrer, à pied, sous un soleil de plomb, car mon bus va me passer sous le nez, «
« - Je vous ramène (et non ramènes), je vis à côté?
- A (majuscule en début de phrase) côté???? Il me connaît et moi pas! Et (majuscule en début de phrase) un homme avec ce sourire ravageur je m'en serais souvenue,
- Oui (majuscule en début de phrase) »
« je vais tout de même pas me laisser ramener par ce beau gosse que je ne connais pas et dit vivre dans ma rue....je suis coincée »
« je ne mords pas »
« je vous ai croisée lors de mon enménagement dans votre rue, vous parliez à une voisine »
« Il était habillé salement et n'avait pas retenu »

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Message  mentor Mer 31 Mar 2010 - 20:47

effectivement les fautes, je n'ai pas compté, mais... un record sans doute sur VE !!!
en toute gentillesse je vous le dis, faites-vous donc relire par quelqu'un en qui vous avez confiance, parce que là, c'est se moquer des lecteurs, et c'est pas gentil
on est quand même, il faut le répéter de temps à autres, sur un site qui se préoccupe de... littérature, d'écriture
alors bon, qu'on ne soit pas très doué, d'accord, mais de là à balancer un texte sans aucun retenue par rapport à sa rédaction, non, pas d'accord
quant à l'histoire, je dirais... un peu fleur bleue, eau de rose, qq la praline, gnangnan, à moins que tu ne nous prépares une surprise énôôôrme pour la suite, sinon, ben je n'irai guère plus loin pour ma part
N'empêche : bienvenue sur VE
une petite présentation dans le fil ad hoc ne serait pas de trop
;-)

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Message  Invité Mer 31 Mar 2010 - 21:31

Si c'est pour un concours payant, tu ferais mieux de mettre le montant de l'inscription dans ta poche... L'écriture est plutôt plate et l'histoire ne suscite pas beaucoup d'intérêt. Désolée d'être aussi abrupte...

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Message  Reginelle Mer 31 Mar 2010 - 21:51

On ne vient pas au monde avec "la plume" entre les doigts. Ce n'est pas inné (hélas !... ou tant mieux, ma foi ! car sinon où serait le plaisir ?)
Écrire, ce n'est pas aussi aisé que le geste de prendre une feuille et un crayon.

Pourquoi, en ayant conscience de vos lacunes, vous lancer dans la rédaction d'une nouvelle ?

Pourquoi,pas de petits textes, très courts. Je ne sais pas : décrire un paysage, raconter une petite anecdote. Quelque chose qui ferait une vingtaine de lignes, disons, et essayer de trouver et de comprendre les fautes ? Et les corriger, bien sûr.

Il y a de petits ouvrages, très simples et pas très chers, qui sont utilisés dans le cadre scolaire et qui aident bien. Ne serait-ce que pour revoir les bases de l'orthographe, de la conjugaison et de la grammaire. Un dictionnaire aussi. Avant de demander une correction du texte à quelqu'un, il est bon de tenter de trouver par soi-même le maximum de fautes.

Quant à l'histoire, pour le moment, elle me semble tout à fait banale, sans grand intérêt.

Et le problème est là justement. Une histoire banale et écrite sans relief.

Parce que, quand on se donne les moyens qu'il faut, l'histoire la plus banale peut devenir soudainement très intéressante. Uniquement par le comment elle est écrite.

Il faut travailler.

Désolée de le dire ainsi, aussi.
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Message  midnightrambler Mer 31 Mar 2010 - 23:10

bonsoir souricettedu.94,

s'est oune farse ?
un réssit à l'au de, rause san intéré bouré de fôte d'orhtografe ...

Caresses et Bise à l'Oeil,
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rencontre dans un magasin (nouvelle de 10 pages maximums) Empty la suite de ma nouvellle avec je pense moins de faute.....

Message  souricettedu.94 Jeu 1 Avr 2010 - 13:39

Après mon passage en caisse. Je lui envoie un petit au revoir et un sourire coquin, je profite que l'hôtesse le questionne sur un article pour prendre la fuite! ouf je l'ai semé et il me regarde partir l'air bêta.

Me voilà dehors, je pose mes lunettes sur mes yeux, boit une gorgée d'eau... Me voilà prête à affronter le soleil, après tous je n'ai que 30 bonnes minutes de marche à faire sous ce soleil cuisant et j'ai de l'eau rien d'insurmontable. En route la miss, courage. Cela fait à peine 10 minutes que je marche avec deux sacs légers, qui commence à peser, sous l'effet de la chaleur.... Je sens les gouttes qui perlent, sur mon front et entre mes cuisses, mon pantacourt qui s'humidifie. Je commence à regretter ma fuite. Je sue comme jamais. Je ne suis pas en sucre aller courage! Et voilà qu'une voiture klaxonne, je me dis cela doit être un mirage, une Clio bleue lagon, stationne a quelques mètres devant moi, un homme en sort et ouvre la portière côté passagé...

Il est mort de rire... il prend la pose en m'attendant et j'ai l'air de me traîner vers lui. Je ne sais pas s'il faut que je l'ignore, passe mon chemin. Quand je suis à son niveau, Partick me dit : "vous savez j'ai la clime, mais si vous préférez continuer d'endurer mère nature ne vous déplaise......" Il a sur son bout du nez ses lunettes de soleil, Là c'est moi qui est l'ai bêta. Il ne me laisse pas le temps, qu'il attrape mes sacs et les mets dans le coffre, sans que je puisse réagir. Me voilà kidnappé, il me fait monter dans sa voiture façon gentleman et referme la porte.

Il baisse le son de la radio, je regarde sa voiture elle est exceptionnellement bien tenue pas de déchets, au sol, elle est même trop propre....

Il met la voiture en route et me dis vous êtes têtu! mais c'est votre jour de chance ce n'est pas dans mes habitudes de persévérer avec les jolies filles.....

Je réplique surtout quand elle dégouline...

- cela dépend, dit-il avec un petit rire
- Euh! Je parlais de la sueur, dis-je un peu sur la défensive...Là sur le coup j'aurais dû me taire il va me prendre pour "quoi".
- J'avais compris, d'ailleurs la prochaine fois, je mettrais une serviette sur le siège et encore un petit rire taquin, décidément....

Je le regarde stupéfaite, j'en crois pas mes oreilles et là il a l'air mort de rire, si je me voyais, toute en sueur, mes cheveux lissés du matin qui bouclettes, je comprendrais....

- Vous habitez la maison près du passage piétons? Dit-il
- Oui c'est ça, je n'ose plus rien dire et est hâtes de rentrer honteuse.
- Il stationne, sors de la voiture pour m'ouvrir la portière, la clime m'a fait du bien mais, j'ai du mal à sortir happé par la chaleur.

Je le remercie il tient mes sacs dans ses mains, pendant que j'ouvre la porte d'entrée, il se glisse, bien décidé de rentrer et moi à l'en faire sortir... Gentil mais limite goujat...

Je reste planté, dans l'entrée, il m'évite me bousculant presque et se dirige droit vers la cuisine où il pause les sacs sur la table.

Il me dit sympa votre intérieur, coloré, ludique....

Je lui réponds, "Je vous remercie pour tous et je vous aurais bien offert quelques choses à boire, mais.... vos courses vont prendre chaud dans la voiture", sûr un ton doux et un peu sarcastique. Là il me regarde, me dévisage et moi je me dis s'il n'a pas compris, il me manquera plus qu'à lui dire parle à ma main en le dirigeant vers la porte et en me déhanchant comme dans la chanson de Mickael Youn.

Il sourit et répond, sans soucis je pars, ranger mes courses et je reviens dans 15 minutes, on boira un verre et je vous invite à déjeuner, pour m'excuser. Je n'ai pas l'habitude avec les femmes et je crois que vous méritez des explications.

ET vlan! là il me laisse en plan sans réaction le temps que je réagisse il était parti et je ne sais plus quoi pensé...

Dans mon fort intérieur je me dis, mais pour qui il se prend, mais d'un autre côté qu'est-ce que j'ai à perdre toute seule dans ce pavillon. Mes voisins, mes amis sont tous parti en vacance, qui sait il pourrait me surprendre..d'un côté c'est tellement drôle comme situation. Et là, je réalise que je n'ai qu'un quart d'heure pour reprendre forme... douche pas douche vite vite......


(la suite lundi ou mardi....)
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Message  Invité Jeu 1 Avr 2010 - 21:33

Je crois que vous avez fait des efforts sur les erreurs de langue, je vous félicite ! Je vous indique ci-dessous celles que j'ai relevées dans ce texte, ne vous découragez pas.
« après tout je n'ai que 30 bonnes minutes »
« avec deux sacs légers, qui commencent (ce sont les sacs qui commencent à peser) à peser »
« Je ne suis pas en sucre allez courage »
« une Clio bleu lagon (et non « bleue lagon », quand l’adjectif de couleur est modifié par une précision supplémentaire, on ne l’accorde pas, dites-vous que cela correspond à « une voiture d’un bleu de lagon »), (pourquoi une virgule ici ?) stationne à quelques mètres devant moi, un homme en sort et ouvre la portière côté passager »
« c'est moi qui ai (ici c’est le verbe avoir, non être, essayez un autre temps : « J’avais vraiment l’air bêta ») l'air bêta »
« qu'il attrape mes sacs et les met (et non « mets ») dans le coffre »
« Me voilà kidnappée (c’est bien toujours une narratrice ?) »
« Il met la voiture en route et me dit vous êtes têtue »
« la prochaine fois, je mettrai (le futur s’impose ici, et non le conditionnel « mettrais ») une serviette »
« mes cheveux lissés du matin qui bouclettent (le « qui », introduisant une proposition relative, doit être suivi d’un verbe) »
« je n'ose plus rien dire et ai (essayez de changer de temps : « j’avais hâte de rentrer ») hâte (et non « hâtes ») »
« - (pourquoi ce tiret ? Ce n’est plus du dialogue) Il stationne, sort de la voiture »
« la clime m'a fait du bien mais, (pourquoi une virgule ici ?) j'ai du mal à sortir happée »
« bien décidé à rentrer »
« Je reste plantée, (pourquoi une virgule ici ?) dans l'entrée, il m'évite me bousculant presque et se dirige droit vers la cuisine où il pose les sacs »
« Je vous remercie pour tout et je vous aurais bien offert quelque chose (et non « quelques choses ») à boire »
« sur un ton doux »
« sans souci (et non « soucis », si c’est sans souci il n’y en a pas) je pars, (pourquoi une virgule ici ?) ranger mes courses »
« Et (et non « ET ») vlan »
« je ne sais plus quoi penser (essayez de changer de verbe : « Je ne sais plus quoi lui dire », la forme à employer est donc l’infinitif) »
« Dans mon for (et non « fort ») intérieur »
« mes amis sont tous partis en vacances »

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rencontre dans un magasin (nouvelle de 10 pages maximums) Empty la suite de la nouvelle (j'ai tenté de corriger aux mieux)

Message  souricettedu.94 Ven 2 Avr 2010 - 21:27

Je cours sous la douche, savonner, rincer, sécher chrono trois minutes. Je pose des vêtements propres sur ma peau, en commençant par mon parachute en coton fleuri, tous près de la clime... juste avant j'avais lissé mes cheveux... Je colore mon visage avec une crème teinté légèrement parfumé, un peu de couleur sur mes paupières, un trait de noir sous les yeux, une touche de mascara noire sur mes cils. Je pose sur mes lèvres un rose brillant, une touche de parfum sur le cou et derrière mes oreilles et me voilà toute prête en moins d'un quart d'heure et j'attends...
Le temps passe, cela fait bientôt presque une heure qu'il aurait dû être là... Maintenant je suis persuadée, qu'il a réfléchi et m'a posé un lapin...
Voilà je boude et l'appétit revient et le stress s'en va... je suis furieuse, comme rarement je ne l'ai été, puis je me dis qu'au fond cela n'est pas plus mal.
Moi qui avais imaginé un vieux cliché que je l'aurai fait attendre, en finissant de me préparer.
Que je lui aurai ouvert avec juste sur moi une serviette! Non pas du tous c'est lui qui me fait poireauté et d'habitude c'est moi. Je rage encore un peu en me demandant ce que je vais manger, puis il fait si chaud un verre d'eau fera l'affaire avec un yaourt brassé. Je commence à dégusté ce yaourt tranquillement sur mon canapé un livre à la main, oubliant la mésaventure quand Driiinnngg, drinnggg! La sonnette.
Je sursaute regarde par la fenêtre, c'est lui. J'y crois à peine je lui ouvre. Il a les mains chargées de sac et porte un bouquet de rose pale un peu saumoné! Presque mes préférés j'ai le cœur qui bat la chamade. Je le remercie, pour les fleurs et je fais style celle qui regarde l'heure, avec un sourire taquin et une petite phrase assassine, "vous êtes ponctuel!"
- Je me suis dit qu'il fallait vous laisser le temps de vous préparer et j'ai été chercher le déjeuner au resto chinois du coin, je me suis dit que ce serait moins risqué pour mes sièges auto, répond-il en riant.
Son rire est communicatif et plaisant à entendre. Je ris aussi et fini par répondre "mais vous savez j'étais prêtes! Et vos sièges ne risquaient plus rien!"
-et je vois que vous m'attendiez! Dit-il, en regardant le livre sur le canapé et le yaourt sur la table.
- je pensais que vous ne veniez plus.
On déjeune sur la terrasse dans le jardin l'ombre est croissante et un vent frais nous rafraîchi.
On parle de tous de rien, de nos passions, nos souhaits, nos rêves. A la fin du déjeuner, il visite la maison et a vu dans la bibliothèque une boite "apprendre à jouer aux échecs". Il a les yeux qui brillent, il me demande s'il peut, je réponds Oui. Il a décidé que durant ses vacances, qu'il m'apprendrait à jouer. Je ne dis pas non, car au fil des heures je me dis que je n'ai rien à perdre, mais tout à gagner. Nous sommes tous les deux seuls en vacance dans une petite commune d'Ile de France.
Durant l'après-midi, il m'apprend, en partie les jeux d'échecs et j'essaye d'intégrer toutes ces règles, mais pas si simple.
Le lendemain matin à 8 h 00 il se présente, il m'a juste dit la veille à 8h00 soit prête avec un pique-nique et sac à dos. Quand j'arrive à sa voiture je vois les deux vélos à l'arrière il a décidé que l'on passerait notre journée dans les bois.
La randonnée j'adore mais le vélo, humm! Cela fait un bail que je ne suis pas montée dessus, tant pis, pour une fois qu'un homme s'occupe de moi, je ne vais pas gâché en râlant, car je me sens rouillé. Je profite de cette journée, on rigole plaisante de tous et de rien.
Il m'apprend des choses sur la faune et j'adore ça. Mais j'ai moins adoré quand mon vélo c'est pris dans une branche et m'a fait chuté! Et que des minis serpent rampais à mes pieds ce qui m'avais fais hurler, Patrick est revenu sur ses pas et a ri en voyant ma frayeur pour des orvets. Il m'a expliqué que ce ne sont pas des serpents, mais des lézards sans pattes, sans danger... on a bien ri.
Durant une semaine toutes les journées se ressemblent et on fait tout ensemble le dîner, la vaisselle. On joue aux échecs, ou autres on s'amuse bien, de tous et de rien. Le samedi, il décide que le dîner sera chez lui aux chandelles, atmosphère romantique, musique classique et autres. A la fin du dîner il me fait danser et arrive le fameux slow de " scorpions still loving you" et là il m'enlace, caresse mon visage en chassant une mèche rebelle. Il m'embrasse, un long baiser, doux, charnelle, je me sens si bien dans ses bras, protéger, j'oublie qui je suis, où je suis. Ce baiser dure encore, il m'embrasse me fais chavirer sur le canapé, on roule, on se trouve par terre et on rit. Il me regarde avec un regard pétillant comme si j'étais la seule qui compte. Il m'embrasse derrière le lobe de l'oreille, ses baisers descendent le long de ma nuque. Je sais que je ne devrais pas, que cela n'est pas bien, pas dans mes habitudes moi qui suis chaste depuis des mois. Je suis la première à dire que l'on ne connait pas une personne qu'après des années, mais je m'abandonne à lui, ses caresses abondantes, sa bouche délicate, il me déshabille. Et je me donne encore et encore, je ne peux plus reculer, je suis prisonnière de notre amour. Peu importe ce qui se passera par la suite, je profite de cet homme, de ce qu'il me donne sans que je ne lui demande rien. Il me fait l'amour et j'ai aimé cela au point de me laisser aller à hurler Patricccckkk encore!
Le lendemain je me réveille en sursaut, en panique le front perlé de sueur, j'ai du mal à reprendre mes esprits et à savoir où je suis. Puis je vois le visage de Pat, qui dort encore, cela ne me rassure qu'a moitié. Je viens de faire un cauchemar et j'ai mis du temps à réaliser que ce n'était qu'un vilain rêve tellement il était réaliste. J'étais en vacance chez mes parents dans leur ancienne chambre je riais dans le lit avec Patrick, on avait l'air en osmose une si belle complicité. Quand ma mère est rentrée dans la chambre chercher quelque chose, dans sa penderie, sans frapper et bourdonnant. Laissant à peine le temps à Patrick de se cacher sous les couvertures. Elle me parlait, je ne comprenais pas ce qu'elle disait, ensuite Patrick partait en colère, avec un visage fermé sans un mot, dans sa voiture et je le forçais à me laisser rentré je ne comprenais pas sa réaction. Dans mon rêve j'avais peur une angoisse terrible, qui prend au tripe, avec ce sentiment d'abandon et de trahison et au loin des pleures de bébé.
Il est à peine 7h du matin. J'ai tout à coup très peur, j'ai du mal à reprendre mes esprits, je n'ai rien bu la veille et je ne regrette rien, mais j'ai peur de ce rêve que quelque chose vienne gâché ce bonheur que je suis en train de vivre. Et je sais qu'il y a toujours un gros nuages après un beau soleil, alors je me lève du lit, pour partir et là sa main me rattrape.
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Message  souricettedu.94 Ven 2 Avr 2010 - 21:30

il manque encore 2 voir 3 épisodes.... j'espère que ce ne sera pas trop indigeste........
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Message  Invité Sam 3 Avr 2010 - 8:22

Vous avez encore un bon effort à faire sur les formes verbales.

Mes remarques :
« une crème teintée légèrement parfumée »
« Maintenant je suis persuadée, (pourquoi une virgule ici ?) qu'il a réfléchi »
« un vieux cliché que je l'aurais fait attendre »
« Que je lui aurais ouvert avec juste sur moi une serviette! Non pas du tout c'est lui qui me fait poireauter (essayez de changer de verbe : « c’est lui qui me fait devenir chèvre » ; la forme est donc l’infinitif) »
« Je commence à déguster (essayez de changer de verbe : « je commence à mûrir des idées de vengeance » ; la forme est celle de l’infinitif) ce yaourt »
« les mains chargées de sacs (il doit y en avoir plusieurs) et porte un bouquet de roses (idem, un bouquet comporte plusieurs roses)[/b ] p[b]âles un peu saumonées »
« Presque mes préférées (les roses) »
« Je le remercie, (pourquoi une virgule ici ?) pour les fleurs »
« Je ris aussi et finis par répondre "mais vous savez j'étais prête (et non « prêtes ») »
« un vent frais nous rafraîchit »
« On parle de tout de rien »
« dans la bibliothèque une boîte »
« Il a décidé que durant ses vacances, qu'il (ce « qu’ », et la virgule avant, sont de trop) m'apprendrait à jouer »
« seuls en vacances »
« il m'apprend, (pourquoi une virgule ici ?) en partie les jeux d'échecs »
« il m'a juste dit la veille à 8h00 sois prête »
« je ne vais pas gâcher en râlant, car je me sens rouillée. Je profite de cette journée, on rigole plaisante de tout et de rien »
« quand mon vélo s'est pris dans une branche et m'a fait chuter (essayez de changer de verbe : « il m’a fait dire n’importe quoi » ; la forme est l’infinitif) »
« des mini (et non « minis ») serpents rampaient à mes pieds ce qui m'avait fait hurler »
« de tout et de rien »
« de " scorpions still loving you" » : le premier guillemets devrait être après « scorpions »
« un long baiser, doux, charnel (et non « charnelle »), je me sens si bien dans ses bras, protégée »
« il m'embrasse me fait chavirer »
« l'on ne connaît (et non « l’on ne connaît pas » où vous dites le contraire de ce que vous voulez dire) une personne qu'après des années »
« J'étais en vacances chez mes parents »
« je le forçais à me laisser rentrer »
« qui prend aux tripes, avec ce sentiment d'abandon et de trahison et au loin des pleurs (et non « pleures ») de bébé »
« que quelque chose vienne gâcher (essayez de changer de verbe : « que quelque chose vienne me prendre » ; la forme est l’infinitif) »
« il y a toujours un gros nuage (et non « nuages ») après un beau soleil »

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rencontre dans un magasin (nouvelle de 10 pages maximums) Empty Socque j'espère que tu verra mes efforts...

Message  souricettedu.94 Sam 3 Avr 2010 - 19:27

Sa main empoigne ma main faisant descendre la couette que j'avais embarqué pour couvrir ma nudité. Je le regarde surprise. Il me tire vers lui et me fait basculer dans le lit. Il retire la couette et moi je suis toute gênée. J'ai honte de moi et de mon corps, la lumière le montrant tel qu'il est, composé, de vergetures, bourrelets et peaux d'oranges. Je suis sur le dos. Il entoure mon corps de ses quatre membres, j'en suis prisonnière. Je ne sais pas quoi penser. J'ai une certaine appréhension. Il n'y a plus de musique, plus de chandelles comme la veille, rien que nos corps sur ce lit. Il baisse son visage et sa bouche embrasse la mienne avec douceur et tendresse. Il est maintenant presque assis à califourchon sur moi. Il me regarde telle que je suis et me dit "tu es belle". Je reste sans voix un instant. Je pourrais me taire, mais non! Je détourne son compliment sur toutes mes imperfections physiques. Il rit et dit, "car moi je suis parfait! Je ne me moque pas! Je trouve ton esprit magnifique et ton corps me satisfait tel qu'il est, pour moi ce n'est pas le plus important." Il commence avec volupté à me caresser, m'embrasser m'apportant du désir et une envie d'être à lui, qui me brûle de l'intérieur. Et je me laisse guider par l'amour de cet homme.

Durant le petit déjeuner je suis ailleurs et il finit par me demander à quoi je pense. Je lui raconte mon rêve. Il rit! Il ne croit pas aux rêves, aux surnaturelles, ni aux horoscopes. "-Je crois en Dieu et c'est déjà pas mal!" me dit-il.

- Ton rêve t'angoisse, mais il ne faut pas, je ne partirais pas comme cela et pas à cause de tes parents, ce n'est pas eux que j'aime. (son sourire s'efface, son regard ce vide). A la rigueur si ton mari revenait vers toi je m'effacerai. Tu t'es unis à lui devant Dieu et vous avez des enfants....

Je ris et ne le laisse pas finir sa phrase - "cela fait huit mois qu'il est parti avec une autre. Au début je me disais qu'il reviendrait et j'ai laissé faire tous en tentant de le séduire en vain. Mais maintenant peu importe, tant que je garde les enfants et que j'arrive à subvenir à nos besoins. Je gérais déjà tout ou presque toute seule. S'il ne m'aime plus, je ne peux rien y faire. Alors, j'ai positivé et je me suis dit que j'allais profiter de mon temps libre pour mes passions, impossible à faire avant. J'avoue je ne me suis pas sentie très heureuse, quand j'ai su qu'il partait surtout que je n'avais rien vu venir et que j'avais presque tout fait pour qu'il me revienne."

Le reste de la journée se passe trop bien. J'ai l'impression que je ne me suis jamais sentie aussi bien avec un homme, on partage plein de choses, on a envie des mêmes choses ou presque. Les jours passent et se ressemblent, bientôt nos vacances seront terminées, il a hâte de voir mes enfants. On prévoit des sorties avec eux et le futur nous parait se dessiner avec harmonie. Je connais mes enfants et je sais que Patrick sera accepté et même apprécié. Tout va si bien. Un mois que cela dure et je me demande si cet amour survivra dans le train train de la vie quotidienne, quand la fatigue de la vie active remplira nos journées et aux premières disputes. On envisage même de vivre ensemble chez moi.

Notre dernier jour sans enfants se termine doucement, demain les enfants arriveront avec leur père. Je devrais présenter Patrick et je me demande comment chacun d'eux va réagir. On sirote un thé glacé, sur la terrasse en jouant aux échecs quand la sonnette résonne, il est 17h. Je suis surprise j'embrasse Patrick et je vais répondre à l'interphone. Je suis étonnée j'ouvre à mon mari suivi des enfants qui rentrent en trombe avec à peine un petit bonjour avant de filer dans leurs chambres. Je me demande pourquoi, ils rentrent plus tôt et comment cela ce fait qu'ils partent directement dans leurs chambres. Mon mari, me dit "- il faut que je te parle"

- moi aussi,
- c'est important,
- qu'est ce qu'il y a??? (je commence à m'inquiéter et sens l'angoisse remonter, la même que j'ai ressentie dans mon rêve).
- on c'est quitté! On n'était pas fait pour s'entendre et durant tout le mois je n'ai pensé qu'à toi, à te serrer dans mes bras!
- comment ? (non mais j'y crois pas! Il ne va pas revenir! Non...Pas possible pas maintenant! Oh s'il te plait mon Dieu pas ça! )
- Je n'aime que toi et je n'aurai jamais dû te quitter,

Je suis épouvantée, j'ai les larmes aux yeux! Il y a quelques semaines cela m'aurai remplie de joie, mais là! Non! c'est un cauchemar.

- ce n'est pas possible! Lui dis-je
- si c'est vrai et je sais que tu m'aimes encore, tu as été si patiente, toujours gentille, compréhensive, un vrai ange. Redonne moi ma chance.
- non !!!

Il tente de me prendre dans ses bras, je ne le veux pas, il me force et m'embrasse. Je pense à Patrick si près. Je tente de me délivrer, trop tard!

Patrick passe devant nous, il me regarde à peine, il s'en va. Dans ses yeux, du mépris et de la colère alors que la bouche de mon mari est encore collée à la mienne.

La suite dans quelques jours...... ou heures....
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Message  Invité Sam 3 Avr 2010 - 19:50

Ah oui ! Je vois les efforts et j'apprécie, il y a beaucoup moins d'erreurs. Cela dit, vous aurez remarqué dans mes commentaires que je vous vouvoie ; merci de faire de même.

Une remarque d'ordre général : dans les dialogues, après le tiret d'introduction, la phrase doit commencer par une majuscule.

Mes remarques de langue :
« la couette que j'avais embarquée (j’avais embarqué quoi ? la couette ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct placé avant le verbe) »
« le montrant tel qu'il est, composé, (la virgule, ici, gêne le sens de la phrase en coupant le participe de son complément) de vergetures »
« Il ne croit pas aux rêves, au surnaturel (et non « aux surnaturelles », le surnaturel désigne l’ensemble des phénomènes surnaturels) »
« son regard se vide »
« si ton mari revenait vers toi je m'effacerais (concordance des temps : « Si tu viens je serai content », « Si tu venais je serais content », « Si tu étais venu j’aurais été content »). Tu t'es unie à lui devant Dieu »
« j'ai laissé faire tout en tentant »
« le futur nous paraît se dessiner »
« le train-train de la vie quotidienne »
« Je devrai (et non « devrais », c’est le futur qui s’impose ici et non le conditionnel) présenter Patrick »
« comment cela se fait »
« Mon mari, (pourquoi une virgule ici ?) me dit »
« on s'est quitté »
« Oh s'il te plaît mon Dieu »
« je n'aurais jamais dû te quitter »
« Il y a quelques semaines cela m'aurait remplie de joie »
« ce n'est pas possible! Lui dis-je » : manque le point à la fin
« Redonne-moi ma chance »

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Message  souricettedu.94 Lun 5 Avr 2010 - 16:28

Patrick sort. Je gifle mon mari. Je cours dans le jardin en criant "attends Patrick". D'un pas hésitant il s'arrête et fait un quart de tour pour se trouver face à moi.

Il me regarde droit dans les yeux et il me dit "je ne savais pas que tu étais médium". Il cherche par ces mots à dédramatiser. Il tente de sourire en ravalant sa salive. Il me prend les mains. Je n'y peux rien je sais que mon regard est suppliant et ne l'aide pas. J'essaye de sourire. Je lui réponds "je ne le suis pas!" à mon tour je ravale ma salive.

- Tu sais ce qui va se passer?

- Je crois!, mais je ne le veux pas! Je le connais si bien que je sais ce qu'il va me dire.

- Entre nous cela ne sera pas possible, (il pose son index sur ma bouche qui s'ouvrait pour l'arrêter de parler) ton devoir est de t'occuper de lui, d'eux. Moi je ne suis que de passage dans ta vie. Je vais repartir comme je suis venue et ce ne sera pas la peine, de m'appeler, ni de m'écrire. J'ai fait mon choix et je ne répondrais pas. Je veux que tu lui pardonnes et que tu l'aimes de nouveau. Dieu vous a uni et je ne veux pas être celui qui sépare. Il retire son doigt.

- Tu as tort, je peux lui pardonner, mais l'aimer je ne peux plus. Je t'aime et je veux être avec toi! Puis pour une fois que je gagnais aux échecs. Par cette phrase j'essaye à mon tour de le faire sourire)

- On la finira un jour.... dans quelques mois...

- Pour mon anniversaire!

- Certainement! Il me sourit.

Je sais qu'on se dit adieu et je ne le veux pas! Je ne lui ai jamais dit je t'aime aussi sincèrement. Je n'ai jamais aimé autant avant lui.... Mon coeur bat si fort que je le sens battre dans toutes les parties de mon corps. Je tremble, j'ai si mal, si peur de ce qui se passe. Je réalise que mon organisme est au bord de la rupture. Je pense que "si je meurs ce n'est pas si grave, j'ai vécu l'amour avec un grand A et après l'avoir perdu je ne pourrai plus vivre".

Il me prend dans ses bras nos yeux se croisent une dernière fois. Je crois qu'il va m'embrasser, mais il regarde la maison, ses bras se défont de mes hanches et il dit tous fort "prend soin d'elle!"

Mon coeur bat encore très fort. Je voudrais qu'il cesse de battre pour toujours, mais je regarde la maison, il y a à la porte mon mari et à la fenêtre mes enfants. Je comprends pourquoi il ne m'aura pas embrassé. J'aurai à peine senti ses lèvres me frôler, avant qu'il n'adresse ses derniers mots à mon mari. La raison reprend ses droits, contre mon coeur. Je ne peux pas baisser les bras fassent à eux. Je calme ma respiration, pour que mon coeur batte à nouveau normalement. Le portail donnant sur la rue claque, je sursaute, Patrick est parti.

J'ai envie de pleurer, mais je n'y arrive pas. Mes mains tremble. J'ai envie de hurler puis de m'asseoir, mais tout à coup le contenu de mon estomac se révolte. J'ai à peine le temps de courir aux toilettes où il se déverse. Dans la foulée j'ai poussé mon mari, qui se frottait encore la joue et dont les yeux étaient remplis d'étonnement et de mépris.

Après avoir vomi, je m'assoie sur les toilettes, j'essaye de comprendre ce que nous humains nous ne pouvons comprendre.

Je sais qu'il faut que je vive, me forcer, pour le bien de mes enfants et de celui qui m'a retiré ce goût de la vie par deux fois. La première fois je l'ai encaissé et je l'ai surmonté, mais cette fois-ci je sais que ce sera très dur. Que je devrais prendre sur moi pour ne pas mourir, pour ne pas faire de bêtise.

Les mots de Patrick résonnent, il a pris sa décision et je ne lui ai rien promis. Mais je ne me redonnerai pas à cet homme, qui m'a trahi et reviens pour mettre la zizanie. Il peut vivre près de moi, mais jamais plus je ne serais sa douce. Il aura son repas sur la table, ses chemises repassées, des sourires et des dialogues quand les enfants seront là, mais ce sera tous.

J'ai noté ma dernière partie d'échec ranger l'échiquier et interdits que l'on y touche. Mon mari se rend compte du mal qu'il m'a fait, il reste patient et espère qu'avec le temps, il me séduira. Il n'y a pas un jour où je ne pense à Patrick pas une minute, car tous me fait penser à lui, les courses, les voitures, les conversations, la nature, etc. Si ma raison fait tous pour échapper à la folie de cette amour mon corps lui cède. Je suis de plus en plus fatiguée, mon corps à l'air de vouloir mourir, pas d'appétit, nausée. J'arrive à travailler, mais tous me parait si dure. Les semaines passent mon état ne s'améliore pas. Fin octobre j'ai mon rendez-vous annuel, chez mon gynécologue, très bien j'en profiterais pour demander un bilan complet de santé, frottis et tout le reste.

La visite chez ce praticien ce passe toujours de la même manière, les mêmes questions auxquels je réponds machinalement. Pendant qu'il m'ausculte il me redemande les dates de mes dernières règles. Je lui réponds que cela fait un an qu'elles sont irrégulières, depuis le départ de mon mari revenu il y a peu. Il décide de me faire une échographie. Un bruit que je connais retenti, celui d'un battement de coeur et sur l'écran un embryon. Je revois mon cauchemar et je me rappelle les cris d'un bébé. Je pense à ce terrible rêve qui devient réalité. L'homme que j'aime s'en va, me laisse et un bébé va pleurer, mais là c'est moi qui pleure. Les larmes n'avaient pour l'heure pas coulées, mais la c'est un ruisseau. Je raconte tous à mon médecin. Je me rends compte que la première fois nous n'avons pas dû être très prudent. Ce qui me semblait être une dépression suite à la perte de l'amour, était en faites dû au fruit de cet amour.

J'ai le droit à sa compassion. Je dois faire les tests pour les maladies sexuellement transmissible et tant que je n'ai pas de résultats je devrais être vigilante. Dans une semaine le délai légale pour un IVG sera dépassé, je dois à tous pris me décider dans les heures voir trois jours qui suivent. J'écoute mon médecin qui me donne les formulaires pour la CAF et les ordonnances.

Quand je sors du cabinet, je voudrais sourire, je tremble, je prends mon mobile et appelle Patrick. Cela sonne deux fois et je tombe sur sa messagerie, il aura vu que c'est moi et aura débranché son portable :

D'une voix tremblante je laisse un message après le Bip, "Patrick c'est Angélique rappel moi s'il te plaît c'est très très important".


Socque soyez indulgent(e) j'ai fais de mon mieux...
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Message  Invité Lun 5 Avr 2010 - 16:48

J'ai l'impression que vous avez fait moins attention cette fois, je retrouve davantage d'erreurs de langue, me semble-t-il... Accrochez-vous, dites-vous que, pour le lecteur, lire un texte écrit en bon français est beaucoup plus agréable, vous aurez davantage de chances d'obtenir des commentaires.

Mes remarques :
« ce ne sera pas la peine, (pourquoi une virgule ici ?) de m'appeler »
« J'ai fait mon choix et je ne répondrai (le futur s’impose ici et non le conditionnel « répondrais ») pas »
« Dieu vous a unis (Dieu a uni quoi ? « vous », un pluriel ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct placé avant le verbe)
« Par cette phrase j'essaye à mon tour de le faire sourire) » : manque l’ouverture de la parenthèse
« Mon cœur bat si fort que je le sens battre » : la répétition du verbe battre est peu heureuse, je trouve
« il dit tout fort "prends soin d'elle »
« Mon cœur bat encore très fort »
« contre mon cœur. Je ne peux pas baisser les bras face à eux »
« pour que mon cœur batte à nouveau » (purée, qu’est-ce qu’il bat, ce cœur !)
« Mes mains tremblent »
« je m'assois sur les toilettes »
« Que je devrai (le futur s’impose ici, et non le conditionnel « devrais » ; essayez de changer de personne : « elle devra prendre sur elle ») prendre sur moi pour ne pas mourir »
« qui m'a trahie (il a trahi sa femme) et revient pour mettre la zizanie »
« jamais plus je ne serai (le futur s’impose ici et non le conditionnel « serais ») sa douce »
« ce sera tout »
« J'ai noté ma dernière partie d'échecs rangé l'échiquier et interdit (et non « interdits ») que l'on y touche »
« tout me fait penser à lui »
« Si ma raison fait tout pour échapper à la folie de cet (et non « cette ») amour »
« mon corps a l'air de vouloir mourir »
« tout me paraît si dur (et non « dure » : « tout » n’est pas féminin) »
« très bien j'en profiterai (le futur s’impose ici et non le conditionnel « profiterais ») pour demander »
« La visite chez ce praticien se passe toujours »
« les mêmes questions auxquelles (elle répond aux questions, féminin pluriel) je réponds machinalement »
« Un bruit que je connais retentit, celui d'un battement de cœur »
« Les larmes n'avaient pour l'heure pas coulé (le participe passé du verbe conjugué avec avoir ne s’accorde à rien, en l’absence de complément d’objet direct), mais là c'est un ruisseau. Je raconte tout à mon médecin »
« nous n'avons pas dû être très prudents (ils étaient deux) »
« était en fait et non « faires ») dû au fruit »
« les maladies sexuellement transmissibles et tant que je n'ai pas de résultats je devrai (et non « devrais », le futur s’impose ici et non le conditionnel) être vigilante »
« le délai légal (et non « légale ») pour une (Interruption Volontaire de Grossesse : féminin))[/b] IVG sera dépassé, je dois à tout prix me décider dans les heures voire trois jours »
« rappelle-moi s'il te plaît »
« j'ai fait de mon mieux »

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rencontre dans un magasin (nouvelle de 10 pages maximums) Empty suite et fin... d'avance merci pour vos corrections, et accepter mes excuses...

Message  souricettedu.94 Dim 23 Mai 2010 - 13:36

La mâtiné est passée je suis de retour chez moi et je suis sans nouvelles de Patrick. Je fais les cent pas. Je suis anxieuse il faut qu'il m'appelle je dois lui parler! Je suis passée devant chez lui je me suis arrêtée, j'ai sonné. Rien! pas là un samedi matin.

J'ai fini par me poser devant mon ordinateur et je lis mes mails. Mes enfants viennent de rentrée du collège ils ont faims, je leur dis de se débrouiller, car je n'ai pas envie de leur parler. Ils me parlent et je dis oui sans les écouter. Ma grande se met à rire. Elle vient vers moi et son rire fini par m'interpeller :

- Maman! je comprends tous...
- Comment ça ?
- Oui! pourquoi t'es aussi stressée!
- Hein?
- je voulais des sous pour les pizzas et j'ai trouvé ça dans ton sac,

Mon coeur bat la chamade elle tient dans sa main, la photo de l'échographie, je reste sans voix les larmes aux yeux. Elle me sourit me prends dans ses bras et tout à coup du haut de ses 14 ans elle me dit "se sera le plus choyé des bébés, il faut que tu le garde!"

Je me vois mal lui dire ce n'est pas possible face à son sourire, car ce ne sera qu'un demi-frère ou soeur. Mais je n'aime pas les tabous et il ne faut pas mentir cela ne sert à rien.

- Ma chérie ce bébé n'est pas celui de ton papa je ne suis pas sur de le garder.
- Ben et alors, tu l'as aimé son papa, qu'il soit là où pas... cela ne change rien.

J'ai les larmes aux yeux, si seulement c'était si simple. Je lui souris et lui dit qu'elle est adorable, mais que comme je n'ai rien décidé, il vaut mieux ne rien dire, elle me sourit et me dis "tu le garderas"...

La sonnette sonne j'espère au fond de moi que c'est Patrick mon regard s'illumine, mais quelle déception à la vue du livreur de pizza que ma fille règle sans attendre.

Les heures passent la conversation avec ma fille m'a fait du bien et je sais que si mon mari n'était pas réapparu cet enfant aurait été aimé et désiré de son père. Au fil des heures ma décision se prend qu'il me rappelle ou pas je garderais ce bébé.

La date fatidique est passé il m'est maintenant impossible de reculer, je n'ai plus aucun autre choix qu'assumer ce fruit de l'amour. Lors d'un diner j'annonce la nouvelle. Mes enfants et leur père me regardent je leur dis que la famille s'agrandira dans quelques mois. Cet enfant a été conçu dans l'amour et qu'il faudra l'aimer et le respecter. Je regarde mon mari, dans ses yeux il y a de la colère. Je demande aux enfants de me laisser seule avec leur père.

-Je sais que tu es en colère, mais je n'ai rien programmé et je m'en suis aperçu un peu trop tard... je croyais que je faisais une dépression... Si tu veux tu peux partir je t'oblige à rien.

- Il en pense quoi le futur papa?
- Je n'arrive pas à le joindre, j'en sais donc rien...
- C'est vraiment un lâche, je reste pour l'instant je vais t'aider, mais pas sûr que j'arrive à accepter le fait que tu as aimé un autre...
- Ce n'est pas un lâche! Il ne le sait pas et s'il m'a laissé c'est par respect des valeurs familiales. Et puis moi j'ai dû accepter que tu en aimes une autre que tu me quittes et que tu sois revenu comme si rien étais. Cet homme je l'ai aimé. Il m'a épaulé et fait oublier mes tristesses. Il ne me dit rien et par se coucher.... Je reste là des larmes pleins le coeur.

Les semaines passent mon ventre s'arrondi et bientôt je ne pourrais plus cacher ma grossesse. Mon médecin me met en garde, ma santé ce fragilise et il ne tarde pas à me mettre en arrêt maladie. Je fais ce que me conseil ce vieux médecin. Je reste au calme allongé au maximum, de temps en temps je m'assoie devant mon ordinateur et j'écris pour ce petit être que j'attends. J'écris un livre, je veux qu'il ou elle sache que son papa m'a aimé, qu'il n'est pas un accident, mais le fruit d'un amour. Je joins aux mots les photos que j'ai de lui, de nous.

Pour le réveillon du jour de l'an j'ai pris rendez-vous au salon de coiffure. Ma coiffeuse me parle de tous et de rien. Je regarde le va et viens des gens aidés par le jeu des miroirs. Un homme s'assoie et une coiffeuse lui lave les cheveux, c'est Patrick, il sourit il ne m'a pas encore vu. Notre enfant viens de s'agiter en mon sein et moi je recouvre mon ventre de mon cardigan, sous la blouse noire du salon de coiffure. J'aimerais devenir transparente et je n'arrive pas à faire autrement que de le dévisager. Sa coiffeuse le place juste derrière moi et là il vient de voir mon regard dans son miroir, je souris et répond à la coiffeuse l'air de rien. Ma coiffeuse a presque fini de lissé mes cheveux, mais cela dure une éternité. Je vois que lui aussi est bientôt prêt. Je ne veux pas lui parler, je ne veux plus qu'il sache et je veux partir vite. J'essaye de faire comme si rien étais, mais je suis bien mal à l'aise. J'ai évité comme j'ai pu son regard. La coiffeuse m'invite à me lever. J'essaye de me déplacer de manière à cacher mon ventre. Je paye à la patronne et j'ai du mal à l'entendre avec le bruit des sèches cheveux. Elle me demandait si j'attendais un heureux événement. Je remue la tête en guise de réponse elle me sourit et me demande de combien je réponds cinq mois. Elle me fait répéter au moment ou Patrick se dirige a grand pas vers la caisse. Je dis au revoir il est là tous prêt. Il a entendu et reste bouche bée la porte de verre se referme sur son étonnement et je me dépêche de fuire en essayant de rester naturelle. Mon coeur bat trop vite et je me rappelle ce que le médecin m'a dit "votre coeur est très fragilisé par cette grossesse et s'emballe facilement éviter les contrariétés et les efforts". Il faut que je me calme que je marche plus doucement avec cette crainte de le voir s'approcher de moi. La situation me rappelle notre rencontre, où je peinais sous les poids des courses avec une chaleur insoutenable j'étais en nage et là aussi pourtant il fait si froid... j'ai envie de pleurer je sais que la confrontation ne va pas tarder, en plus je suis en train de passer devant sa maison...

- Angélique attends! Il n'est qu'à deux pas, sa main prend mon bras.
- Il faut que je rentre! Laisse-moi rentrer chez moi!
- Il faut qu'on parle! En plus on est devant chez moi et tu as l'air essoufflé rentre deux minutes te reposer. Il me regarde avec son regard doux et compatissant. Son regard, sa voix douce et tendre m'ont calmée et je sais qu'il a raison et des fois il faut oublier sa fierté alors j'accepte son invitation.

Chez lui rien à l'air d'avoir changé.

Il m'aide à retirer mon manteau son regard se pose sur l'objet du délit, ce ventre bien rond, qui devant ma contrariété c'était contracté. Mon utérus se contracte facilement et sans douleur, ce qui ne plait pas trop à mon docteur.

Il me fait asseoir sans un mot et me prépare un verre d'eau. Son regard est plein de compassion, j'aime toujours ce regard comme si les mois n'avaient rien changé. Il me demande pourquoi je lui ai rien dit... Je suis confuse un moment et fini par lui dire :

- je t'ai envoyé un mail, laissé un message sur ton téléphone mobile t'y a jamais répondu.
- Cela a dû être au moment ou on m'a volé mon mobile donc je n'ai jamais reçu ton message et j'ai eu un soucis dans la même période avec mon ordinateur,.. si j'avais su.... Mais je suis là maintenant et si je ne m'abuse il s'agit de notre bébé...
- Oui et malgré que mon mari vit à la maison et qu'il soit à mes petits soins nous ne sommes plus des amants. Il dort dans la chambre d'ami...

Un sourire se dessine sur ses lèvres. Il se colle à moi m'enlace et m'embrasse. Je suis là où ce bébé a été conçu, je glisse sur le canapé. Je ris lui souris et l'arrête dans son élan d'amour.

Il me regarde, avec un pourquoi dans ses yeux. "Ce n'est pas toi le soucis, j'en ai envie autant que toi, mais mon médecin m'a recommandé d'éviter les sensations forte". Je sans l'inquiétude qui le gagne alors, je lui raconte tous.

Quand je rentre à la maison je suis tout sourire et ce n'est pas dû à ma nouvelle coupe, qui est la même que d'habitude et rien ne pourrais me contrarié. Je suis étonnée quand je rentre chez moi. Il y a la femme qui m'avait pris mon mari et visiblement elle se rhabille. Elle me regarde de haut. Elle regarde le 1er étage en disant tous fort "à demain mon Chéri" et en passant pour sortir elle me bouscule. Mais je reste souriante. Mon mari remet sa chemise dans son pantalon en descendant les escaliers. Il a l'air mal à l'aise. Mais s'il savait a quel poins je m'en fiche. Je le regarde à peine et je me dirige vers mon ordinateur, car j'ai du nouveau à raconter à mon bébé "son père s'inquiète pour sa santé et il l'aime".

Quelques jours plu tard, mon mari demande le divorce pour se remettre avec sa conquête ce que j'accepte. Patrick lui emménage à la maison. Il n'y a pas de heurt tous nous nous comprenons et au finale sommes heureux des circonstances. Voilà! je suis à mes huit mois de grossesse j'ai envoyé mon doux livre illustrés de dessins et de photos à un imprimeur pour le faire relié. Ce sera le cadeau de naissance de notre bébé. Sa chambre est prête et moi je suis obligée de rester allongé..

Encore deux jours je rentre à l'hôpital pour la césarienne, car il s'agit d'une grossesse a risque pour ma vie et celle du bébé. Mais cela ne se passe pas comme prévu et durant la soirée de la St Philippe le 3 mai ... Patrick appel les urgences. Je suis tombée par terre, j'ai perdu connaissance et une petite flaque de sang c'est dessinée sur le sol. Il est 21 h 30 le médecin incise ma peau au bas du ventre après m'avoir anesthésié localement... j'entends ce petit-être crier. Des larmes coulent de joie sur mes joues "il va bien". j'ai chaud, bien trop chaud. L'infirmière me le présente, il est vraiment beau ce bébé. Je lui demande d'appeler le père, d'une voix faible et suppléante. J'ai mal dans la poitrine mon coeur s'emballe, je vois trouble, je ne vois plus rien que des lueurs et j'entends au loin l'inquiétude des médecins qui tentent de me ramener alors que mon âme abandonne mon corps.

Patrick est dans le couloir. Il feuillète le cadeau que je lui ai remis pour lui et notre enfant juste avant que je m'écroule par terre. Il lit notre histoire et regarde les photos, il a les larmes aux yeux et s'en veut de m'avoir abandonné. La sage femme viens le voir. Elle a dans ses bras notre petit ange. Patrick regarde émerveillé ce bébé, avant qu'elle ne l'amène à la salle de soin. Elle n'a pas répondu à la question comment va ma femme?

Et moi je le vois d'en haut et je voudrais le serrer dans mes bras le rassurer, car il s'effondre en larmes. Il sent que les choses ne se passent pas bien, mais il y a là-bas une lueur qui m'attire. Alors, une voix m'arrête, je me retourne un ami d'enfance dans un halo de lumière me regarde. Il me dit: "repars dans ton corps ce n'est pas le moment, dépêche toi" il m'a pris par la main et me ramène à la vie. Je suis de nouveau là sans aucune séquelle, si ce n'est d'avoir revu un ami mort à l'âge vingt-deux ans pendant un voyage en Inde. Un jeune homme qui m'a toujours manqué tout au long de ses années, tellement intelligent et gentil. Je suis sous le choc pas, car je suis revenue à la vie mais d'avoir revu cet ami. Le sourire de Philippe me hante et me ravi encore.

Notre bébé s'appellera Philippe.

Fin... merci pour vos réactions et veuillez excuser ma plume boiteuse.
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Message  elea Dim 23 Mai 2010 - 14:01

Je trouve que tu as fait de super efforts sur la forme, même s’il y a encore pas mal de fautes, mais c’est plus agréable à lire quand même, bravo.
Sur le fond, comment dire… ton héroïne énerve mes tendances féministes pourtant pas très développées, j’aurais aimé qu’elle envoie valser ce mari qui ne la respecte pas, qu’elle se batte pour contacter Patrick, qu’elle prenne les choses en main au lieu de laisser faire les hommes de sa vie, jusqu’à l’ancien ami transformé en ange.
Un passage attendrissant : celui de la fille aînée.

elea

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Message  Invité Dim 23 Mai 2010 - 14:22

Désolée, souricettedu.94, mais je ne comprends pas pourquoi vous tenez absolument à dresser autant d'obstacles entre votre texte et ses lecteurs. Tel quel, il est à peu près illisible, perclus d'erreurs de langue. Dommage, l'histoire est touchante et votre narration toute simple lui convient bien.

Mes remarques :
« La matinée est passée »
« je dois lui parler! » : typographie, une espace avant le point d’exclamation
« Rien! » : typographie, une espace avant le point d’exclamation
« Mes enfants viennent de rentrer du collège ils ont faim (et non « faims ») »
« son rire finit par m'interpeller »
- Maman! (typographie, une espace avant le point d’exclamation) je comprends tout...
- Comment ça ?
- Oui! (typographie, une espace avant le point d’exclamation) pourquoi t'es aussi stressée! (typographie, une espace avant le point d’exclamation)
- Hein? (typographie, une espace avant le point d’interrogation)
- je voulais des sous pour les pizzas et j'ai trouvé ça dans ton sac, (on ne termine pas une réplique par une virgule, mais un point, normal, d’exclamation, d’interrogation, voire des points de suspension)
(pour introduire des répliques de dialogue, le trait d’union « - » ne suffit pas, il faut « – » ou « — »)
« Mon cœur bat la chamade elle tient dans sa main, (pourquoi une virgule ici ?) la photo de l'échographie »
« Elle me sourit me prend (et non « prends ») dans ses bras et tout à coup du haut de ses 14 ans elle me dit "ce sera le plus choyé des bébés, il faut que tu le gardes!" » : typographie, une espace avant le point d’exclamation
« qu'un demi-frère ou sœur »
- Ma chérie ce bébé n'est pas celui de ton papa je ne suis pas sûre de le garder.
- Ben et alors, tu l'as aimé son papa
(pour introduire des répliques de dialogue, le trait d’union « - » ne suffit pas, il faut « – » ou « — »)
« Je lui souris et lui dis qu'elle est adorable »
« elle me sourit et me dit »
« qu'il me rappelle ou pas je garderai (et non « garderais », le futur s’impose ici et non le conditionnel) ce bébé »
« La date fatidique est passée (la date) »
-Je sais que tu es en colère, mais je n'ai rien programmé et je m'en suis aperçue un peu trop tard... je croyais que je faisais une dépression... Si tu veux tu peux partir je t'oblige à rien.

- Il en pense quoi le futur papa? ( typographie, une espace avant le point d’interrogation)
- Je n'arrive pas à le joindre, j'en sais donc rien...
- C'est vraiment un lâche, je reste pour l'instant je vais t'aider, mais pas sûr que j'arrive à accepter le fait que tu as aimé un autre...
- Ce n'est pas un lâche! ( typographie, une espace avant le point d’exclamation) Il ne le sait pas et s'il m'a laissée c'est par respect des valeurs familiales. Et puis moi j'ai dû accepter que tu en aimes une autre que tu me quittes et que tu sois revenu comme si de rien n’était. Cet homme je l'ai aimé. Il m'a épaulée et fait oublier mes tristesses. (ici, il faudrait passer à la ligne pour marquer la fin de la réplique) Il ne me dit rien et par se coucher.... Je reste là des larmes plein (et non « pleins ») le cœur.
(pour introduire des répliques de dialogue, le trait d’union « - » ne suffit pas, il faut « – » ou « — »)
« mon ventre s'arrondit et bientôt je ne pourrai (et non « pourrais », le futur s’impose ici et non le conditionnel) plus cacher ma grossesse »
« ma santé se fragilise »
« Je fais ce que me conseille ce vieux médecin »
« Je reste au calme allongée au maximum, de temps en temps je m'assois devant mon ordinateur »
« que son papa m'a aimée (il a aimé qui ? « m’ », mis pour la narratrice ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le compliment d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici) »
« Ma coiffeuse me parle de tout et de rien »
« Je regarde le va et vient des gens aidés (qui est aidé ? les gens, le va et vient (dans ce cas, « aidé », ou la narratrice (dans ce cas, « aidée »)) par le jeu des miroirs »
« Un homme s'assoit »
« il ne m'a pas encore vue (il n’a pas vu qui ? « m’ », mis pour la narratrice ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le compliment d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici) »
« Notre enfant vient de s'agiter »
« je souris et réponds à la coiffeuse »
« Ma coiffeuse a presque fini de lisser mes cheveux »
« comme si de rien n’était »
« le bruit des sèche-cheveux »
« au moment où Patrick se dirige à grands pas »
« il est là tout prêt »
« je me dépêche de fuir (et non « fuire ») »
« Mon cœur bat trop vite et je me rappelle ce que le médecin m'a dit "votre cœur »
- Angélique attends! (typographie, une espace avant le point d’exclamation) Il n'est qu'à deux pas, sa main prend mon bras.
- Il faut que je rentre! (typographie, une espace avant le point d’exclamation) Laisse-moi rentrer chez moi! (typographie, une espace avant le point d’exclamation)
- Il faut qu'on parle! (typographie, une espace avant le point d’exclamation) En plus on est devant chez moi et tu as l'air essoufflé rentre deux minutes te reposer. (ici, il faudrait passer à la ligne pour marquer la fin de la réplique) Il me regarde
(pour introduire des répliques de dialogue, le trait d’union « - » ne suffit pas, il faut « – » ou « — »)
« Chez lui rien n’a l'air d'avoir changé »
« qui devant (à cause de, plutôt) ma contrariété s'était contracté »
« Je suis confuse un moment et finis par lui dire »
- Je t'ai envoyé un mail, laissé un message sur ton téléphone mobile t'y as jamais répondu.
- Cela a dû être au moment où on m'a volé mon mobile donc je n'ai jamais reçu ton message et j'ai eu un souci (et non « soucis ») dans la même période avec mon ordinateur… (et non « ,.. ») si j'avais su.... Mais je suis là maintenant et si je ne m'abuse il s'agit de notre bébé...
- Oui et bien que mon mari vive à la maison et qu'il soit à mes petits soins nous ne sommes plus des amants. Il dort dans la chambre d'amis...
(pour introduire des répliques de dialogue, le trait d’union « - » ne suffit pas, il faut « – » ou « — »)
« Ce n'est pas toi le souci (et non « soucis ») »
« d'éviter les sensations fortes". Je sens l'inquiétude »
« je lui raconte tout »
« rien ne pourrait me contrarier »
« en disant tout fort »
« s'il savait a quel point je m'en fiche »
« Quelques jours plus tard »
« au final (et non « finale ») sommes heureux »
« Voilà! ( typographie, une espace avant le point d’exclamation) je suis à mes huit mois de grossesse j'ai envoyé mon doux livre illustré (et non « illustrés ») de dessins »
« pour le faire relier. Ce sera le cadeau de naissance de notre bébé. Sa chambre est prête et moi je suis obligée de rester allongée.. (manque un point pour faire des points de suspension) »
« il s'agit d'une grossesse à risque »
« la soirée de la St Philippe le 3 mai ... » : typographie, pas d’espace avant les points de suspension
« Patrick appelle les urgences »
« une petite flaque de sang s'est dessinée »
« après m'avoir anesthésiée (il a anesthésié qui ? « m’ », mis pour la narratrice ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé vant le verbe, ce qui est le casici) localement »
« j'entends ce petit être (pas de trait d’union) crier »
« sur mes joues "il va bien". J'ai chaud »
« d'une voix faible et suppliante »
« mon cœur s'emballe »
« s'en veut de m'avoir abandonnée (il a abandonné qui ? « m’ », mis pour la narratrice ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici) »
« La sage-femme (trait d’union) vient le voir »
« Il me dit: (typographie, une espace avant les deux points) "Repars »
« dépêche-toi (trait d’union ; par ailleurs, manque un signe de ponctuation pour terminer la réplique)" Il m'a prise par la main »
« un ami mort à l'âge de vingt-deux ans »
« tout au long de ces années »
« Je suis sous le choc pas (pas de quoi ?), car je suis revenue à la vie mais d'avoir revu cet ami »
« me hante et me ravit encore »

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Message  souricettedu.94 Dim 23 Mai 2010 - 20:54

[quote="socque"]Désolée, souricettedu.94, mais je ne comprends pas pourquoi vous tenez absolument à dresser autant d'obstacles entre votre texte et ses lecteurs. Tel quel, il est à peu près illisible, perclus d'erreurs de langue. Dommage, l'histoire est touchante et votre narration toute simple lui convient bien.



Je vous remercie pour vos corrections. Je vous comprends dans un sens et termine votre torture par la fin de cette nouvelle.

Si je pouvais me libérer aussi facilement des chaînes que sont la typographie et les fautes de langues je le ferais, mais cela est bien trop dure pour ma personne et elles sont bien trop lourdes (peu de temps).

Je vous souhaite à tous une bonne continuation... et merci Elea.
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Message  Reginelle Lun 24 Mai 2010 - 7:13

ha ben voilà ! Merci d'avoir posté la fin, (lol)... je n'aime pas ne pas savoir comment finit une histoire.

Il ne faut pas se décourager, Souricette. On dit que "Paris ne s'est pas fait en un jour". Ecrire, c'est pareil. C'est bien d'être allée juqu'au bout, déjà.
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Message  Invité Lun 24 Mai 2010 - 7:47

souricettedu.94 a écrit:[quote="socque"]Désolée, souricettedu.94, mais je ne comprends pas pourquoi vous tenez absolument à dresser autant d'obstacles entre votre texte et ses lecteurs. Tel quel, il est à peu près illisible, perclus d'erreurs de langue. Dommage, l'histoire est touchante et votre narration toute simple lui convient bien.



Je vous remercie pour vos corrections. Je vous comprends dans un sens et termine votre torture par la fin de cette nouvelle.

Si je pouvais me libérer aussi facilement des chaînes que sont la typographie et les fautes de langues je le ferais, mais cela est bien trop dure pour ma personne et elles sont bien trop lourdes (peu de temps).

Je vous souhaite à tous une bonne continuation... et merci Elea.

Non, le coup du manque de temps je n'achète pas. Vous avez trouvé le temps d'écrire cette fin et de la poster, j'ai l'impression que vous n'avez pas voulu prendre celui de la relire, encore et encore, de vérifier une à une les formes verbales, etc., parce que ce n'était pas gratifiant. C'est votre droit, naturellement, en tout cas permettez-moi de penser que si vous n'aviez pas le temps, vous n'auriez tout simplement pas pu écrire votre histoire. Vous n'aviez pas le temps de vous donner du mal pour qu'elle soit lisible, cela me paraît plus juste.

Je rejoindrai donc Reginelle : il ne faut pas vous décourager, et, je pense, il vaut mieux éviter aussi de croire qu'une histoire est terminée quand vous avez écrit "FIN" en bas. Elle est terminée quand vous l'avez rendue lisible.

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Message  souricettedu.94 Lun 24 Mai 2010 - 8:27

Je crois socque que c'est plus dramatique qu'un manque de temps. Pour écrire le brouillon de la fin (3 pages) j'ai mis une heure (facile les mots virevoltaient, je n'avais plus qu'à les poser) ! ensuite j'ai mis presque cinq heures pour corriger et quand je l'ai envoyé je n'y voyais plus aucune faute...

J'ai mis un mois et demi pour prendre le temps d'écrire la fin... en deux jours j'ai passé six heures sur ces trois pages... Je n'ai tous bonnement pas les capacités mentales pour écrire sans fautes et sans erreur d'inattention. Il faut que je fasse avec et ce n'est pas réjouissant. Merci d'avoir voulu m'aider, mais des fois on ne peux rien faire.

Merci Reginelle et Socque pour vos encouragements.
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Message  Invité Lun 24 Mai 2010 - 8:38

Voyez-vous, souricettedu.94, je pense que Nechez ne m'en voudra pas si je cite son cas : les premières fois où je l'ai lu, vos textes étaient plus délirants que les vôtres sous le rapport de la langue française. On ne l'a plus vu ici pendant des mois, et dernièrement il est revenu avec des textes présentant une bonne orthographe ! Une question qu'il a posée sur le site m'incite à penser qu'il a effectué des exercices sur le Net.
Il n'est pas question de capacités mentales ici, mais de technique : il ne s'agit pas, vu votre orthographe déplorable, de consacrer des heures à un texte déjà écrit, mais de reprendre les choses à la base, de revoir les règles, de vous exercer pendant des semaines, puis, une fois les bases un peu acquises, de vous remettre à écrire, en vérifiant.
C'est chiant, c'est de la discipline, mais c'est vous donner les moyens d'atteindre votre but, écrire des textes en français correct.

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Message  Invité Lun 24 Mai 2010 - 8:41

"ses textes étaient plus délirants que les vôtres", pardon.
et "écrire des textes en un français correct".

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Message  abstract Lun 24 Mai 2010 - 8:43

Souricette, écrire c'est prendre du temps...
Pour un texte de 12 000 signes, je dois atteindre les 120 h de travail. Ne pas prendre le temps de finaliser un texte c'est pour moi manquer de respect envers le lecteur.
L'écriture ce n'est pas une course de vitesse, seul le résultat final compte.
abstract
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Message  souricettedu.94 Lun 24 Mai 2010 - 9:31

abstract a écrit:Souricette, écrire c'est prendre du temps...
Pour un texte de 12 000 signes, je dois atteindre les 120 h de travail. Ne pas prendre le temps de finaliser un texte c'est pour moi manquer de respect envers le lecteur.
L'écriture ce n'est pas une course de vitesse, seul le résultat final compte.

Je n'ai jamais voulu manquer de respect à personne.... et je cours après le temps ! C'est hélas une vérité... (boulot, dodo, famille, ménage, etc...)

Mais comment faire quand on ne voit plus nos fautes, qu'on croit que ce que l'on écrit est pas si mal... Et qu'au final il n'est pas bon, pas lisible!!!


Pendant des années j'ai tenté, d'ingérer les règles de grammaire... et sans succès. Peut être devrais-je retenter et m'organiser pour m'exercer, j'essayerai de prendre le temps.


Tant qu'il y a de la vie il devrait y rester de l'espoir!
souricettedu.94
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Message  Invité Lun 24 Mai 2010 - 9:39

Oui ! Ne vous découragez pas, n'hésitez pas à faire des exercices "bébêtes", à repartir du début... On ne demande à personne d'avoir une orthographe impeccable, bien sûr, mais que le texte n'écorche pas l'œil à chaque ligne ou presque.

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Message  abstract Lun 24 Mai 2010 - 10:23

Oui tu as raison, c’est difficile et décourageant. J’ai souvent l’envie de tout abandonner, de me dire qu’après tout je préfère lire à écrire. Et puis je ne sais pas pourquoi, je m’y remets.
En ce qui concerne l’orthographe, rassure-toi, la mienne est déplorable aussi. Il y a des solutions, la première étant d’investir dans un bon logiciel de correction. Perso, je suis assez contente d’antidote malgré son prix (plus ou moins 100 €), mais bonpatron (gratuit sur le net) n’est pas mal non plus. Il y a aussi moyen de faire relire ton texte avant de le poster. Parfois, demander à quelqu’un de te le lire à haute voix permet de trouver des incohérences et de corriger aussi pas mal de maladresses dans le rythme du texte.
Vrai que vu comme ça, ce n’est pas très encourageant, c’est une masse de travail énorme pour laquelle on n’est pas vraiment récompensé. Souvent, je me dis que si je mettais dans deux colonnes le pour et le contre, j’arrêterais illico d’écrire. Et puis non, finalement il n’y a rien de rationnel là-dedans.
Bonne chance pour la suite.
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