Ici, on parle de : MUSIQUE !

Ü

Alice ton lien marche pas chez moè

'naise
pour une fois que c'est pas l'inverse

Ces liens sont "interdits" par ici pour cause d'Emi qui semblerait être notre ennemi ...

Je joue mon joker avec une pensée infinie pour Al Wilson et Robert Hite. Inconditionnel !!!

J'oubliais : merci Lilllith de m'avoir fait (re) découvrir Gribouille. J'étais bien petit, mais j'ai eu le plaisir de voir ma "grande sœur", chantonner Mathias qu'elle n'avait pas entendu depuis une quarantaine d'années : Je remets ça pour un peut de nostalgie, et surtout pour le talent de cette nana, qui m'a séduit, dans tous les sens du terme :

un peu ça "peut" :-)

pour égayer cette journée
je ne trouve pas le condamné à mort chanté par Ogeret

Avant de partir dans la cambrousse, on va se réveiller avec une musique de jeune de quand j'avais onze ans (car j'avais onze ans avant d'en avoir sept). Il faut cliquer sur "Visionner sur YouTube" :

t'as enregistré les travaux dans ta rue ?
Ü

je retire, après c'est du lourd !

Janis a écrit:je retire, après c'est du lourd !

si tu parles des premières secondes, elles ne sont pas franchement confortables quand on ne connaît

mais ça devient un bijou en l'apprivoisant

okok je viens de comprendre

;-)

c'est une chanson où il est tellement facile de changer le "her" par le "my" ou le "mine" que ça en devient évident

oui mais tes chansons, je suis obligée de les passer au traducteur pour avoir le message subliminal et ça donne des trucs assez hilarants

J'ai découvert cette gamine il y a peu, un peu tard (si on peut dire). Ici elle doit avoir un peu moins de 20 balais et donnerait des leçons à bien des chanteuses de jazz anciennes ou modernes :

c'est tellement déloyal aseptans que je surenchéris

Facile !!!

Je ne sais pas si ça intéresse grand monde mais je continue tout de même mon tour d'horizon du folk-metal, un style qui me tient à coeur, particulièrement florissant dans le nord et l'est de l'Europe. Nous avons donc entendu Korpiklaani (Finlande), Eluveitie (Suisse) grâce à Phoenamandre et Arkona (Russie). Restons dans ce pays avec Troll Bends Fir :

aseptans a écrit:Facile !!!

C'est toi qui a commencé ! ;-)
=

Moi j'ai rien fait. :-) Vive "rehab" !

Quand elle adapte les Beatles (toujours dans sa "jeunesse"), ça donne ça (et plouf ; ne me mets pas "girl from ipanema" !!! ) :

Oui, Jha, ne te fatigue pas, je le mets!

pff

trois notes
un ton
on plane

là je parlais de All my loving

mais sympa à toi de m'avoir épargné l'effort :-)

Pfiou ... même pas mal !

ne t'y trompe pas si il est besoin de préciser je souffle seulement devant tellement de génie

après ça

ben voilà

Et si tu ne l'as déjà, achète le dvd "Live in London", où elle est émouvante et belle, et à la fois très gamine avec tout le jeu de regards avec "Blake", allant jusqu'au pathétique, lorsqu'elle boit sa vodka et qu'elle mime un coup de pistolet dans la bouche.
Incroyable en live ... Dans la lignée de B. Holiday ...

merci pour le conseil et ton partage !

j'ai de la route à faire demain alors je vais aller me coucher avec ces notes

Merci pour "Belfort" que je ne connaissais pas ; je vais prendre le temps de l'écouter maintenant ... Et bonne route.

AliceAlasmartise. a écrit:C'est parce qu'il a sept ans

ça me fait chier qu'il soit admis aux gosses de nous faire la leçon

c'est modérable ?

l'enfant amy

tirée vers le bas sous les applaudissements

tombée sous le bras

Je reviens à une époque où nous avions peut-être la coupe "caniche" (j'étais quand même bien jeune mais je l'ai eue plus tard).

ça emballait sec à c't'époque où nous étions en quête de sympathie :

aseptans, ma chienne te dit que "cette coupe est toujours à la mode, d'abord"
(elle est très susceptible :-))

Il y a eu un mois l’année dernière durant lequel je n'ai fait qu’écouter ça en boucle. C'est à ce moment que j'ai commencé à dessiner en écoutant de la musique.

"Lemon tree" ça rappelle des machins, mais des trucs de vieux, car ça commençait à sentir le compliqué en 95.

On avait encore la coupe caniche, qui commençait à virer à la coupe "décapotable" :- )))

Quand j'étais "petit" (moi je préférais les "Malabars" aux machins avec du faux chocolat et des colorants) on écoutait ce truc :

Ah oui, c'est bien ça (je l’écoute jusqu'à 3:16, internet a la flemme de continuer je crois, ça s’arrête donc à "peti-...") (je crois bien savoir ce qu'il va dire après :-))
Mais si elle était décapotable, votre coupe, elle était aussi recapotable, non? Ü

Et on trouve vraiment tout sur le "tube". Cette chanson n'a rien de surréaliste ou de mystérieux quand on connait un peu les textes et la biographie du grand Charles , c'est juste un chef-d’œuvre :

La folle complainte.

Les jours de repassage,
Dans la maison qui dort,
La bonne n’est pas sage
Mais on la garde encore.
On l’a trouvée hier soir,
Derrière la porte de bois,
Avec une passoire, se donnant de la joie.
La barbe de grand-père
A tout remis en ordre
Mais la bonne en colère a bien failli le mordre.
Il pleut sur les ardoises,
Il pleut sur la basse-cour,
Il pleut sur les framboises,
Il pleut sur mon amour.

Je me cache sous la table.
Le chat me griffe un peu.
Ce tigre est indomptable
Et joue avec le feu.
Les pantoufles de grand-mère
Sont mortes avant la nuit.
Dormons dans ma chaumière.
Dormez, dormons sans bruit.

Berceau berçant des violes,
Un ange s’est caché
Dans le placard aux fioles
Où l’on me tient couché.
Remède pour le rhume,
Remède pour le cœur,
Remède pour la brume,
Remède pour le malheur.

La revanche des orages
A fait de la maison
Un tendre paysage
Pour les petits garçons
Qui brûlent d’impatience
Deux jours avant Noël
Et, sans aucune méfiance,
Acceptent tout, pêle-mêle :
La vie, la mort, les squares
Et les trains électriques,
Les larmes dans les gares,
Guignol et les coups de triques,
Les becs d’acétylène
Aux enfants assistés
Et le sourire d’Hélène
Par un beau soir d’été.

Donnez-moi quatre planches
Pour me faire un cercueil.
Il est tombé de la branche,
Le gentil écureuil.
Je n’ai pas aimé ma mère.
Je n’ai pas aimé mon sort.
Je n’ai pas aimé la guerre.
Je n’ai pas aimé la mort.
Je n’ai jamais su dire
Pourquoi j’étais distrait.

Je n’ai pas su sourire
A tel ou tel attrait.
J’étais seul sur les routes
Sans dire ni oui ni non.
Mon âme s’est dissoute.
Poussière était mon nom.