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Le paradis des coccinelles

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Le paradis des coccinelles Empty Le paradis des coccinelles

Message  akdonf Ven 10 Sep 2010 - 15:05

Le paradis des coccinelles.
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A l'hôtel, j'ai eu un quiproquo avec Annie Boom. Un quiproquo à l'amiable. Depuis le temps que j'en rêvais! Qui ne rêverait pas d'un tel quiproquo!? ...Une grande et belle fille noire, aussi élancée qu'un javelot, à la peau aussi douce qu'un sourire d'enfant, une fille élancée mais avec toutefois "tout ce qu'il faut où il faut", une fille aussi souple qu'un roseau et à la démarche ample et majestueuse, aux yeux de velours, à la chevelure ruisselante de sensualité; bref, un corps de rêve, une silhouette ondulante et gracieuse et sur laquelle le regard ne peut que s'immobiliser, silhouette dont on devine qu'elle attire telle un aimant les regards les plus brillants, silhouette sur laquelle même les plus chastes des yeux ne peuvent que s'apesantir ....et j'en passe!
Annie Boom était tout simplement ma voisine "de marché". Et, de ce dernier, c'en était à n'en point douter "la plus belle". J'officiais sur ce marché tous les week-end et, depuis qu'elle s'était installée à mes côtés, à ma droite plus exactement, une seule envie me tenaillait, une seule idée m'obsédait: lui caresser les fesses. Je ne pensais qu'à cela, je ne pensais PLUS qu'à cela, au point que toute ma vie ne tournait plus qu'autour de cette obsession; c'en était devenu invivable! Ou presque... J'avais un mal fou à ne pas lorgner son derrière. Et mes yeux ne pouvaient s'empêcher de naviguer sur ses rondeurs. Et ne pouvaient, non plus, s'empêchaient de "défigurer" ses hanches. Et ne pouvaient, pas plus, s'empêchaient de fixer sa poitrine. Mes yeux étaient tout simplement devenus des victimes. Les victimes de ses formes, de son corps, de sa couleur. Ses victimes! Oh oui, c'en était vraiment devenu invivable. Et même lorsque je ne la regardais pas des images d'elle défilaient en boucle devant mes yeux. Elle était devenu: "mon cinéma permanent".


Nous êtions donc aujourd'hui dans cette chambre d'hôtel, debout l'un en face de l'autre, en petite tenue, et, telles que nous êtions là -à demi nu l'un en face de l'autre- quelque chose a immédiatement attiré mon attention. Cette "chose" ce sont ses dessous. C'est bien simple, lorsque je les ai aperçus, j'ai tout simplement cru que j'allais tourner de l'oeil! Son "haut" et son "bas" étaient constellés de minuscules coccinelles et toutes ces petites bêtes galopaient comme des folles sur ses dessous, comme prises d'une irrépressible envie de dépenser en un minimum de temps un maximum d'énergie. Elles se bousculaient, se génaient, se piétinaient, se montaient les unes sur les autres; un véritable charivari! Pire qu'un enchevétrement de voitures un vendredi soir place de l'Etoile! Est-ce l'alcool qui me donnait cette vision quelque peu effrayante de toutes ces coccinelles en mal d'agitation ou plus simplement l'émotion qui me saisissait à la vue d'Annie Boom -enfin, et presque- nue devant moi? Surement est- ce un peu de ces deux choses là. Toujours est-il que ce spectacle me régalait...


J'observais toujours les dessous d'Annie Boom quand celle-ci m'a dit, sur un ton d'ou le reproche n'était pas exempt:
- "Au lieu de loucher comme un gros cochon sur ma petite culotte et sur mon soutien gorge enlève moi donc tout ça qu'on en finisse!".
Mais je n'avais nulle envie d'en finir. J'avais eu bien trop de mal à parvenir à ce résultat, à réussir à partager cette chambre d'hôtel en sa compagnie!
La proposition que je lui avais faîte pour en arriver "là" était bien un peu osée et jamais je n'aurais cru qu'elle puisse l'accepter mais, contre toute attente, elle L'AVAIT ACCEPTE. Après, de ma part, moult essais, une patiente de sioux, et une dépense d'énergie sans nom! Que n'avais-je subi pour y parvenir! Que d'humiliations et de revers! Mais elle l'avait acceptée.
Afin qu'elle ait un peu plus de place pour exposer ses produits je m'engageais à la laisser mordre de quelques vingt centimêtres sur l'emplacement qui était le mien, celui qui m'était concédé depuis dix ans, celui auxquel j'avais droit et que j'avais eu tant de mal à acquérir, moyennant quoi elle s'engageait à .... Et ce marché, ce contrat, j'avais décidé de l'appeler: "un quiproquo à l'amiable".
Elle n'accepta pas de suite. Longtemps, elle refusa. Cela me sembla durer une éternité! Parfois, au marché, quand je la sentais d'humeur joyeuse, quand je devinais que la journée lui avait été propice et profitable, j'osais cette question:
- "Alors, prête pour le quiproquo à l'amiable!?".
A maintes reprises, des dizaines de fois, peut-être même des centaines de fois, je lui avais posé cette question! Invariablement, elle me répondait "NON!". Et ce sur un ton très froid et plein d'orgeuil, un ton ou pointait, de sa part, une certaine suffisance ...Un jour elle m'avait dis: "Oui". Pourquoi ce jour-là? Je ne saurais le dire. Ce jour-là était pourtant un jour comme les autres. Rien ne les différençiait de ses frères. Il comptait 24 heures, lui aussi! Mais ce jour-là elle avait dit: "Oui". Alors je m'étais dis "C'est bien vrai: femme souvent varie!". Et maintenant qu'elle était là, devant moi, à demi nue, maintenant que le grand jour était arrivé, qu'elle s'acquittait de la partie de son contrat, elle me demandait d'en finir au plus vite! Mais c'était de tout le contraire dont j'avais envi. Je voulais que ce moment de grâce n'en finisse pas. Qu'il soit vraiment un moment de grâce! Et qu'il soit le plus long possible. Qu'il dure, qu'il dure... Qu'il dure? ...Une éternité!? ....Pourquoi pas!


Elle était donc debout devant moi, à demi-nue, et j'étais comme fasciné par toutes ces petites bêtes qui galopaient sur son minuscule "bas" et sur son petit "haut". Ce spectacle me fascinait, me subjuguait. C'était plus beau qu'un coucher de soleil à ...? Enfin, c'était un spectacle dont mes yeux ne se lassaient pas. Je ne saurais dire d'où provenaient ses petits dessous et comment ils étaient faits. Et d'ailleurs, peu importe leur provenance. Quant à la matière... Surement étaient-ils confectionnés avec une matière légère et fine et transparente et agréable au toucher, une matière aphrodisiaque qui rend fou plus d'un d'entre nous! Mais peu importe, là n'est pas la question! La seule chose que je voyais, ce sont toutes ces petites coccinelles en migration permanente sur son petit dessus et sur son petit haut, cette infernale danse que ces mêmes petites bêtes accomplissaient, ce tourbillon infernal dans laquelle elles s'imbriquaient les unes dans les autres, tourbillon infernal dans lequel rien ne semblait ni ordonné, ni organisé. Et je me répéte: ce spectacle me médusait! Tant et si bien que je lui proposais:
- "Et si on commandait une autre bouteille de whisky!?".
Ce à quoi elle me répondit:
- "T'as pas encore assez bu!? ...T'as vidé la première bouteille à toi tout seul ...presque!".
- "Faut bien se donner un peu de courage, non!" lui répondis-je alors.
- "C'est moi qui ai besoin de courage!" me rétorqua t'elle de façon cinglante.
- "Un contrat c'est un contrat! T'as eu tes vingt centimêtres supplémentaires, maintenant c'est à moi d'avoir" lui lançais-je alors un peu méchamment, et sans vraiment conclure, mais la conclusion, elle la connaissait, elle savait de quel fin je voulais parler!
Avant que de poursuivre:
-"Et puis, de toute façon, c'est pas pour boire, c'est pour verser sur les petites coccinelles, je voudrais voir comment elles se comportent dans le whisky! J'adore les voir danser!".
Et j'ajoutais, de façon un peu cynique et en insistant sur le mot "bon":
-"De toute façon, pour toi, c'est juste un BON moment à passer, non!?".


Le whisky est arrivé.
Annie Boom s'est allongée sur le lit, m'offrant sa silhouette sans fin et ses formes généreuses, sa chevelure et sa peau, ses yeux, sa bouche, ses pieds, sa couleur, son corps tout entier. Mais pas ses yeux. Non! Ses yeux, elle les laissa éteints.
J'ai bu quelques grandes rasades du liquide à même le goulot. En cosaque! Puis, lentement, de façon consciencieuse, j'ai versé le reste de la bouteille sur son corps. J'y ai mis un temps fou: je regardais les petites bêtes devenir folles et ELLE qui frétillait, qui, comme un reptile au soleil, s'étirait. Cela semblait ne même pas lui déplaîre; et le whisky faisait d'étranges bruits quand il arrivait au contact de sa peau, de petits bruits sourds qui semblaient se faire silencieux car ils devinaient que l'heure était grave.
Quand la bouteille fut vide, quand la dernière goutte du précieux liquide fut versée, les petites bêtes s'étaient mises à flotter et à dériver sur le haut et le bas d'Annie Boom. Elles cherchaient un lieu où se mettre au sec. Mais il n'y en avait pas. Elles n'avaient de cesse de trouver un endroit pour se protéger mais elles avaient beau chercher, il n'y en avait plus. Annie Boom était trempée de partout, plus mouillée qu'une rivière en crue, plus humide que des marais gorgées d'eau après une violente et imprévisible averse, et les petites bêtes, sur son corps d'anguille, n'avaient d'autre choix que de se noyer, que de se perdre corps et âmes. Mais il y avait des fins autrement plus atroces, il y avait des manières autrement pire d'en finir que de s'échouer et de se noyer sur le corps d'Annie Boom! Et tout cela, je veux dire: tout ce "théatre", se passait dans un silence digne d'une scène de western, vous savez, juste avant que l'un des deux, dans la rue principale de la ville, ne dégaine et ne tire!? Quant à moi, mes yeux buvaient tout cela comme s'il se fut agit d'un breuvage divin, et, pour tout dire, j'avais tout simplement, par instants, l'impression d'être dans: "Alice au pays des merveilles", de Lewis Caroll.


Toutes se sont noyées. Toutes les petites coccinelles. Toutes, sans exception! Aucune n'en réchappa! Et quand toutes eurent disparus, quand toutes eurent rejoints le paradis des coccinelles, je prenais Annie Boom dans mes bras, je lui enlevais son petit bas et son petit haut, et tous deux, envahis que nous êtions par les vapeurs de malt, nous avions conclu le contrat, nous avions eu notre "quiproquo à l'amiable". Et au plus fort de notre étreinte, alors que dans Annie je faisais "Boom!", je n'espérais qu'une seule et unique chose, une chose dont j'espérais qu'elle fusse vraiment réelle: qu'il existât bien un paradis pour les coccinelles!



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Message  Invité Ven 10 Sep 2010 - 15:40

Une histoire charmante ! J'adore ce mélange de goujaterie sordide et de poésie, je trouve que cela rend le narrateur très humain. Un équilibre délicat que, à mon avis, vous gardez jusqu'au bout.

Pas mal d'erreurs de langue, mes remarques :
Conventions typographiques françaises :
* une espace avant les points d’exclamation, d’interrogation, les points-virgules, pas d’espace avant les points de suspension mais une espace après
* pour introduire une réplique de dialogue, on n’utilise pas à la fois les guillemets et un tiret, ça fait double emploi ; concernant le tiret, on n’emploie pas un trait d’union « - », mais le tiret demi cadratin « – »
ou le format au-dessus, « — », l’un ou l’autre suivi d’une espace
« silhouette dont on devine qu'elle attire tel (et non « telle », on accorde « tel » avec le terme qui le suit) un aimant »
« un corps de rêve, une silhouette ondulante et gracieuse » : cliché, pour moi
« les plus chastes des yeux ne peuvent que s'appesantir »
« J'officiais sur ce marché tous les week-ends »
« Et ne pouvaient, non plus, s'empêcher de "défigurer" ses hanches. Et ne pouvaient, pas plus, s'empêcher »
« Elle était devenue »
et, tels (et non « telles », c’est bien un bonhomme le narrateur ?) que nous étions là -à demi nu l'un en face de l'autre-
-enfin, et presque- : conventions typographiques françaises, le trait d’union « - » ne suffit pas à encadrer une incise, il faut prévoir le tiret demi cadratin « – » ou le format au-dessus, « — », chacun de ces caractères lui-même encadré d’une espace de chaque côté
« j'ai tout simplement cru que j'allais tourner de l'œil »
« Elles se bousculaient, se gênaient »
« Pire qu'un enchevêtrement de voitures »
« Sûrement est-ce (pas d’espace après « est- ») un peu de ces deux chose-(trait d’union) »
« un ton d'où le reproche n'était pas exempt » : on dit plutôt « non exempt de reproche »
« sur mon soutien-gorge (trait d’union) enlève-moi (trait d’union) donc tout ça »
« La proposition que je lui avais faite »
« contre toute attente, elle L'AVAIT ACCEPTEE (la proposition) »
« une patience de Sioux »
« la laisser mordre de quelque (et non « quelques », on écrit « quelque » dans le sens d’« environ ») vingt centimètres »
« un ton très froid et plein d'orguril, un ton où pointait »
« Un jour elle m'avait dit »
« Rien ne le et non « les, c’est le jour qui n’est pas différent) différenciait le caractère « ç » n’est employé que devant « a », « o » ou « u ») de ses frères »
« Alors je m'étais dit » : manquen les deux points avant la pensée du narrateur
« Mais c'était de tout le contraire dont j'avais envie » : c’était tout le contraire dont j’avais envie, ou c’était de tout le contraire que j’avais envie, sinon vous écrivez « c’était de tout le contraire de quoi j’avais envie », et le « de » fait double emploi
« Elle était donc debout devant moi, à demi-nue » : juste au-dessu, vous écrivez « à demi nue », je pense qu’il serait préférable d’homogénéiser
« La seule chose que je voyais, cétaient toutes ces petites coccinelles »
« Tant et si bien que je lui proposai (et non « proposais », le passé simple s’impose ici et non l’imparfait) »
une autre bouteille de whisky!?".
presque!". : le point est inutile
« me rétorqua-t-elle de façon cinglante »
« lui lançai-je (et non « lançais-je », le passé simple s’impose ici et non l’imparfait) alors un peu méchamment »
« elle savait de quelle fin je voulais parler » : quelle fin, au fait ? le gars n’a pas prononcé le mot « fin » avant…
« Et j'ajoutai (et non « j’ajoutais », le passé simple s’impose ici et non l’imparfait), de façon un peu cynique »
« Cela semblait ne même pas lui déplaire »
« plus humide que des marais gorgés (et non « gorgées ») d'eau »
« tout ce "théâtre" »
« mes yeux buvaient tout cela comme s'il se fût agi (et non « fut agit ») d'un breuvage divin »
« quand toutes eurent disparu (et non « disparus »), quand toutes eurent rejoint (et non « rejoints ») »
« une chose dont j'espérais qu'elle fût vraiment réelle »
« je prenais Annie Boom dans mes bras, je lui enlevais son petit bas et son petit haut, et tous deux, envahis que nous êtions par les vapeurs de malt, nous avions conclu le contrat, nous avions eu » : je pense qu’il y a un problème de concordance des temps ; j’ai l’impression que vous ne voulez pas d’un bête passé simple, mais le passage à l’imparfait accompagné du plus-que-parfait est casse-gueule, à mon avis faut chercher autre chose

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Message  Invité Ven 10 Sep 2010 - 15:58

Ah oui, ça m'a beaucoup plu, cette espèce de naïveté dans le ton et de détermination en même temps. Et puis de la poésie, de la fantaisie surtout... J'ai lu avec grand plaisir, vraiment. Un bon texte.

Juste une remarque ici :
"Annie Boom s'est allongée sur le lit, m'offrant sa silhouette sans fin et ses formes généreuses, sa chevelure et sa peau, ses yeux, sa bouche, ses pieds, sa couleur, son corps tout entier. Mais pas ses yeux. Non! Ses yeux, elle les laissa éteints."

Peut-être enlever la première mention de "ses yeux" ?

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Message  elea Ven 10 Sep 2010 - 20:37

Très chouette texte, attendrissant même là où il ne devrait pas, plein de poésie et d’imagination, souriant et touchant, que j’ai beaucoup aimé lire, sans en perdre une coccinelle, jusqu’à la fin.
Bienvenue !

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Message  Invité Sam 11 Sep 2010 - 17:52

Je trouve rigolo ce truc, même si je suis toujours un peu dégouté par la sexualité des autres.
Le coup de s'envoyer la fille black contre dix centimètres de banc de marché est amusant et un tantinet surréaliste.
Le textile à coccinelles est bien aussi. Un peu longuet dans la description selon moi, car je ne ressens aucun émoi érotique à la vue des bestioles, même des bêtes à bon Dieu.
La chute est faible je trouve (il la saute ! On s'y attendait un peu). J'aurai aimé être surpris par la chute, je l'attendais surprenante : elle ne l'a pas été. Je m'attendais à ce qu'il la mange, ou bien que elle, elle le mange ; ou un truc dans ce genre, comme dans un film genre Bernie.
Toutefois, le côté branquignol de cette histoire m'a séduit.
Et puis c'est irrespectueux, ce qui me plait toujours. Tu vas te mettre à dos les chiennes de Garde, les Amis des Bêtes et autres Touche pas à mon Pote. Fais gaffe, c'est grave !
Brigitte Bardot va te faire un procès.

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Message  Invité Sam 11 Sep 2010 - 19:14

Ouais, il est plein de tendresse, le gars, drôle, inspiré, sexué. Chouette histoire. J'ai du sauter la ligne de la naissance des coccinelles, mais il n'est pas besoin de retourner le terreau.

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Message  akdonf Dim 12 Sep 2010 - 20:56

merci

< Une nouvelle (et dernière) fois, merci de ne pas répondre aux commentaires trop souvent, ici ou ailleurs, afin d'éviter de faire remonter vous-même votre texte en haut de page au détriment de ceux des autres auteurs.
La Modération >

.
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Message  M-arjolaine Lun 13 Sep 2010 - 5:51

J'ai toujours du mal à commenter les textes des autres, mais je suis forcée de faire une exception parce que je trouve celui là vraiment très joli.
J'ai beaucoup apprécié cette lecture :-) !
M-arjolaine
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