Paradoxe du désespoir
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Paradoxe du désespoir
Bonsoir tout le monde, je poste ce sujet, j'ai suivi vos conseils et je l'ai travaillé bien d'avantage que l'ancien. J'espère qu'il vous plaira plus, j'ai surtout travaillé la chute pour qu'elle surprenne. En ce moment je fais surtout de petits textes, je trouve ça mieux pour tenter de nouvelles choses.
Le moment est sombre, terrible. Les coups traînent mon esprit au plus bas étage. Je ne puis me sentir moins bien. Mon ravisseur est désespéré, l’emportant d’avantage dans sa folie. J’ai peur,a cette musique, je ne sais si elle est présente, elle me harcèle, siffle ma raison, fait vibrer le fil de l’espoir, me pousse à céder. Je ne sais pas où je suis ni d’où je viens, j’ai oublié car j’ai su. La personne en face de moi me blâme, pourtant je ne comprends pas, je suis seul. Un événement m’a mis dans cette piteuse situation, plus j’y réfléchis et plus j’en meure. Decrescendo vers la paralysie de l’être, de la pensée. Tout s’accélère m’empêchant d’envisager la moindre échappée, cercle vicieux du désespoir chantant la mort qui s’annonce. La musique s’accélère, s’accentue. Le miroir me regarde, serai-je mon propre bourreau ou serai-je en fait seul ? La solitude serait-il le bourreau chantant et sarcastique qui me martèle. Je ne pense plus, c’est inconscient, c’est se jeter dans le gouffre au bord de mes pieds. Pourquoi me prend-on pour un fou, sans doute le suis-je. Ça y est, ça me revient, on m’a amené ici parce que j’ai tenté de me suicider, parce que ma fille est morte et que je suis dépressif.
Le moment est sombre, terrible. Les coups traînent mon esprit au plus bas étage. Je ne puis me sentir moins bien. Mon ravisseur est désespéré, l’emportant d’avantage dans sa folie. J’ai peur,a cette musique, je ne sais si elle est présente, elle me harcèle, siffle ma raison, fait vibrer le fil de l’espoir, me pousse à céder. Je ne sais pas où je suis ni d’où je viens, j’ai oublié car j’ai su. La personne en face de moi me blâme, pourtant je ne comprends pas, je suis seul. Un événement m’a mis dans cette piteuse situation, plus j’y réfléchis et plus j’en meure. Decrescendo vers la paralysie de l’être, de la pensée. Tout s’accélère m’empêchant d’envisager la moindre échappée, cercle vicieux du désespoir chantant la mort qui s’annonce. La musique s’accélère, s’accentue. Le miroir me regarde, serai-je mon propre bourreau ou serai-je en fait seul ? La solitude serait-il le bourreau chantant et sarcastique qui me martèle. Je ne pense plus, c’est inconscient, c’est se jeter dans le gouffre au bord de mes pieds. Pourquoi me prend-on pour un fou, sans doute le suis-je. Ça y est, ça me revient, on m’a amené ici parce que j’ai tenté de me suicider, parce que ma fille est morte et que je suis dépressif.
Le Greico- Nombre de messages : 206
Age : 30
Localisation : Là où le soleil brille encore.
Date d'inscription : 08/11/2009
Re: Paradoxe du désespoir
Des maladresses de formulation, a priori cela pourrait être intéressant, mais la brièveté ne me permet pas de donner un réel avis.
Re: Paradoxe du désespoir
on entend bien la boite en fer qui dégringole l'escalier.
hi wen- Nombre de messages : 899
Age : 27
Date d'inscription : 07/01/2011
W.
Bonsoir,
Une description beaucoup trop sommaire de la folie.
Des libertés prises sciemment avec la langue qui ne parviennent pas à masquer des lacunes bien involontaires, elles.
Amicalement,
Midnightrambler
Une description beaucoup trop sommaire de la folie.
Des libertés prises sciemment avec la langue qui ne parviennent pas à masquer des lacunes bien involontaires, elles.
Amicalement,
Midnightrambler
midnightrambler- Nombre de messages : 2606
Age : 71
Localisation : Alpes de Haute-Provence laclefdeschamps66@hotmail.fr
Date d'inscription : 10/01/2010
Re: Paradoxe du désespoir
Il y a de l'idée mais la tentative est à la fois trop rapide et construite/structurée pour être convaincante et crédible à ce stade.
Des erreurs de langue. Je relève celle-ci qui m'écorche les yeux : La solitude serait-il le bourreau chantant et sarcastique qui me martèle. (Le sujet de la phrase étant "la solitude" et non pas "le bourreau", cela donne donc : "La solitude serait-elle le bourreau...")
Des erreurs de langue. Je relève celle-ci qui m'écorche les yeux : La solitude serait-il le bourreau chantant et sarcastique qui me martèle. (Le sujet de la phrase étant "la solitude" et non pas "le bourreau", cela donne donc : "La solitude serait-elle le bourreau...")
Invité- Invité
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