Photographie 7

Au début, j'ai eu l'impression de deux textes distincts puis à la relecture, j'ai suivi le fil. Il me semble toutefois que l'on se perd dans des digressions, non pas tant d'idées que de style, d'expression, laquelle s'en trouve ainsi alourdie, par exemple ici : "Ce qu'elles donnent à voir de leur propre matière est si horrible que l'œil devient rouge à ne pas les attraper, ou les attraper si ponctuellement, de manière si infime, qu'il entrevoit seulement le compactage de leur ensemble, de leur meute virulente qui broie le temps par le nombre et une trajectoire rectiligne, parfaite."

J'ai relevé cette phrase aussi qui souffre à mon avis d'un problème de temps :

"Les lignes blanches tracées au sol se devinaient si l'on avait été prévenu comme moi que ce fut un parking "
l'imparfait serait plus logique pour une description

et puis "bonbons", même si "bombons" ainsi orthographié ne manque pas de sens dans le contexte.

Me parait pas bien sympathique ce M. Bertrand vis à vis du personnage principal irrité par l'eczéma. Ou alors c'est un guérisseur qui trouve au centre des dunes l'endroit idéal pour apposer ses mains bienfaitrices.