Exo live jeudi 22 novembre 2012 à 20h30

Merci pour vos commentaires, désolée de ne pas vous les rendre mais je vous ai tous lus et j'ai passé un moment agréable.
Bonne cuvée !

Je vous remercie toutes/tous chaleureusement pour vos commentaires. Je vais revenir pour vous commenter avec l'expertise que vous connaissez... humm !
Je suis un peu, beaucoup absente sur VE en ce moment car c'est la saison des feuilles mortes et j'en accompagne plusieurs en ce moment dans leur ultime voyage.

voilà la suite de mes commentaires, j'avais bien dit que je les terminerais le WE, je n'avais pas précisé lequel ^-^

Lizzie :
Les atermoiements de la bonne copine, tiraillée entre la compassion de rigueur face à la maladie et la phobie du milieu hospitalier. Et la délicieuse manière de décrire l’esquive du moment redouté, j’ai bcp bcp aimé., sans doute parce qu'il fait réel sans toutefois tomber dans un ton "patho". bravo !

Rebecca :
J’ai cette vision d’une féministe engagée hurlant son dégoût de Mattel and co chez toy’s R Us le samedi précédent Noël au nom d’une égalité de regard, cette même femme serrant contre elle troupeaux de petites filles dodues, petites, à lunettes, rousses, en fait différentes. Et Dieu que j’aime ton écriture et que jalousement je voudrais devenir toi avec l’art que tu as de manier les mots comme autant de lames prêtes à tout percer.

Chrystie :
mais tu as le vice dans la plume ma parole ! J’ai bien retrouvé ta manière de poser les situations tout en douceur et néanmoins percussion. Je suis entrée dans l'histoire sans même m'en rendre compte, en en voulant même encore un peu plus. Encore un texte vraiment très agréable.

Gobu :
intellectuellement jouissif ! tu es un maitre ami gobu dans ta façon toute à toi de rendre n’importe quelle situation exquisément écrite, décrite. Je te lis habituellement avec un sourire aux lèvres. Ce texte n’a pas échappé à cette règle, merci !

Amelta :
chapeau si tu as respecté les contraintes horaires, c’est un texte qui quelque part échappe à ce que je pense souvent lire pour les exo live qui explosent vite, percutent de manière brutale parce qu’il n’y pas un très peu de relectures possible et que le cerveau ne s’arrête pas. Ici, tout est posé tranquillement et s’installe comme une histoire longuement réfléchi. Le petit bémol pour moi viendrait de la fin que du coup, je trouve trop rapide, plus dans le mouvement exo live. (et si ce texte a été rédigé en plus de temps que prévu, cela m’importe peu, moi qui d’habitude fait des exo live en différé de plusieurs jours, voire semaines, voire mois ^^).

Rhoooo chako, avec quel fantasme as-tu joué. J’avoue que je me demandais bien comment tu allais le mettre en scène. Aussi… comment dire…. Perturbant soit-il, tu t’en es tiré avec brio, je me suis laissée prendre dans le rythme de ton récit. Et la mise en scène de la rue, une petite merveille !

Bertrand :
un texte grave empli d’une poésie sans âge : je pense que je ne saurais l’exprimer clairement, mais c’est un peu comme l’odeur de l’orange au coin du feu en hiver ou la lavande. J’étais curieuse de savoir comment tu allais intégrer cet étrange fantasme dans un récit sans que cela fasse « pièce rapportée ». Mais avec tout le talent que l’on te connait, il a pris la place qui lui revenait, ni plus, ni moins. Chapeau !

j'en profite également pour vous remercier de vos lectures et commentaires qui furent très agréables à découvrir !

coline Dé a écrit:Alors, vous pouvez commence à me donner :

*Un instrument de musique
*Un sentiment « inavouable » ( les raisons de cet « inavouable « peuvent être très diverses : par exemple de l’empathie dans un milieu de durs peut être inavouable, peur d'être ridicule ou envie d'étriper son conjoint etc…)
*Un nom de rue évocateur

Argh !! Coline tu aurais dû me prévenir, j'ai raté ça !