À rebours
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À rebours
< Texte supprimé à la demande des proches de l'auteure.
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Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: À rebours
Un roman ?! Quelle bonne nouvelle !
Alex passera mais je voudrais quand même indiquer l'absence gênante de virgules ici : "pour la première fois de son existence(virgule) par sa question(virgule) il tend un piège à sa compagne silencieuse."
Alex passera mais je voudrais quand même indiquer l'absence gênante de virgules ici : "pour la première fois de son existence(virgule) par sa question(virgule) il tend un piège à sa compagne silencieuse."
Invité- Invité
Re: À rebours
Bonsoir,
Atmosphère intime et mystérieuse.
L'amour cimenté par le crime ?
Vivement la suite ...
Amicalement,
midnightrambler
Atmosphère intime et mystérieuse.
L'amour cimenté par le crime ?
Vivement la suite ...
Amicalement,
midnightrambler
midnightrambler- Nombre de messages : 2606
Age : 71
Localisation : Alpes de Haute-Provence laclefdeschamps66@hotmail.fr
Date d'inscription : 10/01/2010
Re: À rebours
Ouais, prometteur. Pas sympa de nous offrir d'aussi minces amuse-bouches !
En plus de la remarque d'Easter(Island), en voici deux autres :
– « dans une eau profonde : Quelle que soit la réponse » : pas de majuscule après le deux-points ;
– « aussi bas que lui :
oui. C'est vrai. » : ici, en revanche, majuscule et guillemets ouvrants et fermants.
En plus de la remarque d'Easter(Island), en voici deux autres :
– « dans une eau profonde : Quelle que soit la réponse » : pas de majuscule après le deux-points ;
– « aussi bas que lui :
oui. C'est vrai. » : ici, en revanche, majuscule et guillemets ouvrants et fermants.
Invité- Invité
Re : A rebours
"Oui, c'est vrai." A rebours. Remonter le temps, l'histoire. Projet sur les ravages du temps ? Une vision fulgurante pour démarrer un... "roman" ? Pourquoi pas. Moi aussi ça m'arrive pour démarrer seulement une nouvelle... Comment travailles-tu ? Plan, fragments, flashes, réminiscence... Tout le monde t'attend au virage. Mais sois zen.
Raoulraoul- Nombre de messages : 607
Age : 63
Date d'inscription : 24/06/2011
Re: À rebours
incipit attirant parce que court, trop court bien sûr.
tant pis pour toi, tu es condamné à poursuivre
;-)
tant pis pour toi, tu es condamné à poursuivre
;-)
Re: À rebours
Trop court ! Ça donne faim !!
Mais c'est fantastique si ce début va donner naissance à un roman.
Mais c'est fantastique si ce début va donner naissance à un roman.
Phoenamandre- Nombre de messages : 2423
Age : 33
Date d'inscription : 08/03/2009
Re: À rebours
Début intriguant à souhait. Un peu court, mais suffisant.
Vas-y, fonce ! J'admire et j'envie ton courage. Vite la suite...
Vas-y, fonce ! J'admire et j'envie ton courage. Vite la suite...
Invité- Invité
Re: À rebours
tss tss tss
tu ne le termineras pas ce roman Janis et tu le sais
tu as écris autre chose de ce début
tu ne le termineras pas ce roman Janis et tu le sais
tu as écris autre chose de ce début
Jha- Nombre de messages : 1374
Age : 48
Localisation : Archaeopteryx à l'envolée
Date d'inscription : 30/05/2011
Re: À rebours
je suis impatiente de connaître la suite. ne nous fait pas patienter trop longtemps
Shizuka- Nombre de messages : 15
Age : 28
Date d'inscription : 14/02/2012
Re: À rebours
Bonjour,
honnêtement, je ne peux rien dire d'un texte aussi court. J'ai l'impression, je ne vous connais pas donc je me trompe sûrement, que la publication de ce très bref début n'est là que pour vous motiver à poursuivre, comme si ce morceau posté, il n'était plus possible de revenir en arrière. C'est un leurre, naturellement, mais je vous souhaite que ça fonctionne.
bon courage pour la suite.
honnêtement, je ne peux rien dire d'un texte aussi court. J'ai l'impression, je ne vous connais pas donc je me trompe sûrement, que la publication de ce très bref début n'est là que pour vous motiver à poursuivre, comme si ce morceau posté, il n'était plus possible de revenir en arrière. C'est un leurre, naturellement, mais je vous souhaite que ça fonctionne.
bon courage pour la suite.
anotherday- Nombre de messages : 69
Age : 57
Date d'inscription : 27/01/2012
Re: À rebours
suite. Ecriture plus classique qu'à mon habitude, donc je m'interroge
janvier 2010
Quand elle se leva, il avait activé le feu. Un léger chuintement émanait des bûches humides. Les enveloppes étaient étalées sur la table : l'écriture pointue et chaotique portait des messages sans équivoque.
Marie se servit du café, et réchauffa ses mains sur la tasse. Puis elle l'approcha de son visage : sentir contre sa joue cette chaleur douce lui donnait l'impression d'être enfin bercée.
Ensuite elle saisit une lettre et la lut en silence.
Les mots écrits prenaient une toute autre épaisseur, dans cette situation.
Ils étaient l'un et l'autre suffoqués par les conséquences de tout cela.
- Où les as-tu trouvées ?
- À leur place, sous la selle de ton vieux vélo.
Elle médita un instant sur la portée de ces paroles.
- Alors, quand tu m'as posé la question tu savais déjà
- Oui
- Tu m'épiais, me suivais peut-être
- Oui
- Tu ouvrais mon courrier, puis tu le remettais en place, dans ma cachette.
- Oui. A l'intérieur de la selle. C'est astucieux.
- Tu as tout récupéré avant de
- Avant de donner le vélo à Frank.
- Ça t'amusait
- Non.
- J'étais ton papillon, tu m'observais me débattre, me cogner contre la vitre, m'enferrer dans les mensonges.
- Voilà.
- Et le soir de Noël...
- Aussi.
Ils se tenaient prudemment écartés l'un de l'autre mais comme ils chuchotaient pour ne pas réveiller les enfants, ils étaient obligés de pencher leurs bustes par dessus la table. Leurs doigts ne cessaient de se frôler. On aurait pu les prendre pour deux amants qui échangent des promesses.
- Depuis quand sais-tu ?
- Depuis la première lettre.
- Oh. Alors tu savais avant moi ? Parce que la première lettre, c'était il y a longtemps.
- Dès la première lettre j'ai su que cela arriverait.
- Et tu m'as laissée...
- Je voulais voir si je me trompais.
Elle se leva et vacilla un instant dans la lumière de l'aube. Le choc altérait ses traits. L'onde se répercutait en vagues successives : elle ferma les yeux.
- Mais tu as tout orchestré alors, tu as choisi le moment.
- Oui. C'est le moins que je pouvais faire.
- Et ça t'a fait mal ?
À l'autre extrémité de la table il demeurait les yeux fixes. Elle contourna sa chaise et posa un bras sur son épaule; elle n'était pas encore déshabituée de lui. Mais ses muscles étaient durs, bandés. La prenant par les coudes, il la repoussa. À travers sa chemise, elle sentait ses doigts.
- C'est un mauvais rêve. Pire : c'est un vieux cauchemar qui refait surface, Marie.
- Tu pouvais l'éviter. Ne pas m'obliger à te répondre. Attendre que cela finisse.
- C'est ce que j'ai fait.
Ils déjeunaient tous ensemble à présent, les trois garçons et leurs parents. Les observant qui engloutissaient les plats qu'elle avait préparés, elle comprenait soudain que le naufrage ne s'arrêtait pas à leur couple, qu'il fallait y mêler ses fils. Ils plaisantaient entre eux selon leur rituel. Le plus jeune - le plus sensible en général aux dispositions de sa mère - la regardait à la dérobée, tout en envoyant des boutades à ses frères et en encaissant leurs moqueries.
C'était presque comme d'habitude, un repas agité et bruyant, une ambiance plutôt masculine dont elle se tenait toujours très légèrement à distance. Avec son mari, ils avaient cuisiné en silence mais dans la plus grande agitation. Plusieurs fois leurs mains s'étaient chevauchées.
Elle avait obtenu un délai : quelques jours pour décider, ensuite on aviserait.
En retrait sur sa chaise tandis qu'ils empilaient les assiettes et les petites soucoupes - pour le dessert elle avait fait une mousse au chocolat -, elle imaginait avec répugnance la scène: c'étaient des adolescents à la fois secrets, confiants et ironiques, et il allait falloir les plonger à nouveau dans cette eau viciée, révéler une partie de son jardin privé, afficher un visage coupable.
Après le repas elle se retira dehors pour téléphoner, sombre et déterminée. Son mari s'enferma prudemment dans la chambre.
Les montants en cuivre du lit captaient le peu de lumière de cette journée d'hiver. Il s'assit sur le bras du fauteuil jonché de leurs vêtements, et se mit à fumer.
Il eut le temps d'allumer et d'écraser cinq cigarillos et de boire le fond de whisky. A travers la fenêtre à l'étage, il pouvait la voir déambuler dans l'allée. Elle donnait des coups de pieds dans des cailloux, faisait de grands gestes avec les bras. Sa mince silhouette, ses cheveux en broussaille, le vieux journal qui dépassait de sa poche, son visage sobre et soucieux, tout s'imprimait en lui.
Enfin, elle resta un moment assise sur une marche de l'escalier. Il posa sur ses genoux une assiette de fruits qu'elle éplucha et mangea lentement, tandis que les nuages s'amassaient au dessus des toits.
Plus tard il proposa une promenade.
Car au bout du jardin il y avait une forêt, c'était une des raisons qui leur avait fait choisir cette maison peu pratique, exiguë, à l'extrémité d'une route qui serpentait dans une espèce de no man's land désolé. Les garçons, peu sensibles au charme de la nature, avaient été obligés de s'équiper en scooter, moto et voiture pour rejoindre la ville la plus proche aussi souvent que possible.
Georges et Marie s'enfonçaient dans les profondeurs de cette forêt primaire. Elle marchait devant, il la suivait de peu. Elle sentait ses yeux sur sa nuque étroite, et se demandait va-t-il me tuer ? Il chantonnait, comme si tout était bien.
Mais lorsque, arrivée au petit étang, elle se retourna et plongea les yeux dans les siens, sa prunelle était aussi impénétrable que celle d'un total inconnu.
Au milieu de la deuxième nuit, c'est elle qui le réveilla.
Elle avait allumé deux bougies et apporté la bouteille de whisky.
Sa bouche sensuelle et maussade s'arrondissait pour faire des cercles parfaits avec la fumée de sa cigarette, qu'elle envoyait au plafond.
Elle dit :
- Tu vas rire, dans ces conditions, il préfère rompre.
Il répondit :
- Tu vas rire : dans ces conditions, moi aussi.
Et se tourna contre le mur.
Marie se servit du café, et réchauffa ses mains sur la tasse. Puis elle l'approcha de son visage : sentir contre sa joue cette chaleur douce lui donnait l'impression d'être enfin bercée.
Ensuite elle saisit une lettre et la lut en silence.
Les mots écrits prenaient une toute autre épaisseur, dans cette situation.
Ils étaient l'un et l'autre suffoqués par les conséquences de tout cela.
- Où les as-tu trouvées ?
- À leur place, sous la selle de ton vieux vélo.
Elle médita un instant sur la portée de ces paroles.
- Alors, quand tu m'as posé la question tu savais déjà
- Oui
- Tu m'épiais, me suivais peut-être
- Oui
- Tu ouvrais mon courrier, puis tu le remettais en place, dans ma cachette.
- Oui. A l'intérieur de la selle. C'est astucieux.
- Tu as tout récupéré avant de
- Avant de donner le vélo à Frank.
- Ça t'amusait
- Non.
- J'étais ton papillon, tu m'observais me débattre, me cogner contre la vitre, m'enferrer dans les mensonges.
- Voilà.
- Et le soir de Noël...
- Aussi.
Ils se tenaient prudemment écartés l'un de l'autre mais comme ils chuchotaient pour ne pas réveiller les enfants, ils étaient obligés de pencher leurs bustes par dessus la table. Leurs doigts ne cessaient de se frôler. On aurait pu les prendre pour deux amants qui échangent des promesses.
- Depuis quand sais-tu ?
- Depuis la première lettre.
- Oh. Alors tu savais avant moi ? Parce que la première lettre, c'était il y a longtemps.
- Dès la première lettre j'ai su que cela arriverait.
- Et tu m'as laissée...
- Je voulais voir si je me trompais.
Elle se leva et vacilla un instant dans la lumière de l'aube. Le choc altérait ses traits. L'onde se répercutait en vagues successives : elle ferma les yeux.
- Mais tu as tout orchestré alors, tu as choisi le moment.
- Oui. C'est le moins que je pouvais faire.
- Et ça t'a fait mal ?
À l'autre extrémité de la table il demeurait les yeux fixes. Elle contourna sa chaise et posa un bras sur son épaule; elle n'était pas encore déshabituée de lui. Mais ses muscles étaient durs, bandés. La prenant par les coudes, il la repoussa. À travers sa chemise, elle sentait ses doigts.
- C'est un mauvais rêve. Pire : c'est un vieux cauchemar qui refait surface, Marie.
- Tu pouvais l'éviter. Ne pas m'obliger à te répondre. Attendre que cela finisse.
- C'est ce que j'ai fait.
Ils déjeunaient tous ensemble à présent, les trois garçons et leurs parents. Les observant qui engloutissaient les plats qu'elle avait préparés, elle comprenait soudain que le naufrage ne s'arrêtait pas à leur couple, qu'il fallait y mêler ses fils. Ils plaisantaient entre eux selon leur rituel. Le plus jeune - le plus sensible en général aux dispositions de sa mère - la regardait à la dérobée, tout en envoyant des boutades à ses frères et en encaissant leurs moqueries.
C'était presque comme d'habitude, un repas agité et bruyant, une ambiance plutôt masculine dont elle se tenait toujours très légèrement à distance. Avec son mari, ils avaient cuisiné en silence mais dans la plus grande agitation. Plusieurs fois leurs mains s'étaient chevauchées.
Elle avait obtenu un délai : quelques jours pour décider, ensuite on aviserait.
En retrait sur sa chaise tandis qu'ils empilaient les assiettes et les petites soucoupes - pour le dessert elle avait fait une mousse au chocolat -, elle imaginait avec répugnance la scène: c'étaient des adolescents à la fois secrets, confiants et ironiques, et il allait falloir les plonger à nouveau dans cette eau viciée, révéler une partie de son jardin privé, afficher un visage coupable.
Après le repas elle se retira dehors pour téléphoner, sombre et déterminée. Son mari s'enferma prudemment dans la chambre.
Les montants en cuivre du lit captaient le peu de lumière de cette journée d'hiver. Il s'assit sur le bras du fauteuil jonché de leurs vêtements, et se mit à fumer.
Il eut le temps d'allumer et d'écraser cinq cigarillos et de boire le fond de whisky. A travers la fenêtre à l'étage, il pouvait la voir déambuler dans l'allée. Elle donnait des coups de pieds dans des cailloux, faisait de grands gestes avec les bras. Sa mince silhouette, ses cheveux en broussaille, le vieux journal qui dépassait de sa poche, son visage sobre et soucieux, tout s'imprimait en lui.
Enfin, elle resta un moment assise sur une marche de l'escalier. Il posa sur ses genoux une assiette de fruits qu'elle éplucha et mangea lentement, tandis que les nuages s'amassaient au dessus des toits.
Plus tard il proposa une promenade.
Car au bout du jardin il y avait une forêt, c'était une des raisons qui leur avait fait choisir cette maison peu pratique, exiguë, à l'extrémité d'une route qui serpentait dans une espèce de no man's land désolé. Les garçons, peu sensibles au charme de la nature, avaient été obligés de s'équiper en scooter, moto et voiture pour rejoindre la ville la plus proche aussi souvent que possible.
Georges et Marie s'enfonçaient dans les profondeurs de cette forêt primaire. Elle marchait devant, il la suivait de peu. Elle sentait ses yeux sur sa nuque étroite, et se demandait va-t-il me tuer ? Il chantonnait, comme si tout était bien.
Mais lorsque, arrivée au petit étang, elle se retourna et plongea les yeux dans les siens, sa prunelle était aussi impénétrable que celle d'un total inconnu.
Au milieu de la deuxième nuit, c'est elle qui le réveilla.
Elle avait allumé deux bougies et apporté la bouteille de whisky.
Sa bouche sensuelle et maussade s'arrondissait pour faire des cercles parfaits avec la fumée de sa cigarette, qu'elle envoyait au plafond.
Elle dit :
- Tu vas rire, dans ces conditions, il préfère rompre.
Il répondit :
- Tu vas rire : dans ces conditions, moi aussi.
Et se tourna contre le mur.
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: À rebours
Situation classique, tout est dans le traitement. Ça marche pour moi, avec des dialogues brefs et le reste qui ne s'embarrasse pas de superflu même si plus étoffé qu'à l'ordinaire.
Il y a juste ce mot, ce verbe, qui me gêne, dont je ne suis pas sûre de saisir parfaitement le sens, dont je ne suis pas sûre que ce soit le meilleur choix : "l'écriture pointue et chaotique portait des messages sans équivoque." "portait", dans le sens de "véhiculait" ?). Je veux bien que les enveloppes portent une écriture pointue mais que l'écriture "porte" des messages me perturbe, idiotement sans doute, j'en conviens :-)
Il y a juste ce mot, ce verbe, qui me gêne, dont je ne suis pas sûre de saisir parfaitement le sens, dont je ne suis pas sûre que ce soit le meilleur choix : "l'écriture pointue et chaotique portait des messages sans équivoque." "portait", dans le sens de "véhiculait" ?). Je veux bien que les enveloppes portent une écriture pointue mais que l'écriture "porte" des messages me perturbe, idiotement sans doute, j'en conviens :-)
Invité- Invité
Re: À rebours
J’aime beaucoup, la déstructuration du sujet, la manière et l’écriture. Avec un faible pour les dialogues et le ballet des corps tendus autour de la table, beau passage.
elea- Nombre de messages : 4894
Age : 51
Localisation : Au bout de mes doigts
Date d'inscription : 09/04/2010
Re: À rebours
une écriture, mais pas seulement : un style, ce qui est essentiel.
C'est sobre, clair, "fluide"
Est-ce vraiment et seulement une simple histoire de tromperie dans un couple ? On devrait en apprendre plus prochainement, peut-être ? ;-)
Re: À rebours
bonjour,
pour l'instant, je suis encore réservé, pas sur l'écriture mais sur la densité des personnages qui restent encore superficiels pour moi, mais c'est normal si l'on considère qu'il s'agit d'une histoire plus longue. Vos héros restent à dessiner à mon sens mais c'est ce qui fera bien sûr tout l'intérêt de la suite.
bonne continuation.
pour l'instant, je suis encore réservé, pas sur l'écriture mais sur la densité des personnages qui restent encore superficiels pour moi, mais c'est normal si l'on considère qu'il s'agit d'une histoire plus longue. Vos héros restent à dessiner à mon sens mais c'est ce qui fera bien sûr tout l'intérêt de la suite.
bonne continuation.
anotherday- Nombre de messages : 69
Age : 57
Date d'inscription : 27/01/2012
Re: À rebours
Mince, j'avais zappé la suite !
Bon, c'est quand, la suite de la suite ?
J'aimerais savoir comment couper tous mes mots superflus pour arriver à cette efficacité là. Bravo !
Bon, c'est quand, la suite de la suite ?
J'aimerais savoir comment couper tous mes mots superflus pour arriver à cette efficacité là. Bravo !
Lizzie- Nombre de messages : 1162
Age : 58
Localisation : Face à vous, quelle question !
Date d'inscription : 30/01/2011
Re: À rebours
Bonjour !
Bon ben, moi, je suis « fan » Janis, toujours. J'ai hâte d'en avoir un peu plus, mais la fin de ce morceau, cinglante, cynique, me plaît beaucoup. Je suis vraiment curieuse. C'est à suivre pour moi !
Bon ben, moi, je suis « fan » Janis, toujours. J'ai hâte d'en avoir un peu plus, mais la fin de ce morceau, cinglante, cynique, me plaît beaucoup. Je suis vraiment curieuse. C'est à suivre pour moi !
Remus- Nombre de messages : 2098
Age : 34
Date d'inscription : 02/01/2012
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