Sonnet des Gayèques
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Sonnet des Gayèques
J'ai imaginé une nouvelle civilisation amérindienne, la civilisation des Gayèques :
ce poème est une version édulcorée dans la dernière strophe
Il fut aux temps lointains une peuplade étrange
Qu’on nommait les Gayèques à l’Est des Mayas
Et au nord de l’Empire où vivaient les Incas :
Le silence l’entoure tant ses mœurs nous dérangent.
Au nombre de cent mille, ces hommes en phalange
Allaient aux peuples proches intenter des combats
Et faire prisonniers les plus vaillants soldats…
Mais pour les embrasser plein d’amour ce qui change.
Une fois de retour au sein de leur Patrie
Quand venait le moment aux dieux de les offrir
Sur une pyramide qu’ils avaient dû construire,
Ba-Loubda le dieu roi le leur ayant bien dit :
« De leur joie seulement les dieux faisaient demande »
De leur joie jour et nuit leur faisaient donc offrande.
ce poème est une version édulcorée dans la dernière strophe
Il fut aux temps lointains une peuplade étrange
Qu’on nommait les Gayèques à l’Est des Mayas
Et au nord de l’Empire où vivaient les Incas :
Le silence l’entoure tant ses mœurs nous dérangent.
Au nombre de cent mille, ces hommes en phalange
Allaient aux peuples proches intenter des combats
Et faire prisonniers les plus vaillants soldats…
Mais pour les embrasser plein d’amour ce qui change.
Une fois de retour au sein de leur Patrie
Quand venait le moment aux dieux de les offrir
Sur une pyramide qu’ils avaient dû construire,
Ba-Loubda le dieu roi le leur ayant bien dit :
« De leur joie seulement les dieux faisaient demande »
De leur joie jour et nuit leur faisaient donc offrande.
Lary456- Nombre de messages : 82
Age : 60
Date d'inscription : 15/12/2011
Re: Sonnet des Gayèques
De bien belles offrandes.
Trois vers sont plus banals, moins musicaux, je trouve :
"Mais pour les embrasser plein d’amour ce qui change.
Une fois de retour au sein de leur Patrie
Quand venait le moment aux dieux de les offrir"
Vous nous présentez donc des sonnets "neo-classiques" et dans une mise en page inhabituelle. j'aime bien vous lire.
Trois vers sont plus banals, moins musicaux, je trouve :
"Mais pour les embrasser plein d’amour ce qui change.
Une fois de retour au sein de leur Patrie
Quand venait le moment aux dieux de les offrir"
Vous nous présentez donc des sonnets "neo-classiques" et dans une mise en page inhabituelle. j'aime bien vous lire.
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