Martha ma chérie
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Re: Martha ma chérie
Tu t'amuses aspetans, et nous avec.
J'avoue avoir souri bien volontiers à certains passages, notamment : "Les gens applaudirent une dernière fois, puis rentrèrent dans leurs foyers ; ils se brulèrent : bien fait pour eux."
D'autres fois, j'ai trouvé les jeux de mots un peu fort de café.
Le ton, le choix de l'humour cynique de ce texte me font penser à un précédent, Le conte du loup et de l'orignal.
Je te préfère pour ma part dans des textes plus léchés, et dans une veine moins provocatrice ou alors provocatrice de réflexion (thought provoking) comme Colette et Rémy.
J'avoue avoir souri bien volontiers à certains passages, notamment : "Les gens applaudirent une dernière fois, puis rentrèrent dans leurs foyers ; ils se brulèrent : bien fait pour eux."
D'autres fois, j'ai trouvé les jeux de mots un peu fort de café.
Le ton, le choix de l'humour cynique de ce texte me font penser à un précédent, Le conte du loup et de l'orignal.
Je te préfère pour ma part dans des textes plus léchés, et dans une veine moins provocatrice ou alors provocatrice de réflexion (thought provoking) comme Colette et Rémy.
Invité- Invité
Re: Martha ma chérie
ah et puis, bravo pour le zeugme, ma figure de style préférée : "elle poussa un cri et la porte d’une officine"
Invité- Invité
Re: Martha ma chérie
je me suis bien amusée à te lire, aseptans !
j'aime beaucoup ce texte déjanté, qui m'a fait spontanément penser à un passage dans un livre de Boris Vian : il y était question d'un petit chien écrasé, et on sut ce qu'il avait mangé le matin même.
ta Martha suit un peu ce genre de circonvolutions : un texte à tiroirs, ludique et drôle, qui part dans tous les sens.
j'aimerais en lire encore d'autres du même acabit, où la cruauté jubilatoire est pleine d'humour.
un bémol cependant :
"Car comme disait le poète : « le senti ment »."
là, c'est tout de même sacrément capillotracté !!
j'aime beaucoup ce texte déjanté, qui m'a fait spontanément penser à un passage dans un livre de Boris Vian : il y était question d'un petit chien écrasé, et on sut ce qu'il avait mangé le matin même.
ta Martha suit un peu ce genre de circonvolutions : un texte à tiroirs, ludique et drôle, qui part dans tous les sens.
j'aimerais en lire encore d'autres du même acabit, où la cruauté jubilatoire est pleine d'humour.
un bémol cependant :
"Car comme disait le poète : « le senti ment »."
là, c'est tout de même sacrément capillotracté !!
Invité- Invité
re : Martha ma chérie
Fortiche ! Arriver à développer une histoire en "prenant au pied de la lettre" et autres la langue française, c'est en même temps satisfaire le goût du lecteur pour le récit et l'appréciation du poète pour la rhétorique ironique, et la flambée de tous bois que tu allumes avec celle-ci. Pierre Dac, Alphonse Allais n'ont qu'à se rhabiller s'ils ont encore de quoi se vêtir dans leurs catacombes. Je comprends mieux ton commentaire à propos de mon dernier texte après t'avoir lu ici. Merci.
Raoulraoul- Nombre de messages : 607
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Date d'inscription : 24/06/2011
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