Comme des mouches dans la toile
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Comme des mouches dans la toile
Ce matin là, j’ignorais encore pourquoi les services spéciaux du Vatican m’avait convoqué. Un message laconique était tombé sur ma bal alors que je me reposais de ne rien faire dans le manoir granitique de mes aïeux bretons.
De : SœurMélodie@scv.va
A : gérard.l@free.fr
Objet : Aiuto !
Besoin de vous, rappliquez d’urgence !
Mélo.
Dans le hall d’arrivée de l’aéroport de Fiumicino j’eus le plaisir de retrouver Gervais le garde suisse. Après une accolade chaleureuse, il saisit mon bagage, puis m’invita à prendre place dans une limousine noire qui arborait les insignes du Vatican. Le trafic romain est très stupéfiant mais Gervais réussit néanmoins à se faufiler entre les mailles du réseau compact des fiats cinq cent. Un peu plus tard il garait son véhicule dans un parking souterrain juste à coté des papamobiles. L’ascenseur qui baignait dans l’ambiance musicale d’un chant grégorien entama sa descente dans les profondeurs de la cité. Nous traversâmes un corridor puis une immense salle voûtées où s’entassait une magnifiques collection d’œuvres érotiques, peintures et sculptures dérobées au fil des siècles pour éviter de soumettre les fidèles à la tentation. Mon regard concupiscent s’attarda sur une toile représentant une Marie-Madeleine de toute beauté.
– C’est un Léonard de Vinci me souffla Gervais.
– Oui, je le subodorais. J’ai pu contempler celle de son élève Giovanni Pietro Rizzoli de facture apparentée dans la cathédrale de Burgos.
– Venez on nous attends.
Il s’approcha d’un David de taille humaine aux proportions plus généreuses que celui de Florence.
– C’est la première version de Raphaël, admirez comme il est dans de bonnes dispositions.
Il manœuvra le levier et la statue pivota pour dévoiler ses fesses et un passage secret.
Le bureau secret du prélat Bourré rutilait sous les ors et les velours pourpres. Au Vatican c’était sans doute le bureau le plus cossu de tous. Il me tendit une main manucurée aux doigts embagouzés d’améthystes et de diam’s que je broyai sans ménagement. Il était adepte du cilice et de la mortification.
– Toujours aussi gaillard mon cher Loiseau, dieu soit loué ! Votre forme physique devrait vous être d’un grand recours dans l’affaire qui nous préoccupe. Il me désigna un crapaud rouge de sa main indemne.
– Asseyez-vous mon cher que je vous explique les raisons de votre venue ici. Voilà, vous n’êtes pas sans savoir que l’occident a été gravement contaminé par le matérialisme, nos ouailles désertent les lieux de culte. Nous avons tenté de nous adapter en adoptant les techniques modernes : la radio puis la télé, mais la désaffection des églises s’est accentuée. Les vocations se font rares et sans l’aide des laïcs nous ne pourrions plus assurer le minimum des cérémonies religieuses comme les messes, ou les enterrements.
Il s’interrompit pour sortir deux burettes de son tiroir qu’il remplit d’un chianti riserva et reprit.
– Tout à changé depuis qu’il est arrivé.
– Qui Signore ?
– Mais sa sainteté François 1er ! Il a instauré une véritable renaissance dans notre sacerdoce. A l’image de l’ordre des franciscains dont il est issu. L’objectif est désormais de toucher le plus grand nombre, en bref de faire du social. Fini la collusion avec les puissants et les riches. Toutes les âmes doivent être sauvées pour la plus grande gloire de notre seigneur.
– Mmmmh délicieux, mais dites moi, comment vous y prenez-vous ?
– A votre avis ? Quel moyen actuel permet d’accéder à la masse des pauvres pêcheurs ? Dit-il en nous remplissant les burettes.
– Heu…, cet excellent chianti peut-être ?
– Oui le vin fut une recette éprouvée.
– En effet, comment ne pas croire en dieu en dégustant ce divin nectar ?
– Mais aujourd’hui, les marchands du temple diffusent maint breuvages païens. Nous nous sommes mis à l’heure de l’internet.
– L’internet ! Slurp !
– Oui, de nos jours la brebis égarée ne fréquente plus nos confessionnaux mais se livre sur internet. La planète entière est connectée. Nous avons donc récemment mis en place un service informatique qui veille en permanence sur la toile. Notre équipe cosmopolite de jeunes novices parcourent l’ensemble des forums mondiaux, repèrent les pêcheurs en perdition et intervient pour le salut de leurs âmes.
– Incroyable ! Mais pardonnez-moi Signore, je ne comprends toujours pas la raison de ma venue ici.
– J’y viens. Récemment, Sœur Mélodie nous à fait part d’un dysfonctionnement sur un site très riche au regard des confessions déposées. Elle va arrivée d’une minute à l’autre, vous allez partir avec elle pour la Suisse, durant le voyage elle vous expliquera le problème. Je compte sur vous deux pour mener cette affaire avec la diligence qui s’impose, vous avez carte blanche, je vous laisse car je suis attendu par S.S. François dans la chapelle Sixtine.
Pendant qu'il s'éloignait dans le froufroutement de sa soutane, j'empoignai la dive bouteille de chianti pour me resservir, tout émoustillé à l'idée de revoir la belle princesse Mina.
De : SœurMélodie@scv.va
A : gérard.l@free.fr
Objet : Aiuto !
Besoin de vous, rappliquez d’urgence !
Mélo.
Dans le hall d’arrivée de l’aéroport de Fiumicino j’eus le plaisir de retrouver Gervais le garde suisse. Après une accolade chaleureuse, il saisit mon bagage, puis m’invita à prendre place dans une limousine noire qui arborait les insignes du Vatican. Le trafic romain est très stupéfiant mais Gervais réussit néanmoins à se faufiler entre les mailles du réseau compact des fiats cinq cent. Un peu plus tard il garait son véhicule dans un parking souterrain juste à coté des papamobiles. L’ascenseur qui baignait dans l’ambiance musicale d’un chant grégorien entama sa descente dans les profondeurs de la cité. Nous traversâmes un corridor puis une immense salle voûtées où s’entassait une magnifiques collection d’œuvres érotiques, peintures et sculptures dérobées au fil des siècles pour éviter de soumettre les fidèles à la tentation. Mon regard concupiscent s’attarda sur une toile représentant une Marie-Madeleine de toute beauté.
– C’est un Léonard de Vinci me souffla Gervais.
– Oui, je le subodorais. J’ai pu contempler celle de son élève Giovanni Pietro Rizzoli de facture apparentée dans la cathédrale de Burgos.
– Venez on nous attends.
Il s’approcha d’un David de taille humaine aux proportions plus généreuses que celui de Florence.
– C’est la première version de Raphaël, admirez comme il est dans de bonnes dispositions.
Il manœuvra le levier et la statue pivota pour dévoiler ses fesses et un passage secret.
Le bureau secret du prélat Bourré rutilait sous les ors et les velours pourpres. Au Vatican c’était sans doute le bureau le plus cossu de tous. Il me tendit une main manucurée aux doigts embagouzés d’améthystes et de diam’s que je broyai sans ménagement. Il était adepte du cilice et de la mortification.
– Toujours aussi gaillard mon cher Loiseau, dieu soit loué ! Votre forme physique devrait vous être d’un grand recours dans l’affaire qui nous préoccupe. Il me désigna un crapaud rouge de sa main indemne.
– Asseyez-vous mon cher que je vous explique les raisons de votre venue ici. Voilà, vous n’êtes pas sans savoir que l’occident a été gravement contaminé par le matérialisme, nos ouailles désertent les lieux de culte. Nous avons tenté de nous adapter en adoptant les techniques modernes : la radio puis la télé, mais la désaffection des églises s’est accentuée. Les vocations se font rares et sans l’aide des laïcs nous ne pourrions plus assurer le minimum des cérémonies religieuses comme les messes, ou les enterrements.
Il s’interrompit pour sortir deux burettes de son tiroir qu’il remplit d’un chianti riserva et reprit.
– Tout à changé depuis qu’il est arrivé.
– Qui Signore ?
– Mais sa sainteté François 1er ! Il a instauré une véritable renaissance dans notre sacerdoce. A l’image de l’ordre des franciscains dont il est issu. L’objectif est désormais de toucher le plus grand nombre, en bref de faire du social. Fini la collusion avec les puissants et les riches. Toutes les âmes doivent être sauvées pour la plus grande gloire de notre seigneur.
– Mmmmh délicieux, mais dites moi, comment vous y prenez-vous ?
– A votre avis ? Quel moyen actuel permet d’accéder à la masse des pauvres pêcheurs ? Dit-il en nous remplissant les burettes.
– Heu…, cet excellent chianti peut-être ?
– Oui le vin fut une recette éprouvée.
– En effet, comment ne pas croire en dieu en dégustant ce divin nectar ?
– Mais aujourd’hui, les marchands du temple diffusent maint breuvages païens. Nous nous sommes mis à l’heure de l’internet.
– L’internet ! Slurp !
– Oui, de nos jours la brebis égarée ne fréquente plus nos confessionnaux mais se livre sur internet. La planète entière est connectée. Nous avons donc récemment mis en place un service informatique qui veille en permanence sur la toile. Notre équipe cosmopolite de jeunes novices parcourent l’ensemble des forums mondiaux, repèrent les pêcheurs en perdition et intervient pour le salut de leurs âmes.
– Incroyable ! Mais pardonnez-moi Signore, je ne comprends toujours pas la raison de ma venue ici.
– J’y viens. Récemment, Sœur Mélodie nous à fait part d’un dysfonctionnement sur un site très riche au regard des confessions déposées. Elle va arrivée d’une minute à l’autre, vous allez partir avec elle pour la Suisse, durant le voyage elle vous expliquera le problème. Je compte sur vous deux pour mener cette affaire avec la diligence qui s’impose, vous avez carte blanche, je vous laisse car je suis attendu par S.S. François dans la chapelle Sixtine.
Pendant qu'il s'éloignait dans le froufroutement de sa soutane, j'empoignai la dive bouteille de chianti pour me resservir, tout émoustillé à l'idée de revoir la belle princesse Mina.
Jean Lê- Nombre de messages : 591
Age : 65
Localisation : Bretagne
Date d'inscription : 22/11/2010
Re: Comme des mouches dans la toile
Une écriture ciselée, de l'humour et du suspense en filigrane
que demande le peuple, fidèles et mécréants confondus ?
La suite !
que demande le peuple, fidèles et mécréants confondus ?
La suite !
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Comme des mouches dans la toile
Voilà un Loiseau de bon augure ! Je suis fan de soeur Mélodie...
petite correction : Elle va arrivée arriver d’une minute à l’autre
petite correction : Elle va arriv
Invité- Invité
Re: Comme des mouches dans la toile
Un vrai régal Jean Lê, y'a des passages vraiment savoureux. Comme pour Coline : la suite, vite !
Invité- Invité
Re: Comme des mouches dans la toile
Également hâte de lire la suite, mais - petit bémol - je n'ai su que je lisais un Loiseau qu'en découvrant le nom du personnage.
Belle écriture, l'histoire promet, mais je n'ai pas le sentiment d'être dans un Loiseau.
Belle écriture, l'histoire promet, mais je n'ai pas le sentiment d'être dans un Loiseau.
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 47
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Comme des mouches dans la toile
Sœur Mélodie fit son apparition. Moulée dans un fourreau de soie orange flamboyante qui lui dénudait l’épaule, elle portait ses cheveux noirs et décrêpés en auréole afro. Ses bottes de suédine bleu nuit montaient à l’assaut de ses jambes sculpturales dévoilant des cuisses de jais. Devant son allure typiquement hollywoodienne je m’érigeai subitement du crapaud. Elle releva ses lunettes solaires cerclées d’or de son nez épatant puis devant mon regard troublé, baissa ses yeux luisants, frangés de longs cils pour m’enlacer avec tendresse.
– C’est bon de te retrouver Yovo*. Me susurra-t-elle à l’oreille.
– Tout le plaisir est pour moi, Mélo. Balbutia-je au contact de sa poitrine noire et satinée qui débordait d’ondulations dans le frisson soyeux de son fourreau.
Puis s’asseyant sur le bureau elle décroisa ses cuisses d’ébène pour me proposer un autre calice ; l’eau à la bouche, je consentis.
Après ces libations nous quittâmes l’officine purpurine du prélat Bourré. Je suivis Sœur Mélodie qui balançait ses hanches somptueuses dans le claquement de ses talons aiguilles. Nous prîmes l’enfilade des voussures du capharnaüm où des milliers d’objets d’un art érotique hétéroclite s’étiolaient dans un imbroglio inextricable. Mon œil s’attarda encore sur la Maria Magdalena et l’aura de sa chevelure qui baignait son corps dénudé.
– Toutes des aminsronfila* ! Fit sœur Mélodie avec une pointe d’agacement.
– Détrompez-vous Mélo, Léonard avait d’autres tendances que révèle le dessin de Vitruve. Deux hommes que l’on trouve bien frappés sur l’euro italien. Objectai-je.
– On aurait dû s’en douter qu’avec cette nouvelle monnaie on allait se faire enc…
Par bonheur, le Gloria issu de l’ascenseur qui ouvrait ses portes atténua le dernier mot échappé de ses lèvres pulpeuses. Elle s’agenouilla contre moi dans le huis-clos exigu et fit pénitence tout en s’accusant du péché de gourmandise. Elle adorait la glace à la vanille… Dans cette ascension vers le ciel, je laissai rapidement éclater ma joie avec prodigalité, ému par tant de repentance.
Gervais astiquait la calandre taillée en diamant de la Lincoln. Nous primes place sur la banquette en cuir de vachette et la cavalerie du V12 nous transporta avec souplesse en direction des cieux azurés de la Toscane. L’isolation phonique de la Cadillac était indubitablement propice à la continuation de nos inavouables confesses.
Beaucoup plus tard, nous pûmes nous remettre de nos épanchements grâce au mini réfrigérateur bien garni du Fleetwood : pancetta, coppa, jambon d’Aoste et fiore sardo de brebis. Le caractère corsé du Lacryma Christi del Vesuvio se mariait agréablement aux saveurs noisette des terroirs de la botte.
– Allons encore un coup, le coup de l’étrillée, pour me faire plaisir, minauda-t-elle soucieuse de me voir reprendre de la vigueur.
– Merci, juste une larme, vous êtes généreuse chère Mélo comme vos en-cas le sont.
– Avec un peu de jambon ?.
– Franchement je goûterai mieux la saveur d’une tranche de « pata negra » ; élevé avec amour au gland du chêne vert il est d’une succulence incomparable. Dis-je avec l’honnête rigueur qui me caractérise.
Les pendentifs de perles noires pareils à des grappes de caviar tressautaient contre son cou gracile quand elle se mit à mordiller le collier de perles vénitiennes anciennes qui lui ceignait la gorge. Je m’interrogeai sur l’art féminin de faire tenir autant de formes opulentes dans un si étroit fourreau de soie quand la limousine pénétra dans un tunnel.
* en Mina dans le texte : yovo : blanc ; aminsronfila : voleuses de maris
– C’est bon de te retrouver Yovo*. Me susurra-t-elle à l’oreille.
– Tout le plaisir est pour moi, Mélo. Balbutia-je au contact de sa poitrine noire et satinée qui débordait d’ondulations dans le frisson soyeux de son fourreau.
Puis s’asseyant sur le bureau elle décroisa ses cuisses d’ébène pour me proposer un autre calice ; l’eau à la bouche, je consentis.
Après ces libations nous quittâmes l’officine purpurine du prélat Bourré. Je suivis Sœur Mélodie qui balançait ses hanches somptueuses dans le claquement de ses talons aiguilles. Nous prîmes l’enfilade des voussures du capharnaüm où des milliers d’objets d’un art érotique hétéroclite s’étiolaient dans un imbroglio inextricable. Mon œil s’attarda encore sur la Maria Magdalena et l’aura de sa chevelure qui baignait son corps dénudé.
– Toutes des aminsronfila* ! Fit sœur Mélodie avec une pointe d’agacement.
– Détrompez-vous Mélo, Léonard avait d’autres tendances que révèle le dessin de Vitruve. Deux hommes que l’on trouve bien frappés sur l’euro italien. Objectai-je.
– On aurait dû s’en douter qu’avec cette nouvelle monnaie on allait se faire enc…
Par bonheur, le Gloria issu de l’ascenseur qui ouvrait ses portes atténua le dernier mot échappé de ses lèvres pulpeuses. Elle s’agenouilla contre moi dans le huis-clos exigu et fit pénitence tout en s’accusant du péché de gourmandise. Elle adorait la glace à la vanille… Dans cette ascension vers le ciel, je laissai rapidement éclater ma joie avec prodigalité, ému par tant de repentance.
Gervais astiquait la calandre taillée en diamant de la Lincoln. Nous primes place sur la banquette en cuir de vachette et la cavalerie du V12 nous transporta avec souplesse en direction des cieux azurés de la Toscane. L’isolation phonique de la Cadillac était indubitablement propice à la continuation de nos inavouables confesses.
Beaucoup plus tard, nous pûmes nous remettre de nos épanchements grâce au mini réfrigérateur bien garni du Fleetwood : pancetta, coppa, jambon d’Aoste et fiore sardo de brebis. Le caractère corsé du Lacryma Christi del Vesuvio se mariait agréablement aux saveurs noisette des terroirs de la botte.
– Allons encore un coup, le coup de l’étrillée, pour me faire plaisir, minauda-t-elle soucieuse de me voir reprendre de la vigueur.
– Merci, juste une larme, vous êtes généreuse chère Mélo comme vos en-cas le sont.
– Avec un peu de jambon ?.
– Franchement je goûterai mieux la saveur d’une tranche de « pata negra » ; élevé avec amour au gland du chêne vert il est d’une succulence incomparable. Dis-je avec l’honnête rigueur qui me caractérise.
Les pendentifs de perles noires pareils à des grappes de caviar tressautaient contre son cou gracile quand elle se mit à mordiller le collier de perles vénitiennes anciennes qui lui ceignait la gorge. Je m’interrogeai sur l’art féminin de faire tenir autant de formes opulentes dans un si étroit fourreau de soie quand la limousine pénétra dans un tunnel.
* en Mina dans le texte : yovo : blanc ; aminsronfila : voleuses de maris
Jean Lê- Nombre de messages : 591
Age : 65
Localisation : Bretagne
Date d'inscription : 22/11/2010
Re: Comme des mouches dans la toile
A défaut de chercher la clé de l'énigme il semble que Loiseau ait trouvé celles du Paradis :-)))
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
re : Comme des mouches dans la toile
Ecriture pleine d'humour superbement maitrisée. Heureusement que le style est là. Pour le sujet, je le trouve assez conventionnel, attendu. Les amours et leurs interdits etc etc... Tu sollicites la jouissance du lecteur soit, mais après... C'est tout ? Il y a toute une littérature pour cela. Comment pourrais-tu nous surprendre ? Mais c'est bien mené, c'est déjà ça. Que demande le Pape ?
Raoulraoul- Nombre de messages : 607
Age : 63
Date d'inscription : 24/06/2011
Re: Comme des mouches dans la toile
Loiseau, la Suisse, une Soeur Mélodie... rien qu'avec ça, ça sent bon :-)
Et puis ça cause bouffe... rhaaa.
Un début d'histoire qui met l'eau à la bouche, sans mauvais jeu de mots, et donne grandement envie de connaître la suite.
En entamant la lecture, j'ai craint que la profusion de détails n'alourdisse le récit mais non, ces précisions font partie d'un tout qui donne du corps - et un rythme agréable - au texte.
Et puis ça cause bouffe... rhaaa.
Un début d'histoire qui met l'eau à la bouche, sans mauvais jeu de mots, et donne grandement envie de connaître la suite.
En entamant la lecture, j'ai craint que la profusion de détails n'alourdisse le récit mais non, ces précisions font partie d'un tout qui donne du corps - et un rythme agréable - au texte.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Comme des mouches dans la toile
Un vocabulaire fouillé, choisi, un style d'écriture délicieux et jouissif, ça me fait penser à certaines BD. Mais, mais.... et puis quoi ? j'attends la suite.
Invité- Invité
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