La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
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Pascal-Claude Perrault
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La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
Qui est le professeur Strongyo ?
(Prononcer Strong-yo)
Le professeur Strongyo est né en l’an de grâce 1617, soit à peu près exactement entre 1900 et 1998, après quoi il est toujours vivant. D’ailleurs tant mieux pour lui et tant pis pour les autres.
Cela dit, il s’agit d’un de nos plus éminents contemporains qui, comme de nombreux ignorés de l’opinion publique dont la déontologie est vecteur de leur science ou de leur art (tout dépend des psychopathes concernés), se donne au monde un peu comme Ducros se décarcasse, et cela pour le plus grand bien de l’humanité, par conséquent de l’humain, donc de l’homo-sapiens ou homme de Cro-Magnon, voire de l’espèce humaine dans son genre animal, c’est-à-dire de l’être humano-biologique selon sa condition de mammifère pas tout à fait fini.
Après avoir achevé ses études de « l’Ordre », il fut admis à l’Ecole Normale de PSYCHOMACROPATHIE dont le nom officiel est « School of Univers », et décrocha son professorat en sciences pléthoriques. Il n’alla délibérément point jusqu’au doctorat car à l’époque les côtes de porc, les rillettes et la crème fraîche avaient quelque peu voilé le jugement du jeune savant. Il pensait donc qu’un doctorat l’obligerait à doctorer tandis que son ambition était de professer. Par la suite il se décida néanmoins à obtenir son doctorat en microbiologie macropathique, soit l’équivalent d’un diplôme de chirurgien plasticien et praticien pour pit-bulls humanoïdes, spécialisé en aseptisation du matériel opératoire. Cela ne l’empêcha pas de poursuivre son but initial ou du moins son ambition première (tant il semble improbable de poursuivre un but, ce dernier étant fixe).
Il étudia la théorie de Georges Ohsawa, un de ses frères terriens, et fut « emballé » par sa vision (d’un certain point de vue simpliste dans un premier temps), et sa manière dialectique de régler les problèmes dialectiquement (d’un certain point de vue simpliste dans un deuxième temps), ainsi que son goût pour le « 7 », la forme de ses lunettes, l’esthétisme de ses dents et, par-dessus tout, l’appellation génialissime de la science de ce maître : la Macrobiotique.
Partant de la Macrobiotique d’Ohsawa dont il constata avec désappointement les résultats parfois mortels obtenus en suivant fanatiquement les directives et les régimes préconisés, il décida d’assouplir la pratique des adeptes de la Macrobiotique en insistant sur la plus simples des simplifications des sept régimes connus et instaurés par Ohsawa. Il faut savoir que Georges Ohsawa qui, comme il a été dit plus haut, avait une prédilection pour le chiffre 7, conseillait avec vigueur son fameux régime numéro 7 ainsi que son application dans la majeure partie des pathologies (que ce soit un rhume, un cancer, le sida, une jambe cassée, un divorce, un accident, la façon de tenir une fourchette ou la mise en orbite des satellites de télécommunication).
Cet état de fait fut considéré par le professeur Strongyo qui, bien qu’étant un de nos contemporains, n’en est pas moins l’alter-ego du grand maître Ohsawa, perpétuant son œuvre selon le changement inhérent à toute chose.
Ainsi donc la Macrobiotique d’Ohsawa devint la Macrobiopathie de Strongyo, car ce dernier avait bien saisi l’importance capitale de la plus grande maladie humaine, celle qu’Ohsawa appelait « arrogance ». Il en conclut que l’Homme n’était pas encore l’Homme, c’est-à-dire que l’humain était un animal anormal qui n’avait pas trouvé sa normalité. Il instaura donc le régime numéro 0 (jusqu’à présent inexistant), et qui se compose de la façon suivante :
- 10% d’eau de source (ou de l’eau du robinet si vous n’êtes pas trop arrogants) ;
- 20% d’air frais dont 5% humide et 3% salé ;
- 15% de terre de jardin avec ses carottes, leurs radicelles et leurs fanes ;
- 2,5% de tarte au tamari (ou shoyu si vous n’avez pas de tamari, mais dans ce cas ajoutez un kilo de gomasio par tarte) ;
- 2,5% de vide avec une pincée de nigari dans le vide ;
- 20% de delirium tremens sans alcool (c’est une question d’entraînement) ;
- 5% de soleil à regarder à midi par ciel découvert sans sourciller pendant trois minutes (si le ciel est couvert, utilisez une ampoule au néodynium de 100 watts) ;
- 10% de khôl noir (servant habituellement pour le maquillage des yeux) à mastiquer 2500 fois. J’insiste sur la couleur noire (qui n’en est d’ailleurs pas une) plus qu’une autre car le noir est bénéfique pour la matière grise vu que le cerveau est blanc (sauf s’il est noir) ;
- 15% de ratatouille niçoise garnie de moules fraîchement moissonnées dans nos bosquets, et saupoudrées de fines lamelles de papyrus (on en trouve encore chez les antiquaires). Si vous n’avez pas de papyrus, du papier tue-mouches, bien que moins goûteux, peut faire l’affaire ;
- N’oubliez pas le gomasio qui est la fleur de l’âge, le sirop de l’esprit de la montagne, l’oraison fluorescente, le parfum des couleurs et autres formules toutes plus poétiques les unes que les autres et qui en plus ne veulent rien dire bien entendu (la recette du gomasio est à votre disposition) ;
- Pour finir, un peu de cendres bien yang d’un combustible naturel tels le gaz ou le super sans plomb, parsemées çà et là de quelques noyaux de prunes umeboshi à mastiquer consciencieusement 3000 fois ;
- 3,3% en dessous de zéro de dessert (facultatif) comme le miel de hibou ou la pomme de terre en robe des champs dont on aura au préalable vidé la chair pour ne garder que la peau bien yang, le reste ira au restos du cœur, ils ont besoin de nourriture comme tout le monde, même s’ils ne proposent pas la nourriture correcte du régime n° 0. Car après tout, tant que l’on mange on survit, la preuve mon cordonnier s’approvisionne chez mon boucher.
(Prononcer Strong-yo)
Le professeur Strongyo est né en l’an de grâce 1617, soit à peu près exactement entre 1900 et 1998, après quoi il est toujours vivant. D’ailleurs tant mieux pour lui et tant pis pour les autres.
Cela dit, il s’agit d’un de nos plus éminents contemporains qui, comme de nombreux ignorés de l’opinion publique dont la déontologie est vecteur de leur science ou de leur art (tout dépend des psychopathes concernés), se donne au monde un peu comme Ducros se décarcasse, et cela pour le plus grand bien de l’humanité, par conséquent de l’humain, donc de l’homo-sapiens ou homme de Cro-Magnon, voire de l’espèce humaine dans son genre animal, c’est-à-dire de l’être humano-biologique selon sa condition de mammifère pas tout à fait fini.
Après avoir achevé ses études de « l’Ordre », il fut admis à l’Ecole Normale de PSYCHOMACROPATHIE dont le nom officiel est « School of Univers », et décrocha son professorat en sciences pléthoriques. Il n’alla délibérément point jusqu’au doctorat car à l’époque les côtes de porc, les rillettes et la crème fraîche avaient quelque peu voilé le jugement du jeune savant. Il pensait donc qu’un doctorat l’obligerait à doctorer tandis que son ambition était de professer. Par la suite il se décida néanmoins à obtenir son doctorat en microbiologie macropathique, soit l’équivalent d’un diplôme de chirurgien plasticien et praticien pour pit-bulls humanoïdes, spécialisé en aseptisation du matériel opératoire. Cela ne l’empêcha pas de poursuivre son but initial ou du moins son ambition première (tant il semble improbable de poursuivre un but, ce dernier étant fixe).
Il étudia la théorie de Georges Ohsawa, un de ses frères terriens, et fut « emballé » par sa vision (d’un certain point de vue simpliste dans un premier temps), et sa manière dialectique de régler les problèmes dialectiquement (d’un certain point de vue simpliste dans un deuxième temps), ainsi que son goût pour le « 7 », la forme de ses lunettes, l’esthétisme de ses dents et, par-dessus tout, l’appellation génialissime de la science de ce maître : la Macrobiotique.
Partant de la Macrobiotique d’Ohsawa dont il constata avec désappointement les résultats parfois mortels obtenus en suivant fanatiquement les directives et les régimes préconisés, il décida d’assouplir la pratique des adeptes de la Macrobiotique en insistant sur la plus simples des simplifications des sept régimes connus et instaurés par Ohsawa. Il faut savoir que Georges Ohsawa qui, comme il a été dit plus haut, avait une prédilection pour le chiffre 7, conseillait avec vigueur son fameux régime numéro 7 ainsi que son application dans la majeure partie des pathologies (que ce soit un rhume, un cancer, le sida, une jambe cassée, un divorce, un accident, la façon de tenir une fourchette ou la mise en orbite des satellites de télécommunication).
Cet état de fait fut considéré par le professeur Strongyo qui, bien qu’étant un de nos contemporains, n’en est pas moins l’alter-ego du grand maître Ohsawa, perpétuant son œuvre selon le changement inhérent à toute chose.
Ainsi donc la Macrobiotique d’Ohsawa devint la Macrobiopathie de Strongyo, car ce dernier avait bien saisi l’importance capitale de la plus grande maladie humaine, celle qu’Ohsawa appelait « arrogance ». Il en conclut que l’Homme n’était pas encore l’Homme, c’est-à-dire que l’humain était un animal anormal qui n’avait pas trouvé sa normalité. Il instaura donc le régime numéro 0 (jusqu’à présent inexistant), et qui se compose de la façon suivante :
- 10% d’eau de source (ou de l’eau du robinet si vous n’êtes pas trop arrogants) ;
- 20% d’air frais dont 5% humide et 3% salé ;
- 15% de terre de jardin avec ses carottes, leurs radicelles et leurs fanes ;
- 2,5% de tarte au tamari (ou shoyu si vous n’avez pas de tamari, mais dans ce cas ajoutez un kilo de gomasio par tarte) ;
- 2,5% de vide avec une pincée de nigari dans le vide ;
- 20% de delirium tremens sans alcool (c’est une question d’entraînement) ;
- 5% de soleil à regarder à midi par ciel découvert sans sourciller pendant trois minutes (si le ciel est couvert, utilisez une ampoule au néodynium de 100 watts) ;
- 10% de khôl noir (servant habituellement pour le maquillage des yeux) à mastiquer 2500 fois. J’insiste sur la couleur noire (qui n’en est d’ailleurs pas une) plus qu’une autre car le noir est bénéfique pour la matière grise vu que le cerveau est blanc (sauf s’il est noir) ;
- 15% de ratatouille niçoise garnie de moules fraîchement moissonnées dans nos bosquets, et saupoudrées de fines lamelles de papyrus (on en trouve encore chez les antiquaires). Si vous n’avez pas de papyrus, du papier tue-mouches, bien que moins goûteux, peut faire l’affaire ;
- N’oubliez pas le gomasio qui est la fleur de l’âge, le sirop de l’esprit de la montagne, l’oraison fluorescente, le parfum des couleurs et autres formules toutes plus poétiques les unes que les autres et qui en plus ne veulent rien dire bien entendu (la recette du gomasio est à votre disposition) ;
- Pour finir, un peu de cendres bien yang d’un combustible naturel tels le gaz ou le super sans plomb, parsemées çà et là de quelques noyaux de prunes umeboshi à mastiquer consciencieusement 3000 fois ;
- 3,3% en dessous de zéro de dessert (facultatif) comme le miel de hibou ou la pomme de terre en robe des champs dont on aura au préalable vidé la chair pour ne garder que la peau bien yang, le reste ira au restos du cœur, ils ont besoin de nourriture comme tout le monde, même s’ils ne proposent pas la nourriture correcte du régime n° 0. Car après tout, tant que l’on mange on survit, la preuve mon cordonnier s’approvisionne chez mon boucher.
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
Un portrait loufoque bien agréable au réveil.
Merci pour cette folie douce du matin !
Merci pour cette folie douce du matin !
jfmoods- Nombre de messages : 692
Age : 59
Localisation : jfmoods@yahoo.fr
Date d'inscription : 16/07/2013
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
je vois que ton régime a changé,
non seulement ils t'ont enlevé la camisole, mais tu as droit à un portable et à une connexion maintenant...
petit regret : l'accumulation nuit au côté barré du texte.
contente de te lire à nouveau )))
non seulement ils t'ont enlevé la camisole, mais tu as droit à un portable et à une connexion maintenant...
petit regret : l'accumulation nuit au côté barré du texte.
contente de te lire à nouveau )))
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
Oui, c'est bien cela: il faut cesser de manger les stylos et s'en servir juste pour écrire!
Excellente convalescence, PCP!
Blague à part, je partage le petit regret de Pussicat, même si j'ai bien sourigolé.
Excellente convalescence, PCP!
Blague à part, je partage le petit regret de Pussicat, même si j'ai bien sourigolé.
Polixène- Nombre de messages : 3298
Age : 62
Localisation : Dans un pli du temps . (sohaz@mailo.com)
Date d'inscription : 23/02/2010
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
Une bonne dose d'ironie sur l'homme ne peut pas nuire à l'hygiène contemporaine. J'ai buté sur l'accumulation mais j'apprécie le rictus du ton utilisé.
Ba- Nombre de messages : 4855
Age : 71
Localisation : Promenade bleue, blanc, rouge
Date d'inscription : 08/02/2009
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
Oh, vous êtes gentils, mais personne n'est parfait, et moi en premier. Bisous.
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
mais c'est autobiographique ça... ça transpire le vécul !!! ))))
bon, un roman de 500 pages du même tonneau, je suis pas certain de tenir,
mais là, comme un ptit coup d'gnôle de derrière les oreilles,
ça m'fait du bien, j'en avais besoin
merci amigo
bon, un roman de 500 pages du même tonneau, je suis pas certain de tenir,
mais là, comme un ptit coup d'gnôle de derrière les oreilles,
ça m'fait du bien, j'en avais besoin
merci amigo
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
j'comprends... j'dis pas que vous en venez à enterrer les rats en tenue de gala tellement qu'vous ne savez plus quoi faire de vos journées, je lis juste qu'un "ptit coup d'gnôle de derrière les oreilles," ça peut faire que du bien...Frédéric Prunier a écrit:bon, un roman de 500 pages du même tonneau, je suis pas certain de tenir,
mais là, comme un ptit coup d'gnôle de derrière les oreilles,
ça m'fait du bien, j'en avais besoin
merci amigo
c'est ça Mister Frédéric Prunier... ?... comme un ptit coup d'gnôle à la PCP... Prunes de Chez Prunier
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
je trouve l'idée géniale et revigorante mais la réalisation n'est pas à la hauteur de son idée. le texte a besoin d'un régime, il tire trop sur les memes ficelles (j'ai compté 11,8 négations de négations, et 7.4 tautologies au lapalisse carré), beaucoup de fautes et d'imprécisions. par ex : School of Universe -1988, ok mais de quelle ère galactique? de plus la blague sur Ducros est ultra datée et ringuarde, un texte n'est pas un suppôt de pub. je n'apprécie pas les remarques perfides sur l'Arrogance, car ce n'est vraiment pas le lieu pour parler politique.
hi wen- Nombre de messages : 899
Age : 27
Date d'inscription : 07/01/2011
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
Diantre, Hi Wen me massacre. Bon ça va les cocos, j'ai écrit ce truc à 25 piges quand j'étais immergé dans la macrobiotique, que j'en voyais tous les défauts et que les adeptes inconditionnels me faisaient pitié. Ayant par nature un esprit de dérision avec une pointe de cynisme, j'ai pondu ce truc. Ce n'est pas de la littérature, n'exagérons pas. Et l'imperfection est effective.
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
Et s'il y a des clients, j'ai encore maints écrits, toujours dans l'esprit de dérision (mon pote c'est Gotlib)... Mais c'est jeune et imparfait, faut po m'en vouloir...
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
hi wen a écrit:je trouve l'idée géniale et revigorante mais la réalisation n'est pas à la hauteur de son idée. le texte a besoin d'un régime, il tire trop sur les memes ficelles (j'ai compté 11,8 négations de négations, et 7.4 tautologies au lapalisse carré), beaucoup de fautes et d'imprécisions. par ex : School of Universe -1988, ok mais de quelle ère galactique? de plus la blague sur Ducros est ultra datée et ringuarde, un texte n'est pas un suppôt de pub. je n'apprécie pas les remarques perfides sur l'Arrogance, car ce n'est vraiment pas le lieu pour parler politique.
T'es sûr que tu vas bien ?
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
peut-être es-tu une fille, es-tu sure ?
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
Ça me fait penser aux études très sérieuses sur les tartines beurre-confiture qui s'écrasent lamentablement au sol le collant collant sur le pavé... j'aime bien qu'on se lance dans des recherches pareilles :-)
Et aussi ce genre de régime à la Gwyneth Paltrow...
Bref, j'aime et c'est bon de te lire, te voir et tout et tout.
Et aussi ce genre de régime à la Gwyneth Paltrow...
Bref, j'aime et c'est bon de te lire, te voir et tout et tout.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: La Macrobiopathie du Professeur Strongyo
Oh merci, mais ça n'en vaut pas la peine.
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
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