Histoire revisitée du tirpitz

Le DKM Tirpitz était un cuirassé de la marine de guerre allemande, fleuron de la deutsche kriegsmarine et le plus gros vaisseau qu’elle ait jamais conçu a cette époque. C’était un vaisseau assez massif, un monstre d’acier de plus de dix milles tonnes, d’une imposante stature et d’un armement assez lourd. Baptisé en 1941, il était affecté à la surveillance de l’atlantique nord et de la mer baltique, il avait pour mission d’intercepter et de détruire les convois d’armement et de vivres qui tentaient de rejoindre la Russie, le Tirpitz était redoutable, et il n’avait pas mis trop de temps à se forger une réputation dans ces eaux froides et glaciales.
La matinée du 12 novembre 1944, exactement à 7H12, Rober weber, le capitaine du vaisseau, sort de ses quartiers, et s’apprête à effectuer son habituel tours de ronde. Le Capitaine Weber, 47 ans, fils d’un fermier du bas Rhin était l’exemple même de la réussite dans la KriegsMarine, il avait à 17 rejoint l’académie militaire, lui qui n’avait jamais vu la mer, maintenant il était le commandant du plus beau et plus légendaire vaisseau de guerre allemand, ce titre il ne l’avait pas volé, mais gagné a la force des bras, c’était peut être ce tout qui faisait que son équipage accordait un immense respect a cet être charismatique aux cheveux déjà blanchis. Il ne manquait jamais a son inspection quotidienne qui débutait par la salle des commandes, 7H15 oui comme une montre suisse, il se présentait devant les officiers de quart, s’assurant qu’aucun d’entre eux ne dormait, un tasse vide a la main, il les saluait, jetant un coup d’œil rapide sur le journal de bord, en face de lui se trouvait le jeune lieutenant de vaisseau Von Begel, oui le jeune Hugo Von begel, fraichement sortit de l’académie. Hugo représentait tout le contraire du capitaine lui fils de la bourgeoisie bavaroise, servir dans l’armée était pour eux une tradition familiale, mais il n’en demeurait pas moins pour lui un honneur de servir sous le commandement du capitaine Weber. Après avoir échangés quelques mots, le capitaine tasse a la main emprunta la passerelle arrière en allant directement vers les cuisines il croisa l’enseigne de vaisseau Meyrick, alla vers ce bon vieux Hans que l’on surnommait « panzer » ou littéralement « char d’assaut », ah il fallait l’avoir vu pour le croire, un homme bien gras a la bedaine saillante et au verbe facile, c’était le chef cuisinier du navire, et l’avoir dans sa poche signifiait beaucoup d’avantages pour les membres de l’équipage. Il était tout autant respecté que le capitaine ce bon vieux Hans. En voyant Weber, il le saluât puis lui remplit sa tasse d’un bon et chaud café noir, sans sucre comme l’aimait le capitaine, après quelques échanges bien courtois avec cet homme, le capitaine sortit des cuisines par l’entré principale pris le pont inférieur pour descendre a la soute du navire, il se dirigeait maintenant vers la salle des machines, ou se trouvaient les hommes de l’ombre. Il éprouvait un immense respect pour ses hommes qui travaillaient la dedans, dans un bruit du tonner et parfois sous une chaleur asphyxiante qui pouvait dépasser les 45 degrés, ces hommes qui parfois restaient des jours sans voir la lumière du soleil et qui sans qui le navire ne serait qu’une épave. Ils étaient pour lui, le véritable cœur du bâtiment, et il ne pouvait manquer de les saluer tous les matins, qui savait mieux que lui, que le moral des homme dois rester au beau fixe surtout en pleine mer, lorsqu’on se sent éloignés de tout ? Il était le maitre a bord, et c’était a lui de veiller sur ses hommes du mieux qu’il ne le pouvait.
Après avoir salué ces hommes pour qui il avait tant d’admiration, il se présentait vers la dernière étape de son périple avant de retourner au poste de commandement, il allait voir a l’armurerie son ami Heinrich vogel, le capitaine aimait discuter avec cet homme d’un certain âge, très cultivé et surtout originaire lui aussi du bas Rhin plus exactement de la petite bourgade d’Oberbetschdorf, lui aussi fils de fermier et grand connaisseur de littérature allemande, il était le seul personnage mystérieux pour Weber, le seul qui ne le laissait pas de marbre, Heinrich était une véritable encyclopédie, il paraissait avoir réponse a tout, Weber s’interrogeait beaucoup plus sur ce qui avait fait qu’un homme de cette trempe se retrouve ainsi sous officier principal chargé de la soute a munitions. Après un court mais instructif échange de paroles être ces deux hommes, ces deux titans, Weber fit volte face pour retourner vers le poste de commandement. Il était exactement 8h15 a son arrivée au PC, il s’installa sur sa chaise puis commença à feuilleter le livre de bord plus en détails. Il se rendit compte que le poste d’observation avait fait état du passage a deux reprises d’un avion de reconnaissance à environ 2 miles nautiques, une activité qui n’aurait pas été suspecte si ce n’est le fait qu’il étaient a plus de 200 miles de la cote et le temps rapproché des deux passages, cet avion ne pouvait venir que d’un porte avion. Il décida de contacter son commandement pour voir s’il n’y était pas fait état de mouvements suspects dans la zone. Il ne pouvait se permettre de se confronter à un porte-avions sachant que ces navires sont toujours bien escortés.
8h38 le commandement des forces navales allemandes ne fait état d’aucun mouvement suspect, et donne ordre au Tirpitz de continuer de croiser. Le capitaine donne l’ordre de prendre une vitesse de croisière de 25noeuds, bien qu’il eut un mauvais pressentiment, il était contraint par les ordres de continuer coute que coute.
8h59 : rapport tu poste d’observation, un croiseur de reconnaissance battant le pavillon anglais est repéré à 15Miles nautiques, le capitaine en informe le commandement qui lui ordonne d’’entammer la chasse, bien que Weber les ait prévenus du risque que ce soit une escorte assez lourde.
9h12 le Tirpitz se dirige vers la position du croiseur à 28 nœuds.
9h15 Rapport du poste d’observation, deux immenses bâtiments peut être des cuirassés avancent vers la position du Tirpitz, le capitaine donne l’ordre de se positionner en ordre de bataille, il en informe le PC, qui approuve.
9H37 : les deux bâtiments son maintenant a portée de cannons, Weber ordonne le tir d’une première salve de 280mm.
9H39 ; les navires ennemis les cuirassés anglais « Hood » et « vanguard » se séparent et se lancent en manœuvre de combat, la capitaine comprend que la bataille sera difficile.
9H40 : il ordonne d’orienter son tir sur le « hood » a bâbord, le tir doit être corrigé par 3°34 et un profondeur de 1°45, il ordonne le tir de charges vides, pour les tirs correctifs, en même temps la tourelle N°2 lace des obus fumigènes a tribord, pour fausser le tir du HMS « Vanguard »
9H43 le hood tir sa première salve tandis que le « vanguard » tente de manœuvrer pour avoir un angle plus accessible pour le tir. Le tirpitz corrige son tir de 2°26 et 1°34 de profondeur, une autre salve est lancée.
9H45 : Le hood est touché, le tirpitz manœuvre et s’en rapproche, profitant de la confusion pour l’achever, le capitaine Weber ordonne « machines en avant toutes » plein gaz, ce vieux loup de mer sait qu’il ne dispose que de quelques secondes pour achever « le hood », les tourelles ajustent le tir, cette fois ci, elles chargent des obus incendiaires, l’on entend a la radio « Fire » « feu » les canons tirent, et a ce même moment, le tirpitz est secoué par une onde de choc
9H47 : le capitaine vient de réaliser qu’il a été touché, au même moment, les gars de la salle des machines appellent, les moteurs sont Hors service et le gouvernaille est touché. Le capitaine viens de comprendre que cette fois ci, il jouera serré, incapable de manœuvrer il est une proie facile, en face le « hood » est en feu, la tourelle N°4 lui assène le coup de grâce.
9H49 : Weber ordonne aux tourelles de combat de virer à tribord, les tourelles 1, 2 et 4 sont chargées de prendre d’assaut le « vanguard » tandis que la troisième est chargée de créer un nuage de fumée afin d’altérer la précision de tir de son opposant. Le combat s’engage des plus belles.
9H51 : le poste d’observation rend compte d’avoir repéré une escadre chasseurs bombardier se dirigent tout droit vers eux, les équipements de DCA sont déployés pour contrer cette attaque, Weber s’accroche,
9H52 : le poste de commandement est ébranlé par une autre déflagration, une partie du pont arrière est balayée par le souffle de la charge, le navire manque de chavirer sous l’effet de l’obus. L’escadron est maintenant plus qu’a quelques secondes, les 88FLAK anti-aériens commencent leur tir, l’équipage entend se rapprocher le son des moteurs d’avions, avec l’impression d’un immense voile se dirigeant vers eux, ils savent que cette fois ci, il sera difficile d’échapper, mais tous font confiance en leur capitaine, il a déjà connu pire et s’en est toujours sorti.
9H53 : les chasseurs attaquent, dans un déluge de feu, plusieurs appareils ennemis sont touchés par la DCA défensive, les tourelles continuent de chercher le tir précis, le capitaine continu de donner ses instruction, bien qu’il se sente de plus en plus pris au piège, les hommes ont peur mais se défendent héroïquement, personne ne pense à se rendre ou a quitter navire, tel est l’honneur des marins, tel est leur devise, s’il coule, nous coulons avec.
9H56 : après avoir repoussé la deuxième vague d’avions, la troisième s’apprête à attaquer, la DCA est toujours la, l’homme toujours aussi vaillants, le capitaine a tenu à corriger lui-même le tir de ses pièce, a ce ment précis ou il ordonne une correction de 0°56 et -0°88 de profondeur, une énorme déflagration déchire la coque du navire, Weber a compris ! Il s’écrie Heinrich ! non pas par peur pour son ami, mais car il avait compris qu’un obus avait touché la soute a munitions et que c’était la fin pour eux, s’en suit un immense déflagration, qui disloqua le navire dans un gigantesque déluge de fer et d’acier, un feu d’artifice qui dura quelques secondes, sur les 1245 hommes d’équipage, l’on ne relèvera aucun survivant, le Tirpitz Git maintenant par 750 mètres de profondeurs à 69º 36' nord, 18º 59' est. Voilà tout ce qui reste de cette histoire, des coordonnées GPS.
Je suppose qu’en la lisant, vous avez éprouvés de la sympathie pour les personnages, peut être pas dans le temps mais dans l’espace vous vous êtes attachés a ce Weber et a son équipage, vous avez même eu de la peur pour lui, et même du chagrin ! Pourtant vous ne devriez pas ! Lui c’était un méchant, un allemand, un NAZI ! Une bête inhumaine, rappelez vous tout ce que l’on vous a enseignés, WEBER méritait sa triste fin !
Oui mes amis l’histoire appartient à ceux qui l’écrivent. Dans une guerre il n’y a que des perdants, quelque soit cette guerre, il n’y a jamais de gagnant, que de sacrifices pour rien ! Malheureusement nous somme si petits, si faibles pour le comprendre…

Ceci est une fiction totalement imaginée par Zoltar. Rien de réel, la véritable histoire du TIRPITZ c’est déroulée autrement mais bon, on a bien le droit de réinventer l’histoire pour une fois !

Mon avis : chiant, mal écrit, bourré de fautes, n'apporte rien.

Tout ça pour ça?
Ce gros pavé indigeste pour une conclusion aussi éculée? Les nazis, des hommes comme les autres...on s'en doutait un peu!
Je regrette mais je suis complètement hermétique à de telles démonstrations

kelnak a écrit:Ceci est une fiction totalement imaginée par Zoltar. Rien de réel, la véritable histoire du TIRPITZ c’est déroulée autrement mais bon, on a bien le droit de réinventer l’histoire pour une fois !

ToutaféThierry, on a le droit (dans ses bottes).
Vous semblez vous y connaître, et vous me faites penser à ces peintres officiels attachés au ministère de la marine. Ce que je déplore c'est que ce savoir semble vous rendre nostalgique. Ce que les précédents commentaires veulent dire (ils rectifieront si je me trompe) c'est que nous avons déjà "lu" ça au cinéma, en technicolor, on pourrait presque citer le nom des artistes qui ont interprété le rôle de Weber...
Vous avez du kilomètr-âge, et certainement d'autres expériences et manifestement du plaisir à écrire, pourquoi ne pas vous y essayer sur un autre sujet, où la technique ne ferait pas "écran" ?
J'ai lu plusieurs fois l'un des maîtres des lieux (Loup-bleu) assortir ses commentaires de conseils divers et variés, mais il y en a un qui revient toujours : "écrivez, écrivez, écrivez".
Je vous le dis à sa place parce qu'il m'a tout l'air d'être occupé ces temps ci, et comme il y a d'abondantes livraisons de textes, pas mal restent en suspens...
Bon courage pour la suite et à un prochain écrit.

Allo mère poule....reçu tango....cible à trois heures...cible verrouillée, pardon, target locked, c'est tellement, plus classe, autorisation tir demandée...denied...attention, ville en approche..autorisation de...bien reçu tango, vous avez le feu vert...fire, fire... opération terminée...clear...je dégage...je répète, opération terminée. Félicitations, tango, le champagne est au frais.
Voilà, c'était un petit cadeau aux amateurs du genre, mais c'est assez impertinent en tant que réponse, d'accord, et je prie khêna, mais aussi le scrameustache, de me pardonner, c'est ce que m'inspire les récits de guerre en général. Mais il en est sûrement de bons, et tous ces 45°26 éloignés de vingt milles marins à dix noeuds de moyenne avec le Kriegmachin qui crache du 520 mm, c'est peut-être chouette sur une longue histoire avec des petits coeurs qui battent, des vies qui se percutent, mais en quelques lignes, là, vous m'excuserez, c'est un peu comme cassoulet en été.

C'est la fête des Alsaciens ou quoi ce weekend?
V'la les capitaines des cuirassés qu'étaient des fils de paysans d'Oberbetschdorf.
Tu racontes n'importe quoi, vieux.

pandaworks a écrit:Tu racontes n'importe quoi, vieux.

C'est une manière de parler ou une allusion à son grand âge ?
Je vous trouve tous bien sévères et expéditifs dans vos commentaires pour un type qui se mouille sur le tard. Vous lui coulez son escorteur comme au tir au pigeon. C'est facile, i bouge pas.
Kelnak, tu ne m'en voudras pas si je te semble un peu paternaliste, si les infos sont vraies, tu as 85 balais et j'en ai 58, j'inverse un peu les (d)rôles...

85 ans .... ici, je n'y crois pas ! J'imaginerai plus de maitrise de la langue, moins de naieveté dans la conclusion ... mais bon, 85 ou 25, ce n'est pas le propos...

Tout d'abord, au niveau des fautes de frappe / d'orthographe, essaie d'utiliser le correcteur orthographique ou le site bonpatron ... La plupart sont évitables juste en relisant attentivement. La ponctuation aussi, franchement à revoir.

Dans beaucoup de phrases, une sorte de surcharge, souvent un ou deux mots de trop, qui allourdissent :

"7H15 oui comme une montre suisse ..."

"vaisseau Von Begel, oui le jeune Hugo Von begel, fraichement sortit de l’académie ..."

oui le jeune ... suggère que le lecteur puisse être étonné de l'info et là, ben franchement ...

"ses hommes qui travaillaient la dedans ..."

qui travaillaient là suffit, non ?

"Après un court mais instructif échange de paroles être ces deux hommes ... "

de paroles ... on se doute qu'il ne se sont pas échangé des gifles ou des images panini ...

A partir du résumé chronologique (8h15 .... 8h30....), ça n'a, pour moi, plus rien à voir avec un texte littéraire, on tombe dans un résumé, certes inventé, mais rédigé à la manière d'un comte rendu pour wikipédia...

Et puis la morale finale (et là, 85 ans ... ) totalement inutile, assenée avec une naieveté énorme ... C'est pas beau la guerre et puis les méchants sont pas si méchants. Tu as oublié de dire que les méchants sont toujours ceux qui ont perdu la guerre ...

Bref, pour ma part, à reprendre en profondeur si tu veux en faire un bon texte.

Bienvenue Kelnak

Je ne reviens pas sur ce qu'ont dit mes camarades, parfois sévèrement, à propos de la fin, je touve qu'ils ont raison. J'ai pensé au "silence de la mer" de Vercors, qui a un propos à mon sens autrement fin, et que je te conseille.

"Je suppose qu’en la lisant, vous avez éprouvés de la sympathie pour les personnages,"

Et, malgré des qualités d'écriture, et le goût qu'on ressent, je dois dire que ce n'est pas le cas. Comme si, trop préoccupé de faire un "écrit de guerre", avec moulte détails, tu ne laissais pas le temps à tes "hommes" de respirer, de vivre, de douter, d'avoir peur...

Il manque aussi à mon sens, les sensations "physiques" (l'exiguïté, la chaleur, l'odeur, etc.). C'est un peu comme si le souci de réalisme masquait la réalité.

Par ailleurs, je pense que tu montres des qualités rédactionnelles, le texte n'est pas "mauvais", mais je trouev que tu ne prends pas le bon point de vue pour le traiter.

vous réagissez tt le temps comme ça? je veux dire, avec agressivité et tout le toutim, franchement je m'attendais a mieux de ce forum, et la je tombe sur une bande de "pseudo ecrivain" qui ne cherchent que la performance! beurk,,,machinaliser ainsi les écrit, avec tant de règles, tant de....je me demande comment peut on rester fidèles a soi même plus tard!
Je viens d'un autre forum, ou c le contraire, on accepte tout le monde, même si le niveau "n'y est pas", et jamais nous n'avons été vilrulents envers qui que ce soit, ce ki n'est pas le cas de tout le monde ici,,,mais bon, peut être écrivez vous bien ici, mais la sagesse vous manque.

Loup bleu, vous ki êtes admin, vous avez été le seul ayant réagit de manière quelque peu respectable et sage, je vous en remercie d'ailleurs, pour ce qui est de ma présence ici, je m'excuse de vous avoir dérangé.

a dieu.

kelnak a écrit:avec agressivité et tout le toutim,

je n'ai pas le sentiment d'avoir été agressif (ni tout le toutim) avec le vieil amiral que tu faisais semblant d'être.

Je viens d'un autre forum, ou c le contraire, on accepte tout le monde,

Ah oui, alors pourquoi tu dis :

j’appartiens a un autre monde, un autre forum, mais là-bas je ne puis être ce qu’ici je suis vraiment, moi-même,

Tu sais, on peut ne pas jouer à cache-cache, et se faire le plaisir d'écrire, de lire et de commenter en essayant d'être "humainement objectif". Pourquoi j'ai l'impression de voir un môme gesticuler avec sa p'tite épée en bois ?

a dieu.

Reviens ! Tout est pardonné !-)

pas lu d'agressivité dans mon commentaire.

Simplement effectivement une certaine sévérité et une franchise totale.

Effectivement, ici, c'est différent d'ailleurs où souvent on se contente d'encenser ou de ne relever que les points positifs. C'est parfois dur à encaisser mais il faut garder à l'esprit que ce ne sont que des avis qui n'ont pas valeur de vérité absolue. A toi de choisir ce qui te semble utile, juste ...

course à la performance .... surement pas ... essayer de s'améliorer, oui. Maintenant si tu ne veux pas de commentaires, tu peux poster et préciser que tu n'en veux pas.

Agressivité ou susceptibilité, ma foi, c'est difficile à trancher, non?

En tous cas, tu es toujours le bienvenu ici

Allez Karnak, fais pas la gueule, moi j'ai relu mon commentaire, l'était un peu ironique, m'en excusai même et tentai d'argumenter, mais je n'y ai pas vu d'offense. On a affaire ici à de bons lecteurs, tu peux me croire, et si d'unanime avis, le plat ne passe pas, il faut souvent reconnaître qu'il y a un petit truc dans la recette à corriger. A partir de deux ou trois gugusses qui ont joui, je pense que la chose devient souvent défendable. Ce n'est pas scientifique, ce que je dis là, bien sûr, mais c'est ce que je pense avoir expérimenté. Tu décrivais la guerre, j'espère que tu es d'accord pour dire que c'est une chose bien moche, alors si ton récit est dans son coeur, on n'a pas envie d'entendre que ses battements propres, ses tachycardies, les frissons des cuirassés et des tanks, qu'ils et elle crèvent tous plutôt, mais on aurait envie d'entendre tous ceux qui se font chier, ont peur, s'étripent, se stupéfient, se haïssent, fuient, espèrent, se détruisent...à cause d'elle.

kelnak, je ne m'associe pas aux précédents commentateurs.
Je te remercie pour cette révélation. Lors de la fête de Noël 1964, j'ai reçu une petite maquette de navire de guerre : le HOOD. Grâce à ton récit je sais à présent qui a détruit ce bâtiment.

"Voilà tout ce qui reste de cette histoire, des coordonnées GPS.
Je suppose qu’en la lisant, vous avez éprouvés de la sympathie pour les personnages, peut être pas dans le temps mais dans l’espace vous vous êtes attachés a ce Weber et a son équipage, vous avez même eu de la peur pour lui, et même du chagrin ! Pourtant vous ne devriez pas ! Lui c’était un méchant, un allemand, un NAZI ! Une bête inhumaine, rappelez vous tout ce que l’on vous a enseignés, WEBER méritait sa triste fin !
Oui mes amis l’histoire appartient à ceux qui l’écrivent. Dans une guerre il n’y a que des perdants, quelque soit cette guerre, il n’y a jamais de gagnant, que de sacrifices pour rien ! Malheureusement nous somme si petits, si faibles pour le comprendre…"

J'ai relu ton texte pour comprendre les raisons qui ont donné à mon commentaire ce ton péremptoire qu'on peut juger blessant, j'en conviens et je m'en excuse.

D'une part je reconnais que je n'aime pas les films de guerre à moins que la psychologie des personnages, leur aventure intérieure ne prennent le pas sur les faits guerriers et leur déroulement. Bien que ton capitaine Weber, tasse à la main, aille saluer tout son équipage avec une conscience qui l'honore, je ne le sens pas en tant qu'être humain. Je n'ai pas le temps de comprendre qui il est vraiment ni même de me poser des questions à son sujet avant d'être prise dans un tourbillon de chiffres et de cordonnées donc je me désintéresse de son sort … Sans doute ai-je tort mais c'est à toi, l'auteur, de me le prouver et de me retenir.

D'autre part, dans ta conclusion, que je cite ici, je me sens déconsidérée par l'auteur, infantilisée, à peine capable de comprendre la magistrale leçon d'histoire que tu viens de m'asséner. Je crois que ce n'est pas la meilleure manière que tu as choisie là pour "mettre dans ta poche" le lecteur potentiel que je suis.

Ouais , méa-culpa mon commentaire n'est pas top au niveau diplomatie.
La redondance du Bas-Rhin m'a hérissé les poils des doigts.
Bon, après, le coup de Caliméro...il existe toujours un droit de réponse, non?

J'aurais arrêté le récit à "...coordonnées GPS" je crois. Inutile de nous dire ce qu'on doit penser.
J'ai trouvé ce texte plutôt ressemblant à un rapport sans âme d'un combat, comme en faisaient sans doute des soldats missionnés pour cela, pour alimenter a posteriori un Centre qui devait regrouper toutes les informations sur les combats, pour des statistiques, pour des futurs morts ou blessés à décorer, que sais-je
La mise en page est trop serrée, pas assez aérée pour une lecture agréable
Et je ne reviens pas sur les fautes, c'est pénible
Quant à ta réaction aux critiques, je peux comprendre que certaines t'aient déplu, mais tu as le droit d'y répondre comme le suggère Panda, de même que tu as le droit de ne plus revenir, on a toujours le choix dans la vie ;-)
Bonne route

pandaworks a écrit:Ouais , méa-culpa mon commentaire n'est pas top au niveau diplomatie.
La redondance du Bas-Rhin m'a hérissé les poils des doigts.
Bon, après, le coup de Caliméro...il existe toujours un droit de [url]réponse[/url], non?

Je ne suis ni Alsacien, ni lorrain, je suis maghrebin, ki plus est ALGERIEN,,,lol,,,nous ne sommes pas de la même culture, mais bon, cela dans le fond n'est pas un problème. du moin c ce que je pense.
d'un autre coté, peut être aurais-je mieux fait d'écrire sur la guerre de 54-62, ou de l'époque de la colonisation, mais je ne pense pas qu'une telle chose vous aurait enchanté. enfin cela n'est que spéculations.
se qui en est du "coup a la calimèro", je me suis senti attaqué par une meute de loups, je n'ai fait que répondre au lieu de riposter et de prendre part a une telle besogne, aya comme dit un chroniqueur connu ici, je fume de thé et je reste eveillé, le cauchemare continue

Je n'ai ressenti aucune sympathie pour le personnage, contrairement à ce que tu penses à la fin de ton texte. Je me suis même pas mal ennuyée à la lecture, mais ce n'est pas ta faute, ce sont les récits de guerre qui me font bailler. Soit.
En aucune façon un récit aussi chronologiquement posé, cliniquement exposé ne peut faire ressentir de la sympathie pour qui que ce soit à mon avis. Il y a là une implacable logique guerrière et militaire, que tu restitues plutôt bien avec ce procédé minuté, mais qui empêche toute âme ou émotion.

Ensuite, cette énormité bateau des nazis qui sont tous méchants et qu'on n'a pas le droit d'aimer, ça, ça m'énerve. Et puis je trouve ça complètement puéril et en total décalage par rapport à la structure si mathématique du reste du texte. Est-ce seulement à ce moment-là que l'émotion s'est libérée (celle de l'auteur ou du narrateur)? Les deux ne vont pas ensemble, à mes yeux.

Voilà, ceci n'est que MON avis et ne signifie pas ce texte soit mauvais, c'est juste que je n'ai pas aimé.

je reste eveillé, le cauchemare continue
tu te fais du mal kelnak ! ;-)
et tu vois, si tu t'étais un peu présenté dans le coin prévu pour ça, les rapports auraient sans doute été autres
et puis, oui, la période "indépendance" aurait pu nous intéresser, why not ?
et encore, je crois que tu cherches les bâtons pour te faire battre avec des trucs du genre : je me suis senti attaqué par une meute de loups
ici, et tu pourrais le constater si tu prenais la peine de parcourir un peu tout le site et de lire quelques textes et quelques commentaires, le mot d'ordre est L'ECHANGE
si on n'accepte pas les critiques, on ne doit pas poster, point. On sait qu'on prend un risque.
si tu veux polémiquer tu peux
tu peux aussi nous proposer un autre texte, et tu auras d'autres avis, sans aucun doute
moi je veux bien, sans souci ;-)

mentor a écrit:je me suis senti attaqué par une meute de loups

gaffe! leur chef est tout bleu :-)

Pour moi, petite nouvelle sur le site, je ne suis pas d'accord avec le jugement que tu en fais (du site).
Après avoir laissé quelques posts sur d'autres sites où les insultes sont à peine voilées par des périphrases, j'ai apprécié le ton de la critique sur celui ci.
Cependant, il est toujours difficile de soumettre ses écrits à cette critique. Nos écrits sont un peu de nous même et on se sent remis en cause, si les commentaires ne sont pas élogieux.
Mais je crois que le but de ce genre de sites c'est l'échange et que le but de chacun c'est d'évoluer.
L'essentiel est d'en accepter les règles et de participer aux critiques des textes des autres aussi.
Concernant ton texte ce qui m'a dérangée le plus c'est le recourt aux images prémachées

kelnak, n'ai crainte, les loups ça me connait.
Je surveille le troupeau avec ma deux coups six trous.

Ainsi protégé, rassuré, assieds-toi au coin du feu et livre nous des textes sur ce que tu as l'air de connaitre : l'époque de la colonisation.

(désolée je ne sais pas comment on fais pourfaire une citation, ni pour revenir au texte)
Je reprends donc aux expressions prémachées... : "ce titre ile ne l'a pas volé", "au verbe facile", "quelques échanges bien courtois", "dans un déluge de feu".
Mais je suis heureuse que ton adieu ne sois pas un véritable adieu.

pestebec'o a écrit:(désolée je ne sais pas comment on fais pourfaire une citation, ni pour revenir au texte)

pestebec'o, tu ne peux pas "éditer" (fonction réservée), donc une fois posté, ton commentaire ne peut être modifié ou supprimé que par l'Admin ou un modo

Pour "citer", tu cliques sur le bouton CITER en haut à droite du message dont tu veux reproduire tout ou partie dans ta réponse. Apparaît alors entre les balises quote le texte à reprendre, dont tu peux supprimer une partie pour ne garder que quelques mots.

Hum... suis-je claire là...

Kelnak : Désolé que tu te sois senti mal accueilli ici.

Je pense que tu dois te familiariser avec le fonctionnement du site : les commentaires sont francs, plus dans l'objectif d'aider (voire titiller) l'auteur que de l'encenser. On ne parle bien sûr que du texte, et on ne critique pas l'auteur ! Par ailleurs, je reconnais que les commentaires ont été ici un peu rudes, surtout vis-à-vis de quelqu'un qui vient d'arriver sur le site.
Sinon, un texte sur la guerre 54-62, vraiment, pourquoi pas !

Pour les autres : Je vous propose que chacun (les premiers commentateurs) fasse un petit effort de "pédagogie" pour expliquer au nouveaux comment ça marche, afin de ne pas laisser ceux-ci désemparés devant vos commentaires acérés. Par ailleurs, ne vous censurez pas quant à ce que vous avez à dire !

kelnak a écrit: Je ne suis ni Alsacien, ni lorrain, je suis maghrebin, ki plus est ALGERIEN,,,lol,,,nous ne sommes pas de la même culture, mais bon, cela dans le fond n'est pas un problème. du moin c ce que je pense.

m'est avis que ça change tout de même la perception de certaines choses, les guerres ne sont pas les mêmes et les similitudes qu'on pourrait y trouver montrent vite leur limite. Ceci explique sans doute cette vision faussée du combat alsacien, que tu ne connais point.
Ceci dit, ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas écrire sur des sujets qu'on ne maîtrise pas, mais se montrer prudent, c'est tout, surtout lorsqu'on aborde des sujets sensibles.