les histoires d'amour ne finissent jamais mal.

Elle : -« putain ! Mais tu ne penses qu’au sexe !? »
Moi : -« Quoi d’autre ? »
Là, j’ai pris une gifle….
Et croyez-moi ou pas, mais c’est ce moment précis que j’ai choisi, parmi les milliards de moments précis qui fractionnent une journée ; c’est cet instant, posé juste là comme un con devant une catastrophe, que j’ai choisi pour éclater de rire…

[ Avant toutes choses, Mesdames et messieurs les jurés, je souhaiterais souligner le caractère particulier de la situation.
En effet, mon amour, Stephanie, ici absente, est une Femme proche de la nature, de la mer, tout ça…
Surtout proche de la mer…
Mais par le plus grand de tous les hasards, cette mer, est la mer Méditerranée…
Et vous n’êtes pas sans connaître le « tempérament Méditerranéen« .
Et bien figurez-vous qu’elle est ceinture noire de « tempérament Méditerranéen ». Comprenez-moi,
Elle lance les assiettes comme des étoiles de Ninja…! De sa fenêtre, elle sait crier qu’elle me déteste, sur TROIS pattés de maisons ! ruinant par là même ma réputation sur dix générations…
Elle me fait dormir dehors, lorsqu’elle estime que j’ai trop bu plus qu’1 bière…; Elle sait même changer les verrous d’une porte en moins de sept minutes…
Je crois qu’elle est hantée par l’esprit de Nicolas Sarkozy… parfois, quand je marche trop vite… elle me flashe ! aidez-moi !
Je vous en prie…]

Je savais pertinemment qu’il ne fallait pas rire à ce moment.
C’était sans doute les nerfs…
Alors je me suis éloigné, adoptant la posture couramment employée pour signifier à l’autre que l’on est triste et rempli de remords. J’avais les épaules basses et le menton contre le torse, je me concentrais sur les mailles beiges de mon pull. Ne ris pas. Ne ris pas. Ne ris pas. Elle a la voix trop aigue, c’est pas grave. NON ! Ne pense pas à ses pantoufles roses, c’est beau le rose, c’est une couleur distinguée. Et ce petit nœud dessus…non ! Pas le petit nœud ! Imagines autre chose !
Non ! Pas des babouches pointues ! Pff..pff..rrr..gnnkrr…retiens toi. Retiens-toi. Pense aux conséquences ; aux quinze prochaines années. Il y a encore cinq minutes elles étaient roses.
Non, pas roses, pointues, non, pas pointues !
Bissextiles…
Oui ! Bissextile, c’est neutre. C’est ça, tout est neutre.
Maintenant va dans la chambre. Ne penses pas ! Chante ! « le petit bonhomme en mousse… » (dans ta tête, connard ! ! ! Chante dans TA TÊTE ! ! ! !

Il était maintenant trop tard…

Il y eut un silence.

Puis je sentis l’impact, violent, contre ma cuisse.
Lui tournant toujours le dos, je marquais un temps d’arrêt. Peut-être pour prendre conscience de l’ampleur des dégâts.
Avec le recul, je me dis que la tragédie était inéluctable…
Par ma faute,
elle avait dû commettre l’irréparable.
L’arme du crime était couchée sur le sol froid de l’appartement, juste là, à ma gauche, Baignant dans rien, dans presque le vide…
Je ne rêvais pas, c’était bien le petit dés en mousse avec des cœurs à la place des chiffres, que je lui avais gagné aux « pinces » de la foire de Palavas…
Mais putain ! Ça fais pas mal du tout, un petit dés en mousse ! (C’est un acte comique !) PppfffrrrAAAAHAAAH, OOUUUHOUHOUUUHOOOOOOUHAHccrrrr…hhhh..hhhh ….[…]…
Je sais pas moi, envoie moi des couteaux, ou des machettes…rrrppffAAAHrgggggtttttppppfff..mmmmAAAHHHooouuhouuuh…
Ça y est, c’était la fin, je l’imaginais en babouche avec un chapeau pointu, en train de jeter des dés en mousse, avec le sérieux de Chuck Norriss dans « Walker Texas ranger ».
Alors je lui ai ri au nez ; comme jamais on a rit au nez de personne.
C’était une erreur.
Même le sérieux ne pût me sauver.
Alors j’ai dormis dehors, avec "les rats de mon espèce "…
Et j’ai choppé la grippe…

Tout ça, c’est de sa faute ! [nooonn, c’est pas vraiment c’que voulais dire ma chérie. Tiens, j’tai amené des fleurs, t’as vu c’est des roses, ou des mimosas, ou peut-être des tulipes…
Je sais, elles ressemblent beaucoup aux fleurs du square…
Mais le nom des fleurs, on s’en fout non ? Ce qui compte, ici, c’est le nom du square….
« au p’tits bonheurs »… tu te rappelles ? ]

Un texte écrit sans doute un peu trop rapidement et une relecture ou deux auraient permis d'éliminer quelques grosses fautes.

Quelques passages prêtent à sourire, d'autres semblent tomber comme un cheveu dans la soupe (on ne sait pas trop ce que Sarkozy vient faire la dedans par exemple, la référence n'apporte pas grand chose à mon avis).

Bref, je crois que tout cela mériterait d'être retravaillé, aussi bien la forme que le fond, le texte pourrait y gagner en efficacité et dans doute aussi en subtilité.

Je ressens un sentiment ambivalent après la lecture de ton texte. Je trouve que le sujet manque un peu d'intérêt pour un texte court mais je trouve ton style vivant, rebondissant. J'aurais envie de retrouver cette dynamique au service d'un sujet plus qui m'attirerait davantage.

Oui, c'est vivant, dynamique et leger. Moi j'ai souri et c'est déjà agréable.

Oui Oui, c'est cela oui. Deux réactions:
- 1/ le coup de Sarko etc... ça ferait un trés bon sketch, marrant comme tout.
2/ il est encore possible de la quitter, surtout si elle porte des pantoufles roses.

A bientôt

A l'inverse de ce qui a été dit précédemment moi j'ai trouvé le sujet original et amusant. Mais ton texte est un peu yo-yo je trouve, des fois on est très bien dedans, on s'amuse, et puis des fois on en est repoussé par une maladresse, un truc un peu bateau ou qui ne rentre pas dans le contexte (cf sarko). Bref, il aurait fallu un peu le retravailler, le lisser pour que le lecteur soit vraiment transporté par ton texte. Mais personnellement je pense que tu peux vraiment faire quelque chose d'excellent !

le narrateur devrais conseiller à la femme de son personnage d'aller se faire voir. Il ne le fait pas bizarre. C'est de la bonne fiction donc.
:-)

J'ai bien aimé l'approche du rire, celui qu'on ne peut contenir et pourtant on essaie, ho oui, à tout prix :-)

Il y a quelques bonnes idées dans ton texte, mais une me paraît complètement inexploitée, c'est celle de sa défense au tribunal. Ça ne va pas très loin, ça ne va nulle part en fait, parce qu'il ne s'est rien passé, même si on peut supposer que, et tu n'arrives pas à créer un coinstraste suffisant entre la gravité d'ue plaidoirie et l'amusement qui se dégage de la scène avec les babouches et le dé en mousse.

Des trucs chouettes donc, mais dans l'ensemble, un travail inabouti, inachevé, il me manque quelque chose.

Je découvre ce texte que je n'avais pas encore lu.
Très belle introduction. Le ton est donné!
J'aime (bien) cette dérision avec la mise en scène du tribunal, comme quand on se parle à soi-même et ce glissement d'un regard qu'on pourrait penser tendre, attentif au tempérament qui caractérise le personnage féminin.
Beaucoup d'humour et de dérision jusqu'au bout, même si, ici et là, ma lecture a achoppé (cf. Sarkozy, mais ça c'est normal, ou le côté blague vers la fin , pardon ma chérie ...).
L'effort qu'on suit pas à pas pour penser à autre chose, la lutte même pour choisir le truc le plus "neutre"! Oui, c'est drôle !

C'est bien le sentiment d'un texte qui demande à être retravaillé voire étoffé qui domine. Je lui trouve du potentiel et des qualités. J'aime l'écriture vive qui exprime bien ce qui se passe dans la tête du narrateur qu'on aime pour son côté gaffeur mais qu'on aime moins pour ses réflexions pas très subtiles sur sa femme.

Au final, je le trouve très visuel ce texte, on le voit ce pauvre garçon qui s'efforce de contenir son rire et plus il essaie plus il gaffe. Et je me dis que ça ne doit pas être évident du tout à décrire cette crise de fou rire...

à part que le passage et le rôle du dé en mousse puisse (il me semble) être re-travaillé, euj'trouve ça rudement bien.

à tchaoum a écrit:à part que le passage et le rôle du dé en mousse puissent (il me semble) être re-travaillés, euj'trouve ça rudement bien.

ascuzémoi, mais en fait, le passage et le rôle, c'est la même chose, qu'une seule, donc c'est qu'une demie faute.
Mais y en a deux ?
Bon d'accord, alors on m'en compte une entière.

à tchaoum a écrit:à tchaoum a écrit:

Ah oui, merde, c'est vrai, on commente pas les commentaires !

un texte précipité, une ambiance teintée légère de sobriété.
L'ensemble coïncide avec les personnages.

après... mesdames, messieurs les jurés... je m'attendais à un zigouillage en règle ... Ben oui, quoi... vous savez bien comment ça évolue des fois ! on rit on rit... et puis on ne sait pas comment ça arrive... mais d'un coup on rit plus ! et là... vlan : le drame !
Mais bon... ça va, j'ai compris, de drame il n'y a point eu !

J'ai bien aimé, et ri aussi. Un peu de travail à faire dessus, oui aussi... des finitions, en quelque sorte... mais le tout est bien amené et bien porté.

Pas de drame... pas de drame... les fleurs... à la fin... je me demande quand même si finalement... si....

ha j'avais raté ce texte ! su tété grave
Excellent, à mon avis, c'est l'humour que j'aime et qui fait mouche chez moi
J'ai pas vraiment eu l'impression qu'il s'agissait réellement d'un récit de l'accusé s'adressant à des jurés mais plutôt d'un monologue où le narrateur s'IMAGINE se défendant devant un tribunal, pour le fun, quoi
Et ça l'fait, oui, excellent

tout d'abord, merci pour vos lectures.
oui, il faudrait que je re-"travaille" le texte; mais bon, c'est des trucs que j'écris d'un trait, juste pour rigoler.
en fait, c'est une petite serie de textes sans prétention dont le seul but est un sourire.

voilà.
je vais en profiter pour remettre une couche...( ou deux...)

Les histoires d'amour ne finissent jamais mal 2

Le mois de janvier, outre le fait qu’il soit le mois du froid hostile et piquant qui se referme comme une mâchoire sur chaque parcelle de peau ;
Le mois de janvier est aussi le mois des soldes.
Et cette année, j’ai trouvé une parade.
J’ai tout prévu. Je vous explique :
_Dans environ 1 heure, ma dulcinée franchira la porte de l’appartement.
Je sais qu’elle aussi, de son côté, a tout prévu. Mais moi, je sais qu’elle sait que je sais, donc, j’ai un coup d’avance !
Elle sera certainement très belle et arborera le visage ingénu de celle qui ne l’a pas fait exprès. Elle aura sans doute mis, avant de rentrer, un peu de ce parfum qui me rend fou (méfiance !).
Elle profitera du moindre silence pour m’annoncer la nouvelle : le début des soldes.
Et c’est précisément cette phrase qui enclenchera le mécanisme et chacun des rouages de mon plan sans failles. Dans une subtile galipette mentale, j’accepterai immédiatement de l’accompagner dans les magasins bondés de gens avides de bonnes affaires. Je ne prétexterai aucun risque d’attentat-suicide ou de pandémie, j’accepterai, tout simplement.
La minute d’après, nous serons dans ma voiture en direction du centre commercial le plus proche.
Là bas, je dénicherai le premier magasin venu et je dirai d‘une voix étonnée: « Oh, regarde ?! Tu as vu ? Ils font 75% de remise chez « Morgan » ». De là, nous pénètreront dans la boutique et je tomberai en extase devant une robe. Je la lui offrirai dans la seconde (à moi les clignements de cils et les baisers suaves…).
Ensuite, profitant d’un moment d’inattention, je m’écroulerai sur le sol en mimant des spasmes. Elle refusera sans doute de laisser mourir l’amour de sa vie pour une banale histoire de soldes; alors nous rentrerons, et avec un peu de chance elle prendra soin de moi toute la soirée ( « ça va mon cœur ? Excuse moi de t’avoir traîné dans les magasins alors que tu n’étais pas bien… tiens, je t’ai préparé un pastis avec deux glaçons, comme tu les aimes. » ...)
Et voilà, le tour est joué._

La porte s’ouvrit; Je fis rapidement semblant de remettre quelques bibelots en place.

-ça va, ma belle ? Ta journée s’est bien passé ?
-ça va…
- rien de PARTICULIER ? ( oh comme je suis malin )
-non, non
- …!!! ( Comment çà « non, non » ! Et le début des soldes alors, c’est pas particulier ?!! )…enfin, je veux dire, tu n’as rien remarqué de PARTICULIER ?
-non, non. Et toi ?
- non plus…
- voilà ! J’en étais sûre ! Tu n’as même pas remarqué que je m’étais fait belle ! J’ai passé toute l’après midi à me faire chier dans les magasins, pour trouver LA robe en solde qui serait susceptible de plaire à MONSIEUR, et toi tu ne le vois même pas !

[ À cet instant, je haïssais les soldes, et les gens qui ont inventé les soldes. J’avais envie de buter un par un tous les connards qui se roulent sous les rideaux de fer des grandes surfaces juste pour être les premiers à arracher un chandail minable des mains d’une vielle dame qui n’a rien d’autre à foutre de sa journée que de resquiller des places dans les files d’attente !
J’étais en colère.]

- mais si, j’ai vu ! Elle te va bien ! Elle te mincit…
- pourquoi ?! Je suis grosse ?!
-et merde ! Va t’en chier ! C’est bon, je vais dormir dehors, comme ça on gagne du temps !

Là, j’ai pris une gifle…

Les histoires d'amour ne finissent jamais mal 3



- « Tiens mon cœur, je t’ai acheté une boîte à outils ».

[Mais qu’est-ce qu’elle fait ?! J’en veux pas des boites à outils, moi !
Après elle va me faire construire des étagères partout…]

Alors, afin d’éviter les emmerdes, je pris ma voix la plus douce :

-Oh mais il fallait pas; Y’en a déjà une chez mon père. Et puis t’ as dû payer ça une fortune. C’est bon, donnes moi le ticket, je vais aller la changer.
[ Non mais sans déconner ! Je vis avec une femme qui va se « balader » à Leroy Merlin !…si je la laisse faire, la semaine prochaine elle revient avec un échafaudage et des mèches à béton…]

-non, justement c’est pour ici. Pour la chambre du bébé.

- … !!!
[Quelle chambre ?!
Quel bébé ?!]
…
[Peut-être parle-t-elle de la pièce où j’ai branché la console, là où il y a le « clic-clac » et la jolie petite table où l’on joue au poker entre amis…? ]
…
Mais on arrivera jamais à rentrer un bébé là-dedans !
En plus ça sent la cigarette !

- et bien justement. Maintenant que tu as une boîte à outils, tu peux faire de la place.

- ah oui mais non ! Je pourrais pas déplacer les murs avec un marteau et une clé de 12’…

-PPPFFF…ne fais pas celui qui comprend pas !

- qui comprends pas quoi ? De toute façon tu peux pas être enceinte, je suis stérile !

-Tu racontes vraiment n‘importe quoi… qu’est-ce que tu en sais d’abord ?!!

- Je le sais !! C’est tout !!
Nous, les hommes, nous savons ces choses là !
C’est un peu comme vous avec l’instinct maternel. Sauf que nous, c’est ça .

- Bon écoutes, là tu m’énerves ! On en reparlera demain [oui, oui, bien sûr !], on est déjà assez en retard. J’ai dis à Mathilde et Jean-Nicolas qu’on serait chez eux vers 19h30.

- Qui ?!!!

-Mathilde et Jean-Nicolas.

LA LOI DES SERIES S’ABBATTAIT SUR MOI !…
voilà que maintenant il me fallait savourer ma joie chez des types qui s’appellent : « Mathilde et Jean-Nicolas »…

-Non, non moi je viens pas, l’autre fois ils ont essayer de m’empoisonner.
Rappelle-toi, j’ai été malade toute la nuit.

-Oui mais tu avais trop bu !

-Oui mais ils sont trop cons !

-Bon maintenant ça suffit !!! Mathilde est mon amie, elle sort de la maternité et je lui ai dit qu’on passerait voir le bébé, alors on va passer voir le bébé, un point c’est tout !

Tout devenait soudain limpide. Elle s’était fait lobotomiser par les deux autres sorciers et leur nouvelle poupée vaudoue.


-Écoutes ma chérie, c’est pas que je ne VEUX pas y aller, c’est que je ne PEUX pas y aller. C’est au-dessus de mes forces.
Je suis sûr qu’ils vont encore essayer de me faire bouffer des huîtres.
[ si c’est pas de la nourriture de sorciers ça…ingérer des êtres encore vivants….]
Et puis, si je vais là-bas, je te promets je vais le taper ! j’en peux plus de ses histoires de golf et de 4x4...

-De toutes manières, il n’y a pas à discuter. Je me suis engagé, maintenant on y va !

-C’est bien ça le problème. TU t’es engagée, et ON doit y aller.
Mais bon, on va pas se disputer, ça va stresser Élise.

- Qui s est, celle-là ?!

-ben…personne…’fin…j’me disais…tu vois, j’veux dire, si c’était une petite fille qui était dans ton ventre… et ben j’trouvais que ça s’rait un joli prénom à lui donner…
Qu’est ce t’en penses ?




Alors on a fait l’amour ; parce qu’elle me trouvait trop mignon.
Et puis nous sommes allés chez Mathilde et Jean-Nicolas….

J'aime mieux n°3 que n°2 un peu attendu et et qui tombe un petit peu à plat après une intro qui laisse espérer plus.

Dans le 3, le quiproquo est intéressant, j'aime comme le narrateur est finalement, et plus ou moins inconsciemment, rallié à la cause de sa dulcinée.
Il me semble que ces 2 phrases

[Quelle chambre ?!
Quel bébé ?!]

demandent à être exploitées pour marquer le processus de réflexion qui prend place dans la tête du narrateur. Quelques points de suspension, ou un espace entre les 2 lignes devraient y suffire :
D'abord :
Quelle chambre ? Puis, l'idée ayant fait son chemin :

.... Quel bébé ?
(simple opinion personnelle).

J'aime bien ces petites histoires vives et tendres. Elles me font penser à une série télé de quelques minutes qui passait avant le 20h sur la 2 je crois "Un gars et une fille" drôle et sans prétention mais efficace.

J'adore l'histoire numéro 3 ; le dialogue est fichtrement vif, marrant et réaliste...
Le numéro 2, comment dire, est pas mal mais justement, franchement la sauce ne prends pas pour moi...le plan du type n'est pas crédible : le coup du gars pris dans une crise de spasmophilie au milieu des soldes pour que sa compagne s'occupe bien de lui à la maison...
Oui franchement ça m'a fait bizarre...
Alors que l'histoire n°3 là...un moment de lecture bien agréable...