Petite histoire triste

Il était une fois une jeune femme qui rêvait d'amour et qui avait cru, l'espace d'un instant, avoir trouvé le bonheur.
Peut être croyait elle trop au prince charmant ?
Un beau jour, son coeur fut arraché et broyé par l'homme qu'elle chérissait par dessus tout.
La vie n'avait pas été tendre avec elle et elle pensait avoir enfin une douce revanche sur le passé.
Elle croyait en lui, en eux, en leur histoire et elle était confiante...
Quelle erreur !!!
Pourtant elle ne pensait pas en vouloir trop, en demander trop. Juste aimer , être aimé, sans détour...
A croire que le bonheur ne voulait pas d'elle...
Elle y croyait pourtant, se disant :
"ça y est, cette fois c'est pour moi"
Et elle était prête...
Prête à aimer, à être aimé, à donner sans compter, sans réserve, ni crainte...
Aujourd'hui, animal blessé, agonisante dont la souffrance rend agressive. Elle a mal alors elle mord, plus elle mord et plus elle a mal...
L'apprentissage de la douleur...
Apprentissage dans la douleur...
Apprendre quoi ?
Que l'amour fait souffrir, elle le savait déjà mais à ce point là elle ne le soupçonnait pas.
Alors elle écrit, met des mots sur les maux...
Elle revoit les images de ce bonheur qu'elle croit passé.
Ce bonheur qu'elle a touché du doigt et qui s'est évaporé.
Des moments où elle a laché prise, où elle s'est abandonnée, a tout donné,

Amoureuse,
Aimante,
Amante,

Elle croyait faire enfin partie de ce qui représentait l'élite pour elle : "les gens heureux", ceux qu'elle enviait sans jalousie aucune.

Des moments heureux, il y en a eu,

des regard plein de promesses,
des mots comme des caresses,
des caresses pleine de tendresse.

Avec lui,

l'Hommes de tous les possibles,
l'Homme de toutes les envies,
l'Homme de tous les espoirs,

Celui dont elle avait toujours rêvé,
Celui qu'elle avait espéré,
Celui qu'elle avait tant attendu,

Lui en qui elle avait cru,
Lui qu'elle voulait rendre heureux,
Lui pour qui elle voulait toujours être belle,
Lui à qui elle voulait toujours plaire,

L'Homme, SON homme...

L'homme qu'elle voulait protéger,
L'homme qu'elle voulait chérir,
L'homme qu'elle voulait aimer,


L'homme qui l'a blessé...

Elle rêvait, mais ne rêve plus...

Bonsoir fée clochette73,

moi c'est Peter Pan... je pense que vous auriez plus de commentaires si toutefois vous alliez vous présenter ici : https://vosecrits.1fr1.net/conversations-atelier-f4/presentez-vous-ici-t3200.htm
(cela n'engage que moi)

Sinon j'aime bien les histoires qui commencent par "Il était une fois"

Bonsoir,

Merci du conseil, je ne connais pas encore les us et coutumes de cet espace d'écriture.
J'espérais avoir queques avis, je comprends mieux pourquoi ce n'est pas le cas
Merci encore
Fée clochette13

C'est une farce ?

??????????????????

Je pense que lu-k a été surpris par la causalité fée clochette Peter Pan... non ce n'est pas une farce, je ne connais ni d'Eve ni d'Adam madame fée clochette73...

toujours difficile de commenter quand on sait qu'on ne va pas forcément faire plaisir
disons que ce n'est pas ma tasse de thé
on croirait un texte d'une gamine de 13-14 ans, mièvre à souhait, plein de lieux communs, sans originalité, sorti tout droit d'un Arlequin stéréotypé
bref, je crois qu'il faudrait sortir un peu des sentiers battus quand on veut s'attaquer à ce genre de sujet bateau lu, relu, re-relu tant de fois
je sais pas moi, romancer, mettre la femme, ou le couple, en situation, lui ou leur faire vivre (et au lecteur aussi) une aventure dramatique qui expliquerait ces jérémiades
tu vois ?
mais pas de découragement, c'est écrit correctement même si bien trop académique

Peter Pan a écrit:Je pense que lu-k a été surpris par la causalité fée clochette Peter Pan... non ce n'est pas une farce, je ne connais ni d'Eve ni d'Adam madame fée clochette73...

t'inquiète, si ça continue, le Capitaine Crochet ne saurait tarder
;-)

En lisant, je ressens la peine, la déception et les désillusions de l'amoureuse et la façon de les exprimer est assez joliment trouvée.
Mais je ne ressens pas la douleur et l'envie de mourir du chagrin d'amour qui va bien au-delà d'une simple blessure.

mentor a écrit:toujours difficile de commenter quand on sait qu'on ne va pas forcément faire plaisir
disons que ce n'est pas ma tasse de thé
on croirait un texte d'une gamine de 13-14 ans, mièvre à souhait, plein de lieux communs, sans originalité, sorti tout droit d'un Arlequin stéréotypé
bref, je crois qu'il faudrait sortir un peu des sentiers battus quand on veut s'attaquer à ce genre de sujet bateau lu, relu, re-relu tant de fois
je sais pas moi, romancer, mettre la femme, ou le couple, en situation, lui ou leur faire vivre (et au lecteur aussi) une aventure dramatique qui expliquerait ces jérémiades
tu vois ?
mais pas de découragement, c'est écrit correctement même si bien trop académique

Malheureusement ou pas, je suis assez d'accord avec mentor (et non pas à cause de sa fonction sur le site ; je pense qu'il sait que quand j'ai un truc à dire, je le dis, que cela soit positif ou négatif !), cela manque à mon avis de maturité, on dirait que l'auteur du texte vient de découvrir naïvement les affres de l'amour et nous en fait part... (pourtant j'aime vraiment bien les histoires qui commencent par il était une fois... mais pas à tous les coups quand même !

Merci pour ces commentaires.
Merci de m'avoir donné envie de progresser vers une écriture plus en rapport avec mon âge.
Je mentirai si je disais que vos mots ne m'ont pas touché mais en y repensant je comprends ce que vous avez voulu me montrer.
Loin de me décourager, au contraire.
Et j'espère bientôt faire à nouveau l'objet de vos commentaires.

le prince charmant n'existe pas c'est juste une histoire qu'on raconte aux petites filles depuis la nuit des temps.......
tout ça pour dire à ma manière que ce texte est comme les contes de fées, "charmants" même si triste à l'oreille des petites filles naïves, mais que la baguette magique de la fée clochette n'a pas encore chassé la crédulité de tes rêves de petite fille ..... la vie s'en charge..... le prince charmant aussi......................

Bonjour, fée Clochette, je ne vais pas en remettre une couche, simplement te donner un conseil : plutôt que d'écrire cette jolie bluette, déverse donc dans un tiroir secret tous les gros mots, injures, insultes que tu connais, inventes-en d'autres, recense les pires mauvais traitements dont tu puisses rêver, referme le tiroir, met un tour de clé, souffle un bon coup... et tu pourras te mettre à écrire. Tant mieux si c'est sur un sujet dont tu ignores tout : tu vas aller y voir de plus près, découvrir, rêver , et si tu as toujours envie d'écrire, n'hésite pas : je suis curieuse de voir ce que tu vas trouver !

J'ai décroché ici :
"A croire que le bonheur ne voulait pas d'elle...
Elle y croyait pourtant, se disant :
"ça y est, cette fois c'est pour moi"
Et elle était prête...
Prête à aimer, à être aimé, à donner sans compter, sans réserve, ni crainte...
Aujourd'hui, animal blessé, agonisante dont la souffrance rend agressive.", tout cela "fait" bien trop bluette pour moi, est trop clichéteux.

Ne vous laissez pas décourager par cet avis négatif, surtout. Bienvenue sur Vos Ecrits, à vous lire bientôt !

Désolée mais je rejoins les commentaires peu enthousiastes lus plus haut. J'ai trouvé le texte quasiment insipide, mièvre à souhait et le guimauve est loin d'être un genre que j'affectionne, sauf lorsqu'on tente le second degré, ce qui n'est pas le cas ici.
Il faudrait tenter de donner plus de relief mais aussi une pointe de cruauté, quelque chose d'inattendu, une action, bref de quoi booster un texte qui a tendance à s'endormir.
Si le thème du conte te tente cependant davantage, alors pourquoi pas, mais ce n'est pas un registre aussi simple que cela; il lui faut une structure plus solide, plus de drame et de tristesse sans tomber dans le pathos et un happy end qui ne sonnera pas fleur bleue. Pas facile, je l'ai dit.
Bonne continuation, en tout cas !

Voyons...considérons que, nouvelle arrivante sur le site, vous vouliez en prendre la température. Pour le coup, vous ne pouvez qu'être édifiée: votre texte est à la limite de la niaiserie, et je m'étonne qu'on ne vous ai pas demandé si vous êtes blonde.
Mais cela ne veut rien dire en soi; je comprends très bien que même si vous avez des choses excellentes à dire, il vous faille vous sentir en confiance.
Disons que les lecteurs -et surtout les lectrices- sur ce site ont l'œil très affûté, et qu'elles ont dû se le frotter -pas vrai Sonia Socquiovna?- d'ébahissement, ou croire à un canular.
Ce qui n'est, d'ailleurs, pas absolument exclus. Maybe it's a huge hoax.
Baladez-vous un peu dans les vertes allées, goûtez un peu de la hargne de notre Mure acidulée, voyez ce que Coline Dé écrit en matière de contes pour enfants (Barbe-bleue, ça va vous plaire, ou vous donner des idées) qui plus haut vous interpelait, Socque est délectable aussi, avec ses univers volants comme escadrilles, et vous verrez que votre écriture, par simple contagion, va s'en trouver toute déniaisée sans coup férir.
Mais si vous enfantez dru, suite à cet heureux dépucelage, ne venez pas vous plaindre que l'on vous a fait des enfants dans le dos.

Ta ga dap ta ga dap hiiiiiiiiiii. Prince Bisounours (c'est moi) est arrivé au triple galop et a virilement stoppé sa monture dans un nuage de poussière.
Bravant la foule commentatrice unanime dans sa critique, je ne viens pas apporter la paix mais l'épée et m'offre aux assauts incertains des veliens décontenancés par mon entrée à la fois picaresque et christique.

Il était grand temps ! Sisi impérator, grande Nemesis des écrivaillons, haut bourreau des fanzineurs et journalistes de lycée, terrible tourmenteur des vierges en écriture effarouchées et bras armé de la critique littéraire vient à nouveau de commettre un de ses innombrables forfaits :
A grands renforts d’arguments tranchants enchainés par un tourbillon de prose paralysant l’adversaire hypnotisé, notre ami phalusophile a virilement taillé dans votre tendre et naïve chair de femme blessée.
Je suis juste étonné du fait qu’il ait oublié de relever que fée clochette fait petite cloche, vous engageant à changer de pseudo illico au grand dam d’un Peter pan esseulé.
Je vais mettre cet oubli sur le compte de la fatigue (assassiner de l’auteur débutant est un exercice certes exaltant, mais peut à la longue communiquer une certaine langueur).

Mais non ce texte n’est pas mauvais ; même pas mièvre, même pas mâle, juste féminin, sensible mais…terriblement, atrocement naïf.
Vous commencez à écrire, oui, c’est une certitude, et venir sur VE est précisément une très bonne idée puisque ce site est là pour vous aider à progresser.
Ce que vous écrivez sonne vrai, nous parle de désillusions, d’espoirs trahis, d’une réalité qui nous dérobe les rêves qui nous étaient chers…
Le problème étant d’une part que nous avons tous vécu cela -et parfois il y a longtemps- et d’autre part que vous évoquez cette douleur et cette souffrance sur un mode finalement assez impersonnel, ce qui fait que les douleurs de votre héroïne risquent de nous apparaitre comme les miroirs fades et vides de textes ou –pire- de séries TV.
Alors en l’état, je trouve que votre texte est un bon début…à autre chose, à un passage plus cynique, plus désabusé, plus amer, qui ferait contraste avec le début.
Continuez à écrire…
Mais à votre place, n’y voyez aucune insulte ou mépris de ma part, je vous invite à changer de pseudo.
Le monde n’est pas si hostile que ça, mais ne vous exposez pas inutilement.