Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
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Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
Bon voila des suites de récits qu'un jeune homme (Aris Felicie) raconte dans un journal de bord. Donnez-moi vos avis ^^
Journal d’Aris Felicie par Aris Felicie
Bonsoir cher journal, je suis Aris Felicie et j'écris dans ce carnet car je ne trouve aucun moyen de m'évader et de m’exprimer librement si ce n’est celui du journal de bord. Je ne compte pas me décrire que ce soit physiquement ou mentalement car je préfère que l’on me découvre dans mes récits. Encore a notre époque il y a des Mangemorts mauvais jusqu’au bout des ongles et qui ont (selon moi) réussit a s’infiltrer parmi le ministère. Je sais de qui je parle et je connais un ou deux mangemorts qui m'ont deja rendu visite pendant la nuit lorsque mon oncle sortait. Il voulait a chaque fois réglé leur compte avec celui-ci mais ne trouvait qu’un garçon de 16 ans. Je vais te raconter une de ces visites nocturnes et comment j’ai réussis a survivre (vu d'un personnage extérieur) . . . .
La pluie, la pluie et encore la pluie, voila ce que Aris voyait a longueur de journée lorsqu’il passait ses vacances chez son père. De grosses gouttes s'écrasaient contre la vitre poussiéreuse de l'intérieur de la petite maison de l’oncle de Aris. Aris, derrière la vitre, l’eau couler avec dégoût. Il n’avait pas put voler de toute la semaine sur son balais. Et pourtant Aris faisait partie de l'équipe de Poudlard. Son oncle était sortie depuis deux longues heures et la nuit tombait a vue d’oeil. *Que fait-il ?* se demanda-t-il. Le village n'était pas un lieu sur la nuit. Les pires espèces de vandales traînaient dans les rues et également des Mangemorts. Et oui des mangemorts. Ces derniers avait eus des problèmes avec l’oncle de Aris qui vivait dans l’incertitude. A chaque instant un mangemort pouvait débarquer et tuer soit l’oncle de Aris et Aris lui même. Cette unique pensée faisait monter les poils de Aris sur la nuque. Il décida de ne pas rester devant cette fenêtre d'où n’importe quoi pouvait surgir. Il prit le couloir et marcha sur le planché grinçant de cette vielle demeure jusque vers la cheminée ou il alluma un bon feu de bois magique et s’installa devant dans un grand fauteuil noir. Le feu éclairait toute la pièce d’une lumière orange et sa chaleur se faisait sentir jusqu’au bout du couloir. Bien installer dans son fauteuil, Aris sortit sa baguette et la secoua rapidement, faisant apparaître un tasse, une théière et une cuillère. La théière se vida dans la tasse et la cuillère remua le tout. Aris but de longues gorgées avant de sentir une irrésistible envie de dormir. Baillant et résistant de fermer ses paupières, Aris s’endormit rapidement . . .
Un «boum» tira Aris de son sommeil en sursaut. Pensant d’abord que ce bruit devait être un rêve, Aris n’y prit pas attention mais un deuxième «boum» l’avertit d’une présence. Aris prit sa baguette et le coeur battant, marcha jusqu'à la porte de marbre. Celle-ci semblait vouloir sortir de ses gonds chaque fois qu’un «boum» retentissait. Reculant lentement en fixant la porte, Aris ressentit un frisson dans tous son corps. Un grand vent passa alors par la cheminée et éteins le feu. Aris regarda le sol de la pièce ou le feu brûlait et il le vit s'éteindre. Pendant cette seconde d'inattention la porte vola en éclats de bois, laissant apparaître un homme vêtu de noir. Aris le regarda et alors avec une lueur de malice dans les yeux, monta les escaliers du premier étage quatre a quatre pendant que le mangemort hurla avec haine:
-Avada Kedavra !
Un jet de lumière vert jaillit et rata Aris de peu. Le jet brisa néanmoins le mur en laissant un grand gouffre. Aris se retourna et cria en pointant sa baguette sur le mangemort:
-Deprimo !
L’armoire qui était a cote du mangemort explosa en l’expulsant a travers un mur. Le calme revint et Aris ne prononça plus un mot. Il s’approcha du trou que le mangemort avait traversé et alors un jet de fumée traversa Aris et se matérialisa derrière lui. Le mangemort avait un air furieux sur le visage. Il cria:
-Endoloris !
Aris fut plier en deux se tordant de douleurs. Le mangemort prenait du plaisir dans cette pratique. Le fait que Aris puisse souffrir donnait puissance au mangemort qui riait. La douleur endormit Aris, ses yeux se fermèrent et Aris rentra dans un monde entre la réalité et l’inconscient. Aris voyait mais il n’avait ni corps, ni vêtements seul une vision. Il voyait un grand vide légèrement éclairé par une lumière tamisée violette. Des fantômes souvenirs de Aris apparaissait et disparaissait. Des images familières, des morceau de souvenirs oubliés ne cessait de tourner autour de Aris. Une femme en orange apparut comme un éclair devant Aris. La femme avait un visage familier a Aris, celle-ci s’approcha lentement de Aris lui toucha le front. Alors tous disparut en fumée et Aris revint a lui. La pièce sombre réapparut avec le mangemort qui était assis sur des débris et qui fumer une cigarettes. Aris se leva sa baguette a la main. Le mangemort détourna son regard vers Aris et sourit:
-Ha ha ha petit tu es enfin réveiller ?!!
Aris dit sans aucun tond:
-Vous allez quitter cette maison . . .
Le mangemort explosa de rire et cracha:
-Qui crois-tu être pour me donner un ordre ?
Aris serra de plus en plus sa baguette car il sentait une colère qui le gagner et l’envie terrible de faire du mal autour de lui. Il tourna le dos au mangemort et resta silencieux. Il attendait une occasion. Lorsqu’il entendit le mangemort sortir sa baguette a nouveaux, il se retourna brusquement et cria:
-Expelliarmus !
Le mangemort vif ne prononça pas un mot mais un éclair vert sortit de sa baguette sortit de sa baguette et heurta celui de Aris de plein fouet. Il y eut des étincelles vertes et rouges puis le combat s’engagea. Aris suait sous l’effort que le duel lui demandait. Le mangemort était fort et Aris ne ferait pas longtemps le poids. Des petits éclairs vert frôlait Aris de peu a chaque fois et celui-ci craignait la mort. Alors qu’il allait craqué, un boum retentit et un éclair orange heurta de plein fouet le mangemort qui s'enfonça dans l’escalier un peu plus loin. L’oncle d’Aris se tenait devant la porte d'entrée avec sa baguette a la main. Il s’approcha alors de Aris et lui demanda:
-Tu vas bien ?
-Oui oui ne t'inquiète pas pour moi ....
Des larmes perlèrent sur les joues de son Oncle et celui-ci serra Aris dans ses bras. L’acte d’amour fut de courte durée car le Mangemort sortit de la crevasse dans l’escalier et se matérialisa dans de la fumée noire devant l’Oncle de Aris:
-Sauve toi Aris !
Aris obéit et se cacha derrière une armoire de la pièce a cote. Des jets verts et orange voltèrent en tous sens et un combat s’engagea avec habilitée par les deux hommes. Le mangemort prenait l’avantage sur l’Oncle de Aris. Aris hésita mais finit par sortir de sa cachette et se présenta devant le mangemort et cria:
-Bombarda Maxima !
Une grosse explosion retentit et expulsa le mangemort en arrière ainsi que Aris et son Oncle qui traversèrent la porte d'entrée et atterrirent sur le seuil. Apres 10 bonnes minutes, Aris reprit ses esprits et réveilla son Oncle. Il lui posa la question:
-Tu penses qu’il est mort ?
-Allons voir ....
Ils se leverent et pénétrèrent le reste de ce qui faisait l'entrée et la devant eux se tenait le mangemort qui avait été ensevelit par des débris, inconscients .....
_______________________________________________________________________________________
Les grandes vacances approchaient a grands pas a Poudlard et toute l'école était en effervescence. Les profs n’avaient plus aucun contrôle sur les élèves qui n'écoutaient plus pendant les cours car ils n’avaient qu’une seule idée en tête «Les vacances !» Moi aussi aussi étais un peu plus distrait qu’a l’habitude et il ne pensait plus qu’a rejoindre son oncle pour voir si il allait toujours bien. Il ne répondait plus aux nombreuses lettres que je lui envoyais une fois par semaine ce qui était très bizarre puisque Je possédais un Phénix qui était un moyen de transport extrêmement rapide et fiable, mais celui-ci revenait toujours sans aucune réponse. Oui, je pourrais enfin voir ce qui se passe chez mon oncle. Lorsque le dernier cours sonna, tous le monde cria, hurla, sauta en courant dans tous les sens. Je ne voulais pas être prit dans cette foule et c’est pourquoi je pris son Eclair de Feu et m’envola depuis une grande fenêtre suivit par mon phénix qui prenait les bagages ainsi que la cage de Vivou mon Jobarbille. Le phénix avait deja disparut dans une explosion de flammes laissant me laissant seul pendant le voyage. Je passa au dessus d’un grand fleuve dont les bords fleuris, dégageait une forte bonne odeur. Je survolais ce fleuve a quelques centimètre de sa surface miroitante. La balade était agréable et une légère tardive se faufila dans mes cheveux. Les heures passèrent et j’étais toujours en vol et le soleil avait laissé son tour a la lune qui se reflétait toujours sur l’eau du fleuve qui était très très long et large. je m'éclairais avec ma baguette qui luisait fortement dans la nuit grâce a une puissante formule d'éclairage mais tous de même accessible aux sorciers plutôt expérimentés. Au loin, je pouvais maintenant apercevoir son village de sorcier dont les lampadaires brillaient faiblement.
J’atterris doucement sur les pavés de la veille place dont l'église tombait en ruines au fil des années. Le maire de cette ville était un incompétent, selon moi, il n’avait rien fait de bien depuis son élection il y a 5 mois. Je n’avais pas le temps de m’attarder devant l'église car j’étais impatient de retrouver mon Oncle ou non. Je marcha le long d’une rue étroite aux bâtiments délabrés et sales. Je ne prêtais plus attention aux bâtiments car avec le temps, Je m’en étais accommoder. Alors que je marchais, je m'arrêta net. Tous mon corps trembla mais je restais sur place. Une larme perla sur ma joue et s'écrasa sur le sol pavé. La maison des Felicie se tenait juste a ma droite. Il n’y avait plus de porte et toutes les fenêtres étaient brisées. Une partie du toit manquait et des débris bouchait presque l'entrée. Je pivota et fit face a cette ruine. Je marcha jusqu'à la porte avec ma baguette qui illuminait les débris et je vis les lettres que j’avais envoyé quelques semaines plus tôt. Je tentas de me faufilé entre les débris mais cela était tous bonnement impossible. Pour arranger un peu tous cela, Je pointa ma baguette sur un tas de débris et je murmura:
-Reparo ....
Le débris tourna dans les airs et s’assembla en reproduisant l’armoire de mes grands-parents qui se plaça contre un mur. Je reproduisis plusieurs fois le même sortilège et la maison ressembla de plus en plus a une véritable demeure. Un photo déchirée, quelques morceaux de verre et 5 ou 6 rondelles de bois tournèrent dans les airs et formèrent une photo dans un cadre, elle représentait mes. Je caressa la photo qui s'était posée sur le mur de gauche. Je ne pleurais plus mais mon coeur en avait prit un coup. Je s’engouffra alors dans une pièce aux lampes cassées, avec au milieu un tas de tuiles rouges en milles morceaux. Je me concentra et parla distinctement:
-Reparo !
Les tuiles ainsi que des morceaux de bois, s'élevèrent en même temps et le toit se reforma. Je répara la pièce et me jeta dans un fauteuil après avoir allumer un feu dans la cheminée:
-Ou est-il ...... ?
_______________________________________________________________________________________
Une nouvelle page pour toi. Mes recherches sont infructueuses et je ne sais toujours pas ou mon oncle a put mettre les pieds. Aucun habitant n’acceptent de me donner d’aide et le maire (cet incapable) ne daigne pas répondre a mes nombreuses lettres ou je lui demande de l’aide et que je suis seul chez moi. Je vais te raconter l’entretiens surprise que j’ai eus avec ce dernier . . . .
Mes lettres me retournait toujours et toujours sans aucune réponse. Je parlais bien d’un homme et le maire traitait cette affaire de la même façon d’un sujet qui dérange. J’étais en colère et chaque fois qu’une enveloppe passait par la fente de la boite aux lettres, elle se déchirait dans les airs et atterrissait direct dans la cheminée. J’étais très en colère et j’explosais de nombreuses assiettes d’un coup de baguette magique. Il fallait faire quelque chose car je n'avançais pas dans mes recherches. L'idée me vint alors d’aller faire une petite visite a ce bon vieux maire.
J’enfilais mon long manteau de couleur marron, prit ma baguette, et sortit alors dehors. Je marchais sur les pavés entre deux rues sinueuses. J’étais bien décidé a obtenir une réponse du maire. Apres quelques minutes de marche, j’arrivais enfin devant la piteuse mairie de la ville. Je monta les marches et entra dans le hall ou une femme avec des lunettes rouges, un air sérieux sur le visage, une tonne de maquillage, des cheveux frisés, blonds. Elle avait des chaussures rouges, du rouge a lèvres rouge et un ensemble rouge. Elle me regarda comme un oiseaux devant quelque chose d'étrange et demanda avec une voix grinçante:
-Oui ? C’est pourquoi ?
J'étouffa un gloussement de rire en voyant son air niai et je toussota légèrement:
-Je souhaite voir le maire !
La jeune femme eus une sorte de tilte et un nerf sauta juste au coin de son oeil droite. Je devina que c'était une question sensible. Elle réajusta ses lunettes qui étaient deja parfaitement droite, s'éclaircit la voix et parla d’une voix avec presque conviction:
-Le maire n’est pas la !
Elle me regardait toujours et jours. Elle était stressée, très stressée. Je racla alors ma gorge et je dis en la regardant droit dans les yeux:
-Ou est-il ?
-Il a été convoquer a la convention des maires de Grandes-Bretagne !
Je soupire et passa ma main dans mes cheveux. Je me baissa et me mit a la taille de la femme qui était assise:
-Ne vous fichez pas de moi ! Ce modeste village n’est même sur la carte officiel du ministère de la magie !
Alors qu’elle voulait répliquer, je m’engagea dans le couloir qui s’offrait a moi alors que j’entendais un certain «Revenez !» C'était trop tard, J’étais motiver a trouver ce fichu maire. Une porte mettait fin au bout du couloir. Je savais que c'était le bureau du maire car une plaque de faux or (le maire aimait se faire voir) était plaquée sur celle-ci avec le nom du maire «Rodolphus Unhonnest». Je poussa la porte d’un coup et celle-ci s’ouvrit en grinçant. Je vis le maire assis derrière son bureau. Son ventre était énorme et les coutures étaient a leur grande limite. Le maire mangeait un beignet et un filet de confiture dégoulina sur chemise. Je le regarda avec dégoûts et alors il me vit et me regarda avec des yeux ronds. Il se leva lentement en ne me quittant pas une seule seconde des yeux. Il tenta alors d’essuyer maladroitement la confiture rouge. Voyant qu’il n’avait fait qu’aggraver les choses, il me regarda a nouveau et dit:
-Oh ...... M.Felicie ...... Quel plaisir de vous voir .....
-Epargnez votre salive Unhonnest ! Vous savez très bien pourquoi je suis la !
-Comment se fait-il qu’un jeune garçon comme vous se permettre de me parler sur ce tond ? Votre idiot d’oncle ne vous a t-il pas apprit la politesse ?
En sortant sa baguette, il continua:
-Eh bien je vais vous l’apprendre ! Stup .....
J’avais deja sortit ma baguette et m'était écrié «Expelliarmus !»
La baguette du maire s’envola alors de sa main et atterrit dans la mienne. Je la jeta sur le sol et lui dit droit dans les yeux, ma baguette pointée sur son torse:
-Ecoutez moi .... Je ne suis pas la pour me battre mais pour vous demander de l’aide !
Le maire me regarda avec des yeux ronds. Je lui rendit sa baguette et prit place sur la chaise qui m'était réserver. Le maire s'éclaircit la voix et s’exclama:
-J’ai autre chose a faire que de m’occuper de vous !
La colère monta en moi de nouveaux:
-Ah oui vous devez sûrement avoir beaucoup de travail entre trier vos chaussettes et manger des beignets !
-En tous cas je ne suis pas un petit rat crasseux comme votre oncle !
Une des deux fenêtre qui donnait vue sur une superbe rue crasseuse et sur 5 grosses bennes a ordure explosa en mille morceau. J’avais accidentellement laisser ma colère séchappée de moi et j’avais provoquer ce phénomène. Toujours furieux, je me leva, adressa un regard haineux au maire, et sortit de son bureau et de la mairie . . .
Journal d’Aris Felicie par Aris Felicie
Bonsoir cher journal, je suis Aris Felicie et j'écris dans ce carnet car je ne trouve aucun moyen de m'évader et de m’exprimer librement si ce n’est celui du journal de bord. Je ne compte pas me décrire que ce soit physiquement ou mentalement car je préfère que l’on me découvre dans mes récits. Encore a notre époque il y a des Mangemorts mauvais jusqu’au bout des ongles et qui ont (selon moi) réussit a s’infiltrer parmi le ministère. Je sais de qui je parle et je connais un ou deux mangemorts qui m'ont deja rendu visite pendant la nuit lorsque mon oncle sortait. Il voulait a chaque fois réglé leur compte avec celui-ci mais ne trouvait qu’un garçon de 16 ans. Je vais te raconter une de ces visites nocturnes et comment j’ai réussis a survivre (vu d'un personnage extérieur) . . . .
La pluie, la pluie et encore la pluie, voila ce que Aris voyait a longueur de journée lorsqu’il passait ses vacances chez son père. De grosses gouttes s'écrasaient contre la vitre poussiéreuse de l'intérieur de la petite maison de l’oncle de Aris. Aris, derrière la vitre, l’eau couler avec dégoût. Il n’avait pas put voler de toute la semaine sur son balais. Et pourtant Aris faisait partie de l'équipe de Poudlard. Son oncle était sortie depuis deux longues heures et la nuit tombait a vue d’oeil. *Que fait-il ?* se demanda-t-il. Le village n'était pas un lieu sur la nuit. Les pires espèces de vandales traînaient dans les rues et également des Mangemorts. Et oui des mangemorts. Ces derniers avait eus des problèmes avec l’oncle de Aris qui vivait dans l’incertitude. A chaque instant un mangemort pouvait débarquer et tuer soit l’oncle de Aris et Aris lui même. Cette unique pensée faisait monter les poils de Aris sur la nuque. Il décida de ne pas rester devant cette fenêtre d'où n’importe quoi pouvait surgir. Il prit le couloir et marcha sur le planché grinçant de cette vielle demeure jusque vers la cheminée ou il alluma un bon feu de bois magique et s’installa devant dans un grand fauteuil noir. Le feu éclairait toute la pièce d’une lumière orange et sa chaleur se faisait sentir jusqu’au bout du couloir. Bien installer dans son fauteuil, Aris sortit sa baguette et la secoua rapidement, faisant apparaître un tasse, une théière et une cuillère. La théière se vida dans la tasse et la cuillère remua le tout. Aris but de longues gorgées avant de sentir une irrésistible envie de dormir. Baillant et résistant de fermer ses paupières, Aris s’endormit rapidement . . .
Un «boum» tira Aris de son sommeil en sursaut. Pensant d’abord que ce bruit devait être un rêve, Aris n’y prit pas attention mais un deuxième «boum» l’avertit d’une présence. Aris prit sa baguette et le coeur battant, marcha jusqu'à la porte de marbre. Celle-ci semblait vouloir sortir de ses gonds chaque fois qu’un «boum» retentissait. Reculant lentement en fixant la porte, Aris ressentit un frisson dans tous son corps. Un grand vent passa alors par la cheminée et éteins le feu. Aris regarda le sol de la pièce ou le feu brûlait et il le vit s'éteindre. Pendant cette seconde d'inattention la porte vola en éclats de bois, laissant apparaître un homme vêtu de noir. Aris le regarda et alors avec une lueur de malice dans les yeux, monta les escaliers du premier étage quatre a quatre pendant que le mangemort hurla avec haine:
-Avada Kedavra !
Un jet de lumière vert jaillit et rata Aris de peu. Le jet brisa néanmoins le mur en laissant un grand gouffre. Aris se retourna et cria en pointant sa baguette sur le mangemort:
-Deprimo !
L’armoire qui était a cote du mangemort explosa en l’expulsant a travers un mur. Le calme revint et Aris ne prononça plus un mot. Il s’approcha du trou que le mangemort avait traversé et alors un jet de fumée traversa Aris et se matérialisa derrière lui. Le mangemort avait un air furieux sur le visage. Il cria:
-Endoloris !
Aris fut plier en deux se tordant de douleurs. Le mangemort prenait du plaisir dans cette pratique. Le fait que Aris puisse souffrir donnait puissance au mangemort qui riait. La douleur endormit Aris, ses yeux se fermèrent et Aris rentra dans un monde entre la réalité et l’inconscient. Aris voyait mais il n’avait ni corps, ni vêtements seul une vision. Il voyait un grand vide légèrement éclairé par une lumière tamisée violette. Des fantômes souvenirs de Aris apparaissait et disparaissait. Des images familières, des morceau de souvenirs oubliés ne cessait de tourner autour de Aris. Une femme en orange apparut comme un éclair devant Aris. La femme avait un visage familier a Aris, celle-ci s’approcha lentement de Aris lui toucha le front. Alors tous disparut en fumée et Aris revint a lui. La pièce sombre réapparut avec le mangemort qui était assis sur des débris et qui fumer une cigarettes. Aris se leva sa baguette a la main. Le mangemort détourna son regard vers Aris et sourit:
-Ha ha ha petit tu es enfin réveiller ?!!
Aris dit sans aucun tond:
-Vous allez quitter cette maison . . .
Le mangemort explosa de rire et cracha:
-Qui crois-tu être pour me donner un ordre ?
Aris serra de plus en plus sa baguette car il sentait une colère qui le gagner et l’envie terrible de faire du mal autour de lui. Il tourna le dos au mangemort et resta silencieux. Il attendait une occasion. Lorsqu’il entendit le mangemort sortir sa baguette a nouveaux, il se retourna brusquement et cria:
-Expelliarmus !
Le mangemort vif ne prononça pas un mot mais un éclair vert sortit de sa baguette sortit de sa baguette et heurta celui de Aris de plein fouet. Il y eut des étincelles vertes et rouges puis le combat s’engagea. Aris suait sous l’effort que le duel lui demandait. Le mangemort était fort et Aris ne ferait pas longtemps le poids. Des petits éclairs vert frôlait Aris de peu a chaque fois et celui-ci craignait la mort. Alors qu’il allait craqué, un boum retentit et un éclair orange heurta de plein fouet le mangemort qui s'enfonça dans l’escalier un peu plus loin. L’oncle d’Aris se tenait devant la porte d'entrée avec sa baguette a la main. Il s’approcha alors de Aris et lui demanda:
-Tu vas bien ?
-Oui oui ne t'inquiète pas pour moi ....
Des larmes perlèrent sur les joues de son Oncle et celui-ci serra Aris dans ses bras. L’acte d’amour fut de courte durée car le Mangemort sortit de la crevasse dans l’escalier et se matérialisa dans de la fumée noire devant l’Oncle de Aris:
-Sauve toi Aris !
Aris obéit et se cacha derrière une armoire de la pièce a cote. Des jets verts et orange voltèrent en tous sens et un combat s’engagea avec habilitée par les deux hommes. Le mangemort prenait l’avantage sur l’Oncle de Aris. Aris hésita mais finit par sortir de sa cachette et se présenta devant le mangemort et cria:
-Bombarda Maxima !
Une grosse explosion retentit et expulsa le mangemort en arrière ainsi que Aris et son Oncle qui traversèrent la porte d'entrée et atterrirent sur le seuil. Apres 10 bonnes minutes, Aris reprit ses esprits et réveilla son Oncle. Il lui posa la question:
-Tu penses qu’il est mort ?
-Allons voir ....
Ils se leverent et pénétrèrent le reste de ce qui faisait l'entrée et la devant eux se tenait le mangemort qui avait été ensevelit par des débris, inconscients .....
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Les grandes vacances approchaient a grands pas a Poudlard et toute l'école était en effervescence. Les profs n’avaient plus aucun contrôle sur les élèves qui n'écoutaient plus pendant les cours car ils n’avaient qu’une seule idée en tête «Les vacances !» Moi aussi aussi étais un peu plus distrait qu’a l’habitude et il ne pensait plus qu’a rejoindre son oncle pour voir si il allait toujours bien. Il ne répondait plus aux nombreuses lettres que je lui envoyais une fois par semaine ce qui était très bizarre puisque Je possédais un Phénix qui était un moyen de transport extrêmement rapide et fiable, mais celui-ci revenait toujours sans aucune réponse. Oui, je pourrais enfin voir ce qui se passe chez mon oncle. Lorsque le dernier cours sonna, tous le monde cria, hurla, sauta en courant dans tous les sens. Je ne voulais pas être prit dans cette foule et c’est pourquoi je pris son Eclair de Feu et m’envola depuis une grande fenêtre suivit par mon phénix qui prenait les bagages ainsi que la cage de Vivou mon Jobarbille. Le phénix avait deja disparut dans une explosion de flammes laissant me laissant seul pendant le voyage. Je passa au dessus d’un grand fleuve dont les bords fleuris, dégageait une forte bonne odeur. Je survolais ce fleuve a quelques centimètre de sa surface miroitante. La balade était agréable et une légère tardive se faufila dans mes cheveux. Les heures passèrent et j’étais toujours en vol et le soleil avait laissé son tour a la lune qui se reflétait toujours sur l’eau du fleuve qui était très très long et large. je m'éclairais avec ma baguette qui luisait fortement dans la nuit grâce a une puissante formule d'éclairage mais tous de même accessible aux sorciers plutôt expérimentés. Au loin, je pouvais maintenant apercevoir son village de sorcier dont les lampadaires brillaient faiblement.
J’atterris doucement sur les pavés de la veille place dont l'église tombait en ruines au fil des années. Le maire de cette ville était un incompétent, selon moi, il n’avait rien fait de bien depuis son élection il y a 5 mois. Je n’avais pas le temps de m’attarder devant l'église car j’étais impatient de retrouver mon Oncle ou non. Je marcha le long d’une rue étroite aux bâtiments délabrés et sales. Je ne prêtais plus attention aux bâtiments car avec le temps, Je m’en étais accommoder. Alors que je marchais, je m'arrêta net. Tous mon corps trembla mais je restais sur place. Une larme perla sur ma joue et s'écrasa sur le sol pavé. La maison des Felicie se tenait juste a ma droite. Il n’y avait plus de porte et toutes les fenêtres étaient brisées. Une partie du toit manquait et des débris bouchait presque l'entrée. Je pivota et fit face a cette ruine. Je marcha jusqu'à la porte avec ma baguette qui illuminait les débris et je vis les lettres que j’avais envoyé quelques semaines plus tôt. Je tentas de me faufilé entre les débris mais cela était tous bonnement impossible. Pour arranger un peu tous cela, Je pointa ma baguette sur un tas de débris et je murmura:
-Reparo ....
Le débris tourna dans les airs et s’assembla en reproduisant l’armoire de mes grands-parents qui se plaça contre un mur. Je reproduisis plusieurs fois le même sortilège et la maison ressembla de plus en plus a une véritable demeure. Un photo déchirée, quelques morceaux de verre et 5 ou 6 rondelles de bois tournèrent dans les airs et formèrent une photo dans un cadre, elle représentait mes. Je caressa la photo qui s'était posée sur le mur de gauche. Je ne pleurais plus mais mon coeur en avait prit un coup. Je s’engouffra alors dans une pièce aux lampes cassées, avec au milieu un tas de tuiles rouges en milles morceaux. Je me concentra et parla distinctement:
-Reparo !
Les tuiles ainsi que des morceaux de bois, s'élevèrent en même temps et le toit se reforma. Je répara la pièce et me jeta dans un fauteuil après avoir allumer un feu dans la cheminée:
-Ou est-il ...... ?
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Une nouvelle page pour toi. Mes recherches sont infructueuses et je ne sais toujours pas ou mon oncle a put mettre les pieds. Aucun habitant n’acceptent de me donner d’aide et le maire (cet incapable) ne daigne pas répondre a mes nombreuses lettres ou je lui demande de l’aide et que je suis seul chez moi. Je vais te raconter l’entretiens surprise que j’ai eus avec ce dernier . . . .
Mes lettres me retournait toujours et toujours sans aucune réponse. Je parlais bien d’un homme et le maire traitait cette affaire de la même façon d’un sujet qui dérange. J’étais en colère et chaque fois qu’une enveloppe passait par la fente de la boite aux lettres, elle se déchirait dans les airs et atterrissait direct dans la cheminée. J’étais très en colère et j’explosais de nombreuses assiettes d’un coup de baguette magique. Il fallait faire quelque chose car je n'avançais pas dans mes recherches. L'idée me vint alors d’aller faire une petite visite a ce bon vieux maire.
J’enfilais mon long manteau de couleur marron, prit ma baguette, et sortit alors dehors. Je marchais sur les pavés entre deux rues sinueuses. J’étais bien décidé a obtenir une réponse du maire. Apres quelques minutes de marche, j’arrivais enfin devant la piteuse mairie de la ville. Je monta les marches et entra dans le hall ou une femme avec des lunettes rouges, un air sérieux sur le visage, une tonne de maquillage, des cheveux frisés, blonds. Elle avait des chaussures rouges, du rouge a lèvres rouge et un ensemble rouge. Elle me regarda comme un oiseaux devant quelque chose d'étrange et demanda avec une voix grinçante:
-Oui ? C’est pourquoi ?
J'étouffa un gloussement de rire en voyant son air niai et je toussota légèrement:
-Je souhaite voir le maire !
La jeune femme eus une sorte de tilte et un nerf sauta juste au coin de son oeil droite. Je devina que c'était une question sensible. Elle réajusta ses lunettes qui étaient deja parfaitement droite, s'éclaircit la voix et parla d’une voix avec presque conviction:
-Le maire n’est pas la !
Elle me regardait toujours et jours. Elle était stressée, très stressée. Je racla alors ma gorge et je dis en la regardant droit dans les yeux:
-Ou est-il ?
-Il a été convoquer a la convention des maires de Grandes-Bretagne !
Je soupire et passa ma main dans mes cheveux. Je me baissa et me mit a la taille de la femme qui était assise:
-Ne vous fichez pas de moi ! Ce modeste village n’est même sur la carte officiel du ministère de la magie !
Alors qu’elle voulait répliquer, je m’engagea dans le couloir qui s’offrait a moi alors que j’entendais un certain «Revenez !» C'était trop tard, J’étais motiver a trouver ce fichu maire. Une porte mettait fin au bout du couloir. Je savais que c'était le bureau du maire car une plaque de faux or (le maire aimait se faire voir) était plaquée sur celle-ci avec le nom du maire «Rodolphus Unhonnest». Je poussa la porte d’un coup et celle-ci s’ouvrit en grinçant. Je vis le maire assis derrière son bureau. Son ventre était énorme et les coutures étaient a leur grande limite. Le maire mangeait un beignet et un filet de confiture dégoulina sur chemise. Je le regarda avec dégoûts et alors il me vit et me regarda avec des yeux ronds. Il se leva lentement en ne me quittant pas une seule seconde des yeux. Il tenta alors d’essuyer maladroitement la confiture rouge. Voyant qu’il n’avait fait qu’aggraver les choses, il me regarda a nouveau et dit:
-Oh ...... M.Felicie ...... Quel plaisir de vous voir .....
-Epargnez votre salive Unhonnest ! Vous savez très bien pourquoi je suis la !
-Comment se fait-il qu’un jeune garçon comme vous se permettre de me parler sur ce tond ? Votre idiot d’oncle ne vous a t-il pas apprit la politesse ?
En sortant sa baguette, il continua:
-Eh bien je vais vous l’apprendre ! Stup .....
J’avais deja sortit ma baguette et m'était écrié «Expelliarmus !»
La baguette du maire s’envola alors de sa main et atterrit dans la mienne. Je la jeta sur le sol et lui dit droit dans les yeux, ma baguette pointée sur son torse:
-Ecoutez moi .... Je ne suis pas la pour me battre mais pour vous demander de l’aide !
Le maire me regarda avec des yeux ronds. Je lui rendit sa baguette et prit place sur la chaise qui m'était réserver. Le maire s'éclaircit la voix et s’exclama:
-J’ai autre chose a faire que de m’occuper de vous !
La colère monta en moi de nouveaux:
-Ah oui vous devez sûrement avoir beaucoup de travail entre trier vos chaussettes et manger des beignets !
-En tous cas je ne suis pas un petit rat crasseux comme votre oncle !
Une des deux fenêtre qui donnait vue sur une superbe rue crasseuse et sur 5 grosses bennes a ordure explosa en mille morceau. J’avais accidentellement laisser ma colère séchappée de moi et j’avais provoquer ce phénomène. Toujours furieux, je me leva, adressa un regard haineux au maire, et sortit de son bureau et de la mairie . . .
L'apprenti-écrivain- Nombre de messages : 2
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Re: Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
Bonsoir l'apprenti-écrivain,
peut-être pourriez vous nous expliquez votre démarche ; parce que pour ma part, j'ai essayé de baisser au minimum la luminosité de mon écran mais malgré ça, j'ai continué à être ébloui par le jaune, le vert, le bleu... que vous avez utilisé dans votre texte (en plus de la petitesse des caractères). Peut-être est-ce une erreur de votre part, aussi attends-je un peu plus d'explications pour vous commenter ou pas...
peut-être pourriez vous nous expliquez votre démarche ; parce que pour ma part, j'ai essayé de baisser au minimum la luminosité de mon écran mais malgré ça, j'ai continué à être ébloui par le jaune, le vert, le bleu... que vous avez utilisé dans votre texte (en plus de la petitesse des caractères). Peut-être est-ce une erreur de votre part, aussi attends-je un peu plus d'explications pour vous commenter ou pas...
Peter Pan- Nombre de messages : 3709
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Localisation : Pays des rêves et de l'imaginaire
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Re: Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
Peut-être aussi passer le texte par un correcteur orthographique, le très peu que j'ai pu déchiffrer m'inclinant à penser que ce ne serait pas du luxe...
Invité- Invité
Re: Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
Collègues, le jaune c'est le nom du héros ,Aris, si je me souviens bien.
Jeune écrivain, ne trouvez-vous point vain de pomper un livre qui existe déjà?
Bon, j'avoue, je n'ai pas lu parce que c'est illisible du point de vue de l'apparence du texte . Et à d'autres points de vue je crois.
Un coup d'oeil transversal m'a permis de noter que tous les verbes étaient à corriger, à moins que cela ne soit le langage intentionnellement parlé au pays d'Aris?
"Je toussota j'étouffa, je me leva etc....."
Je vous conseille d'étudier dés demain matin, car présentement il est bientôt l'heure d'aller vous coucher, le passé simple ... ne serait-ce que la première personne du passé simple des verbes du premier groupe !
Il va falloir apprendre à réduire les répétitions qui rendent ce texte trés pénible à lire...un exemple: avec six fois le mot "maire"dans ce paragraphe!
"Alors qu’elle voulait répliquer, je m’engagea dans le couloir qui s’offrait a moi alors que j’entendais un certain «Revenez !» C'était trop tard, J’étais motiver a trouver ce fichu maire. Une porte mettait fin au bout du couloir. Je savais que c'était le bureau du maire car une plaque de faux or (le maire aimait se faire voir) était plaquée sur celle-ci avec le nom du maire «Rodolphus Unhonnest». Je poussa la porte d’un coup et celle-ci s’ouvrit en grinçant. Je vis le maire assis derrière son bureau. Son ventre était énorme et les coutures étaient a leur grande limite. Le maire mangeait un beignet et un filet de confiture dégoulina sur chemise. Je le regarda avec dégoûts et alors il me vit et me regarda avec des yeux ronds. Il se leva lentement en ne me quittant pas une seule seconde des yeux. Il tenta alors d’essuyer maladroitement la confiture rouge. Voyant qu’il n’avait fait qu’aggraver les choses, il me regarda a nouveau et dit:"
Travailler un texte c'est éliminer l'inutile et puis tourner les phrases de façon à ce qu'on ne soit pas toujours obligé de répéter les mêmes mots.
Idem avec le nom du héros...
Par ailleurs, avez-vous un correcteur d'orhographe?
Forum actif oui, comme vous l'avez noté et un petit peu exigeant.
Jeune écrivain, ne trouvez-vous point vain de pomper un livre qui existe déjà?
Bon, j'avoue, je n'ai pas lu parce que c'est illisible du point de vue de l'apparence du texte . Et à d'autres points de vue je crois.
Un coup d'oeil transversal m'a permis de noter que tous les verbes étaient à corriger, à moins que cela ne soit le langage intentionnellement parlé au pays d'Aris?
"Je toussota j'étouffa, je me leva etc....."
Je vous conseille d'étudier dés demain matin, car présentement il est bientôt l'heure d'aller vous coucher, le passé simple ... ne serait-ce que la première personne du passé simple des verbes du premier groupe !
Il va falloir apprendre à réduire les répétitions qui rendent ce texte trés pénible à lire...un exemple: avec six fois le mot "maire"dans ce paragraphe!
"Alors qu’elle voulait répliquer, je m’engagea dans le couloir qui s’offrait a moi alors que j’entendais un certain «Revenez !» C'était trop tard, J’étais motiver a trouver ce fichu maire. Une porte mettait fin au bout du couloir. Je savais que c'était le bureau du maire car une plaque de faux or (le maire aimait se faire voir) était plaquée sur celle-ci avec le nom du maire «Rodolphus Unhonnest». Je poussa la porte d’un coup et celle-ci s’ouvrit en grinçant. Je vis le maire assis derrière son bureau. Son ventre était énorme et les coutures étaient a leur grande limite. Le maire mangeait un beignet et un filet de confiture dégoulina sur chemise. Je le regarda avec dégoûts et alors il me vit et me regarda avec des yeux ronds. Il se leva lentement en ne me quittant pas une seule seconde des yeux. Il tenta alors d’essuyer maladroitement la confiture rouge. Voyant qu’il n’avait fait qu’aggraver les choses, il me regarda a nouveau et dit:"
Travailler un texte c'est éliminer l'inutile et puis tourner les phrases de façon à ce qu'on ne soit pas toujours obligé de répéter les mêmes mots.
Idem avec le nom du héros...
Par ailleurs, avez-vous un correcteur d'orhographe?
Forum actif oui, comme vous l'avez noté et un petit peu exigeant.
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
Reb, tu n'aurais pas dûRebecca a écrit:"Alors qu’elle voulait répliquer, je m’engagea dans le couloir qui s’offrait a moi alors que j’entendais un certain «Revenez !» C'était trop tard, J’étais motiver a trouver ce fichu maire. Une porte mettait fin au bout du couloir. Je savais que c'était le bureau du maire car une plaque de faux or (le maire aimait se faire voir) était plaquée sur celle-ci avec le nom du maire «Rodolphus Unhonnest». Je poussa la porte d’un coup et celle-ci s’ouvrit en grinçant. Je vis le maire assis derrière son bureau. Son ventre était énorme et les coutures étaient a leur grande limite. Le maire mangeait un beignet et un filet de confiture dégoulina sur chemise. Je le regarda avec dégoûts et alors il me vit et me regarda avec des yeux ronds. Il se leva lentement en ne me quittant pas une seule seconde des yeux. Il tenta alors d’essuyer maladroitement la confiture rouge. Voyant qu’il n’avait fait qu’aggraver les choses, il me regarda a nouveau et dit:"
rien que de lire ce morceau là me dissuade pour tout le reste
tudieu !
Re: Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
Votre texte est hélas à peu près illisible pour un faisceau de raisons :
- la petite police qui rend la lecture sur écran difficile
- cette convention de rendre les lignes de dialogue en différentes couleurs en fonction de qui parle (le jaune sur fond blanc, ça tue !)
- le nombre élevé de fois où vous répétez le nom du personnage dans la première partie, alors que souvent un "il" serait sans équivoque
- enfin, la très mauvaise orthographe du texte, et votre utilisation de tournures relâchées, voire franchement incorrectes
J'ajoute que l'univers de Harry Potter m'indiffère, mais il pourrait plaire à d'autres lecteurs.
Pour essayer de vous aider, je vous signale ci-dessous ce que j'ai pu relever comme erreur de langues et tournures gênantes pour la compréhension du texte ; vous pourrez ainsi vous relire. Si, lors de votre prochain texte, ces différents problèmes sont réglés, on pourra peut-être discuter de votre style, car je pense que là aussi il y a du travail, j'ai eu l'impression que vous écriviez strictement comme vous parliez, sans vous donner la peine de penser à la manière de dire les choses. Or dans la littérature, selon moi, il s'agit là d'une des premières questions à se poser.
Ne vous laissez pas décourager en tout cas. Bienvenue sur Vos Écrits, bon travail pour la suite et à vous lire bientôt.
Mes remarques de langue, donc :
« Encore à notre époque »
« qui ont (selon moi) réussi (et non « réussit ») à s’infiltrer »
« Ils (je pense que le pluriel pour les « un ou deux mangemorts » est préférable ici) voulaient à chaque fois régler leur compte avec celui-ci mais ne trouvaient qu’un garçon de 16 ans. Je vais te raconter une de ces visites nocturnes et comment j’ai réussi (et non « réussis ») à »
« l’eau coulait (vu la structure de la phrase, on est obligé de considérer « l’eau » comme le sujet d’un verbe conjugué ; sinon, il faudrait préciser avant : « Anis voyait l’eau couler », par exemple) avec dégoût. Il n’avait pas pu (et non « put ») voler de toute la semaine sur son balai (et non « balais ») »
« Son oncle était sorti (et non « sortie », c’est un oncle et non une tante) depuis deux longues heures et la nuit tombait a vue d’œil »
« Le village n'était pas un lieu sûr la nuit »
« Eh oui des mangemorts. Ces derniers avaient eu (et non « eus ») »
« tuer soit l’oncle de Aris et Aris lui-même » : cette structure « soit (…) et » n’est pas correcte, on utilise « soit (…) soit » pour donner l’alternative, comme avec « ni (…) ni »
« marcha sur le plancher grinçant de cette vieille demeure jusque vers la cheminée où il alluma »
« Bien installé dans son fauteuil »
« faisant apparaître une tasse »
« Baillant et résistant (ici, je pense qu’il vaudrait mieux introduire quelque chose du genre « à l’envie », la forme « résister de faire quelque chose n’est pas correcte à mon avis) » de fermer ses paupières »
« le cœur battant »
« un frisson dans tout son corps. Un grand vent passa alors par la cheminée et éteignit le feu. Aris regarda le sol de la pièce où le feu brûlait »
« la porte vola en éclats de bois » : elle était pas en marbre, la porte ?
« monta les escaliers du premier étage quatre à quatre »
« L’armoire qui était à côté du mangemort explosa en l’expulsant à travers un mur »
« Aris fut plié en deux se tordant de douleur (et non « douleurs ») »
« ni vêtements seule une vision »
« Des fantômes souvenirs de Aris apparaissaient et disparaissaient »
« des morceaux de souvenirs oubliés ne cessaient de tourner »
« La femme avait un visage familier à Aris » »
« Alors tout disparut »
« le mangemort qui était assis sur des débris et qui fumait une cigarette. (et non « cigarette »). Aris se leva sa baguette à la main »
« tu es enfin réveillé »
« Aris dit sans aucun ton (et non « tond », mais de toute manière cette expression n’a pas grand sens) »
« il sentait une colère qui le gagnait »
« Lorsqu’il entendit le mangemort sortir sa baguette à nouveau (et non « nouveaux ») »
« mais un éclair vert sortit de sa baguette sortit de sa baguette »
« De (et non « des », dans ce genre d’expression) petits éclairs verts frôlaient Aris de peu à chaque fois »
« Alors qu’il allait craquer »
« avec sa baguette à la main »
« la pièce à côté. Des jets verts et orange voletèrent en tous sens et un combat s’engagea avec habileté entre (et non « par ») les deux hommes »
« Ils se levèrent et pénétrèrent le reste de ce qui faisait l'entrée et là devant eux se tenait le mangemort qui avait été enseveli (et non « ensevelit ») par des débris, inconscient (et non « inconscients », c’est le mangemort qui est inconscient) »
« Les grandes vacances approchaient à grands pas à Poudlard »
« Moi aussi aussi étais un peu plus distrait qu’à l’habitude et il ne pensait plus qu’à rejoindre son oncle pour voir s’il allait toujours bien » : ce passage brutal de la première à la troisième personne pour un même personnage est très inhabituel et, je pense, involontaire
« Oui, je pourrais enfin voir ce qui se passait (pour la concordance des temps, l’imparfait s’impose ici et non le rpésent) chez mon oncle »
« Je ne voulais pas être pris dans cette foule et c’est pourquoi je pris son Eclair de Feu et m’envolai depuis une grande fenêtre suivi (et non « suivit ») par mon phénix qui prenait les bagages » : trois fois le verbe « prendre » dans la même phrase, même diversement conjugué, ça fait beaucoup je trouve
« Le phénix avait déjà disparu (et non « disparut ») dans une explosion de flammes laissant me laissant seul pendant le voyage. Je passai au-dessus d’un grand fleuve dont les bords fleuris, (pourquoi une virgule ici ?) dégageaient une forte bonne odeur. Je survolais ce fleuve à quelques centimètre de sa surface miroitante. La balade était agréable et une légère tardive (une légère quoi tardive ? brise ?) se faufila dans mes cheveux »
« le soleil avait laissé son tour à la lune qui se reflétait toujours sur l’eau du fleuve qui était très très long et large. je m'éclairais avec ma baguette qui luisait fortement dans la nuit grâce à une puissante formule d'éclairage mais tout de même accessible »
« les pavés de la vieille place »
« Je marchai le long d’une rue étroite »
« car avec le temps, (pourquoi une virgule ici ?) Je (pourquoi une majuscule à « je » au milieu de la phrase) m’en étais accommodé. Alors que je marchais, je m'arrêtai net. Tout mon corps tremblait (je pense qu’ici un imparfait est bien préférable à un passé simple) mais je restai (et ici un passé simple à un imparfait) sur place »
« La maison des Felicie se tenait juste à ma droite »
« des débris bouchaient presque l'entrée. Je pivotai et fis face a cette ruine. Je marchai jusqu'à la porte avec ma baguette qui illuminait les débris et je vis les lettres que j’avais envoyées (je vis quoi ? les lettres, complément d’objet direct placé avant le participe passé ; dans ce cas, ledit participe passé s’accorde avec son complément d’objet dierct) quelques semaines plus tôt. Je tentai de me faufiler entre les débris mais cela était tout bonnement impossible. Pour arranger un peu tout cela, Je (pourquoi une majuscule à « je » au milieu de la phraxe ?) pointai ma baguette sur un tas de débris et je murmurai »
« Les débris (nom collectif plueriel, ici, parce qu’il y a plusieurs débris qui permettront de reconstituer une armoire) tournèrent dans les airs et s’assemblèrent »
« la maison ressembla de plus en plus à une véritable demeure »
« formèrent une photo dans un cadre, elle représentait mes. (mes quoi ?) Je caressai la photo »
« mon cœur en avait pris un coup. Je m’engouffrai alors dans une pièce aux lampes cassées, avec au milieu un tas de tuiles rouges en mille (et non « milles » ; le nombre « mille » est invariable) morceaux. Je me concentrai et parlai distinctement »
« Je réparai la pièce et me jetai dans un fauteuil après avoir allumé »
« Où est-il »
« je ne sais toujours pas où mon oncle a pu (et non « put ») mettre les pieds »
« . Aucun habitant n’accepte (« Aucun » forme un sujet au singulier) de me donner d’aide et le maire (cet incapable) ne daigne pas répondre à mes nombreuses lettres où je lui demande de l’aide et (il manque ici un autre verbe de déclaration ; telle quelle, la phrase signifie : « je lui demande de l’aide et je lui demande que je suis seul chez moi », ce qui ne veut pas dire grand-chose) que je suis seul chez moi. Je vais te raconter l’entretien (et non « entretiens ») surprise que j’ai eu (et non « eus ») avec ce dernier »
« Mes lettres me revenaient (les lettres lui reviennent parce que quelqu’un les lui a retournées) toujours »
« le maire traitait cette affaire de la même façon d’un sujet qui dérange » : tournure très maladroite, à mon avis
« la boîte aux lettres »
« une petite visite à ce bon vieux maire »
« J’enfilai (et non « j’enfilais », le passé simple s’impose ici et non l’imparfait) mon long manteau de couleur marron, pris ma baguette, et sortis alors dehors »
« J’étais bien décidé à obtenir »
« Apres quelques minutes de marche, j’arrivai (et non « j’arrivais », le passé simple s’impose ici et non l’imparfait) enfin devant la piteuse mairie de la ville. Je montai les marches et entrai dans le hall où une femme avec des lunettes rouges, un air sérieux sur le visage, une tonne de maquillage, des cheveux frisés, blonds. » : qu’est-ce qu’elle fait, cette bonne femme ? Il manque le verbe correspondant à ce sujet
« du rouge à lèvres rouge »
« Elle me regarda comme un oiseau (et non « oiseaux ») »
« J'étouffai un gloussement de rire en voyant son air niais et je toussotai légèrement »
« La jeune femme eut une sorte de tilt (et non « tilte ») et un nerf sauta juste au coin de son œil droit (et non « droite »). Je devinai que c'était une question sensible. Elle réajusta ses lunettes qui étaient déjà parfaitement droites, s'éclaircit la voix et parla d’une voix avec presque conviction (manière très maladroite, selon moi, de dire « avec une voix presque sûre d’elle », ou quelque chose comme ça) »
« Elle me regardait toujours et jours » : l’expression n’existe pas à ma connaissance
« Je raclai alors ma gorge » : on dit plutôt « Je me raclai la gorge »
« -Où est-il ? »
« Il a été convoqué à la convention des maires de Grande-Bretagne (et non « Grandes-Bretagne ») »
« Je soupirai et passai ma main (on dit plutôt : je passai la main dans mes cheveux ») dans mes cheveux. Je me baissai et me mis à la taille (on utilise plutôt l’expression « se mettre au niveau de », dans ce sens) de la femme qui était assise »
« Ce modeste village n’est même (ici insérer un « pas ») sur la carte »
« Alors qu’elle voulait répliquer, je m’engageai dans le couloir qui s’offrait à moi alors que j’entendais »
« C'était trop tard, J’étais (pourquoi une majuscule au milieu de la phrase ?) motivé à (un « pour » serait préférable ici à mon avis, « motivé à faire quelque chose » ne se dit pas) trouver »
« Je poussai la porte »
« les coutures étaient à leur grande limite. Le maire mangeait un beignet et un filet de confiture dégoulina sur chemise. Je le regardai avec dégoût (et non « dégoûts ») »
« il me regarda à nouveau »
« pourquoi je suis là »
« me parler sur ce ton (et non « tond ») ? Votre idiot d’oncle ne vous a t-il pas appris la politesse »
« J’avais déjà sorti (et non « sortit ») ma baguette et m'étais écrié »
« Je la jetai sur le sol et lui dis droit dans les yeux »
« Écoutez-moi .... Je ne suis pas là pour me battre »
« Je lui rendis sa baguette et pris place sur la chaise qui m'était réservée »
« J’ai autre chose à faire »
« La colère monta en moi de nouveau (et non « nouveaux ») »
« Une des deux fenêtres qui donnaient (les deux fenêtres donnent sur la rue, a priori) vue sur une superbe rue crasseuse et sur 5 grosses bennes a ordures explosa en mille morceaux. J’avais accidentellement laissé ma colère s’échapper de moi et j’avais provoqué ce phénomène. Toujours furieux, je me levai, adressai un regard haineux au maire, et sortis de son bureau et de la mairie »
- la petite police qui rend la lecture sur écran difficile
- cette convention de rendre les lignes de dialogue en différentes couleurs en fonction de qui parle (le jaune sur fond blanc, ça tue !)
- le nombre élevé de fois où vous répétez le nom du personnage dans la première partie, alors que souvent un "il" serait sans équivoque
- enfin, la très mauvaise orthographe du texte, et votre utilisation de tournures relâchées, voire franchement incorrectes
J'ajoute que l'univers de Harry Potter m'indiffère, mais il pourrait plaire à d'autres lecteurs.
Pour essayer de vous aider, je vous signale ci-dessous ce que j'ai pu relever comme erreur de langues et tournures gênantes pour la compréhension du texte ; vous pourrez ainsi vous relire. Si, lors de votre prochain texte, ces différents problèmes sont réglés, on pourra peut-être discuter de votre style, car je pense que là aussi il y a du travail, j'ai eu l'impression que vous écriviez strictement comme vous parliez, sans vous donner la peine de penser à la manière de dire les choses. Or dans la littérature, selon moi, il s'agit là d'une des premières questions à se poser.
Ne vous laissez pas décourager en tout cas. Bienvenue sur Vos Écrits, bon travail pour la suite et à vous lire bientôt.
Mes remarques de langue, donc :
« Encore à notre époque »
« qui ont (selon moi) réussi (et non « réussit ») à s’infiltrer »
« Ils (je pense que le pluriel pour les « un ou deux mangemorts » est préférable ici) voulaient à chaque fois régler leur compte avec celui-ci mais ne trouvaient qu’un garçon de 16 ans. Je vais te raconter une de ces visites nocturnes et comment j’ai réussi (et non « réussis ») à »
« l’eau coulait (vu la structure de la phrase, on est obligé de considérer « l’eau » comme le sujet d’un verbe conjugué ; sinon, il faudrait préciser avant : « Anis voyait l’eau couler », par exemple) avec dégoût. Il n’avait pas pu (et non « put ») voler de toute la semaine sur son balai (et non « balais ») »
« Son oncle était sorti (et non « sortie », c’est un oncle et non une tante) depuis deux longues heures et la nuit tombait a vue d’œil »
« Le village n'était pas un lieu sûr la nuit »
« Eh oui des mangemorts. Ces derniers avaient eu (et non « eus ») »
« tuer soit l’oncle de Aris et Aris lui-même » : cette structure « soit (…) et » n’est pas correcte, on utilise « soit (…) soit » pour donner l’alternative, comme avec « ni (…) ni »
« marcha sur le plancher grinçant de cette vieille demeure jusque vers la cheminée où il alluma »
« Bien installé dans son fauteuil »
« faisant apparaître une tasse »
« Baillant et résistant (ici, je pense qu’il vaudrait mieux introduire quelque chose du genre « à l’envie », la forme « résister de faire quelque chose n’est pas correcte à mon avis) » de fermer ses paupières »
« le cœur battant »
« un frisson dans tout son corps. Un grand vent passa alors par la cheminée et éteignit le feu. Aris regarda le sol de la pièce où le feu brûlait »
« la porte vola en éclats de bois » : elle était pas en marbre, la porte ?
« monta les escaliers du premier étage quatre à quatre »
« L’armoire qui était à côté du mangemort explosa en l’expulsant à travers un mur »
« Aris fut plié en deux se tordant de douleur (et non « douleurs ») »
« ni vêtements seule une vision »
« Des fantômes souvenirs de Aris apparaissaient et disparaissaient »
« des morceaux de souvenirs oubliés ne cessaient de tourner »
« La femme avait un visage familier à Aris » »
« Alors tout disparut »
« le mangemort qui était assis sur des débris et qui fumait une cigarette. (et non « cigarette »). Aris se leva sa baguette à la main »
« tu es enfin réveillé »
« Aris dit sans aucun ton (et non « tond », mais de toute manière cette expression n’a pas grand sens) »
« il sentait une colère qui le gagnait »
« Lorsqu’il entendit le mangemort sortir sa baguette à nouveau (et non « nouveaux ») »
« mais un éclair vert sortit de sa baguette sortit de sa baguette »
« De (et non « des », dans ce genre d’expression) petits éclairs verts frôlaient Aris de peu à chaque fois »
« Alors qu’il allait craquer »
« avec sa baguette à la main »
« la pièce à côté. Des jets verts et orange voletèrent en tous sens et un combat s’engagea avec habileté entre (et non « par ») les deux hommes »
« Ils se levèrent et pénétrèrent le reste de ce qui faisait l'entrée et là devant eux se tenait le mangemort qui avait été enseveli (et non « ensevelit ») par des débris, inconscient (et non « inconscients », c’est le mangemort qui est inconscient) »
« Les grandes vacances approchaient à grands pas à Poudlard »
« Moi aussi aussi étais un peu plus distrait qu’à l’habitude et il ne pensait plus qu’à rejoindre son oncle pour voir s’il allait toujours bien » : ce passage brutal de la première à la troisième personne pour un même personnage est très inhabituel et, je pense, involontaire
« Oui, je pourrais enfin voir ce qui se passait (pour la concordance des temps, l’imparfait s’impose ici et non le rpésent) chez mon oncle »
« Je ne voulais pas être pris dans cette foule et c’est pourquoi je pris son Eclair de Feu et m’envolai depuis une grande fenêtre suivi (et non « suivit ») par mon phénix qui prenait les bagages » : trois fois le verbe « prendre » dans la même phrase, même diversement conjugué, ça fait beaucoup je trouve
« Le phénix avait déjà disparu (et non « disparut ») dans une explosion de flammes laissant me laissant seul pendant le voyage. Je passai au-dessus d’un grand fleuve dont les bords fleuris, (pourquoi une virgule ici ?) dégageaient une forte bonne odeur. Je survolais ce fleuve à quelques centimètre de sa surface miroitante. La balade était agréable et une légère tardive (une légère quoi tardive ? brise ?) se faufila dans mes cheveux »
« le soleil avait laissé son tour à la lune qui se reflétait toujours sur l’eau du fleuve qui était très très long et large. je m'éclairais avec ma baguette qui luisait fortement dans la nuit grâce à une puissante formule d'éclairage mais tout de même accessible »
« les pavés de la vieille place »
« Je marchai le long d’une rue étroite »
« car avec le temps, (pourquoi une virgule ici ?) Je (pourquoi une majuscule à « je » au milieu de la phrase) m’en étais accommodé. Alors que je marchais, je m'arrêtai net. Tout mon corps tremblait (je pense qu’ici un imparfait est bien préférable à un passé simple) mais je restai (et ici un passé simple à un imparfait) sur place »
« La maison des Felicie se tenait juste à ma droite »
« des débris bouchaient presque l'entrée. Je pivotai et fis face a cette ruine. Je marchai jusqu'à la porte avec ma baguette qui illuminait les débris et je vis les lettres que j’avais envoyées (je vis quoi ? les lettres, complément d’objet direct placé avant le participe passé ; dans ce cas, ledit participe passé s’accorde avec son complément d’objet dierct) quelques semaines plus tôt. Je tentai de me faufiler entre les débris mais cela était tout bonnement impossible. Pour arranger un peu tout cela, Je (pourquoi une majuscule à « je » au milieu de la phraxe ?) pointai ma baguette sur un tas de débris et je murmurai »
« Les débris (nom collectif plueriel, ici, parce qu’il y a plusieurs débris qui permettront de reconstituer une armoire) tournèrent dans les airs et s’assemblèrent »
« la maison ressembla de plus en plus à une véritable demeure »
« formèrent une photo dans un cadre, elle représentait mes. (mes quoi ?) Je caressai la photo »
« mon cœur en avait pris un coup. Je m’engouffrai alors dans une pièce aux lampes cassées, avec au milieu un tas de tuiles rouges en mille (et non « milles » ; le nombre « mille » est invariable) morceaux. Je me concentrai et parlai distinctement »
« Je réparai la pièce et me jetai dans un fauteuil après avoir allumé »
« Où est-il »
« je ne sais toujours pas où mon oncle a pu (et non « put ») mettre les pieds »
« . Aucun habitant n’accepte (« Aucun » forme un sujet au singulier) de me donner d’aide et le maire (cet incapable) ne daigne pas répondre à mes nombreuses lettres où je lui demande de l’aide et (il manque ici un autre verbe de déclaration ; telle quelle, la phrase signifie : « je lui demande de l’aide et je lui demande que je suis seul chez moi », ce qui ne veut pas dire grand-chose) que je suis seul chez moi. Je vais te raconter l’entretien (et non « entretiens ») surprise que j’ai eu (et non « eus ») avec ce dernier »
« Mes lettres me revenaient (les lettres lui reviennent parce que quelqu’un les lui a retournées) toujours »
« le maire traitait cette affaire de la même façon d’un sujet qui dérange » : tournure très maladroite, à mon avis
« la boîte aux lettres »
« une petite visite à ce bon vieux maire »
« J’enfilai (et non « j’enfilais », le passé simple s’impose ici et non l’imparfait) mon long manteau de couleur marron, pris ma baguette, et sortis alors dehors »
« J’étais bien décidé à obtenir »
« Apres quelques minutes de marche, j’arrivai (et non « j’arrivais », le passé simple s’impose ici et non l’imparfait) enfin devant la piteuse mairie de la ville. Je montai les marches et entrai dans le hall où une femme avec des lunettes rouges, un air sérieux sur le visage, une tonne de maquillage, des cheveux frisés, blonds. » : qu’est-ce qu’elle fait, cette bonne femme ? Il manque le verbe correspondant à ce sujet
« du rouge à lèvres rouge »
« Elle me regarda comme un oiseau (et non « oiseaux ») »
« J'étouffai un gloussement de rire en voyant son air niais et je toussotai légèrement »
« La jeune femme eut une sorte de tilt (et non « tilte ») et un nerf sauta juste au coin de son œil droit (et non « droite »). Je devinai que c'était une question sensible. Elle réajusta ses lunettes qui étaient déjà parfaitement droites, s'éclaircit la voix et parla d’une voix avec presque conviction (manière très maladroite, selon moi, de dire « avec une voix presque sûre d’elle », ou quelque chose comme ça) »
« Elle me regardait toujours et jours » : l’expression n’existe pas à ma connaissance
« Je raclai alors ma gorge » : on dit plutôt « Je me raclai la gorge »
« -Où est-il ? »
« Il a été convoqué à la convention des maires de Grande-Bretagne (et non « Grandes-Bretagne ») »
« Je soupirai et passai ma main (on dit plutôt : je passai la main dans mes cheveux ») dans mes cheveux. Je me baissai et me mis à la taille (on utilise plutôt l’expression « se mettre au niveau de », dans ce sens) de la femme qui était assise »
« Ce modeste village n’est même (ici insérer un « pas ») sur la carte »
« Alors qu’elle voulait répliquer, je m’engageai dans le couloir qui s’offrait à moi alors que j’entendais »
« C'était trop tard, J’étais (pourquoi une majuscule au milieu de la phrase ?) motivé à (un « pour » serait préférable ici à mon avis, « motivé à faire quelque chose » ne se dit pas) trouver »
« Je poussai la porte »
« les coutures étaient à leur grande limite. Le maire mangeait un beignet et un filet de confiture dégoulina sur chemise. Je le regardai avec dégoût (et non « dégoûts ») »
« il me regarda à nouveau »
« pourquoi je suis là »
« me parler sur ce ton (et non « tond ») ? Votre idiot d’oncle ne vous a t-il pas appris la politesse »
« J’avais déjà sorti (et non « sortit ») ma baguette et m'étais écrié »
« Je la jetai sur le sol et lui dis droit dans les yeux »
« Écoutez-moi .... Je ne suis pas là pour me battre »
« Je lui rendis sa baguette et pris place sur la chaise qui m'était réservée »
« J’ai autre chose à faire »
« La colère monta en moi de nouveau (et non « nouveaux ») »
« Une des deux fenêtres qui donnaient (les deux fenêtres donnent sur la rue, a priori) vue sur une superbe rue crasseuse et sur 5 grosses bennes a ordures explosa en mille morceaux. J’avais accidentellement laissé ma colère s’échapper de moi et j’avais provoqué ce phénomène. Toujours furieux, je me levai, adressai un regard haineux au maire, et sortis de son bureau et de la mairie »
Invité- Invité
Re: Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
C'est quoi ces couleurs, ces fautes, ce pompage de texte? Du sous Harry Potter, je ne pense pas tenir le coup sur du long format, désolée.
Pourquoi ne pas tenter de créer un univers plus original, de sortir de ce monde vu et revu, exploité tant de fois à toutes les sauces ?
Pourquoi ne pas tenter de créer un univers plus original, de sortir de ce monde vu et revu, exploité tant de fois à toutes les sauces ?
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
véliens !
Il faut sortir (ou rester à la maison et avoir des enfants)
ce que fait apprenti-écrivain est très en vogue sur le net.
Il s'agit de reprendre un des personnages de harry potter et de lui inventer d'autres histoires
je ne me souviens plus du nom qu'ils donnent à ce jeu (et ma fille est en vacances), mais vous pouvez lire des milliers d'histoires de ce genre un peu partout. Il existe même des versions gay...
ce n'est pas du plagiat
par contre apprenti, tu t'es trompé de lecteurs, de forum.
reviens avec des textes perso moins marqués et les membres de VE se feront un plaisir de te lire.
Il faut sortir (ou rester à la maison et avoir des enfants)
ce que fait apprenti-écrivain est très en vogue sur le net.
Il s'agit de reprendre un des personnages de harry potter et de lui inventer d'autres histoires
je ne me souviens plus du nom qu'ils donnent à ce jeu (et ma fille est en vacances), mais vous pouvez lire des milliers d'histoires de ce genre un peu partout. Il existe même des versions gay...
ce n'est pas du plagiat
par contre apprenti, tu t'es trompé de lecteurs, de forum.
reviens avec des textes perso moins marqués et les membres de VE se feront un plaisir de te lire.
grieg- Nombre de messages : 6156
Localisation : plus très loin
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
Ah oui ! Harry Poter et le prisonnier de la backroom, me souviens l'avoir lu...grieg a écrit:je ne me souviens plus du nom qu'ils donnent à ce jeu (et ma fille est en vacances), mais vous pouvez lire des milliers d'histoires de ce genre un peu partout. Il existe même des versions gay...
désolé...
Peter Pan- Nombre de messages : 3709
Age : 49
Localisation : Pays des rêves et de l'imaginaire
Date d'inscription : 16/04/2009
Re: Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
Il paraît que ça s'écrit Potter...
Peter Pan- Nombre de messages : 3709
Age : 49
Localisation : Pays des rêves et de l'imaginaire
Date d'inscription : 16/04/2009
Re: Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
"fan fiction" it is.grieg a écrit:véliens !
Il faut sortir (ou rester à la maison et avoir des enfants)
ce que fait apprenti-écrivain est très en vogue sur le net.
Il s'agit de reprendre un des personnages de harry potter et de lui inventer d'autres histoires
je ne me souviens plus du nom qu'ils donnent à ce jeu (et ma fille est en vacances), mais vous pouvez lire des milliers d'histoires de ce genre un peu partout. Il existe même des versions gay...
ce n'est pas du plagiat
Invité- Invité
Re: Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
yess ! merci easterEaster(Island) a écrit:"fan fiction" it is.
grieg- Nombre de messages : 6156
Localisation : plus très loin
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Aris Felicie (fiction Univers Harry Potter)[personnage HH]
Tu me le prêtes, dis ?!Peter Pan a écrit:Ah oui ! Harry Poter et le prisonnier de la backroom, me souviens l'avoir lu...
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
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