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Projet d'édition 1 - Pérégrinations intérieures

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Message  Titia_____ Sam 12 Déc 2009 - 1:27

Les exhalaisons fétides de sa cavité buccale envahissaient l’atmosphère déjà si désagréablement moite. De violents spasmes, somatisation des mouvements de son âme, révulsèrent tout à coup ses vitreux globes oculaires. Il vomit une partie de sa cervelle par ses trop épaisses narines et régurgita un peu de bile par les commissures et profondes gerçures de ses lèvres. Il porta convulsivement les ongles encrassés de ses mains rugueuses à ses tempes. La pression de son sang y était visible, presque audible, au travers du derme tendu et violacé de ses artères. Il ouvrit la bouche à s’en décrocher la mâchoire, sans en laisser échapper de son. Ainsi furent découverts ses moignons dentaires, incroyable camaïeu d’ocre brun, parsemés sur un lit gingival en putréfaction. Une langue pâteuse emplit bientôt l’espace de sa bouche et, béante, en déborda mollement. Rencontre intra-psychique. Il était la Peur. Et l’entité terrifiante, rachitique, perverse et tentaculaire avait laissé place à ce monstrueux bouffon prêt à imploser. Le couperet gisait tout prêt, dans l’attente d’une main vengeresse salutaire enfin disposée à rompre l’abcès personnifié.

Réveil en sursaut, en nage. Où suis-je ? Un drap noir devant les yeux. Je cherche nerveusement l’interrupteur pour le dissiper. Mais où chercher ? Ne vous est-il jamais arrivé, dans cet état de semi-sommeil, de ne plus savoir où vous étiez ? Trois ou quatre secondes me semblent une éternité durant laquelle je me sens totalement perdue et isolée, dans cette envahissante obscurité, et m’évertue à remettre un peu d’ordre dans mes capricieux repères spatio-temporels. Et la lumière est. Levant le voile sur une réalité non moins effroyable : un sordide petit appartement aux murs ternes, ornés de lavis de moisissure affranchis de toute décente salubrité. Une pestilence intermittente me soulève le cœur presque en cadence. Voilà, voilà donc à quoi ressemble l’environnement, sensé sécurisant, que je cherchais désespérément à mettre en lumière : un taudis qui m’assaille la réalité comme une sifflante gifle à la figure. Je me lève d’un bond, manque de trébucher dans les draps défaits gisant à terre, me réfugie dans le dernier recoin de mur épargné par les blattes et leurs fresques insolites, et m’agenouille. Tenter de garder son calme – vainement -, inspirer profondément – l’air vicié ambiant.

Ces épouvantables songes me sont coutumiers mais je ne m’y habituerai jamais. Je me sens maintenant épiée, comme si les murs m’observaient. Mes cauchemardesques pérégrinations nocturnes ne sont finalement pas si redoutables, au regard de celles de mes veilles.

Recroquevillée dans mon trop grand vieux pyjama déchiré, je remarque un losange délavé parmi ceux qui ponctuent le papier peint suranné, celui tout en haut sur la droite, qui jusqu’ici se contentait de me voir sans me regarder, et s’applique désormais à me dévisager. Il respire, enflant et désenflant tour à tour légèrement, ne se doutant pas qu’il est démasqué. Il se pensait à l’abri de toute perception extérieure, mais c’était sans compter sur ma remarquable acuité paranoïaque.

Toutes ces interminables nuits durant lesquelles je m’évertue à trouver le sommeil. Je m’enfonce dans mon lit, autant que possible à l’abri des regards invisibles et perturbateurs de mon Surmoi qui, penché à des points stratégiques, m’insuffle des pensées nocives et murmure de sa voix perfide d’emmiellées avanies. Je veux juste dormir un peu.

Je vais prendre un peu l’air sur le balcon, enfin sur le mètre carré de béton qui surplombe la grande avenue, en prenant tout de même soin de ne pas trop m’appuyer sur la vieille rambarde tremblotante et toute rouillée. Le jour s’est levé. La lumière du petit matin est blafarde, outrageante. Je n’aimerais franchement pas voir à quoi je ressemble, une sorte d’improbable Carabosse. J’observe de mon mirador les passants matinaux (drôle d’espèce que les matinaux !) comme un chat sur l’armoire du salon les invités attablés.

Les oiseaux se moquent de haut de nous qui n’avons pas d’ailes. Les cris des clochards résonnent sur les murs pisseux. Les gosses, qui n’en sont plus, pillent la crédulité des passants. Ici, plusieurs dimensions se jaugent à la vue de ceux qui savent observer, soit à l’insu de presque tous. Dans cette avenue, se croisent un jeune couple qui croit encore qu’on peut y croire, un imper-attaché-case convaincu d’avancer en subissant ses crédits et son patron, une pédante mijaurée qui critique ceux qui se sont autorisés ce qu’elle n’a jamais été capable de se permettre, un jeune qui collectionne les conquêtes féminines et pense qu’il n’a pas peur des filles, une vieille dinde aigrie au cœur sec qui court à la messe chaque dimanche, un type qui a égorgé trois femmes et se pisse dessus devant la sienne.

Des os se brisent. Des chairs se déchirent. Je ressens une très vive mais brève douleur. J’entends crier. J’ignore de qui provient ce cri, peut-être de moi. Le ciel et le sol se heurtent.

Je ne sais pas si je rêve encore ou si je délire. Je suis assaillie de scènes kaléidoscopiques et de voix virevoltantes. J’entame une course effrénée dans ma forêt intérieure, méandres de mon esprit tourmenté. Je crois que j’essaie de les fuir, pourtant plus je m’en éloigne, plus elles semblent se rapprocher.

Une nuée d’oiseaux sereins fuit soudain à toute volée dans un léger bruit de froissement de soie. Des présences me frôlent, se pressent contre moi, se retirent, me bousculent. Elles semblent effrayées, des bêtes sauvages encagées sentant approcher le danger. Morte, vive, délirante ou endormie, ne suis-je moi aussi plus qu’une âme errante enclavée ?

D’aliénées entités règnent sur le souffle furieux qui meut les arabesques tentaculaires et menaçantes des arbres de cette intime et sombre forêt. Leurs ombres grinçantes nous poursuivent en ricanant de notre insuffisance, elles nous arrachent des cris petits, minables, pathétiques, comme les pauvres enfants fragiles et apeurés que nous demeurons au travers de nos frêles armures, nos carences jonchent le sol fangeux mêlées de sel et de sang, une meute de loups avides guette dans l’obscurité l’opportunité de notre chute imminente, la lune, suprême maîtresse de sabat, abat la pâleur de ses colonnes évanescentes sur notre scène horrifique, impassible. Les crissements d’ailes incarnent nos ombres, nos idéaux déchus et les spectres de nos misérables sommeils agités.

Je suis la terreur du noir et les pleurs éperdus, je suis l’enfant tremblant au pied du chêne, qui ferme les yeux très fort, espérant le salut d’une aube à venir, prometteuse et menteuse.

Au détours d’un arbre incliné, le maelström des réminiscences de mes amours passées. Je me souviens des promesses tenues de mes amours charnelles : « J’arracherai chacun des cheveux de ta tête et t’offrirai ce présent pour acompte de mes tourments. Peut-être un jour en retour de toi recevrais-je un petit quelque chose de moi ? Je moudrai quelques-unes de tes vertèbres et peut-être une ou deux phalanges de tes doigts maigres et te promets de porter une attention délicate et toute particulière à l’excision des souillures de tes plaies que je ne manquerai pas de te contraindre à contempler. Je mangerai ta cervelle et ton vagin accompagnés d’un bon vin, et te dédierai le dernier sursaut de mon cœur exsangue encore chaud. »

Mes larmes glissent sur le revers de ces transports. Les breloques de mes reliquats sentimentaux tintent dans les suraigus autours de mon cou, mes angoisses sur l’échine, une épineuse cactée dans ma gorge serrée, je traîne mes frayeurs, ma solitude et mon amertume.

Le jardinier caresse la pendable infirmité du tronc qui en a contrarié la poussée : « on ne redresse pas un arbre qui a grandi de travers, on apprend à l’aimer tel qu’il est, puis on saisit l’envolée créatrice qui a pourvu un arbre quelconque d’un charme excentrique».

S’adresse-t-il à moi ? Oui, l’infirme, c’est moi n’est-ce pas ? Pourtant, il ne me regarde pas. Il semble ne pas même s’être aperçu que je suis là.

Je supplie, le jardinier, l’arbre et la forêt. Il me faut accoucher mon esprit de sa bulle matonne comme d’un placenta étouffant son hôte, délacer mon cœur, expectorer sur des surfaces vierges les spectres souillés de ma mémoire, mettre en mots sur des lignes bien droites mes pensées labyrinthiques. J’aimerais capturer mes espoirs évanescents et déposer le ballot de ma gangrène intérieure. Je veux mettre de la lumière dans mon esprit obscurci et de l’air dans mes poumons avides. Je veux extraire le fiel et la peur de mon ventre, je veux faire du presque noble avec tout ce qu’on m’a salie.

Mais je rencontre un vieux serpent s’insinuant sournoisement sous une robe à volants, des hommes armés et repus juchés sur leur monture traquent des bêtes jusqu’à l’épuisement, des enfants exposent leurs entrailles ensanglantées et les membres affranchis de leurs petits corps sans vie sous les missiles tombés du ciel qu’ils croyaient abriter leur Dieu.

Et l’amour, ses valeurs et nos corps m’apparaissent morts. Dans le cimetière des plaisirs vérolés, des corps emmêlés. Des bras, des membres, des cuisses, se détachent, se collent, se décollent, s’attachent, amas mouvant de chairs et de flancs.
Des vulves béantes et des vits turgescents, des bouches bavantes et des souffles haletants.
Les peaux sont collantes, la chaleur étouffante.
Fond de teint, salive, rouge à lèvres, fluides poisseux, mêlés, ruisselants. Des relents écœurants envahissent la pièce surchauffée par les projecteurs.
Des seins et des reins offerts en pâture, des grimaces de plaisir feint, des ventres durs et pillards,
des râles factices. Face caméra, accélère, relève le genou, crie plus fort. Tout est moite. Les culs, les draps, les murs. Des pantins organiques, des organes chosifiés, à louer. C’est laid. Ça pue. A vomir. Prise terminée. Nickel. Les branleurs et les mômes pourront bientôt lorgner ça. Le réal et la prod se paieront des vacances à Ibiza, et l’actrice principale les rails de C qui lui permettront de recommencer.

Cela ne me sied. Si les princes et fées n’existent pas, les sanguinaires et scélérats, eux, festoient. Ils se repaissent du pus de nos plaies et nos austères consciences leur ouvrent le chemin. Je pensais qu’il me fallait chérir mon âme d’enfant comme le secret de la maturité vraie, insolent paravent aux désenchantements. Mais cette infectieuse sensibilité aux êtres et à leurs mondes, foutue cohorte de serviles manants, étriqués égocentriques, consomme les derniers replis sains de mon âme condescendante.
Il me faut colmater les fissures au ciment grossier, grumeleux, et rendre les armes, comme tous, désabusée. Je ne pourrais jamais rien changer à ce qui m’enceint, je ne peux que transfigurer le regard que j’y porte. Tardive résolution, entravée jusqu’alors par l’écœurant carcan de mes puériles, inutiles, stériles considérations bien-pensantes. Les fers de ce que je croyais être l’empreinte divine de la conscience du Bien cèdent à mes chevilles écorchées d’avoir trop tiré. Je ferai miens péchés et malversations et ainsi ne craindrai plus ni les cruels ni les bons. Que soit castré l’amant trop léger, immolé le presque beau bafoué, transcendés les paradoxes de l’intelligence scrupuleuse, altruiste, cadenassante. Je divorce de ma culpabilité chérie et de mes angoisses parricides.
Ma tristesse se fera colère, mes doutes convictions commodes et mon pardon vengeance. Ainsi affranchie et résistante, l’échine redressée, j’évoluerai dans cet univers divulgué, facile, mauvais, foulant de mon talon effilé les décombres de mes antiques chimères avortées.

Je trébuche sur une pierre polie par le temps, l’eau et le vent. J’aurais pu juré qu’elle avait été placée là pour pourvoir à ma chute. Un air narquois tinte en moi : « élévatrice et sans égal, Colère, piédestal, mettra le monde à nos pieds ». Mais je ne sais plus si la fureur m’est salutaire ou assassine. J’hésite à pleurer ou à crier. Les cuisses écorchées, je baigne maintenant à genoux dans le cours d’une rivière glacée. Et il est là, enfin. Mais oui, c’est comme si je le connaissais intimement, viscéralement, comme si je l’attendais, comme si j’attendais depuis toujours de le retrouver enfin. Emergeant de mes bas-fonds oniriques, la force tapie qui m’a déjà parfois fait défier le monde et la mort, renier mon Dieu, mon humanité, mon univers. Je ressens cette funeste, irrépressible, voluptueuse attraction.

Son regard est ténébreux, pénétrant, magnétique. Je ne vois plus que lui qui me fait face. Il séduit, il envoûte, il terrifie. Tout alentour a fui à sa vue. Du fond des âges, immuable et tout-puissant, il devine, il sait, il sent. Sa voix, le plus magnifique des glas, résonne comme si elle me parvenait du tréfonds des entrailles de la terre. Il m’appelle. Il me tend la main. Et je sais que mon consentement sera sans appel.
Il me suffit simplement de m’abandonner. Il saura faire céder les dernières de mes entraves, gouverner mes peurs pour mieux les dominer. Contre sa poitrine, implacable, je n’aurais plus rien à craindre. Hormis Lui. Ni à espérer. Le piège se referme, je le sais, et je jouis de m’y laisser prendre. Le souverain seigneur de mes limbes tend à me soumettre, il cherche à corrompre mon âme, comment lui résister ? Obédience libératrice, orgastique. Je suis possédée.

Qu’est-ce qui a fait que ma main s’est tout à coup retirée ? Je l’ignore. Ni la peur ni le doute, pourtant. Qu’a-t-on à perdre qui ne soit déjà voué à nous être ôté ? Me reste-t-il quelque chose à quoi je tienne assez pour tolérer tout ce qu’il nous faut endurer ?

Une intense clarté m’éblouit, je devine les murs blancs de ma chambre d’hôpital et distingue vaguement, au centre, une ombre penchée sur moi, je sens son souffle tiède effleurer mon visage glacé. Cette douce chaleur se propage dans ma gorge, dans ma poitrine, dans mon ventre et afflue vers les extrémités. Un frisson parcourt ma nuque et descend le long de ma colonne. Je discerne dans l’atmosphère camphrée ambiante une très subtile odeur de parfum masculin et de sueur sucrée qui m’est familière, agréable et rassurante. Ma vue se clarifie peu à peu, je distingue la silhouette d’un visage, un regard vert d’eau, je me sens en sécurité dans ce regard. Mon corps s’extirpe de sa torpeur, mes sens ressuscitent doucement l’un après l’autre, la vie leur a été rendue par cet être que je distingue à peine mais que je sens faire partie de moi. Je peux sentir toute la douceur, la lumière, la bienveillance qui émanent de lui à mon égard. Je le sens clairement maintenant. Il pose sa main sur ma joue.

Je sais pourquoi je suis revenue, je connais les réponses à mes questions : elles tiennent toutes dans le creux de cette main.

La fenêtre est ouverte sur un massif de fleurs, les murs des immeubles voisins et un ciel étoilé. La vie jaillissante de cette nuit pourtant ordinaire me saute au visage. Aime-moi deux fois mon amour, comme si je partais, comme si nous nous séparions, dans la joie. Les lys nous prêtent leur subtile fragrance, la nuit, comme toutes les nuits, nous fait offrande de ses étranges inspirations, et nous les honorerons. Aimons-nous démesurément, comme si je devais mourir demain, oui, voici la dernière de nos nuits, ainsi que les précédentes et les suivantes, ouvre-moi les ailes, je veux m’élever à tes côtés, au dessus de tous et de tout, un albatros baudelairien qui aurait quitté le navire, bien loin du médiocre marasme qui gît ci bas sous nos pieds légers, bien loin des confiances rendues et des espoirs excédés.

Titia_____

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Message  Invité Sam 12 Déc 2009 - 8:34

Un texte très soigné, peut-être un peu chargé en adjectifs à mon goût, mais ça a de la gueule, pour sûr !

Mes remarques (y compris sous l'angle typographique) :
« Je veux juste dormir un peu.

Je vais prendre un peu l’air » : la répétition se voit, je trouve
« suprême maîtresse de sabbat »
« Au détour (et non « détours ») d’un arbre incliné »
« en retour de toi recevrai-je (et non « recevrais »-je », le futur s’impose ici et non le conditionnel) un petit quelque chose »
un charme excentrique. »
« J’aurais pu jurer »
tinte en moi : « Élévatrice et sans égal, Colère (typographie ; pas de majuscule après une virgule), piédestal
« Contre sa poitrine, implacable, je n’aurai (et non « n’aurais », le futur s’impose ici et non le conditionnel) plus rien à craindre »
« qui gît ci-bas »

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Message  bertrand-môgendre Mer 16 Déc 2009 - 7:26

... Le jour s’est levé. La lumière du petit matin est blafarde, outrageante... La précision est-elle bien utile ?
La lecture est loin d'être de tout repos. Même si l'écriture du texte se révèle à la mesure du sujet, sombre, voire obscur, je dois avouer qu'à certains moments mon attention déclina.
Bel exercice.
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Message  Invité Mer 16 Déc 2009 - 13:18

L'abondance d'adjectifs, censé rendre l'état intérieur pesant et chaotique de la narratrice manque son objectif et ne parvient qu'à rendre la lecture pesante.
J'ai apprécié le passage sur le tournage, qui ouvre ce texte introspectif d'une façon inattendue et intéressante.
Mais l'ensemble n'arrive toujours pas à me convaincre, même si je reconnais l'amélioration apportée par rapport à la première mouture.

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Message  Invité Mer 16 Déc 2009 - 13:21

sensé sécurisant
C'est "être censé"

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Message  mentor Mer 16 Déc 2009 - 20:36

j'ai de beaucoup préféré "Mardi soir, ou mercredi"

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Message  Invité Dim 20 Déc 2009 - 13:56

" un taudis qui m'assaille la réalité comme une sifflante gifle à la figure"
Cette phrase ne me paraît pas très correcte.
J'aurais plutôt dit : " la réalité d'un taudis qui m'assaille comme..."

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