La dame en noir

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La dame en noir


C’était une dame tout en noir, vaporeuse, excitante, exigeante même, elle prenait tout. On l’a côtoyait avec plaisir. Pourtant elle était porteuse de mort. C'est qu'elle était bien déguisée, c'était a s'y méprendre. Enroulée d'un fin papier blanc terminée d'un bout filtre elle avait l'allure d'une cigarette bien inoffensive.

La première fois que je te pris, bien sûr tout mon corps protesta. Je toussai, devin même étourdi. Mais je fis la sourde oreille a ces accès de colère et continuai a inhaler la fumée qui montait tout doucement en spirale formant un écran protecteur entre moi et la vie. Je ne savais pas que la vie peut être bonne a respirer. Souvent je me glissai derrière cet écran de fumée et je rêvassais. Au début ce n’était que sporadique, je te prenais a l’occasion avec des amis

[size=21]Un jour je m’achetai un porte-cigarettes je t’y insérer tout au bout et d’un coup j’étais devenu quelqu’un, j’existai, j’étais a la hauteur du monde, plus, j’en faisais parti. Ce fut extraordinaire! Très vite tu fis parti de ma vie. Je t’associai a mes moments de détente, a mes discutions intéressantes, a mes rencontres entre amis ou on rigolait ou on s’amusait bien. Naïvement je te crus l’instigatrice de mes pensées les plus profondes, de mes émotions les plus intenses, les plus vibrantes. Ta fourberie alla jusqu'à me laissai croire que je ne serais plus rien sans toi, que je n’arriverais même plus ni a penser, ni a réfléchir. Lentement tu m’enchaînais et quand j’entendis le cliquetis de tes chaînes, trop tard j’étais prisonnière. Quand je te quittais pour quelques heures, tu me manquais, j’avais hâte de te retrouver.
Je décidai donc de te laisser tomber. Ce ne fut pas très long. Quelques jours tout au plus. Tu me paraissais si accueillante, si rassurante, je te repris et j’eu tôt fait de recréer mon enfer ou je replongeai avec avidité, avec insouciance même. Et ce fut la grande démesure. Tu me suivais partout, était présente tout le temps. Je n’existais plus, j’étais devenu ton esclave. Les gens me connaissaient bien J’étais celle qui était assise toujours au même endroit avec une cigarette et ne faisait plus rien.

Un jour je me retrouvai avachi par terre avançant sur les genoux, toussant, crachant, respirant avec grande difficulté.

Tu me prives de ma vie, me vole mon énergie.

Pourtant je te prends encore.

Avec toi j’ai côtoyai la mort a plusieurs reprises.

Pourtant je te prends encore.

Ton haleine fétide répand une odeur nauséabonde dans toute ma maison. Tu jaunis tout sur ton passage.

Pourtant je te prends encore

Chez moi ça pue, tout est jauni.

Quelle désolation! Quelle misère! Quelle tristesse!

Mais un jour viendra ou la volonté, la patience, l’aide, auront raison de toi. Mais tu demeureras une ennemie implacable, sournoise qu’il faut combattre a tout prix

Le texte est truffé de fautes.
Merci de veiller à l'orthographe.
La Modération


< Rolande ou Margo ? Margo ou Rolande ?
Et une courte présentation ici serait sympathique >
.

Pas de surprise, tout est dévoilé dès les trois premières lignes.

Le passage du "elle" au "tu" me dérange aussi, cela nuit, pour moi, à la cohésion (et à la cohérence) du texte.

Trop caricatural aussi quelque part, par exemple : "J’étais celle qui était assise toujours au même endroit avec une cigarette et ne faisait plus rien." Parce que le fait de fumer n'empêche pas de s'activer à quelque chose (lol)

mais bon, je suis sans doute de parti pris, étant fumeuse ! (ben oui, quoi !)

Attention aussi à l'orthographe.

Les nombreuses erreurs de langue gênent la lecture, je vous indique ci-dessous celles que j'ai relevées, avec quelques astuces pour les éviter à l'avenir. Sinon, effectivement, le texte manque cruellement de surprise.

Bienvenue sur Vos Écrits, à vous lire bientôt.

Mes remarques de langue :
« On la (et non l’a) côtoyait avec plaisir »
« Je toussai, devins même étourdi »
« je fis la sourde oreille à ces accès de colère et continuai à inhaler la fumée »
« Souvent je me glissais (l’imparfait s’impose ici et non le passé simple « glissai », d’ailleurs vous avez bien conjugué le verbe suivant de la phrase) derrière cet écran de fumée et je rêvassais »
« Un jour je m’achetai un porte-cigarettes (je pense qu’une virgule serait intéressante ici, ou mieux, un point-virgule) je t’y insérai tout au bout et d’un coup j’étais devenu quelqu’un, j’existais (l’imparfait s’impose ici et non le passé simple « j’existai », d’ailleurs vous avez conjugué correctement les deux « j’étais » avant et après ce verbe), j’étais a la hauteur du monde, plus, j’en faisais partie »
« Très vite tu fis partie (et puis la répétition de l’expression « faire partie se voit, je trouve)[/b] de ma vie »
« Je t’associai à mes moments de détente, à mes discussions intéressantes, à mes rencontres entre amis où (et non « ou » ; essayez de remplacer votre « ou » par « ou bien » : « Je t’associai à mes moments de détente, à mes rencontres entre amis ou bien on s’amusait bien ». Vous voyez que ça ne veut rien dire : ici, « où » est un pronom relatif, « je t’associais à mes rencontres entre amis pendant lesquelles on s’amusait bien », cette forme a un sens, on écrit « où ») on rigolait (une virgule serait préférable ici, je pense) où (même remarque qu’un peyu avant) on s’amusait bien »
« Ta fourberie alla jusqu'à me laisser (essayez de remplacer par un autre verbe : « Ta fourberie alla jusqu’à me vendre que je ne serais plus rien sans toi » ; donc : infinitif pour le verbe) croire que je ne serais plus rien sans toi, que je n’arriverais même plus ni à penser, ni à réfléchir »
« je te repris et j’eus tôt fait de recréer mon enfer où (« mon enfer dans lequel je replongeai ») je replongeai avec avidité »
« Tu me suivais partout, étais présente tout le temps »
« j’étais devenue (puisque la narratrice est une femme, on le voit un peu plus haut) ton esclave »
« Les gens me connaissaient bien (manque un point ici, je pense) J’étais celle »
« Un jour je me retrouvai avachie par terre »
« Tu me prives de ma vie, me voles (vous avez bien conjugué le verbe juste avant) mon énergie »
« Avec toi j’ai côtoyé (essayez avec un autre verbe : « Avec toi j’ai mordu la mort » ; il faut donc le participe passé du verbe) la mort a plusieurs reprises »
« Mais un jour viendra où (« un jour viendra dans lequel la volonté ») la volonté »
« tu demeureras une ennemie implacable, sournoise qu’il faut combattre a tout prix (manque le point final) »

Merci socque pour ton commentaires. Tu as raison il y a de nombreuses fautes. Tu m'as donné de bos trucs: « Ta fourberie alla jusqu’à me vendre que je ne serais plus rien sans toi et « Avec toi j’ai mordu la mort . Superbe comme idée. Des fautes on peux toujours les corriger mais des expressions comme celles là on arrive pas toujours a les trouver.
On se croirait en plein cours de grammaire française.Pour un site de prose et poésie il y manque le charme des émotions exprimées a la lecture d'un récit.

Merci Reginelle pour ton commentaire. Vous avez raison tous les deux je dévoile trop vite. Mes amis en ont fait la remarque moi je n'y avais pas pensé.
Certainement que tu as un parti pris puisque que tu es une fumeuse. Je te conseille fortement d'arrêter de fumer, n'attends pas d'être aussi malade que moi. J'ai 63 ans et je suis branché sur l'oxigène toute les nuits et le jour quand je marche j'ai beaucoup de difficultés a respirer. J'essaie d'arrêter de fumer mais je n'y arrive pas. Ne fais pas comme moi.

La modération je prendrai contact avec vous demain.


< Ce n'est pas ici qu'il faut répondre aux commentaires sur vos textes...
Et en attendant, une courte présentation ICI svp, merci.
La Modération >
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Rolande a écrit:La modération je prendrai contact avec vous demain.

Demain c'est aujourd'hui... ;-)
Toujours rien dans la boite du modérateur

< Toujours rien aujourd'hui 24 mars malgré les dires de Rolande...
La Modération >
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