Exercices de stylo
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Re: Exercices de stylo
Mon plafond avait un air profond
Le pinceau à la main
Les pieds sur le dernier barreau de l'échelle
Je me sentais pousser des ailes
Je décidais de tout lâcher
Garder la main serrée
Sur ce pinceau
Plonger dans ce plafond
Me perdre dans son tréfond
Oublier la réalité
La saveur des moments d'éternité.
Le pinceau à la main
Les pieds sur le dernier barreau de l'échelle
Je me sentais pousser des ailes
Je décidais de tout lâcher
Garder la main serrée
Sur ce pinceau
Plonger dans ce plafond
Me perdre dans son tréfond
Oublier la réalité
La saveur des moments d'éternité.
Mariemousse- Nombre de messages : 12
Age : 54
Localisation : Montréal
Date d'inscription : 23/10/2010
Mauvaise blague en mauvais alexandrins
Accroché au pinceau, j'avais l'air vraiment con
Même pas au milieu de ce foutu plafond,
Sans rien sous les orteils qu'un peu d'air, et encore
La fenêtre fermée n'en délivrait que fort
Peu. L'escabeau là-bas au loin se carapat'
Et le fou qui l'emport' se dilate la rate.
Même pas au milieu de ce foutu plafond,
Sans rien sous les orteils qu'un peu d'air, et encore
La fenêtre fermée n'en délivrait que fort
Peu. L'escabeau là-bas au loin se carapat'
Et le fou qui l'emport' se dilate la rate.
Invité- Invité
Re: Exercices de stylo
Il lui avait dit "t'es une vraie blonde
et les blondes c'est bas de plafond"
Elle voulait pas compter pour une prune
alors elle s'est repeinte en brune
elle avait encore sa brosse à la main
dans l'autre sa truelle
quand juché sur son escabeau
le nabot s'est fait la belle
il avait escamoté l'échelle
de ses mensurations
et elle restait plantée là le bras en l'air
accrochée à ses convictions
ne voyant pas que touchant le plafond
même en brune elle avait encore pied
et les blondes c'est bas de plafond"
Elle voulait pas compter pour une prune
alors elle s'est repeinte en brune
elle avait encore sa brosse à la main
dans l'autre sa truelle
quand juché sur son escabeau
le nabot s'est fait la belle
il avait escamoté l'échelle
de ses mensurations
et elle restait plantée là le bras en l'air
accrochée à ses convictions
ne voyant pas que touchant le plafond
même en brune elle avait encore pied
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Exercices de stylo
H. P. Lovecraft
J’ignore ce qui est arrivé, tout ce que j’ai cru voir devra être pris avec les plus grandes précautions tant ces faits sont contraires à notre logique. J’ai repris conscience couvert de contusions, au pied de l’échelle renversée ; à mes côtés reposaient les restes déchiquetés de mon frère ; il n’y avait dans l’espace exigu de l’appartement nulle trace de quoi que ce soit d’autre. Je n’ai rien à voir dans sa mort atroce, un simple examen de ses blessures vous montrera que rien d’humain n’aurait pu lui infliger pareil traitement.
Mon frère et moi travaillions comme peintres en bâtiment pour une petite entreprise familiale d’architecture. Le patron, notre oncle, reçut un jour une commande pour refaire la peinture d’un appartement du quartier pauvre de la ville.
Nous nous y rendîmes immédiatement et atteignîmes assez vite un immeuble posé sous un ciel sombre. Sur les trottoirs alentours, de nombreux yeux nous observaient ; il y avait dans l’air et la physionomie de ces gens quelques chose qui me mettait inexplicablement mal à l’aise. Heureusement, décharger la camionnette fut rapide et deux voyages suffirent à emmener dans l’appartement les pinceaux, brosses, pots de peinture, toiles de protection et l’escabeau.
Le propriétaire, M. Chanvrier, nous attendait et nous accueillit cordialement, avec une sorte de crainte qu’il tentait de dissimuler. Il nous fit part de ses instructions : repeindre en blanc les murs et le plafond du petit logement.
Nous en fîmes tous les trois le tour. L’intérieur était moins en mauvais état que l’extérieur. Il ne restait que les fenêtres et les murs, lesquels étaient peinturlurés d’inscriptions brunes. On y voyait des mots en français, du latin, des suites de lettres sans signification (ou dans une langue inconnue), des formes géométriques, des pictogrammes. L’entrelacement de courbes, d’étoiles, d’yeux et de silhouettes stylisées me mit mal à l’aise, je n’arrivais pas à décider s’il s’agissait de la production d’un fou ou d’une œuvre issue d’une culture inconnue. En tout cas, l’ensemble ne semblait pas humain.
– Qu’est-ce que c’est ? demanda mon frère.
– Je n’en sais rien, répondit M. Chanvrier. Il y a eu un meurtre horrible et non-élucidé ici il y a quelques années, l’un des locataires a disparu et l’autre a été retrouvé atrocement mutilé. Ces dessins étaient déjà anciens, la police scientifique a établi qu’ils ont été tracés avec du sang humain. Celui des locataires eux-mêmes.
Je déglutis. Il conclut :
– Pas d’inquiétude, vous n’allez pas détruire des pièces à conviction, le dossier a été fermé il y a peu de temps et le logement est à nouveau à ma disposition.
Puis il partit.
Nous installâmes le matériel et commencèrent à recouvrir les murs de peinture blanche, face par face. Malgré la lumière électrique, la disparition progressive de la funeste décoration donnait peu à peu un air moins sinistre à l’appartement.
Une fois les murs recouverts de couches masquant parfaitement leur aspect mystique, nous passâmes au plafond. L’escabeau posé sur des draps protégeant le sol, je grimpai à l’échelle, brandissant mon pinceau comme un glaive puis, perché au sommet de l’échafaudage métallique, j’attaquai à l’aide de mon épée blanchie le gros dessin unique ornant cette paroi horizontale, une étoile à cinq branches portant un œil schématisé en son centre. Une fois ce dragon d’hémoglobine sèche vaincu, le courant fut subitement coupé et l’obscurité tomba, la lumière extérieure ne suffisant plus pour voir assez bien.
– Qu’est-ce qu’on fait, Patrick ? lançai-je depuis ma position perchée.
– Ne bouge pas, je vais voir le disjoncteur. Si je n’arrive pas à rétablir le courant, je demande à Tonton le numéro de téléphone de M. Chanvrier et savoir quand repasser finir notre boulot.
C’est à cet instant que le cauchemar commença vraiment. J’entendis un craquement sec retentir au dessus, puis une silhouette indistincte tomba du plafond, devant moi, avant d’atterrir sur le sol avec un bruit humide répugnant.
– C’était quoi, Christophe ? me lança mon frère.
– Je n’en sais rien, il fait trop noir.
Mon frère ne bougeait pas, moi non plus. Figé dans une posture à la fois instable et hiératique, je tendais l’oreille. Une sorte de tapotement mouillé, presque imperceptible, se faisait entendre. Peu après, mon frère poussa un hurlement atroce :
– Cette chose m’a touché ! C’est glacial et ça brûle ! Je… j’ai maaaaaaaaaaaaal !
Suivit un bruit épouvantable de chairs déchirées et un bruit de lutte.
– Ca veut m’emporter ! C’est très robuste et je ne sais pas si je vais tenir !
Puis il poussa un dernier cri :
– Accroche-toi au pinceau, je suis agrippé à l’échelle !
Mon frère et moi travaillions comme peintres en bâtiment pour une petite entreprise familiale d’architecture. Le patron, notre oncle, reçut un jour une commande pour refaire la peinture d’un appartement du quartier pauvre de la ville.
Nous nous y rendîmes immédiatement et atteignîmes assez vite un immeuble posé sous un ciel sombre. Sur les trottoirs alentours, de nombreux yeux nous observaient ; il y avait dans l’air et la physionomie de ces gens quelques chose qui me mettait inexplicablement mal à l’aise. Heureusement, décharger la camionnette fut rapide et deux voyages suffirent à emmener dans l’appartement les pinceaux, brosses, pots de peinture, toiles de protection et l’escabeau.
Le propriétaire, M. Chanvrier, nous attendait et nous accueillit cordialement, avec une sorte de crainte qu’il tentait de dissimuler. Il nous fit part de ses instructions : repeindre en blanc les murs et le plafond du petit logement.
Nous en fîmes tous les trois le tour. L’intérieur était moins en mauvais état que l’extérieur. Il ne restait que les fenêtres et les murs, lesquels étaient peinturlurés d’inscriptions brunes. On y voyait des mots en français, du latin, des suites de lettres sans signification (ou dans une langue inconnue), des formes géométriques, des pictogrammes. L’entrelacement de courbes, d’étoiles, d’yeux et de silhouettes stylisées me mit mal à l’aise, je n’arrivais pas à décider s’il s’agissait de la production d’un fou ou d’une œuvre issue d’une culture inconnue. En tout cas, l’ensemble ne semblait pas humain.
– Qu’est-ce que c’est ? demanda mon frère.
– Je n’en sais rien, répondit M. Chanvrier. Il y a eu un meurtre horrible et non-élucidé ici il y a quelques années, l’un des locataires a disparu et l’autre a été retrouvé atrocement mutilé. Ces dessins étaient déjà anciens, la police scientifique a établi qu’ils ont été tracés avec du sang humain. Celui des locataires eux-mêmes.
Je déglutis. Il conclut :
– Pas d’inquiétude, vous n’allez pas détruire des pièces à conviction, le dossier a été fermé il y a peu de temps et le logement est à nouveau à ma disposition.
Puis il partit.
Nous installâmes le matériel et commencèrent à recouvrir les murs de peinture blanche, face par face. Malgré la lumière électrique, la disparition progressive de la funeste décoration donnait peu à peu un air moins sinistre à l’appartement.
Une fois les murs recouverts de couches masquant parfaitement leur aspect mystique, nous passâmes au plafond. L’escabeau posé sur des draps protégeant le sol, je grimpai à l’échelle, brandissant mon pinceau comme un glaive puis, perché au sommet de l’échafaudage métallique, j’attaquai à l’aide de mon épée blanchie le gros dessin unique ornant cette paroi horizontale, une étoile à cinq branches portant un œil schématisé en son centre. Une fois ce dragon d’hémoglobine sèche vaincu, le courant fut subitement coupé et l’obscurité tomba, la lumière extérieure ne suffisant plus pour voir assez bien.
– Qu’est-ce qu’on fait, Patrick ? lançai-je depuis ma position perchée.
– Ne bouge pas, je vais voir le disjoncteur. Si je n’arrive pas à rétablir le courant, je demande à Tonton le numéro de téléphone de M. Chanvrier et savoir quand repasser finir notre boulot.
C’est à cet instant que le cauchemar commença vraiment. J’entendis un craquement sec retentir au dessus, puis une silhouette indistincte tomba du plafond, devant moi, avant d’atterrir sur le sol avec un bruit humide répugnant.
– C’était quoi, Christophe ? me lança mon frère.
– Je n’en sais rien, il fait trop noir.
Mon frère ne bougeait pas, moi non plus. Figé dans une posture à la fois instable et hiératique, je tendais l’oreille. Une sorte de tapotement mouillé, presque imperceptible, se faisait entendre. Peu après, mon frère poussa un hurlement atroce :
– Cette chose m’a touché ! C’est glacial et ça brûle ! Je… j’ai maaaaaaaaaaaaal !
Suivit un bruit épouvantable de chairs déchirées et un bruit de lutte.
– Ca veut m’emporter ! C’est très robuste et je ne sais pas si je vais tenir !
Puis il poussa un dernier cri :
– Accroche-toi au pinceau, je suis agrippé à l’échelle !
Psychopompos- Nombre de messages : 19
Age : 38
Date d'inscription : 20/10/2010
Re: Exercices de stylo
(super Lovecraft)
Commercial.
N.Y. d.c., 8:00 a.m. Siège de la Hairbrush S.A. A.G. des actionnaires.
Mr Junior Tood Dummond : "Voici à présent le graphique de nos bénéfices annuels. Comme vous voyez, nous avons augmenté notre chiffre de 25% Malheureusement, selon nos experts en marketting, il est probable que nous atteignions un plafond dans 2 ou 3 ans.
Mr Binz : "Ah ? Et pourquoi donc ?"
Mr Junior Tood Dummond : Et bien, selon cette enquête, nous avons écrasé toute la concurrence, et nous avons désormais le monopole dans le secteur du pinceau. C'est un secteur difficile à dynamiser, impossible de fidéliser notre clientèle, qui n'achète notre produit qu'en cas de besoin.
Mr Binz : "Et comment pourrions-nous augmenter nos bénéfices alors ?"
Mr Junior Tood Dummond : "et bien il n'y a guère que deux possibilités:
1. Rendre le produit moins résistant pour dynamiser nos ventes
2. Diversifier notre production. Nous pourrions nous lancer dans le rouleau, la brosse, la truelle...
Mr George Washington Brush (père) : "Ah non, c'est intolérable ! Sachez, jeune homme, que mon arrière-arrière-grand père, qui a fondé cette compagnie, capturait lui-même les mustangs dans les canyons de l'Arizona pour leur couper le crin, au risque de sa vie. Et vous savez pourquoi ? Pour obtenir le pinceau le plus résistant et durable à l'Ouest du Pécos. De là vient le succès de notre compagnie. La qualité et la tradition. Les pinceaux Hairbrush ont servi à peindre la maison blanche, ils étaient à Midway ou à Hiroshima pour décorer les bombes, et maintenant, voilà qu'un petit trou du cul fraîchement sorti d'Harvard veut en finir avec une tradition familiale et patriotique aussi vieille que ce pays ? Bullshit !
Junior Tood Dummond : "Désolé mister Brush, mais il n'y a pas d'autre alternative. A l'échelle nationale le marché est saturé, nous sommes condamnés à plafonner."
Mr George Washnigton Brush Junior : " Je crois que papa a raison. Accrochons-nous au pinceau, mais retirons l'échelle. Essayons de conquérir le marché international pour éviter de plafonner"
Commercial.
N.Y. d.c., 8:00 a.m. Siège de la Hairbrush S.A. A.G. des actionnaires.
Mr Junior Tood Dummond : "Voici à présent le graphique de nos bénéfices annuels. Comme vous voyez, nous avons augmenté notre chiffre de 25% Malheureusement, selon nos experts en marketting, il est probable que nous atteignions un plafond dans 2 ou 3 ans.
Mr Binz : "Ah ? Et pourquoi donc ?"
Mr Junior Tood Dummond : Et bien, selon cette enquête, nous avons écrasé toute la concurrence, et nous avons désormais le monopole dans le secteur du pinceau. C'est un secteur difficile à dynamiser, impossible de fidéliser notre clientèle, qui n'achète notre produit qu'en cas de besoin.
Mr Binz : "Et comment pourrions-nous augmenter nos bénéfices alors ?"
Mr Junior Tood Dummond : "et bien il n'y a guère que deux possibilités:
1. Rendre le produit moins résistant pour dynamiser nos ventes
2. Diversifier notre production. Nous pourrions nous lancer dans le rouleau, la brosse, la truelle...
Mr George Washington Brush (père) : "Ah non, c'est intolérable ! Sachez, jeune homme, que mon arrière-arrière-grand père, qui a fondé cette compagnie, capturait lui-même les mustangs dans les canyons de l'Arizona pour leur couper le crin, au risque de sa vie. Et vous savez pourquoi ? Pour obtenir le pinceau le plus résistant et durable à l'Ouest du Pécos. De là vient le succès de notre compagnie. La qualité et la tradition. Les pinceaux Hairbrush ont servi à peindre la maison blanche, ils étaient à Midway ou à Hiroshima pour décorer les bombes, et maintenant, voilà qu'un petit trou du cul fraîchement sorti d'Harvard veut en finir avec une tradition familiale et patriotique aussi vieille que ce pays ? Bullshit !
Junior Tood Dummond : "Désolé mister Brush, mais il n'y a pas d'autre alternative. A l'échelle nationale le marché est saturé, nous sommes condamnés à plafonner."
Mr George Washnigton Brush Junior : " Je crois que papa a raison. Accrochons-nous au pinceau, mais retirons l'échelle. Essayons de conquérir le marché international pour éviter de plafonner"
Invité- Invité
Re: Exercices de stylo
Deux petites remarques et un grand bravo pour Lovecraft :
Nous installâmes le matériel etcommencèrent à recouvrir les murs de peinture blanche, face par face.
Et, généralement, on commence par le plafond... dommage !
Nous installâmes le matériel et
Et, généralement, on commence par le plafond... dommage !
Invité- Invité
Re: Exercices de stylo
Quand même, vous êtes forts par ici.
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Re: Exercices de stylo
Ceux qui sont très forts, ce sont ceux de la modération, qui recollent les petites erreurs laissées ici et là, discrètement. Merci
Invité- Invité
Re: Exercices de stylo
Qui des deux est le plus fou ?
Le fou qui s’accroche au pinceau comme on s’accroche à ses rêves ?
Ou le sage qui soutient qu’elle est seule garante de l’équilibre, de la vie de l’homme accroché au pinceau ?
S’accrocher au pinceau, repeindre le ciel en blanc quoiqu’en disent les sages qui s’aggripent à l’échelle si fort qu’ils s’en vont avec elle et laissent au fou l’illusion de l’envol.
Le fou qui s’accroche au pinceau comme on s’accroche à ses rêves ?
Ou le sage qui soutient qu’elle est seule garante de l’équilibre, de la vie de l’homme accroché au pinceau ?
S’accrocher au pinceau, repeindre le ciel en blanc quoiqu’en disent les sages qui s’aggripent à l’échelle si fort qu’ils s’en vont avec elle et laissent au fou l’illusion de l’envol.
mir0ir0bscur- Nombre de messages : 91
Age : 59
Date d'inscription : 05/11/2010
Re: Exercices de stylo
Quand le peintre montre le plafond du doigt, l'idiot regarde l'échelle.
Psychopompos- Nombre de messages : 19
Age : 38
Date d'inscription : 20/10/2010
Re: Exercices de stylo
up (s'il y a des nouveaux qui voudraient participer ...)
Porno
Cette grosse s**** de Cynthia a engagé un ouvrier pour repeindre sa chambre, mais comme il n'arrive pas, elle a pris une échelle et a commencé à peinturlurer son plafond. Et pour ne pas se tacher, la voilà qui retire ses vêtements, cette espèce de ****. Regardez-là, comme elle est **** avec ses gros ***** comme des melons et sa ****** turgescente, elle est vraiment très *****, cette ***** de Cynthia.
Mais bientôt, Kevin, l'ouvrier, ouvre la porte. En voyant les **** tumescents et les **** de Cynthia qui s'agitent devant ses yeux, il retire violemment l'échelle, et accroche cette **** à son gros pinceau à poils frisés, pour lui barbouiller le **** à la peinture blanche.
Illustration ci-dessous :
Porno
Cette grosse s**** de Cynthia a engagé un ouvrier pour repeindre sa chambre, mais comme il n'arrive pas, elle a pris une échelle et a commencé à peinturlurer son plafond. Et pour ne pas se tacher, la voilà qui retire ses vêtements, cette espèce de ****. Regardez-là, comme elle est **** avec ses gros ***** comme des melons et sa ****** turgescente, elle est vraiment très *****, cette ***** de Cynthia.
Mais bientôt, Kevin, l'ouvrier, ouvre la porte. En voyant les **** tumescents et les **** de Cynthia qui s'agitent devant ses yeux, il retire violemment l'échelle, et accroche cette **** à son gros pinceau à poils frisés, pour lui barbouiller le **** à la peinture blanche.
Illustration ci-dessous :
- Spoiler:
- je le savais que t'allais cliquer ici, 'spèce d'obsédé
Invité- Invité
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