Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
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Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Louis! a écrit:éclaircie a écrit:prenons soin de nous.
Je trouve beaucoup de sagesse dans cette phrase
Calvin- Nombre de messages : 530
Age : 35
Date d'inscription : 22/05/2010
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
No comment.Camille Acristem a écrit:Bonjour.
La cloture d'envoi des textes c'est juin, n'est-ce pas ? C'est curieux comme celui contre lequel on hurlait à la méchanceté et sadisme est maintenant demandé de toute part. C'est ironique.
Easter, nul besoin de s'énerver et de m'insulter, cel vous ridiculise, vous auriez juste besoin de ne rien dire, ou de me le dire plus gentiment et j'aurais présenté de sincères excuses ; maintenant il en est hors de question.
Invité- Invité
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Camille, pour moi, nul besoin de relire tous les échanges qui précèdent, je pourrais jurer qu'Easter ne t'a insulté en aucune manière ! Ou alors c'est qu'elle aurait abusé de quelque chose d'illicite, qu'on l'aurait torturée sauvagement, tout ça.Camille Acristem a écrit:Easter, nul besoin de s'énerver et de m'insulter, cel vous ridiculise, vous auriez juste besoin de ne rien dire, ou de me le dire plus gentiment et j'aurais présenté de sincères excuses ; maintenant il en est hors de question.
Donc j'interviens juste une minute pour te demander de mettre un peu d'eau dans ton vin, de cesser d'accuser je ne sais qui de je ne sais quoi, de tenter d'avoir raison tout seul.
Je sais, ça peut arriver qu'on ait raison tout seul. Mais c'est rare.
On se calme, on se reprend.
Et on ne met pas d'huile sur un feu qui n'en a pas besoin plus que ça.
D'accord ?
Merci.
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Sinon ? Ben : BONJOUR VE !!!
De loin, toujours, mais là, c'est plutôt plein Est pour vous. ;-)
De loin, toujours, mais là, c'est plutôt plein Est pour vous. ;-)
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Aaaaaaaaaaaaahhh ! Je viens de comprendre que Mure était à nouveau pami nous ?
Que voilà une chouette nouvelle !!!
;-)
tu ne nous reviens pas blette au moins ???
Je sors
Que voilà une chouette nouvelle !!!
;-)
tu ne nous reviens pas blette au moins ???
Je sors
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Mure, mentor, Easter, Eclaircie
Que voilà du beau monde !
Bonjour à vous !
Et bonjour amis véliens qui passeront pas là : )
Que voilà du beau monde !
Bonjour à vous !
Et bonjour amis véliens qui passeront pas là : )
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Denis H, je déteste Victor Hugo. La grande référence du texte est un poète du XXe ; qui peut faire penser en terme de stature et de génie, à l'Académicien. Dommage. Et il n'y a rien d'Académique dans le rythme de ce poème, soyez plus attentif. Analysez la ponctuation, cela vous aidera ; pour le reste, il n'y a pas beaucoup de référence au XIXe sinon par ancienne stratification ; cherchez plutôt Gainsbourg, Vian and compagnie. Narcissique certainement, c'est une ode à mes différentes muses (d'où les chapitres). En fin de compte votre avis se respecte en tant que vous prîtes du temps à lire pour le concevoir.
Je vous remercie de vous être penché sur mon poème.
Mentor, je vous entends, je l'ignorerai à l'avenir, pour le bien de l'huile.
Je vous remercie de vous être penché sur mon poème.
Mentor, je vous entends, je l'ignorerai à l'avenir, pour le bien de l'huile.
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Ce n'est pas du tout ce que je te demandais.Camille Acristem a écrit:Mentor, je vous entends, je l'ignorerai à l'avenir
Et tu le sais.
Mais passons.
Le temps nous dira.
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Je suppose, je suppose facilement, merci, que ce "celui" pourrait être moi.Camille Acristem a écrit:Bonjour.
C'est curieux comme celui contre lequel on hurlait à la méchanceté et sadisme est maintenant demandé de toute part. C'est ironique.
Alors je me permets de répondre.
D'abord, j'ai mis un nom -le mien- sur des remarques plus générales qui, à l'évidence ne me visaient pas seul, voire, pour certaines, pas du tout ou périphériquement. (Je pourrais même nommer certaines personnes visées, ou m'amuser à citer des commentaires franchement agressifs de tel ou tel, y compris parmi le chœur des pleureuses.) Je l'ai fait parce que ces attaques vagues m'agaçaient.
Je ne pense pas pouvoir, à moi seul, n'est-ce pas, être "une ambiance générale"...
Ensuite, je me suis moi-même qualifié de "méchant", par auto-dérision et il ne me semble avoir lu nulle part le mot "sadisme". Enfin, Je n'ai jamais traité personne de nom d'oiseau ou de nazi (certain ponte local m'a qualifié ainsi), ni ne me suis lancé dans des attaques ad hominem (un contre exemple, d'indignation, ce matin). On m'a reproché mon ironie, que certains ont voulu entendre comme du mépris- ce que je regrette- et le fait que je défende mon sentiment en décortiquant les textes. J'en ai pris acte.
Libre à moi, désormais, de commenter autrement, de me taire ou de m'en aller.
Je n'ai pas entendu, non plus, d'appel autre que celui d'éclaircie- auquel j'ai répondu.
Laissez-moi en dehors de vos conflits, ils ne m'intéressent pas, non parce que j'aurais quelque grief envers vous mais tout simplement parce que les textes et eux-seuls m'amènent ici... et faites donc comme moi: changez, taisez-vous ou partez.
zenobi- Nombre de messages : 892
Age : 54
Date d'inscription : 03/09/2010
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
mentor a écrit:Salut Petit Prince ;-)
Peace, quiet, love
Dans ce monde de fous
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Je m'immisce, je voulais simplement dire que je trouve zenobi commentateur de qualité. Je regrette assez la banalité de mes ironies passées ; ça vaut aussi pour paradoxe.
Calvin- Nombre de messages : 530
Age : 35
Date d'inscription : 22/05/2010
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
camille : "La grande référence du texte est un poète du XXe ."
ah bon ? qui ça, je ne vois pas... au hasard je dis perse.
et oui c'est vrai que le premier vers est tiré d'une chanson de gainsbourg, c'est bien ça ?
gainsbourg dont le poète préféré est baudelaire, lui même tres influencé par ...
ah bon ? qui ça, je ne vois pas... au hasard je dis perse.
et oui c'est vrai que le premier vers est tiré d'une chanson de gainsbourg, c'est bien ça ?
gainsbourg dont le poète préféré est baudelaire, lui même tres influencé par ...
denis_h- Nombre de messages : 60
Age : 51
Localisation : paris
Date d'inscription : 14/04/2009
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
SJP, né le 31 mai 1887 - mort le 20 septembre 1975.
Peut-être devriez-vous le lire ?
"C'étaient de très grands vents sur toutes faces de ce monde,
De très grands vents en liesse par le monde, qui n'avaient d'aire ni de
gîte,
Qui n'avaient garde ni mesure, et nous laissaient, hommes de paille,
En l'an de paille sur leur erre. Ah ! oui, de très grands vents sur toutes
faces de vivants !
Flairant la pourpre, le cilice , flairant l'ivoire et le tesson, flairant le monde entier des choses,
Et qui couraient à leur office sur nos plus grands versets d'athlètes, de poètes,
C'étaient de très grands vents en quête sur toutes pistes de ce monde,
Sur toutes choses périssables, sur toutes choses saisissables, parmi le monde entier des choses ...
Et d'éventer l'usure et la sécheresse au coeur des hommes investis,
Voici qu'ils produisaient ce goût de paille et d'aromates, sur toutes places de nos villes,
Comme au soulèvement des grandes dalles publiques. Et le coeur nous levait
Aux bouches mortes des Offices . Et le dieu refluait des grands ouvrages de l'esprit.
Car tout un siècle s'ébruitait dans la sécheresse de sa paille, parmi d'étranges désinences : à bout de cosses, de siliques, à bout de choses frémissantes,
Comme un grand arbre sous ses hardes et ses haillons de l'autre hiver, portant livrée de l'année morte;
Comme un grand arbre tressaillant dans ses crécelles de bois mort et ses corolles de terre cuite - Très grand arbre mendiant qui a fripé son patrimoine, face
brûlée d'amour et de violence où le désir encore va chanter. "Ô toi désir qui vas chanter…" Et ne voilà-t-il pas déjà toute ma page elle-même bruissante,
Comme ce grand arbre de magie sous sa pouillerie d'hiver:
vain de son lot d'icônes, de fétiches, Berçant dépouilles et spectres de locustes ; léguant,
liant au vent du ciel filiales d'ailes et d'essaims, lais et relais du plus haut verbe -Ha! très grand arbre du langage peuplé d'oracles, de maximes et murmurant murmure d'aveugle-né dans les quinconces du savoir ..."
Peut-être devriez-vous le lire ?
"C'étaient de très grands vents sur toutes faces de ce monde,
De très grands vents en liesse par le monde, qui n'avaient d'aire ni de
gîte,
Qui n'avaient garde ni mesure, et nous laissaient, hommes de paille,
En l'an de paille sur leur erre. Ah ! oui, de très grands vents sur toutes
faces de vivants !
Flairant la pourpre, le cilice , flairant l'ivoire et le tesson, flairant le monde entier des choses,
Et qui couraient à leur office sur nos plus grands versets d'athlètes, de poètes,
C'étaient de très grands vents en quête sur toutes pistes de ce monde,
Sur toutes choses périssables, sur toutes choses saisissables, parmi le monde entier des choses ...
Et d'éventer l'usure et la sécheresse au coeur des hommes investis,
Voici qu'ils produisaient ce goût de paille et d'aromates, sur toutes places de nos villes,
Comme au soulèvement des grandes dalles publiques. Et le coeur nous levait
Aux bouches mortes des Offices . Et le dieu refluait des grands ouvrages de l'esprit.
Car tout un siècle s'ébruitait dans la sécheresse de sa paille, parmi d'étranges désinences : à bout de cosses, de siliques, à bout de choses frémissantes,
Comme un grand arbre sous ses hardes et ses haillons de l'autre hiver, portant livrée de l'année morte;
Comme un grand arbre tressaillant dans ses crécelles de bois mort et ses corolles de terre cuite - Très grand arbre mendiant qui a fripé son patrimoine, face
brûlée d'amour et de violence où le désir encore va chanter. "Ô toi désir qui vas chanter…" Et ne voilà-t-il pas déjà toute ma page elle-même bruissante,
Comme ce grand arbre de magie sous sa pouillerie d'hiver:
vain de son lot d'icônes, de fétiches, Berçant dépouilles et spectres de locustes ; léguant,
liant au vent du ciel filiales d'ailes et d'essaims, lais et relais du plus haut verbe -Ha! très grand arbre du langage peuplé d'oracles, de maximes et murmurant murmure d'aveugle-né dans les quinconces du savoir ..."
zenobi- Nombre de messages : 892
Age : 54
Date d'inscription : 03/09/2010
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
lu le recueil "amer" en livre de poche il y a longtemps, zenobi. ça ne m a pas marqué, à vrai dire...
denis_h- Nombre de messages : 60
Age : 51
Localisation : paris
Date d'inscription : 14/04/2009
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Feu de paille ne dure pas longtemps
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Zut, ce n'était pas le bon fil...
... et puis finalement, c'est bien ici.
... et puis finalement, c'est bien ici.
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Il est dans les références, mais non, le principal était Aragon. Gainsbourg aimait beaucoup Baudelaire, certes, mais il était un esthète épure ; tous mes vers sont fort simples en soi, et ne se complexifient qu'en abîme du suivant. Il n'y a rien qui ne veuille rien dire dans ce texte - et puis, zut, je n'ai pas à le justifier. Il vous semble mauvais, tant pis, ou tant mieux, qu'importe au fond, je l'avais mis ici comme ma perle, manifestement vous n'y comprenez rien, ou je ne vous comprends pas, c'est la même chose. Ce n'est pas un poème à lire dans sa tête, non plus qu'à lire en dix minutes. Vous le trouvez exhibitionniste alors qu'il est au contraire infiniment pudique, même en terme de technique ; j'ai usé de formes rares et précieuses qui ne sont pas tape-à-l'oeil. Bon, sujet définitivement clos, je ne reviendrai pas là-dessus.
Si vous-même faites le choix de n'avoir que ces trois alternatives, cela vous regarde, au fond, partir, changer ou rester. C'est une sorte de manque de liberté. Je la pense irréductible, la mienne, de liberté. Je fais ce que je veux si je l'estime juste, même me suicider, par exemple. Je refuse de cautionner des attitudes qui me semblent malsaines et qui engendrent des miasmes putrides, à terme. Je veux l'assainissement des relations, pour cela qu'on me déteste aisément ; et je ne parle pas tant de mon "moi" que d'un procédé général et répandu. C'est une posture esthétique qui ne m'est pas propre ; je refuse parfaitement de me formater à l'usage d'une association de prétendus poètes sous le prétexte qu'ils sont mes aînés de vingt ans et que, en groupe par la force du nombre, ils détiennent la Vérité et le Sensible. Désolé. Pourtant ça ne m'empêche pas de tenir férocement à venir donner mon avis, absolutiste et dense, sur des parties poétiques, ou du moins qui s'en prétendent. Bref.
Je peux aussi arrêter d'intervenir - et je ne dis ça que pour parole, non pour menace, je m'en fous de vos avis (si je ne m'en foutais pas, il y a longtemps que je serais mort, tout simplement). Ce que vous prenez pour du mépris en est, tout simplement, mais non de vos êtres, juste de ce dont vous témoignez dans ce chapitre par lequel je vis. Et de vos avis dogmatiques (le refus de tout dogme est dogmatique, lui-même), imbus d'eux-même par le communautarisme, votre absence de remise en cause, votre complaisance, votre bon-pensantisme. Je me suis déjà justifié du pourquoi je restais ici, et dont l'explication ne saurait se résumer au verbe 'rester'. J'ignorerai qui le souhaite et vous m'ignorerez en retour, et finalement je serai probablement dans une errance solitaire sur ce forum. "Mais attention, vous bâtissez sur du pourri, les familles perdent toujours !" Vous limitez votre poésie à vos vers et vos mots. Tss.
Si vous-même faites le choix de n'avoir que ces trois alternatives, cela vous regarde, au fond, partir, changer ou rester. C'est une sorte de manque de liberté. Je la pense irréductible, la mienne, de liberté. Je fais ce que je veux si je l'estime juste, même me suicider, par exemple. Je refuse de cautionner des attitudes qui me semblent malsaines et qui engendrent des miasmes putrides, à terme. Je veux l'assainissement des relations, pour cela qu'on me déteste aisément ; et je ne parle pas tant de mon "moi" que d'un procédé général et répandu. C'est une posture esthétique qui ne m'est pas propre ; je refuse parfaitement de me formater à l'usage d'une association de prétendus poètes sous le prétexte qu'ils sont mes aînés de vingt ans et que, en groupe par la force du nombre, ils détiennent la Vérité et le Sensible. Désolé. Pourtant ça ne m'empêche pas de tenir férocement à venir donner mon avis, absolutiste et dense, sur des parties poétiques, ou du moins qui s'en prétendent. Bref.
Je peux aussi arrêter d'intervenir - et je ne dis ça que pour parole, non pour menace, je m'en fous de vos avis (si je ne m'en foutais pas, il y a longtemps que je serais mort, tout simplement). Ce que vous prenez pour du mépris en est, tout simplement, mais non de vos êtres, juste de ce dont vous témoignez dans ce chapitre par lequel je vis. Et de vos avis dogmatiques (le refus de tout dogme est dogmatique, lui-même), imbus d'eux-même par le communautarisme, votre absence de remise en cause, votre complaisance, votre bon-pensantisme. Je me suis déjà justifié du pourquoi je restais ici, et dont l'explication ne saurait se résumer au verbe 'rester'. J'ignorerai qui le souhaite et vous m'ignorerez en retour, et finalement je serai probablement dans une errance solitaire sur ce forum. "Mais attention, vous bâtissez sur du pourri, les familles perdent toujours !" Vous limitez votre poésie à vos vers et vos mots. Tss.
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
bonsoir à tous.
existe-t-il un fil "anthologie" , je sais je suis paresseuse à ces heures et avez vous déjà pensé faire un chapitre anthologie si oui pourquoi n'existe-t-il pas (ça doit être une question de poids) sinon, est-ce une idée qui peut être étudiée ?
(c'est assez lourd de naviguer sur le net pour trouver les poèmes poètes les meilleurs (aux yeux de chacun, bien sûr, pour moi c'est Reverdy mon préféré, mais je n'ai pas encore lu la pléiade entièrement, lol)
(ce n'était pas le bon fil, tant pis, je suis Bertrand-Môgembre et laisse là..)
existe-t-il un fil "anthologie" , je sais je suis paresseuse à ces heures et avez vous déjà pensé faire un chapitre anthologie si oui pourquoi n'existe-t-il pas (ça doit être une question de poids) sinon, est-ce une idée qui peut être étudiée ?
(c'est assez lourd de naviguer sur le net pour trouver les poèmes poètes les meilleurs (aux yeux de chacun, bien sûr, pour moi c'est Reverdy mon préféré, mais je n'ai pas encore lu la pléiade entièrement, lol)
(ce n'était pas le bon fil, tant pis, je suis Bertrand-Môgembre et laisse là..)
Invité- Invité
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Sur-ce, je vais passer une heure dans une laverie. Salut !
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Camille! Je, je, je, je JE JE JEJEJEJEJE... Relevez vos pronoms personnels. Un peu de modestie: c'est un des risques d'écrire que d'être lu, même si l'on écrit pas pour ses lecteurs. Vous fâchez pas.
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
tiens donc, aragon, je n'y aurait pas pensé, il faut dire que je l'ai tres peu lu, juste qque textes en anthologie...
denis_h- Nombre de messages : 60
Age : 51
Localisation : paris
Date d'inscription : 14/04/2009
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Bonsoir par ici
Bon retour aux revenantes et semi-revenants.
Lyra et Easter je vous prête mon val quand vous voulez, en cas de besoin...
Sur ce, j'ai une fin d'"Armée furieuse" qui m'attend !
ennob eérios :-) (les initiés comprendront)
Bon retour aux revenantes et semi-revenants.
Lyra et Easter je vous prête mon val quand vous voulez, en cas de besoin...
Sur ce, j'ai une fin d'"Armée furieuse" qui m'attend !
ennob eérios :-) (les initiés comprendront)
elea- Nombre de messages : 4894
Age : 51
Localisation : Au bout de mes doigts
Date d'inscription : 09/04/2010
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Solfa vous êtes hors sujet et incapable de comprendre ce qui vient d'être dit (notez l'ellipse pronominale) parce que vous considérez l'art comme une démocratie ; ce qui dans sa perception est un droit, dans sa saisine une présomption. Difficile de saisir en quoi inverser l'ordre des lettres est recours initiatique, mais il ne l'est au contraire pas d'admirer le soleil s'inclinant un peu derrière Paris.
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Hello, Mûre !
Hello Easter, Alex, Zen Hobbit, Elea, Eclaircie, sage Bertrand, Reb et Boc, Louis! et quelques autres ( j'ai la flemme...! Pis vous n'avez qu'à vous mettre en rang !)
Je m'arme d'une férule et vais vous lire un peu.
Hello Easter, Alex, Zen Hobbit, Elea, Eclaircie, sage Bertrand, Reb et Boc, Louis! et quelques autres ( j'ai la flemme...! Pis vous n'avez qu'à vous mettre en rang !)
Je m'arme d'une férule et vais vous lire un peu.
Invité- Invité
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Coucou coline ;o)
Bonnes lectures !
Bonnes lectures !
boc21fr- Nombre de messages : 4770
Age : 54
Localisation : Grugeons, ville de culture...de vin rouge et de moutarde
Date d'inscription : 03/01/2008
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Camille Acristem a écrit:Solfa vous êtes hors sujet et incapable de comprendre ce qui vient d'être dit (notez l'ellipse pronominale) parce que vous considérez l'art comme une démocratie ; ce qui dans sa perception est un droit, dans sa saisine une présomption. Difficile de saisir en quoi inverser l'ordre des lettres est recours initiatique, mais il ne l'est au contraire pas d'admirer le soleil s'inclinant un peu derrière Paris.
Bon. J'ai retenu la leçon. Maintenant je viens ici pour dire les choses.
Et là... Oh mon dieu mais... Oui... Camille... Je ne sais pas si tu le fais exprès mais... C'est incroyable comme tu peux être détestable.
Tout y est!
J'en ai des frissons. Sans déconner. Comme lorsque j'ai tenté de regarder les anges de la téléréalité hier soir.
Et pourtant internet n'a que très peu d'effet sur moi. Mais là, oui, franchement, sur le terrain de l'orgueil virtuel je suis battu.
Ah ce TON! AH! Brrrrr...
Après peut-être es-tu un frustré qui se venge sur internet. Je sais pas. En fait plus je lis tes commentaires et plus je me demande comment tu arrives à aller aussi loin dans le mépris. Dingue!
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Meuh non ! Reviens voyons !mentor a écrit:Aaaaaaaaaaaaahhh ! Je viens de comprendre que Mure était à nouveau pami nous ?
Que voilà une chouette nouvelle !!!
;-)
tu ne nous reviens pas blette au moins ???
Je sors
P't'être bien que je n'ai plus aucun goût... j'ose pas poster mon poème alors on ne le saura sûrement jamais ! ^^
Et un bonsoir entre deux clopes aux Véliens-Émérites.
Mure- Nombre de messages : 1478
Age : 47
Localisation : Dans vos pensées burlesques.
Date d'inscription : 12/06/2009
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Sinon ça va les gens? Moi ça va. Je reviens du qi-qong je me sens ZEN! Je suis à la fois plein d'énergies et apaisé.
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Bah on dirait pas...
Moi je reviens après être partie, j'suis à la fois surprise et émue.
Moi je reviens après être partie, j'suis à la fois surprise et émue.
Mure- Nombre de messages : 1478
Age : 47
Localisation : Dans vos pensées burlesques.
Date d'inscription : 12/06/2009
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Ah pardon.
Je dois être trop bête pour vous suivre.
Alors je vais essayer: à ce que je lis de vos interventions, et passé le mépris, quand il s'agit de textes vous pensez littérature, vous pensez art, vous pensez grande histoire de la parole humaine, et démarche personnelle. C'est très bien. Vous répondez à des questions qui ne vous ont pas été posées.
Et puis vous avancez l'idée que vous n'avez pas à vous justifier, et écrivez trois petits paragraphes sur votre poétique: passe encore, vous semblez aimer les contradictions.
Mais rendez-vous compte: vous répondez à des critiques sur vos textes par vous et la Poésie, vous et la vie, vous et les autres, vous et le jugement des autres, et personne ne me comprend, et de toute façon je m'en tamponne, et j'aurai toujours le dernier mot... C'est ce qui m'amenait à réagir alors que je n'avais pas participé jusque là. Les critiques formulées à l'égard de vos textes sont celles de lecteurs, qui ne remettent pas en cause votre geste à vous, mais donnent une indication de l'effet qu'il peut avoir. Faut pas vous défriser et jouer à l'albatros pour autant, ou à un énième Rimbaud. C'est pas comme ça qu'on fait.
Donc, au regard de ce que je lis, et mal peut-être, je vous pose la question: à vos yeux, qui sont vos lecteurs, à part vous?
Je dois être trop bête pour vous suivre.
Alors je vais essayer: à ce que je lis de vos interventions, et passé le mépris, quand il s'agit de textes vous pensez littérature, vous pensez art, vous pensez grande histoire de la parole humaine, et démarche personnelle. C'est très bien. Vous répondez à des questions qui ne vous ont pas été posées.
Et puis vous avancez l'idée que vous n'avez pas à vous justifier, et écrivez trois petits paragraphes sur votre poétique: passe encore, vous semblez aimer les contradictions.
Mais rendez-vous compte: vous répondez à des critiques sur vos textes par vous et la Poésie, vous et la vie, vous et les autres, vous et le jugement des autres, et personne ne me comprend, et de toute façon je m'en tamponne, et j'aurai toujours le dernier mot... C'est ce qui m'amenait à réagir alors que je n'avais pas participé jusque là. Les critiques formulées à l'égard de vos textes sont celles de lecteurs, qui ne remettent pas en cause votre geste à vous, mais donnent une indication de l'effet qu'il peut avoir. Faut pas vous défriser et jouer à l'albatros pour autant, ou à un énième Rimbaud. C'est pas comme ça qu'on fait.
Donc, au regard de ce que je lis, et mal peut-être, je vous pose la question: à vos yeux, qui sont vos lecteurs, à part vous?
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Franchement, y'a des fois, y ferait peut-être mieux d'arrêter de faire de l'écriture. Parce que je sais pas si vous avez remarqué mais... C'est toujours quand t'as le nez dans ta feuille, que t'es tout occupé à faire du vers pepro sur l'instant présent que y'a une jolie fille qui passe devant toi. Je commence à me demander si faudrait mieux pas que j'arrête, moi, et que je me concentre sur mon métier (je suis pompier).
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Mure a écrit:Bah on dirait pas...
Moi je reviens après être partie, j'suis à la fois surprise et émue.
Ah ben moi je suis nouveaux. Je ne suis jamais parti mais j'ai peur qu'on finisse par me dégager. Bonsoir, Mure, alors.
boc21fr- Nombre de messages : 4770
Age : 54
Localisation : Grugeons, ville de culture...de vin rouge et de moutarde
Date d'inscription : 03/01/2008
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Celui qui se fait dégager voulait partir.
Bonsoir Yoni Wolf et Boc le conseilleur.
Bonsoir Yoni Wolf et Boc le conseilleur.
Mure- Nombre de messages : 1478
Age : 47
Localisation : Dans vos pensées burlesques.
Date d'inscription : 12/06/2009
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Vous partez d'un premier postulat probablement pratique, premièrement populaire dans notre monde contemporain, je ne reprends qu'en substance "ne jouez ni l'albatros ni un énième rimbaud". Les gens visent des conséquences en bidouillant les causes, aujourd'hui. Ils rendent tout artificiel, comme leur richesse qu'ils simulent par des crédits à la consommation. J'en suis navré par périodes, en ce que cela m'isole et me torture, mais je ne fais semblant de rien. Je ne joue rien. Je ne sais pas si vous êtes capable de comprendre cette réalité toute simple : je ne joue rien. C'est tout. Oui, oui, c'est ça je suis frustré, Youporn est un peu plat pour une relation ship. "C'est pas comme ça qu'on fait" : ne m'incluez pas dans votre pronom indéfini. Je fais ce que je veux comme je veux, cela s'appelle la liberté. Et je ne parle pas de la bêtise qui consiste à prétendre le meurtre légal au nom de la liberté légiférante. Ma petite amie me dit que la concurrence ici doit biaiser l'esprit d'analyse. Peut-être. Mais vous avez l'air de me refuser, simplement, l'authenticité et que par cette absence de concession et par cette absence d'alternative dans ma vie autre que poétique, me donne une légitimité à n'être ni gentil, ni niais. Je ne prétends à rien, je réfléchis, pensif, à ce que tout cela dévoile. C'est très simple : ou je suis médiocre et mon agressivité vous fait pitié, ou je suis génial et mon mépris vous vexe. Je ne prends le parti d'aucune de ces deux hypothèses, j'oscille entre les deux. C'est là mon Doute, ma cruauté. C'est là mon authenticité.
Paris a terminé une journée d'un bleu d'azur à un crépuscule violet et mauve, comme les bourrelets d'un orage que l'on va essorer, comme un chagrin, quelque chagrin, et tout s'est noirci dans les derniers crépitements d'un soleil de vingt-deux heures. Les étoiles sont muettes sur ma tête invoquant une flèche d'oies ; petit-prince, petit-prince !
Paris a terminé une journée d'un bleu d'azur à un crépuscule violet et mauve, comme les bourrelets d'un orage que l'on va essorer, comme un chagrin, quelque chagrin, et tout s'est noirci dans les derniers crépitements d'un soleil de vingt-deux heures. Les étoiles sont muettes sur ma tête invoquant une flèche d'oies ; petit-prince, petit-prince !
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Merci. J'adore également ce bouquin (d'autant plus que c'est le premier "sans images" que j'ai lu). Mais ce n'est pas vrai: je ne suis pas plus plombier que plâtrier-peintre. Lol. C'est comme dire: je ne suis pas sincère. Car alors, si le mec n'est, effectivement, pas sincère, il l'est lorsqu'il dit ne pas l'être. Et si le mec est en fait sincère, il ment lorsqu'il dit qu'il ne l'est pas. C'est sans fin! Et internet c'est pratique pour ça.
Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Quelle est la différence avec le Tai chi chuan ?Yoni Wolf a écrit:Sinon ça va les gens? Moi ça va. Je reviens du qi-qong je me sens ZEN! Je suis à la fois plein d'énergies et apaisé.
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
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Re: Débats, Billevesées et Causette (Des babils & Co)
Ca c'est bon! En fait ça colle exactement à mon truc de la sincérité. Pour le coup, je m'excuse de t'avoir un peu agressé. T'es un pur personnage et ça, ça me plaît.Camille Acristem a écrit:Vous partez d'un premier postulat probablement pratique, premièrement populaire dans notre monde contemporain, je ne reprends qu'en substance "ne jouez ni l'albatros ni un énième rimbaud". Les gens visent des conséquences en bidouillant les causes, aujourd'hui. Ils rendent tout artificiel, comme leur richesse qu'ils simulent par des crédits à la consommation. J'en suis navré par périodes, en ce que cela m'isole et me torture, mais je ne fais semblant de rien. Je ne joue rien. Je ne sais pas si vous êtes capable de comprendre cette réalité toute simple : je ne joue rien. C'est tout. Oui, oui, c'est ça je suis frustré, Youporn est un peu plat pour une relation ship. "C'est pas comme ça qu'on fait" : ne m'incluez pas dans votre pronom indéfini. Je fais ce que je veux comme je veux, cela s'appelle la liberté. Et je ne parle pas de la bêtise qui consiste à prétendre le meurtre légal au nom de la liberté légiférante. Ma petite amie me dit que la concurrence ici doit biaiser l'esprit d'analyse. Peut-être. Mais vous avez l'air de me refuser, simplement, l'authenticité et que par cette absence de concession et par cette absence d'alternative dans ma vie autre que poétique, me donne une légitimité à n'être ni gentil, ni niais. Je ne prétends à rien, je réfléchis, pensif, à ce que tout cela dévoile. C'est très simple : ou je suis médiocre et mon agressivité vous fait pitié, ou je suis génial et mon mépris vous vexe. Je ne prends le parti d'aucune de ces deux hypothèses, j'oscille entre les deux. C'est là mon Doute, ma cruauté. C'est là mon authenticité.
Paris a terminé une journée d'un bleu d'azur à un crépuscule violet et mauve, comme les bourrelets d'un orage que l'on va essorer, comme un chagrin, quelque chagrin, et tout s'est noirci dans les derniers crépitements d'un soleil de vingt-deux heures. Les étoiles sont muettes sur ma tête invoquant une flèche d'oies ; petit-prince, petit-prince !
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