Discussions autour de nos textes
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Arielle, Marvejols, Rêvelin.
Je ne pense pas, Arielle, non, m'attaquer au classique, et de ce fait, vu mon âge et mon espérance de vie(longue certes mais moins qu'à 20 ans), je préfère grappiller ici ou là, dans le site, mais aussi et surtout dans les livres, recueils que je lis pour saisir les rythmes et règles. Plutôt que dans les manuels dédiés.
Égocentrique, sûrement, je déplore le petit nombre de commentaires (mais j'ai eu les tiens, précis et utiles) que je peux susciter.
P.C.P le dit lui-même à propos des brocolis où tous ne sont pas passés chez tous les autres. Lui, si.
Je vois aussi, de nouveaux inscrits, en poésie, ne recueillant que peu de commentaires. Ils n'en font pas beaucoup, peut-être, mais il faut un temps d'adaptation, de mise en confiance pour vraiment participer. je suis désolée de vous le dire, mais quand je vois le rappel au règlement concernant les réponses aux commentaires, sur certains textes qui n'auront pas plus de deux voire trois commentaires, ça me dérange.
Je serai prête, demain, pour tenter "l'impossible" ;-)
--
Marvejols, ce serait bien que vous aériez vos commentaires. Je lirai demain. Un gros pavé n'est pas trop engageant.
--
Rêvelin, il me semblait aussi, qu'il y avait un vivier de jeunes sur vosécrits, bien sûr qui viennent selon leurs emplois du temps, entre études, loisirs..etc.
Le plaisir n'empêche pas le sérieux, il me semble. Seul l'objectif à court ou long terme peut différer. Publication ou exigence accrue pour soi-même.
Le dynamisme de telle ou telle section appartient, je pense à ceux qui les fréquentent.
Égocentrique, sûrement, je déplore le petit nombre de commentaires (mais j'ai eu les tiens, précis et utiles) que je peux susciter.
P.C.P le dit lui-même à propos des brocolis où tous ne sont pas passés chez tous les autres. Lui, si.
Je vois aussi, de nouveaux inscrits, en poésie, ne recueillant que peu de commentaires. Ils n'en font pas beaucoup, peut-être, mais il faut un temps d'adaptation, de mise en confiance pour vraiment participer. je suis désolée de vous le dire, mais quand je vois le rappel au règlement concernant les réponses aux commentaires, sur certains textes qui n'auront pas plus de deux voire trois commentaires, ça me dérange.
Je serai prête, demain, pour tenter "l'impossible" ;-)
--
Marvejols, ce serait bien que vous aériez vos commentaires. Je lirai demain. Un gros pavé n'est pas trop engageant.
--
Rêvelin, il me semblait aussi, qu'il y avait un vivier de jeunes sur vosécrits, bien sûr qui viennent selon leurs emplois du temps, entre études, loisirs..etc.
Le plaisir n'empêche pas le sérieux, il me semble. Seul l'objectif à court ou long terme peut différer. Publication ou exigence accrue pour soi-même.
Le dynamisme de telle ou telle section appartient, je pense à ceux qui les fréquentent.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Eclaircie, il n'y a pas d'âge pour se mettre au classique. J'ai commencé à 67 ans (et demi)
Voici un lien intéressant
versification
Je sais qu'il est de bon ton d'être classicophobe, mais bof...
Commence par des choses simples, sans chercher forcément l'émotion, mais en veillant à la fluidité de l'écriture.
En quelques semaines tu devrais être autonome.
Voici un lien intéressant
versification
Je sais qu'il est de bon ton d'être classicophobe, mais bof...
Commence par des choses simples, sans chercher forcément l'émotion, mais en veillant à la fluidité de l'écriture.
En quelques semaines tu devrais être autonome.
Invité- Invité
Versification
Tizef,
j'avais déposé des reférences essentielles (dont l'accès direct au Sorgel) sur ce fil créé par le jeune DanteIfriss :
http://www.vosecrits.com/t10218-ou-l-on-parle-des-regles-qui-regissent-la-poesie
Vous pourriez peut-être y ajouter la vôtre.
Sinon il y a toujours la rubrique "Versification" qui sur mon site regroupe 4 ou 5 basiques...
j'avais déposé des reférences essentielles (dont l'accès direct au Sorgel) sur ce fil créé par le jeune DanteIfriss :
http://www.vosecrits.com/t10218-ou-l-on-parle-des-regles-qui-regissent-la-poesie
Vous pourriez peut-être y ajouter la vôtre.
Sinon il y a toujours la rubrique "Versification" qui sur mon site regroupe 4 ou 5 basiques...
Re: Discussions autour de nos textes
Nul besoin de compter sur ces doigts pour pondre des vers réguliers, il suffit de les fredonner sur les premières mesures d'un air connu,
par exemple pour les alexandrins: Dans le port d'Amsterdam ou si tu es cloclophile: Si j'avais un marteau
En prime, ça te donne la césure à l'hémistiche.
par exemple pour les alexandrins: Dans le port d'Amsterdam ou si tu es cloclophile: Si j'avais un marteau
En prime, ça te donne la césure à l'hémistiche.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
~ L’apothéose d’un bouquet de prose ~
Ta plume à l’hémistiche offre grâce à mes yeux
Dans l’écho de ta rime au rythme des syllabes
J’aime entendre chanter ces dodécasyllabes
Tes printils à six temps, tes quatrains merveilleux.
Hiatus ? Pluriels ? Respectant la césure
Tu offres la douceur, la voyelle maîtresse,
Cet « e » bien éludé tout en délicatesse
Que tu aimes très muet sur tes vers sans rupture.
Dénudant d’un tercet la belle diérèse
De quelques slashs bien francs, elle s’incline à ton pied,
Sous ton regard gourmand, le distique te sied
Car, enclin à l’effort, tu fuis la synérèse.
Comme autant de présents, candide et féminine
La douceur s’enroule à la pause du vers,
La virgule à la strophe apostrophe l’envers
D’une finale fière en rime masculine.
Pareil Victor Hugo, tu scandes le ternaire
En petits pieds de trois alignés au vélin,
Ta plume à l’encre d’or enferme en son écrin
Ta poésie d’amour à verve « Apollinaire »
D’interdites liaisons* tu t’accordes licence*
Mariant le présent aux rimes embrassées,
Tu promets le futur à tes lignes croisées ;
Ô le goûtu* poème au jouissif silence...
De Lumières d'horizon (jepoème)
Déclarée de sexe féminin
âge non déclaré
Ta plume à l’hémistiche offre grâce à mes yeux
Dans l’écho de ta rime au rythme des syllabes
J’aime entendre chanter ces dodécasyllabes
Tes printils à six temps, tes quatrains merveilleux.
Hiatus ? Pluriels ? Respectant la césure
Tu offres la douceur, la voyelle maîtresse,
Cet « e » bien éludé tout en délicatesse
Que tu aimes très muet sur tes vers sans rupture.
Dénudant d’un tercet la belle diérèse
De quelques slashs bien francs, elle s’incline à ton pied,
Sous ton regard gourmand, le distique te sied
Car, enclin à l’effort, tu fuis la synérèse.
Comme autant de présents, candide et féminine
La douceur s’enroule à la pause du vers,
La virgule à la strophe apostrophe l’envers
D’une finale fière en rime masculine.
Pareil Victor Hugo, tu scandes le ternaire
En petits pieds de trois alignés au vélin,
Ta plume à l’encre d’or enferme en son écrin
Ta poésie d’amour à verve « Apollinaire »
D’interdites liaisons* tu t’accordes licence*
Mariant le présent aux rimes embrassées,
Tu promets le futur à tes lignes croisées ;
Ô le goûtu* poème au jouissif silence...
De Lumières d'horizon (jepoème)
Déclarée de sexe féminin
âge non déclaré
Re: Discussions autour de nos textes
Easter, merci de votre contribution.Easter(Island) a écrit:Alex n'a pas de site.
Je n'ai pas cité les jeunes de VosE en ribambelle et il est fort possible que j'ai attribué vaguement à Alex ce qui serait de Rêvelin (par ex. ceci : http://ecrivainsenherbe.forumculture.net/ et les liens que l'on peut y trouver). Et certes ça change tout...
Je suis d'accord avec vous sur un certain mélange des générations. Mais je vois aussi, entre la rubrique "Présentez-vous" et celle "Poésie" pas mal de jeunes qui passent et s'évanouissent.Rêvelin a écrit: le mélange des générations s'opère ici, il me semble, de manière assez intéressante même si certains regrettent ou regrettaient que la partie poésie ne soit plus aussi inventive qu'avant.
Pour l'inventivité, je dois dire que je ne partage pas trop la frénésie du tout nouveau absolument à tout prix. On voit les délires que cela donne et la nouveauté est pavé de fausses routes comme de vieilleries rhabillées. Il n'est pas donné à tout le monde ni à n'importe quelle époque (car là est bien une erreur du relativisme anglo-saxon que de croire et faire croire que tout ce vaut, que tout est à tout temps possible et que seul l'individu, en sorte en sa génétique, est source de nouveauté: non, ce serait oublier l'historicité des révolutions formelles. Les bouleversements des canons esthétiques et sociaux ne se produisent qu'à certains moments).
Et puis il y a des choses qui sans être de nouveaux dadaïsme sont fort belles sans être très nouvelles. Grands dieux! heureusement qu'on peut trouver du bon pain entre les rares époques où un boulanger ou plutôt les boulangers d'une ville vont inventer un nouveau pain...
Cher Rêvelin la question de savoir si vous êtes jeune ne tient qu'à vous (mdr). Je serais quant à moi bien en peine de définir la jeunesse et celle de VosE en particulier (avec quelques incertitudes liées aux âges affichés) bien qu'elle puisse se laisser approchée. Mais je pense surtout comme je l'ai dit plus haut aux 15-25 ans voire 15-18 en particulier.Rêvelin a écrit:Je ne sais pas de quelle jeunesse tu parles exactement Marjevols (a priori tu considères par exemple que je ne suis pas jeune ^^ si j'ai bien lu).
Je vais en citer la plupart (en bleu ceux qui semblent partis ou en éclipse:
Rêvelin (http://tapages.over-blog.fr/)
Alex
Lunalice
Lyra Will (http://lyrawill.over-blog.com/)
Loreena ruin (18 ans, membre depuis 2008, dernière apparition Dec.2011)
Nini031 (18 ans, membre depuis 2009 -dernière connection août 2011 )
Alorane (membre depuis 2010, dernière connection Nov 2011 - http://oranne.uphero.com/)
Sally9334 (18 ans, dernière connex. août. 2011)
Louis! devenu Calvin
Marine (que je jurerais qui a un peu plus de 16 ans!)
Lenor Knocker
Chlotide (16 ans)
Edgar-Allan (19 vraiment? dernière apparition: 21 Dec.)
L'effarouchée (22 ans, membre avr.2010, dern. connex. Aout 2011 -http://effarouchee.wordpress.com/)
Drayano (21 ans -derniière Dec. 2011 -http://drayanoeyako.wordpress.com/)
Lifewithwords (20 ans)
Me pardonnent ceux que j'ai oubliés ou que je n'ai pas cités parce que dans le 22-25 ans (tels que Cyanhydric, Yoni, Red etc.). D'autres sont peut-être passés à la seule prose.
Re: Discussions autour de nos textes
Pour Tollelège, j'ai oublié de signer mon dernier com:
El hombre de la Mancha
El hombre de la Mancha
Re: Discussions autour de nos textes
Poète
Tes mots, ces quelques vers, ne veulent pas de toi ;
Et je les vois qui fuient vers une autre demeure !
Des yeux intéressés seront pour eux le toit
Qui les abritera ne serait-ce qu’une heure.
Crois-tu donc composer un poème exclusif ?
Égoïste, Insensé ! qu’un verbe t’appartienne ?
La rime se comporte ainsi qu’un abrasif
Se posant sur toute âme et qui lustre la tienne ;
Laisse-la donc s’enfuir loin du ciel ténébreux
Qui recouvre ta nuit solitaire, une étoile
Brille sur le cahier dont le blanc désastreux
Vient de ce peintre fou qui blanchit une toile ;
L’orage s’y dépose et viennent les éclairs ;
Et, malheureusement, tu noircis la poubelle !
Mais des brouillons jetés, il reste des mots clairs,
Les témoins de ton cœur, au moins une parcelle.
Poète, au bout des doigts, il est bien des tombeaux
Qui s’ouvrent, tes sonnets respirent à l’air libre ;
C’est la flamme du temps réchauffant les lambeaux
De ton âme et t’offrant un peu plus d’équilibre.
Voici l’hiver qui passe atrocement fatal
Pour cette vérité qui te criait famine !
Nourris-la de ton sang, jamais un point final
Ne doit se mettre après ta rime qui culmine.
Ne pose pas tes vers ainsi que des bois morts
Et laisse la beauté s’allonger sans se vendre
En prouvant que l’amour possède plusieurs corps
Et que l’arbre et la fleur ne peuvent pas attendre.
Permets à ton murmure à peine délivré
Qu’il devienne le cri du sable sous la vague,
Et chaque grain vivra, de musique, enivré
De ton antre sortant pointu telle une dague.
Si tu permets aux mots d’être vrais et fleuris,
De ne pas obscurcir et d’offrir leurs pétales,
Tu seras, sûrement, le poète incompris
Mais les siècles liront tes rimes digitales.
Des fragments d’un poème émanent des rochers,
Les gouttes du sonnet arrivent des abysses,
Et des alexandrins, les plus mesquins nochers
Ne retireront pas d’infâmes bénéfices ;
Crois en ta poésie autant qu’en tes poumons
Elle t’offre le souffle et sa douce musique
Si charmeuse et venant des saints ou des démons
Ne peut rendre jamais le lecteur amnésique.
La forme est pour les yeux, le fond pour ton esprit,
Même si le classique entretient l’harmonie,
Mais pense chaque mot et soigne ton écrit
Que tes vers ne soient pas telle une parodie.
Offre la vérité du cœur aux yeux vivants
Et celle de ton ombre aux prunelles défuntes ;
Sache que toute rime arrive avec les vents
Et s’enfuit avec eux lors de frêles étreintes.
Tu ne peux ciseler facilement le mot ;
Si l’inspiration suffisait aux orfèvres
Pour une œuvre, je crois, que la loupe est de trop !
Pourquoi se passent-ils la langue sur les lèvres ?
L’artiste véritable ignore le plaisir
Tant qu’au bout de ses doigts gesticule la mine
Ainsi que cet oiseau que l’on ne peut saisir
Avant qu’il ne se pose où son vol se termine.
Sois donc très généreux de travail et d’efforts
Si tu veux qu’un lecteur admire ton ouvrage
En disant que jamais tu ne sus les conforts
De celui qui confond le mur et le vitrage,
La pierre protégeant des rigueurs de l’hiver
Quand la vitre permet d’en vivre l’harmonie,
Qui pense que le pré garde l’éclat du vert
Alors que la nature est une symphonie.
Ah ! Nombre de talents n’ont vu de l’horizon
Que celui de leurs yeux et fermant les paupières
Leur est tombé dessus le noir de la raison,
Se sont éteintes, lors, peu à peu leur lumières.
Le poème se doit de vivre en insolent,
De bousculer la vie en étant vraisemblable,
Mais d’être doux aussi, c’est un ouvrage lent
Montrant l’aurore riche autant que misérable ;
Tu seras accusé du pire des tourments,
Et d’offrir la beauté, les parfums d’existence,
Des lecteurs constatant que jamais tu ne mens
Médiront sur ton art comme sur ton aisance.
Ils pourront te traiter de vil blasphémateur,
D‘ange contaminé, de mécréant, d‘impie,
Si ton esprit, jamais, n’abjure sa valeur
Et qu’il ne tourne pas ainsi qu’une toupie.
Vers le cercueil, la tombe, projeté vers l’enfer
Ton pouvoir affolant la bêtise jalouse,
Et ne confondant pas l’or limpide et le fer,
Par les commandements du souverain des douze,
Sera crucifié par des penseurs obscurs.
Tu connaîtras, dès lors, le sable de l’arène
Et le pouce baissé des poètes impurs
Qui, mélangeant ton chant à ceux d’une sirène,
Ne comprendront jamais où les mènent tes flots ;
Sur le chemin, celui qui s’offre son ivresse
À l’autel où l’on boit d’hypocrites sanglots,
Laisse-le, son esprit maquille la sagesse
Le poète se doit au langage divin ;
Il ne doit pas écrire à ne vouloir que plaire
Et si ses mots le font jeter dans un ravin
C’est que ses vers sont vrais et son image claire.
Déclenchant par son verbe ainsi la passion
L’opprobre le suivra mais autant le prestige
De n’avoir pas subi la compromission
Afin que son esprit ne soit pas un vestige.
Il se doit d’éclairer selon ses sentiments
Abandonnant le mot qui donne un regard sombre
Et ne pas hésiter, porter des jugements
Afin que la raison puisse pénétrer l’ombre.
Réfléchis, pense, écris mais tache ton buvard,
La vérité de l’encre est très capricieuse ;
Donc, compose beaucoup sans être le bavard
Parlant de la rumeur amère et vicieuse.
Fais découvrir le monde et sa réalité
Sans tricher, l’embellir , le combler de louanges,
Ne fais pas croire aux gens que la docilité
Rend gai, que les démons aperçus sont des anges.
Sans être un renégat défiant l’univers
Tu dois parler d’amour mais exposer la haine,
Cela le réussir en quelques jolis vers,
Le poète, jamais, ne supporte la chaîne
De jethème (jepoème)
déclaré de sexe masculin
âge non déclaré
ce sera mon dernier
Tes mots, ces quelques vers, ne veulent pas de toi ;
Et je les vois qui fuient vers une autre demeure !
Des yeux intéressés seront pour eux le toit
Qui les abritera ne serait-ce qu’une heure.
Crois-tu donc composer un poème exclusif ?
Égoïste, Insensé ! qu’un verbe t’appartienne ?
La rime se comporte ainsi qu’un abrasif
Se posant sur toute âme et qui lustre la tienne ;
Laisse-la donc s’enfuir loin du ciel ténébreux
Qui recouvre ta nuit solitaire, une étoile
Brille sur le cahier dont le blanc désastreux
Vient de ce peintre fou qui blanchit une toile ;
L’orage s’y dépose et viennent les éclairs ;
Et, malheureusement, tu noircis la poubelle !
Mais des brouillons jetés, il reste des mots clairs,
Les témoins de ton cœur, au moins une parcelle.
Poète, au bout des doigts, il est bien des tombeaux
Qui s’ouvrent, tes sonnets respirent à l’air libre ;
C’est la flamme du temps réchauffant les lambeaux
De ton âme et t’offrant un peu plus d’équilibre.
Voici l’hiver qui passe atrocement fatal
Pour cette vérité qui te criait famine !
Nourris-la de ton sang, jamais un point final
Ne doit se mettre après ta rime qui culmine.
Ne pose pas tes vers ainsi que des bois morts
Et laisse la beauté s’allonger sans se vendre
En prouvant que l’amour possède plusieurs corps
Et que l’arbre et la fleur ne peuvent pas attendre.
Permets à ton murmure à peine délivré
Qu’il devienne le cri du sable sous la vague,
Et chaque grain vivra, de musique, enivré
De ton antre sortant pointu telle une dague.
Si tu permets aux mots d’être vrais et fleuris,
De ne pas obscurcir et d’offrir leurs pétales,
Tu seras, sûrement, le poète incompris
Mais les siècles liront tes rimes digitales.
Des fragments d’un poème émanent des rochers,
Les gouttes du sonnet arrivent des abysses,
Et des alexandrins, les plus mesquins nochers
Ne retireront pas d’infâmes bénéfices ;
Crois en ta poésie autant qu’en tes poumons
Elle t’offre le souffle et sa douce musique
Si charmeuse et venant des saints ou des démons
Ne peut rendre jamais le lecteur amnésique.
La forme est pour les yeux, le fond pour ton esprit,
Même si le classique entretient l’harmonie,
Mais pense chaque mot et soigne ton écrit
Que tes vers ne soient pas telle une parodie.
Offre la vérité du cœur aux yeux vivants
Et celle de ton ombre aux prunelles défuntes ;
Sache que toute rime arrive avec les vents
Et s’enfuit avec eux lors de frêles étreintes.
Tu ne peux ciseler facilement le mot ;
Si l’inspiration suffisait aux orfèvres
Pour une œuvre, je crois, que la loupe est de trop !
Pourquoi se passent-ils la langue sur les lèvres ?
L’artiste véritable ignore le plaisir
Tant qu’au bout de ses doigts gesticule la mine
Ainsi que cet oiseau que l’on ne peut saisir
Avant qu’il ne se pose où son vol se termine.
Sois donc très généreux de travail et d’efforts
Si tu veux qu’un lecteur admire ton ouvrage
En disant que jamais tu ne sus les conforts
De celui qui confond le mur et le vitrage,
La pierre protégeant des rigueurs de l’hiver
Quand la vitre permet d’en vivre l’harmonie,
Qui pense que le pré garde l’éclat du vert
Alors que la nature est une symphonie.
Ah ! Nombre de talents n’ont vu de l’horizon
Que celui de leurs yeux et fermant les paupières
Leur est tombé dessus le noir de la raison,
Se sont éteintes, lors, peu à peu leur lumières.
Le poème se doit de vivre en insolent,
De bousculer la vie en étant vraisemblable,
Mais d’être doux aussi, c’est un ouvrage lent
Montrant l’aurore riche autant que misérable ;
Tu seras accusé du pire des tourments,
Et d’offrir la beauté, les parfums d’existence,
Des lecteurs constatant que jamais tu ne mens
Médiront sur ton art comme sur ton aisance.
Ils pourront te traiter de vil blasphémateur,
D‘ange contaminé, de mécréant, d‘impie,
Si ton esprit, jamais, n’abjure sa valeur
Et qu’il ne tourne pas ainsi qu’une toupie.
Vers le cercueil, la tombe, projeté vers l’enfer
Ton pouvoir affolant la bêtise jalouse,
Et ne confondant pas l’or limpide et le fer,
Par les commandements du souverain des douze,
Sera crucifié par des penseurs obscurs.
Tu connaîtras, dès lors, le sable de l’arène
Et le pouce baissé des poètes impurs
Qui, mélangeant ton chant à ceux d’une sirène,
Ne comprendront jamais où les mènent tes flots ;
Sur le chemin, celui qui s’offre son ivresse
À l’autel où l’on boit d’hypocrites sanglots,
Laisse-le, son esprit maquille la sagesse
Le poète se doit au langage divin ;
Il ne doit pas écrire à ne vouloir que plaire
Et si ses mots le font jeter dans un ravin
C’est que ses vers sont vrais et son image claire.
Déclenchant par son verbe ainsi la passion
L’opprobre le suivra mais autant le prestige
De n’avoir pas subi la compromission
Afin que son esprit ne soit pas un vestige.
Il se doit d’éclairer selon ses sentiments
Abandonnant le mot qui donne un regard sombre
Et ne pas hésiter, porter des jugements
Afin que la raison puisse pénétrer l’ombre.
Réfléchis, pense, écris mais tache ton buvard,
La vérité de l’encre est très capricieuse ;
Donc, compose beaucoup sans être le bavard
Parlant de la rumeur amère et vicieuse.
Fais découvrir le monde et sa réalité
Sans tricher, l’embellir , le combler de louanges,
Ne fais pas croire aux gens que la docilité
Rend gai, que les démons aperçus sont des anges.
Sans être un renégat défiant l’univers
Tu dois parler d’amour mais exposer la haine,
Cela le réussir en quelques jolis vers,
Le poète, jamais, ne supporte la chaîne
De jethème (jepoème)
déclaré de sexe masculin
âge non déclaré
ce sera mon dernier
Re: Discussions autour de nos textes
Ah Damy quel souffle quelle plume!
Voilà bien l'esprit, prêt à se damner
Des hommes pour rester libre et volage
Et qui pour tout requiem
Se satisfait d'espérer sans faiblesse
Que ses bourreaux en petitesse
Pourront penser Je l'aime.
Voilà bien l'esprit, prêt à se damner
Des hommes pour rester libre et volage
Et qui pour tout requiem
Se satisfait d'espérer sans faiblesse
Que ses bourreaux en petitesse
Pourront penser Je l'aime.
Re: Discussions autour de nos textes
Damy, le premier n'est peut-être pas trop le nec plus ultra de l'alexandrin parfait. (y'en a au moins 1 de 13 syllabes "Que tu aimes très muet sur tes vers sans rupture." et 1 de 11 "La douceur s’enroule à la pause du vers,)
Pour le second, je ne compte pas, je fais confiance (je ne dis pas que j'ai raison)
Pour le second, je ne compte pas, je fais confiance (je ne dis pas que j'ai raison)
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Damy c'est superbe pourquoi ne postes tu pas en poésie ?
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Discussions autour de nos textes
Loreena ruin j'aimais bien son univers c'est vrai qu'on ne la voit plus
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Discussions autour de nos textes
Ce ne sont pas des poèmes de lui, Rebecca, il cite les auteurs en bas des textes.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
ah ok je n'avais pas lu en entier m'attendant à les voir apparaitre sous peu en poésie
je pensais erreur de manoeuvre
pour dire que la powésie est toujours vivante donc
je pensais erreur de manoeuvre
pour dire que la powésie est toujours vivante donc
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Discussions autour de nos textes
je sais, éclaircie, ça fait partie de l'apprentissage: les artisans sont bien accueillis par endroitséclaircie a écrit:Damy, le premier n'est peut-être pas trop le nec plus ultra de l'alexandrin parfait. (y'en a au moins 1 de 13 syllabes "Que tu aimes très muet sur tes vers sans rupture." et 1 de 11 "La douceur s’enroule à la pause du vers,)
Pour le second, je ne compte pas, je fais confiance (je ne dis pas que j'ai raison)
Re: Discussions autour de nos textes
ce qui est sûr c'est que si je ne commente guère la poésie, c'est pas faute de la lire et de l'apprécier, mais c'est que j'ai l'impression d'être une bleue qui parle voiture avec des supers mécanos, et qui ne saurait que dire : j'aime bien la couleur ! ou les grands coffres c'est plus pratique. Genre de trucs
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Damy ! Ne T'casse pas !
Ai-je bien compris ? Damy ? Tu veux prendre des vacances ? Bon vas-y mon gars, tu y as droit.
Mais reviens-nous vite, pasque ici y fo d'la qualité, et toi t'en apportes (eud la qualité).
Bon... Tu viens juste d'être pris de logorrhée aiguë mais ça peut se comprendre.
Hé gadjo, à bientôt !
Amicalement,
Pascal
Mais reviens-nous vite, pasque ici y fo d'la qualité, et toi t'en apportes (eud la qualité).
Bon... Tu viens juste d'être pris de logorrhée aiguë mais ça peut se comprendre.
Hé gadjo, à bientôt !
Amicalement,
Pascal
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
salut, Pascal-Claude
T'inkièt, je change un peu de boutique, mais je regarde par eul trou d'la serrure
@ +, camarade
T'inkièt, je change un peu de boutique, mais je regarde par eul trou d'la serrure
@ +, camarade
Re: Discussions autour de nos textes
N'oublions pas l'importance de la boite à gants pour ranger notre bordel de mots ébréchés et du miroir de courtoisie pour maquiller notre inspiration nécroséeJanis a écrit:ce qui est sûr c'est que si je ne commente guère la poésie, c'est pas faute de la lire et de l'apprécier, mais c'est que j'ai l'impression d'être une bleue qui parle voiture avec des supers mécanos, et qui ne saurait que dire : j'aime bien la couleur ! ou les grands coffres c'est plus pratique. Genre de trucs
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Discussions autour de nos textes
ah ! tu es une sœur !
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
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Re: Discussions autour de nos textes
et encore des mots ébréchés c'est poétique
j'suis plus mots Bretécher j'ai peur onivo de mon questionnement existant ...ciel
j'suis plus mots Bretécher j'ai peur onivo de mon questionnement existant ...ciel
Rebecca- Nombre de messages : 12502
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Re: Discussions autour de nos textes
"Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler sont les deux principes majeurs de ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l'ouvrir."
j'suis d'ac avec Pierre Dac ; d'où il m'a connue lui ?
j'suis d'ac avec Pierre Dac ; d'où il m'a connue lui ?
Rebecca- Nombre de messages : 12502
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Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Discussions autour de nos textes
camarade d'émauxDamy a écrit:salut, Pascal-Claude
T'inkièt, je change un peu de boutique, mais je regarde par eul trou d'la serrure
@ +, camarade
Re: Discussions autour de nos textes
et pour avoir le dernier:Damy a écrit:camarade d'émauxDamy a écrit:salut, Pascal-Claude
T'inkièt, je change un peu de boutique, mais je regarde par eul trou d'la serrure
@ +, camarade
Ave !
Tu as le même prénom qu'un terrain vague...
Tu te couches à quelle heure ?
Marvejols-Damy-Janis-Rebecca
J'ai lu et entendu. Marvejols
N'est-ce pas aussi un peu l'impatience liée à la jeunesse qui éloigne, ramène ces jeunes.
L'idée d'envoyer un mail est séduisante. Ce serait ainsi montrer que l'on a bien vu passer ces "météorites". Cependant le site est grand, difficile à gérer et ne veut ou ne peut s'agrandir encore. (je parle peut-être sans trop savoir, mais notre tout petit site connait à son échelle ces "soucis")
C'est toute la difficulté de gérer un site. Le nombre n'est pas souvent très compatible avec la qualité. Sans vouloir créer de frontières, le plus simple est de se promener de site en site et d'en savourer le "meilleur" (?).
Je rejoins Arielle, dans la gestion du temps. Les études sont un moment où l'on s'essaie à écrire (surtout si elles sont littéraires). Ensuite vient l'établissement dans la vie. Là l'écriture n'est pas toujours la priorité, faute de temps. Puis vient le temps où les passionnés renouent avec leur passion.
Et pour ce qui concerne la main tendue aux jeunes, je ne crois pas que le web soit le meilleur lieu. Tout y va trop vite (parfois trop mal) et les réseaux sociaux et autres absorbent tant leur énergie. La réalité est tout de même le meilleur lieu où tisser de vrais rapports entre les humains.
Damy on se croise ici, ailleurs. Le plus difficile pour moi est de différencier mes commentaires, car la lecture reste la même. La pèche au plaisir est plus difficile ailleurs. Moins de bons poissons ou plus noyés dans tant de bavardages. J'ai commencé là-bas. Pour qui veut apprendre c'est une école comme une autre.
Janis et Rébecca, vous avez oublié la couleur des fauteuils que l'on doit assortir à sa tenue favorite, sans parler de leur ergonomie évolutive....
Je n'ai pas (trop) honte de ne commenter que la couleur métallisée et/ou ses reflets fantastiques sous le soleil mêlé de ces cumulo-nimbus toujours impressionnants. Je vais bien un jour, apprendre la mécanique.
Bonne journée à tous.
N'est-ce pas aussi un peu l'impatience liée à la jeunesse qui éloigne, ramène ces jeunes.
L'idée d'envoyer un mail est séduisante. Ce serait ainsi montrer que l'on a bien vu passer ces "météorites". Cependant le site est grand, difficile à gérer et ne veut ou ne peut s'agrandir encore. (je parle peut-être sans trop savoir, mais notre tout petit site connait à son échelle ces "soucis")
C'est toute la difficulté de gérer un site. Le nombre n'est pas souvent très compatible avec la qualité. Sans vouloir créer de frontières, le plus simple est de se promener de site en site et d'en savourer le "meilleur" (?).
Je rejoins Arielle, dans la gestion du temps. Les études sont un moment où l'on s'essaie à écrire (surtout si elles sont littéraires). Ensuite vient l'établissement dans la vie. Là l'écriture n'est pas toujours la priorité, faute de temps. Puis vient le temps où les passionnés renouent avec leur passion.
Et pour ce qui concerne la main tendue aux jeunes, je ne crois pas que le web soit le meilleur lieu. Tout y va trop vite (parfois trop mal) et les réseaux sociaux et autres absorbent tant leur énergie. La réalité est tout de même le meilleur lieu où tisser de vrais rapports entre les humains.
Damy on se croise ici, ailleurs. Le plus difficile pour moi est de différencier mes commentaires, car la lecture reste la même. La pèche au plaisir est plus difficile ailleurs. Moins de bons poissons ou plus noyés dans tant de bavardages. J'ai commencé là-bas. Pour qui veut apprendre c'est une école comme une autre.
Janis et Rébecca, vous avez oublié la couleur des fauteuils que l'on doit assortir à sa tenue favorite, sans parler de leur ergonomie évolutive....
Je n'ai pas (trop) honte de ne commenter que la couleur métallisée et/ou ses reflets fantastiques sous le soleil mêlé de ces cumulo-nimbus toujours impressionnants. Je vais bien un jour, apprendre la mécanique.
Bonne journée à tous.
- Spoiler:
- J'ai relu, s'il reste des fautes, je les assume
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Ben, éclaircie, il suffit d'en sélectionner une dizaine pour passer d'excellentes soirées et faire la revue de presse de temps en temps.éclaircie a écrit:Damy La pèche au plaisir est plus difficile ailleurs. Moins de bons poissons ou plus noyés dans tant de bavardages. J'ai commencé là-bas. Pour qui veut apprendre c'est une école comme une autre.
Bonne journée à tous.
Quant aux jeunes, ils s'échapperont d'autant plus vite qu'ils seront mal accueillis. J'apprécie en tout cas l'aide que tu leur apporte, ici ou ailleurs.
Passe une bonne journée.
Re: Discussions autour de nos textes
Ü
ne t'en va pas trop loin Damy, qui rira à mes blagues à deux balles ?
ne t'en va pas trop loin Damy, qui rira à mes blagues à deux balles ?
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Discussions autour de nos textes
Damy, le trou de la serrure est un bon endroit pour faire une pause de temps en temps et dédramatiser les choses !
La place est encore chaude, je te la cède volontiers et, qui sait, t'y rejoindrai peut-être un de ces jours ...
"Bise à l'oeil" comme disait midnightrambler (je crois) mais là ça s'impose, vu le contexte !
Gaffe aux courants d'air quand même
La place est encore chaude, je te la cède volontiers et, qui sait, t'y rejoindrai peut-être un de ces jours ...
"Bise à l'oeil" comme disait midnightrambler (je crois) mais là ça s'impose, vu le contexte !
Gaffe aux courants d'air quand même
Re: Discussions autour de nos textes
damy
... si tut prends une clé anglaise dans l'oeil
faudra pas tétonner...
... si tut prends une clé anglaise dans l'oeil
faudra pas tétonner...
Re: Discussions autour de nos textes
Toi, la crème, Frédéric !
Have a nice afternoon
Guiness is not so good for you
Fou rire
Have a nice afternoon
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Fou rire
Algérie & Easter
Je suis jaloux, j'aimerais qu'on me cause comme cela, comme au coin du feu. J'aimerais tant avoir des amis d'internet qui font le tour de mes textes comme celui de mon coeur, en deux lignes. Magnifiques. J'ai beaucoup aimé cela:"il fallait bien tout cela pour rendre compte de l'inexorable progression de l'Histoire." : on dirait de la philo.Easter(Island) a écrit:Et je découvre que j'aime autant te lire en prose qu'en poésie. J'apprécie beaucoup l'ambiance de ces "boulevards de l'histoire", il fallait bien tout cela pour rendre compte de l'inexorable progression de l'Histoire.
D'Elsa à Marvejols
Merci, poète-camarade-syndiqué, d'avoir eu la bienveillante obligeance de vous être penché sur Elsa. Mais je ne vous autorise que cette limite.
Dans un 1° temps, je n'avais pas osé faire appel à vous pour la retape, sachant que vous n'en faites qu'à votre tête.
Mais quel apport, votre commentaire ! Je m'enrichis d'un cran ! Avoir ainsi mis à jour les tréfonds de mon subconscient, triple bravo ! Ce qui suit est génial et je m'en va de ce pas reprendre l'écriture intégrale (l'écriture, intégrale) de mon poème. Vous êtes génial ! Pas loin de moije.
N’écrire que pour toi, tu ne m’en rends pas grâce.
Ne crier que pour toi "tune" ne m'en rends pas garce!
Ma plume rouge sang sort de mes encriers
Ma plume rouge s'en sort de mes ans criés
À mon amour pour toi. Pourtant je te sens lasse.
Ah mon âme meurt pour toi. Pourtant je t'enlace.
Je tiens à préciser que le 1° vers de chaque strophe est de Damy et le 2° de Marvejols
Pour les autres menues broutilles constituant votre pertinente (cette fois) critique, pas de pb, je les admets, sauf toutefois pour "place libre" (pour une fois qu'elle l'est...)
Bonne continuation et merci !
Dans un 1° temps, je n'avais pas osé faire appel à vous pour la retape, sachant que vous n'en faites qu'à votre tête.
Mais quel apport, votre commentaire ! Je m'enrichis d'un cran ! Avoir ainsi mis à jour les tréfonds de mon subconscient, triple bravo ! Ce qui suit est génial et je m'en va de ce pas reprendre l'écriture intégrale (l'écriture, intégrale) de mon poème. Vous êtes génial ! Pas loin de moije.
N’écrire que pour toi, tu ne m’en rends pas grâce.
Ne crier que pour toi "tune" ne m'en rends pas garce!
Ma plume rouge sang sort de mes encriers
Ma plume rouge s'en sort de mes ans criés
À mon amour pour toi. Pourtant je te sens lasse.
Ah mon âme meurt pour toi. Pourtant je t'enlace.
Je tiens à préciser que le 1° vers de chaque strophe est de Damy et le 2° de Marvejols
Pour les autres menues broutilles constituant votre pertinente (cette fois) critique, pas de pb, je les admets, sauf toutefois pour "place libre" (pour une fois qu'elle l'est...)
Bonne continuation et merci !
de damy à modération, à propos de brazillec
chacun est libre de commenter et de dire des âneries, moi aussi ! Vous remarquerez quand même que je me suis fendu d'un commentaire qui pourraient servir à en documenter d'aucuns, pour éviter, justement, l'ânerie.
Qu'entendez-vous par "autres" ? Moi aussi je suis un "autre" ! Que croyez-vous ? Que je vise les personnes en pantoufles derrière les écrans ? Je ne connais personne en particulier. Je vise les idées véhiculées dans les textes et dans les commentaires. C'est pas ça la critique littéraire ? plutôt que "c'est beau ce que tu écris ma chérie, j'en suis toute retournée" et des vociférations aussi idiotes qu'intempestives sur la place de la poésie sur VE ?
Si vous voulez, je peux développer ici ce que j'entends par "mièvrerie", mais d'autres que vous auront compris
Quelles sont les limites de la censure littéraire sur VE ?
On ne me bâillonnera pas ! Je l'ai été assez longtemps, ça suffit ! Je me refais une jeunesse.
Et si je dois être lynché, je veux l'être en public.
En attendant,
Damyronron
Amivalement
Qu'entendez-vous par "autres" ? Moi aussi je suis un "autre" ! Que croyez-vous ? Que je vise les personnes en pantoufles derrière les écrans ? Je ne connais personne en particulier. Je vise les idées véhiculées dans les textes et dans les commentaires. C'est pas ça la critique littéraire ? plutôt que "c'est beau ce que tu écris ma chérie, j'en suis toute retournée" et des vociférations aussi idiotes qu'intempestives sur la place de la poésie sur VE ?
Si vous voulez, je peux développer ici ce que j'entends par "mièvrerie", mais d'autres que vous auront compris
Quelles sont les limites de la censure littéraire sur VE ?
On ne me bâillonnera pas ! Je l'ai été assez longtemps, ça suffit ! Je me refais une jeunesse.
Et si je dois être lynché, je veux l'être en public.
En attendant,
Damyronron
Amivalement
Re: Discussions autour de nos textes
Hum, cette image de "Comme l'eau parfois peut manquer au noyé" a toujours cet effet de scission, il y a la moitié qui l'adore et l'autre qui, ne la comprenant pas, ne l'apprécie pas. Elle est inexplicable. C'est une image qui saisit pas de ces images là qu'on saisit.
Re: Discussions autour de nos textes
Vous voyez comme on peut-être idiot... Je précise ma pensée: "la place", c'est les orgavéliens qui en décident. De quoi je me mêle ? Non, je voulais dire: des jugements à l'emporte-pièce sur ses qualités quand on est pas qualifié pour en porter.Damy a écrit:Je vise les idées véhiculées dans les textes et dans les commentaires. C'est pas ça la critique littéraire ? plutôt que "c'est beau ce que tu écris ma chérie, j'en suis toute retournée" et des vociférations aussi idiotes qu'intempestives sur la place de la poésie sur VE ?
Merci d'avoir généreusement permis cette rectification.
Dabyzous à tous
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