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Re: Discussions autour de nos textes
Attention certains sont (presque) mortsJanis a écrit:si faut attendre l'aboutissement de tac au tac, m'est avis que nous serons tous vieux
même si l'idée est belle
et le résultat prometteur
Sans même qu'intervint le Mentor
Pour avoir évoqué la possible lenteur
De l'ex au résultat prometteur.
D'icelui l'aboutir
Nécessite
Que Perrault
Fasse beau
Et nous sache mûrir
Un alex en pépite.
Ulysse et les Sirènes : métaphore de l'inaccès aux femmes ?
Le texte "Sirènes" de Pascal-Claude Perrault m'a remonté une vieille interrogation :
....Enfant j'ai toujours remarqué mon incompréhension totale pour cet épisode de l'Odyssée: comment un homme, un chef pouvait-il craindre ainsi les femmes au point de s'attacher au mât comme un prisonnier? Aujourd'hui (je n'ai guère progressé...) je m'interroge encore.
....Que voit-on dans cette scène des Sirènes? J'y discerne (en non-spécialiste et en toute naïveté) les éléments suivants:
- la mer est un danger, lequel est par endroit (près de la Sicile!) personnifié sous la forme de femmes : cela n'est pas en soi très gentil pour la gente féminine et nous renvoie au machisme de la société grecque, qui reste ne l'oublions jamais une société guerrière, hiérarchisée et esclavagiste du Bronze Final et de l'Age du Fer
- Poseidon dieu de la mer étant dans ce récit épique l'ennemi d'Ulysse (qui l'aurait initialement contrarié lors de l'épisode du cheval à Troie) apparaît au contraire comme une sorte de monstre sur-mâle : faut-il alors voir dans les sirènes une forme féminisée de l'opposition de Poséidon à Ulysse, peut-être féminisée pour prendre les termes d'Athéna, déesse favorable à Ulysse et qui contre-carre l'opposition mortelle d'Ulysse qu'elle réussira à préserver en transformant l'hostilité du dieu en un temps long, un parcours, une pénitence finalement? Cette lecture reste toutefois à l'intérieur du récit, dans son paradigme.
- On ne peut s'empêcher de voir dans Ulysse qui se fait attacher au mat une situation très marquée et inverse à celle de ses compagnons: ces derniers ont les oreilles cirées pour ne pas entendre les sirènes. Ainsi au prétexte de ne pas succomber ils sont diminués mais restent intacts dans leur rôle de travailleurs (rameurs). Au plan anthropologique ou symbolique j'entends qu'ils sont diminués de leur faculté à entendre les femmes, à accéder à leur charme. Dans ce sens leur statut d'entravés et d'attachés (à leur poste de rame) les rapproche du statut d'esclave.
....A l'opposé Ulysse se fait attacher au mat comme un esclave au poteau, ce qui restaure par symétrie une sorte d’équivalence entre lui et ses compagnons. Toutefois Ulysse reste libre d’ouir le chant des Sirènes, il n’est donc pas diminué physiquement. Mieux encore, il n’est pas rivé comme enchaîné à un travail de soute, il est au centre, dans le haut du navire (même si celui-ci n’est pas ou peu ponté), il n’est pas assis comme un travailleur ou un humble mais il se tient debout, il s’érige, il fait face. Qui plus est il est entièrement consacré à recueillir, analyser, décrypter et dompter une magie, une musique, ce qui est dans l’Antiquité une émanation des dieux et donc de l’esprit.
....Au total je vois donc dans cette scène une métaphore du chef qui seul peut résister au contact et au danger avec le monde des dieux, qui seul peut être appelé à ce rude et périlleux interface entre le monde des hommes et celui de l’Olympe, rude et périlleux contact avec l'intelligence du monde. On retrouve là le mythe de la pomme d’Adam et d’Eve (le péché d’accès à la connaissance ou à l’essence de Dieu) autant que celui de la boîte de Pandore (la vengeance d’un Zeus vexé qu’il exercera sur les hommes par une nuée de malheurs qui seront délivrés par une femme, la plus belle).
....Le fait qu’il soit le seul à être autorisé à braver l’éther de l’esprit diffusé par les Sirènes, éther fatal à qui n’est pas fait (entendons « pas né » s’agissant d’une société aristocratique) pour lui résister, fait d’Ulysse le chef par essence.
....Cette configuration symbolique n’épuise cependant pas l’interrogation : pourquoi en effet le caractère féminin des Sirènes alors que ce qui vient d’être dit sur l’affirmation du statut de chef aristocratique pourrait très bien s’opérer par des Sirènes masculines ?
....A mon sens la féminité des Sirènes dévoile un autre plan symbolique : c’est vers la femme la plus belle (comme fabriquée des dieux) que le chant (effluve des Muses) des Sirènes emmène, pervertissant et perdant les esprits faibles qui ne sont pas faits (pas nés) pour et qui y succomberaient. La scène des Sirènes de l’Odyssée me semble au total exprimer la force d’un tabou : elle est la métaphore d’un accès aux femmes hautes et belles qui est prohibé aux hommes non nobles et réservé aux hommes éligibles, les aristocrates guerriers qui s’étagent entre le peuple travailleur nappé au sol et les dieux juchés sur l’Olympe.
....Ce sens de la scène des Sirènes me paraît convalidé par le fait que la plupart des autres femmes que rencontrera Ulysse (reines ou magiciennes, Circé etc.) seront réservées à Ulysse et parfois fatales à ses hommes. Protégé d'Athéna, Ulysse se verra offrir le summum des femmes ou aura l'accès qu'il veut bien avoir à elles. D’ailleurs l’ultime scène de l’Odyssée est bien celle de l’accès d’Ulysse à une femme, la reine d’Ithaque, dans une sorte d’apothéose guerrière et virile où tous, vieille nourrice (entendre : esclave allaitante), berger, servante etc. le serviront (à s’introduire, à s’armer, à fermer, à désarmer les nobles prétendants) : le roi vient accomplir son rapt légitime, requérir et embrasser le bien féminin qu’il mérite.
....Ce dernier bien, soumis comme une esclave, l'a attendu autant qu'il a fallu, au mépris mortifère de son plaisir de vivre, de son droit même de veuve à une descendance avec un autre homme, dans les pleurs continus de la lamentatio et le travail infini de la toile (travail féminin et d'esclave par excellence jusqu'au Moyen Age carolingien) qui sans doute symbobise ici le fil ininterruptible de l'attachement à Ulysse. La bravoure de ce dernier (Ulysse signifie en outre "le rusé" " le doué d'intelligence") n’est qu’une longue métaphore de son rang et la longue attente de Pénélope n’est que l’expression de son enchaînement à un homme : XIIè-VIIIè siècle avant JC, l’esclavage de la femme vient de se consolider en Méditerranée. Sous l’égide des dieux.
....Enfant j'ai toujours remarqué mon incompréhension totale pour cet épisode de l'Odyssée: comment un homme, un chef pouvait-il craindre ainsi les femmes au point de s'attacher au mât comme un prisonnier? Aujourd'hui (je n'ai guère progressé...) je m'interroge encore.
....Que voit-on dans cette scène des Sirènes? J'y discerne (en non-spécialiste et en toute naïveté) les éléments suivants:
- la mer est un danger, lequel est par endroit (près de la Sicile!) personnifié sous la forme de femmes : cela n'est pas en soi très gentil pour la gente féminine et nous renvoie au machisme de la société grecque, qui reste ne l'oublions jamais une société guerrière, hiérarchisée et esclavagiste du Bronze Final et de l'Age du Fer
- Poseidon dieu de la mer étant dans ce récit épique l'ennemi d'Ulysse (qui l'aurait initialement contrarié lors de l'épisode du cheval à Troie) apparaît au contraire comme une sorte de monstre sur-mâle : faut-il alors voir dans les sirènes une forme féminisée de l'opposition de Poséidon à Ulysse, peut-être féminisée pour prendre les termes d'Athéna, déesse favorable à Ulysse et qui contre-carre l'opposition mortelle d'Ulysse qu'elle réussira à préserver en transformant l'hostilité du dieu en un temps long, un parcours, une pénitence finalement? Cette lecture reste toutefois à l'intérieur du récit, dans son paradigme.
- On ne peut s'empêcher de voir dans Ulysse qui se fait attacher au mat une situation très marquée et inverse à celle de ses compagnons: ces derniers ont les oreilles cirées pour ne pas entendre les sirènes. Ainsi au prétexte de ne pas succomber ils sont diminués mais restent intacts dans leur rôle de travailleurs (rameurs). Au plan anthropologique ou symbolique j'entends qu'ils sont diminués de leur faculté à entendre les femmes, à accéder à leur charme. Dans ce sens leur statut d'entravés et d'attachés (à leur poste de rame) les rapproche du statut d'esclave.
....A l'opposé Ulysse se fait attacher au mat comme un esclave au poteau, ce qui restaure par symétrie une sorte d’équivalence entre lui et ses compagnons. Toutefois Ulysse reste libre d’ouir le chant des Sirènes, il n’est donc pas diminué physiquement. Mieux encore, il n’est pas rivé comme enchaîné à un travail de soute, il est au centre, dans le haut du navire (même si celui-ci n’est pas ou peu ponté), il n’est pas assis comme un travailleur ou un humble mais il se tient debout, il s’érige, il fait face. Qui plus est il est entièrement consacré à recueillir, analyser, décrypter et dompter une magie, une musique, ce qui est dans l’Antiquité une émanation des dieux et donc de l’esprit.
....Au total je vois donc dans cette scène une métaphore du chef qui seul peut résister au contact et au danger avec le monde des dieux, qui seul peut être appelé à ce rude et périlleux interface entre le monde des hommes et celui de l’Olympe, rude et périlleux contact avec l'intelligence du monde. On retrouve là le mythe de la pomme d’Adam et d’Eve (le péché d’accès à la connaissance ou à l’essence de Dieu) autant que celui de la boîte de Pandore (la vengeance d’un Zeus vexé qu’il exercera sur les hommes par une nuée de malheurs qui seront délivrés par une femme, la plus belle).
....Le fait qu’il soit le seul à être autorisé à braver l’éther de l’esprit diffusé par les Sirènes, éther fatal à qui n’est pas fait (entendons « pas né » s’agissant d’une société aristocratique) pour lui résister, fait d’Ulysse le chef par essence.
....Cette configuration symbolique n’épuise cependant pas l’interrogation : pourquoi en effet le caractère féminin des Sirènes alors que ce qui vient d’être dit sur l’affirmation du statut de chef aristocratique pourrait très bien s’opérer par des Sirènes masculines ?
....A mon sens la féminité des Sirènes dévoile un autre plan symbolique : c’est vers la femme la plus belle (comme fabriquée des dieux) que le chant (effluve des Muses) des Sirènes emmène, pervertissant et perdant les esprits faibles qui ne sont pas faits (pas nés) pour et qui y succomberaient. La scène des Sirènes de l’Odyssée me semble au total exprimer la force d’un tabou : elle est la métaphore d’un accès aux femmes hautes et belles qui est prohibé aux hommes non nobles et réservé aux hommes éligibles, les aristocrates guerriers qui s’étagent entre le peuple travailleur nappé au sol et les dieux juchés sur l’Olympe.
....Ce sens de la scène des Sirènes me paraît convalidé par le fait que la plupart des autres femmes que rencontrera Ulysse (reines ou magiciennes, Circé etc.) seront réservées à Ulysse et parfois fatales à ses hommes. Protégé d'Athéna, Ulysse se verra offrir le summum des femmes ou aura l'accès qu'il veut bien avoir à elles. D’ailleurs l’ultime scène de l’Odyssée est bien celle de l’accès d’Ulysse à une femme, la reine d’Ithaque, dans une sorte d’apothéose guerrière et virile où tous, vieille nourrice (entendre : esclave allaitante), berger, servante etc. le serviront (à s’introduire, à s’armer, à fermer, à désarmer les nobles prétendants) : le roi vient accomplir son rapt légitime, requérir et embrasser le bien féminin qu’il mérite.
....Ce dernier bien, soumis comme une esclave, l'a attendu autant qu'il a fallu, au mépris mortifère de son plaisir de vivre, de son droit même de veuve à une descendance avec un autre homme, dans les pleurs continus de la lamentatio et le travail infini de la toile (travail féminin et d'esclave par excellence jusqu'au Moyen Age carolingien) qui sans doute symbobise ici le fil ininterruptible de l'attachement à Ulysse. La bravoure de ce dernier (Ulysse signifie en outre "le rusé" " le doué d'intelligence") n’est qu’une longue métaphore de son rang et la longue attente de Pénélope n’est que l’expression de son enchaînement à un homme : XIIè-VIIIè siècle avant JC, l’esclavage de la femme vient de se consolider en Méditerranée. Sous l’égide des dieux.
Les Sirènes (encore)
Ouais c'est vrai ce que tu dis Marvejols. C'est bien...
Tiens, du coup je vous ai tous écoutés, j'ai remanié mon truc.
J'ai changé le titre. J'en ai imaginé plusieurs qui ne parlaient plus de sirènes – puisque certains d'entre vous semblent réfractaires à cette idée de sirènes, sirènes que personnellement j'ai conçues comme des forces attractives contre lesquelles nous ne pouvions lutter.
J'ai pensé à des titres comme : " Frontières " (là, je me suis ravisé vite fait) ; " Le seuil des mondes " (là, ça fait too much science fiction) ; " Les gardiennes " (là, j'ai juste eu l'impression d´être en taule) ; " Camembert " (là, j'étais juste un peu fatigué)... Finalement, je garde mes Sirènes, mais elles seront " Les Sirènes du temps " (là, du coup, ça fait un p'tit peu science fiction homériquaine).
Alors, si vous pouviez un pneu arrêter de me brouter avec votre Odyssée (que j'adore d'ailleurs), ce serait cool. Moi, j'aime bien l'Odyssée de l'espace...
Dites-moi si c'est mieux comme ça.
Je sais, je sais, y en a qui ne supportent pas cette philo versifiée pesante, et bien j'insiste en mon déversage de verserie philosophique versante versifiée de vers philosophiques, allez les vers !
Les Sirènes du temps
Entités Gardiennes des portes opposées,
Dont une est du début et l’autre de la fin,
Acheminent l’âme d’un univers enceint
Vers la grande conscience et sa félicité.
Jeunesse, l’initiale, inspire la beauté,
Mène la perception jusqu’à maturité ;
Vieillesse, la seconde, authentique ascension
De la connaissance trouve la dimension.
Jeunesse du corps est chimère pour le sage
Qui nous dit : la fleur croit jusqu’à s’épanouir,
Puis s’incline dès lors pour échoir à mourir
Entraînant l’éphémère en mémoire de l’âge.
Que signifie beauté ? Esthétique charnelle ?
Elle est tel un habit aux éclats scintillants,
Par l’usure Enchaîné, érodé par le temps
Et ruiné à jamais par le feu temporel.
La vieillesse est ainsi le chemin vers la Vie
Arpenté par le corps égrenant les secondes,
Elle porte la sagesse au seuil d’un nouveau monde
Jusqu’à la liberté menant à l’infini.
Tiens, du coup je vous ai tous écoutés, j'ai remanié mon truc.
J'ai changé le titre. J'en ai imaginé plusieurs qui ne parlaient plus de sirènes – puisque certains d'entre vous semblent réfractaires à cette idée de sirènes, sirènes que personnellement j'ai conçues comme des forces attractives contre lesquelles nous ne pouvions lutter.
J'ai pensé à des titres comme : " Frontières " (là, je me suis ravisé vite fait) ; " Le seuil des mondes " (là, ça fait too much science fiction) ; " Les gardiennes " (là, j'ai juste eu l'impression d´être en taule) ; " Camembert " (là, j'étais juste un peu fatigué)... Finalement, je garde mes Sirènes, mais elles seront " Les Sirènes du temps " (là, du coup, ça fait un p'tit peu science fiction homériquaine).
Alors, si vous pouviez un pneu arrêter de me brouter avec votre Odyssée (que j'adore d'ailleurs), ce serait cool. Moi, j'aime bien l'Odyssée de l'espace...
Dites-moi si c'est mieux comme ça.
Je sais, je sais, y en a qui ne supportent pas cette philo versifiée pesante, et bien j'insiste en mon déversage de verserie philosophique versante versifiée de vers philosophiques, allez les vers !
Les Sirènes du temps
Entités Gardiennes des portes opposées,
Dont une est du début et l’autre de la fin,
Acheminent l’âme d’un univers enceint
Vers la grande conscience et sa félicité.
Jeunesse, l’initiale, inspire la beauté,
Mène la perception jusqu’à maturité ;
Vieillesse, la seconde, authentique ascension
De la connaissance trouve la dimension.
Jeunesse du corps est chimère pour le sage
Qui nous dit : la fleur croit jusqu’à s’épanouir,
Puis s’incline dès lors pour échoir à mourir
Entraînant l’éphémère en mémoire de l’âge.
Que signifie beauté ? Esthétique charnelle ?
Elle est tel un habit aux éclats scintillants,
Par l’usure Enchaîné, érodé par le temps
Et ruiné à jamais par le feu temporel.
La vieillesse est ainsi le chemin vers la Vie
Arpenté par le corps égrenant les secondes,
Elle porte la sagesse au seuil d’un nouveau monde
Jusqu’à la liberté menant à l’infini.
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Les sirènes du temps
L'en a pas dormi cette nuit songeant aux Sirènes., P.C.P. ;-)
La forme centrée me plaisait bien, on voyait l'ondulation des vagues. la réécriture (ôtant le "qui, au") bien sûr me satisfait.
Je n'ai pas tout détaillé, j'en suis incapable.
La forme centrée me plaisait bien, on voyait l'ondulation des vagues. la réécriture (ôtant le "qui, au") bien sûr me satisfait.
Je n'ai pas tout détaillé, j'en suis incapable.
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Ben dis donc, mon gars, t'es vachement motivé.
Profite bien de la plénitude de la cinquantaine. Tu as encore deux bonnes décennies avant de t'assagir (et encore...)
Profite bien de la plénitude de la cinquantaine. Tu as encore deux bonnes décennies avant de t'assagir (et encore...)
Invité- Invité
correkzione
Et je viens de m'apercevoir que l'avant dernier vers avait 13 pieds ! 13 pieds, vous rendez-vous compte ? Si chacun de nous avait 13 pieds ?...
On ne devrait pas courir plus vite... Donc arecti-fication,
Et je crois que ce devrait être la bonne, j'attends le verdict :
Les Sirènes du Temps
Entités Gardiennes des portes opposées,
Dont une est du début et l’autre de la fin,
Acheminent l’âme d’un univers enceint
Vers la grande conscience et sa félicité.
Jeunesse, l’initiale, inspire la beauté,
Mène la perception jusqu’à maturité ;
Vieillesse, la seconde, authentique ascension
De la connaissance trouve la dimension.
Jeunesse du corps est chimère pour le sage
Qui nous dit : la fleur croit jusqu’à s’épanouir,
Puis s’incline dès lors pour échoir à mourir
Entraînant l’éphémère en mémoire de l’âge.
Que signifie beauté ? Esthétique charnelle ?
Elle est tel un habit aux éclats scintillants,
Par l’usure Enchaîné, érodé par le temps
Et ruiné à jamais par le feu temporel.
La vieillesse est ainsi le chemin vers la Vie,
Arpenté par le corps égrenant les secondes,
Elle porte sagesse au seuil d’un nouveau monde
Jusqu’à la liberté menant à l’infini.
- Aucun problème pour poster la version remaniée sur le fil de la version originale. C'est l'esprit même de l'atelier d'écriture. -
On ne devrait pas courir plus vite... Donc arecti-fication,
Et je crois que ce devrait être la bonne, j'attends le verdict :
Les Sirènes du Temps
Entités Gardiennes des portes opposées,
Dont une est du début et l’autre de la fin,
Acheminent l’âme d’un univers enceint
Vers la grande conscience et sa félicité.
Jeunesse, l’initiale, inspire la beauté,
Mène la perception jusqu’à maturité ;
Vieillesse, la seconde, authentique ascension
De la connaissance trouve la dimension.
Jeunesse du corps est chimère pour le sage
Qui nous dit : la fleur croit jusqu’à s’épanouir,
Puis s’incline dès lors pour échoir à mourir
Entraînant l’éphémère en mémoire de l’âge.
Que signifie beauté ? Esthétique charnelle ?
Elle est tel un habit aux éclats scintillants,
Par l’usure Enchaîné, érodé par le temps
Et ruiné à jamais par le feu temporel.
La vieillesse est ainsi le chemin vers la Vie,
Arpenté par le corps égrenant les secondes,
Elle porte sagesse au seuil d’un nouveau monde
Jusqu’à la liberté menant à l’infini.
- Aucun problème pour poster la version remaniée sur le fil de la version originale. C'est l'esprit même de l'atelier d'écriture. -
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Sans modifier le texte, je pense que les versets sont ici plus adaptés que les vers. Comme ceci:
Les Sirènes du Temps
Entités Gardiennes des portes opposées, dont une est du début et l’autre de la fin, (elles) acheminent l’âme d’un univers enceint vers la grande conscience et sa félicité.
Jeunesse, l’initiale, inspire la beauté, mène la perception jusqu’à maturité.
Vieillesse, la seconde, authentique ascension de la connaissance trouve la dimension.
Jeunesse du corps est chimère pour le sage qui nous dit : la fleur croit jusqu’à s’épanouir, puis s’incline dès lors pour échoir à mourir, entraînant l’éphémère en mémoire de l’âge.
Que signifie beauté ? Esthétique charnelle ? Elle est tel un habit aux éclats scintillants, par l’usure Enchaîné, érodé par le temps et ruiné à jamais par le feu temporel.
La vieillesse est ainsi le chemin vers la Vie, arpenté par le corps égrenant les secondes, elle porte sagesse au seuil d’un nouveau monde jusqu’à la liberté menant à l’infini.
Invité- Invité
Exo TACOTAC : Le Grand Œuvre
Bonjour à toutes et tous,
je suis désolée pour les erreurs d'envoi. Le premier vers était une épreuve, je l'avais mis au chaud, je me suis trompée de document... pour le second, c'est impardonnable, il contient une faute grossière, et pourtant j'ai fait une prévisualisation, mais c'est souvent la plus grosse qu'on ne voit jamais, ( bon, je m'avance en terrain glissant là) ; donc, c'est bien la dernière version qui est la bonne :
"Belle épure. L'harmonie, aux ciels, trouait le jour"
je suis désolée pour les erreurs d'envoi. Le premier vers était une épreuve, je l'avais mis au chaud, je me suis trompée de document... pour le second, c'est impardonnable, il contient une faute grossière, et pourtant j'ai fait une prévisualisation, mais c'est souvent la plus grosse qu'on ne voit jamais, ( bon, je m'avance en terrain glissant là) ; donc, c'est bien la dernière version qui est la bonne :
"Belle épure. L'harmonie, aux ciels, trouait le jour"
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: Discussions autour de nos textes
Joli vers, Poussicat, mais qui ne respecte pas l'alternance des rimes féminine/masculine
Votre vers devrait se terminer par une rime féminine (mot se terminant par e)
Vous avez le choix...
Votre vers devrait se terminer par une rime féminine (mot se terminant par e)
Vous avez le choix...
Invité- Invité
À Tizef
Bonne idée que celle de versets, je n'y avais pas pensé. Je vais remettre cette version corrigée en bonne place.
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
D'Elsa à Orbel
Merci de votre lecture attentive. Je suis d'accord avec vous que les maladresses phoniques du 1° vers. Je n'ai pas cherché à faire un sonnet de forme régulière: c'est un prototype damyesque. Mais votre remarque jointes aux autres font que je le retravaillerai pour en améliorer son esthétique et sa musique.
A Pascal-Claude
Mis à part que le poème, les sirènes du temps, est très beau, si l'on s'en tient aux
règles de la prosodie plusieurs vers ont treize pieds.
Il faut simplement savoir si les règles sont à respecter ou pas.
Orbel
règles de la prosodie plusieurs vers ont treize pieds.
Il faut simplement savoir si les règles sont à respecter ou pas.
Orbel
Orbel- Nombre de messages : 34
Age : 69
Date d'inscription : 15/06/2011
À orbel
13 pieds quelquefois, oui, si on lit le texte en appliquant la diérèse aux diphtongues.
J'ai pris le parti de la synérèse, et puis d'autre part, ce texte n'a pas la prétention de se hisser aux grandes rigueurs du classicisme.
J'ai pris le parti de la synérèse, et puis d'autre part, ce texte n'a pas la prétention de se hisser aux grandes rigueurs du classicisme.
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
A Pascal-Claude
Je pensais, effectivement, que la prosodie n'était pas respectée volontairement
La précision me permet de lire plus librement.
Merci
La précision me permet de lire plus librement.
Merci
Orbel- Nombre de messages : 34
Age : 69
Date d'inscription : 15/06/2011
Re: Discussions autour de nos textes
quel pied !Pascal-Claude Perrault a écrit:13 pieds quelquefois, oui, si on lit le texte en appliquant la diérèse aux diphtongues.
J'ai pris le parti de la synérèse, et puis d'autre part, ce texte n'a pas la prétention de se hisser aux grandes rigueurs du classicisme.
oups, pardon
et la synérèse, c'est grave, comme truc ?
oui bon je sais, on n'est pas là pour rigoler
mais quand même
un petit rire le matin, un autre l'après-midi et un le soir
c'est recommandé
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Discussions autour de nos textes
t'as mis de l'ami stiche et de l'occis maure à tes bouteille, Janis, je les préfère. Quand c'est que tu enlèves le bouchon ?
D'Elsa à Bolero
Merci beaucoup, Laura, d'avoir aimé. Le monde poétique est bien petit...
Amicalement
Damy
Amicalement
Damy
Re: Discussions autour de nos textes
à boléro,
vous écrivez:
l'armoire
bolero Aujourd'hui à 9:49
.Quelqu'un ose dire que votre buffet ressemble à celui de Rimbaud. C'est le jour et la nuit. Rimbaud était poète lui, il composait de vrais alexandrins mais tout le monde ne s'appelle pas Rimbaud !!!
...
je ne réponds pas à votre jugement sur le texte de Marvejols.. libres nous pensons
je réponds ici à votre affirmation quand au respect des règles du Sieur Rimbaud
.... car il me semble qu'il est au contraire
un des grands libérateurs, en versification, du carcan prosodique ... à la sauce classique ...
non ?
vous écrivez:
l'armoire
bolero Aujourd'hui à 9:49
.Quelqu'un ose dire que votre buffet ressemble à celui de Rimbaud. C'est le jour et la nuit. Rimbaud était poète lui, il composait de vrais alexandrins mais tout le monde ne s'appelle pas Rimbaud !!!
...
je ne réponds pas à votre jugement sur le texte de Marvejols.. libres nous pensons
je réponds ici à votre affirmation quand au respect des règles du Sieur Rimbaud
.... car il me semble qu'il est au contraire
un des grands libérateurs, en versification, du carcan prosodique ... à la sauce classique ...
non ?
Re: Discussions autour de nos textes
à boléro encore,
Les sirènes
bolero Aujourd'hui à 0:39
.Eh bien, où ai-je mis les pieds en m'inscrivant ici ? Votre poésie, même si elle n'est pas palpitante, est de belle écriture ! On m'avait dit qu'ici je trouverais des "pets d'oiseaux", l'expression était trop faible ! On peut accepter les critiques mais certains y vont fort et je suis sûre ne font pas mieux que vous. J'en ai vu quelques échantillons.... La poésie moderne c'est tout et n'importe quoi, sauf de la poésie. Je ne vais pas faire long feu ici ! Cordialement
....
au contraire,
ici, chacun a le droit de défendre son angle de vue
poétique
et si j'affirme que vous n'avez pas la vérité
et bien j'affirme aussi
que je ne l'ai pas non plus
par contre
rien ne nous interdit
chacun de notre côté
de la chercher ensemble !!!
amitié
Les sirènes
bolero Aujourd'hui à 0:39
.Eh bien, où ai-je mis les pieds en m'inscrivant ici ? Votre poésie, même si elle n'est pas palpitante, est de belle écriture ! On m'avait dit qu'ici je trouverais des "pets d'oiseaux", l'expression était trop faible ! On peut accepter les critiques mais certains y vont fort et je suis sûre ne font pas mieux que vous. J'en ai vu quelques échantillons.... La poésie moderne c'est tout et n'importe quoi, sauf de la poésie. Je ne vais pas faire long feu ici ! Cordialement
....
au contraire,
ici, chacun a le droit de défendre son angle de vue
poétique
et si j'affirme que vous n'avez pas la vérité
et bien j'affirme aussi
que je ne l'ai pas non plus
par contre
rien ne nous interdit
chacun de notre côté
de la chercher ensemble !!!
amitié
Re: Discussions autour de nos textes
Bèh, on arrête les assassinats comme on peut! Moi si je fais une bourde même totalement involontaire (un petit trait d'union -d'union je dis- en trop dans le pseudo d'Artnow) on n'attend pas 2 jours pour m'en faire remontrance.Frédéric Prunier a écrit:le noyer..
Marve... Collabo !!! -))))))))))))))
(Dites-moi Prunier, les collbos c'était pas un peu pas loin de Montluçon?.. -mdr).
Re: Discussions autour de nos textes
en tout cas, si le forum est nul, la qu'à aller voir ailleurs si on y est
(j'arrête ici, illico, je mets un point final et définitf)
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Elsa (de Damy)
Eh bien Laura d'Elsaragone, VOS ECRITS est par nature un ATELIER D'ECRITURE.
Si vous êtes là pour faire admirer vos chefs-d'oeuvre et n'en attendre que des compliments, ce n'est pas le lieu.
En revanche, si vous avez tout compris à la poésie, comme certaines de vos remarques le laissent penser, vous pouvez avantageusement rester pour aider les cancres à progresser.
Je dis ça, je dis rien...
Décidément c'est très tendance de faire de la pub à d'autres sites ;-)
Si vous êtes là pour faire admirer vos chefs-d'oeuvre et n'en attendre que des compliments, ce n'est pas le lieu.
En revanche, si vous avez tout compris à la poésie, comme certaines de vos remarques le laissent penser, vous pouvez avantageusement rester pour aider les cancres à progresser.
Je dis ça, je dis rien...
Décidément c'est très tendance de faire de la pub à d'autres sites ;-)
Re: Discussions autour de nos textes
on n'y sera pas, heureusement, mais elle est maintenant partie voir ailleurs, en effet.Janis a écrit:en tout cas, si le forum est nul, la qu'à aller voir ailleurs si on y est
(j'arrête ici, illico, je mets un point final et définitf)
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
Mentor, je trouve tes remarques vraiment déplacées ici !
Laura et elsaragone sont deux personnes différentes, que j'apprécie par ailleurs
Un com sur mon texte, stp, et balaie-moi ça d'ici.
Laura et elsaragone sont deux personnes différentes, que j'apprécie par ailleurs
Un com sur mon texte, stp, et balaie-moi ça d'ici.
Re: Discussions autour de nos textes
Quand tu t'exprimeras autrement, peut-êtreDamy a écrit:Un com sur mon texte, stp, et balaie-moi ça d'ici.
T'es pas au corps de garde ici
et ton poème, fallait le poster sur ton autre site, non ?
Dernière édition par mentor le Lun 26 Mar 2012 - 11:55, édité 1 fois
Re: Discussions autour de nos textes
j'espère aussi que tu t'exprimeras autrement sur mes textes, et je serais ravi que tu me dises ce que tu penses de celui-ci
Quand on arrive...
Je trouve qu'On pourrait avoir l'élégance de ne pas marcher sur toutes les plates-bandes, commencer par regarder le plan des lieux, ne pas vouloir attirer tous les regards jusqu'à en aveugler tout le monde. Et puisqu'On n'est pas invité mais venu de sa propre initiative ne pas s'étonner que les autres participants à cette fête de la poésie aient un peu des réactions épidermiques.
(j'avoue que je me suis retenue ce matin et attendue les modérateurs)
Invité- Invité
Re: Discussions autour de nos textes
J'aurais juste aimé, éclaircie, que cela ne se fasse pas au détriment de mon poème Elsa, qui n'y est strictement pour rien.
Re: Discussions autour de nos textes
damy
je viens de lire le petit échange dans ton poème, c'est pas ton poème qui est mis en cause... yapadlézarde...
je viens de lire le petit échange dans ton poème, c'est pas ton poème qui est mis en cause... yapadlézarde...
Re: Discussions autour de nos textes
je sais bien, Frédéric, j'ai rouspété uniquement parce que l'échauffourée n'a pas sa place dans l'espace de Nedjma. Après que les gens 'fassent" où ils veulent, je m'en fiche royalement.
Réponse à Loïc ( Hommage à une poétesse )
Loïc a écrit :
Prenez cela comme de l'humour, mais on dirait de la poésie officielle de la grande époque soviétique... :)) (pendant les purges)
Réponse :
Stalline aimait beaucoup les fleurs.
Le Parnasse avait ses règles. Heureusement, elles sont arrivées jusqu’à nous.
Le respect de la prosodie qu’utilisaient Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Mallarmé,
Samain (créateur du sonnet seizain) me permet, il est vrai, de me purger des
inepties que je lis souvent, celles-ci nous donnant, soi-disant, une idée réelle
de la liberté.
Hommage à une poétesse est rouge c'est vrai mais comme le sang ruisselant
sur chaque vers de cette poétesse, un sang classique et frais.
J'ai bien ri à la lecture du commentaire.
Orbel
Prenez cela comme de l'humour, mais on dirait de la poésie officielle de la grande époque soviétique... :)) (pendant les purges)
Réponse :
Stalline aimait beaucoup les fleurs.
Le Parnasse avait ses règles. Heureusement, elles sont arrivées jusqu’à nous.
Le respect de la prosodie qu’utilisaient Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Mallarmé,
Samain (créateur du sonnet seizain) me permet, il est vrai, de me purger des
inepties que je lis souvent, celles-ci nous donnant, soi-disant, une idée réelle
de la liberté.
Hommage à une poétesse est rouge c'est vrai mais comme le sang ruisselant
sur chaque vers de cette poétesse, un sang classique et frais.
J'ai bien ri à la lecture du commentaire.
Orbel
Orbel- Nombre de messages : 34
Age : 69
Date d'inscription : 15/06/2011
Re: Discussions autour de nos textes
J'ai aussi lu le "commentaire" qui est en effet une petite perle d'humour... involontaire.
L'arroseur arrosé en quelque sorte.
L'arroseur arrosé en quelque sorte.
Invité- Invité
Hommage à une poètesse (Sonnet seizain)
Je pense, Tizief, que l'humour est volontaire ce qui donne au commentaire
un aspect culturel intéressant.
Le manque de ponctuation, des vers 9 à 12, est en effet volontaire car j'ai
toujours des difficultés à la poser.
La poétesse dont il est question aime beaucoup composer des sonnets à
la résonance mythologique.
Orbel
un aspect culturel intéressant.
Le manque de ponctuation, des vers 9 à 12, est en effet volontaire car j'ai
toujours des difficultés à la poser.
La poétesse dont il est question aime beaucoup composer des sonnets à
la résonance mythologique.
Orbel
Orbel- Nombre de messages : 34
Age : 69
Date d'inscription : 15/06/2011
Poétesse et Parfaits
Hé les gars, les poètes parfaits, les sûrs d'eux et peur de rien, les qui adorent les règles plus que les gens, les qui à peine débarqués (sur le forum parce que dans la vie ça fait déjà un moment) se permettent de sabrer un Loïc ou quiconque sans même être allés voir sa production ou les commentaires qu'il/elle reçoit, sans même un minimum d'égards etc. si jamais on vous dérange, faut nous le dire. On n'est pas difficiles (d'ailleurs on est médiocres), on ira "faire" nos textes ailleurs et on vous laisse la place. Vous la méritez. On vous laisse et le stalinisme et ses fleurs en attendant qu'ils confanent.
Désolé je n'ai pas l'humour gracile et bref de Janis...
Désolé je n'ai pas l'humour gracile et bref de Janis...
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