Discussions autour de nos textes

Son capital, on peut aussi le relire...

Sois tranquille, MARVEJOLS, je ne m"énerve pas. Quand cela m'arrive, c'est autre chose !

FRÉDÉRIC PRUNIER, tu écris :
"Ici n'est pas un forum de politique"
Voilà un point d'accord. Le seul. Mais qui a placé le débat sur ce terrain ?

Tu continues :
"...je me suis aperçu que le premier article développé, en suivant la météo, était illustré d'images de plages et de joyeux concitoyens profitant de repos et de plein air, pleinement mérité bien sur.
Fort de ce constat, je ne peux m'empêcher de faire le parralèlle avec un livre des années trente que je possède en ma bibliothèque, illustré de superbes photos noirs et blancs et qui se nomme: .....LA FRANCE QUI TRAVAILLE....
Si on fabriquait un tel livre aujourd'hui, je l'appelerions.....LA FRANCE EN VACANCES....."

Il y a donc, pour toi, la lointaine période sombre, révolue, et le présent lumineux? Laisse-moi te raconter une histoire :

Ce qui suit c’est produit il y a bien longtemps,
Dans un coin de Paris, près de Ménilmontant,
Avant que le progrès, social comme l’on dit,
Nous ait débarrassés enfin des tragédies.
C’est un récit navrant, je dois vous prévenir,
Lecteurs trop émotifs, cœurs tendres s’abstenir,
Car il nous donne à voir, sans détours et sans fards,
La vie noire à pleurer d’un minable clochard,
Qui n’avait ni travail, ni parents, ni copains,
Et qui est mort de froid, ou peut-être de faim.
Mais ceci s’est passé il y a bien longtemps,
En des temps reculés, sombres et inquiétants.

Aujourd’hui à Clichy ou à Ménilmontant,
On ne meurt plus de froid, ou bien si rarement,
Qu’il n’y a pas de quoi défrayer la chronique,
Surcharger pour si peu les bonnes statistiques.
Ami, si tu as faim ou froid, si tu as peur,
Il y a Emmaüs et les restos du cœur,
Et quand le thermomètre est proche de zéro,
Tu peux même squatter les marches du métro.
Entre les gens de cœur, la concurrence est vive
Pour repêcher les âmes allant à la dérive,
Et le SDF mort au début de l’histoire,
Grâce à Dieu, de nos jours, on a peine à y croire.

Et enfin, ton chef-d’œuvre :

"j'ai juste un peu de mal à les entendre gueuler parce qu'ils n'ont plus de sous quand ils reviennent de vacances."

Sur quelle planète vis-tu ?...

Heureux pour toi que tu ne sois pas smicart. Je m'en doutais bien un peu.

Pour moi, le "débat est terminé. Je te laisse "bouffer ton capital"



< Ca ira comme ça.
Prière d'échanger autour de vos textes.
Merci.
La Modération >

quand je dis smicard, c'est que je gagne moins

Toujours pas de pussicat en VuE ?

A l'origine ce texte était une double fable express pondue sur un autre forum à l'occasion d'un exo.
Fable-express
D'où la répétition du proverbe.

Je l'ai ressorti pour en fignoler l'écriture.
Hors contexte en effet, comme le remarque Arielle, la répétition du proverbe peut sembler un peu "relou"
Je vais essayer de changer le vers 8 tout en conservant le ressort comique.
Le temps d'une petite balade en bord de mer pour me stimuler les méninges.
A+

Oh non ! S'il te plait, Tizef, ne change rien et surtout pas le proverbe dont la répétition est succulente (l’autruche qui se case et l'autruche qui se casse)

Peut-être Arielle a-t-elle raison, peut-être moi, va savoir !...

Aïe !
Me voici dans la situation de Salomon, sommé de trancher entre deux des plus belles plumes de ce forum.
Désolé Arielle, mais, la flemme aidant, je vais trancher en faveur d'Albert-Robert.

C'est toi le maître de ballet Tizef et la Zizi Jeanmaire de ton marigot danse sur la chorégraphie que tu choisis !
C'est rigolo ces fables-express dont je ne connaissais pas la formule. Une chouette idée d'exo à proposer ...

Merci embellie et Albert-Robert de vos commentaires :

poème perso dont je sais par expérience qu'il n'enchante que celui qui l'écrit.

Cordialement

calijo

Merci Tizef

même commentaire que ci-dessus à embellie et Albert-Robert.

Cordialement

calijo

Annie, votre réponse est désopilante: vous me semblez irritée, mais je ne sais pas pourquoi, et vous dites n'avoir rien à dire. J'en conclus que ma proposition, qui visait à tester un sens possible de votre texte, vous irrite. Je viens donc d'en demander la suppression à la modération. Veuillez m'excusez de vous avoir incommodée.

Albert, ce court-métrage (Les meutes de Manuel Schapira) m'a renvoyé à votre poème Courage, fuyons !.
Me suis dis que cela pourrait vous intéresser (mais peut-être pas).
http://videos.arte.tv/fr/videos/les_meutes-6646598.html

cher Tizef,

voulez-vous diredonc, que j'écrivasse d'habitudedoncencore, des phrases au rendu d'effet d'un con préhensible ?
je vous laisse imaginer ce que l'on peut en déduire, non mais. -)))))))))

Amitié

De retour de Marseille
Où il faisait soleil,
Je reviens à Paris
Avec un temps pourri

Et je m’aperçois que j’ai oublié de répondre aux commentateurs.
Ce texte – Vacuité – a été rédigé d’une traite en cinq minutes en l’an de grâce 1989.

Marvejols a écrit:Hollà! c'est la crise mystique? La première strophe n'est pas bonne : elle a la lourdeur du traité de mystico-nirvanâ-harékrishna. Je sens d'ici l'encens. Pas du meilleur P-C P à mon avis. (faut pas fumer n'importe quoi les lendemains d'élection)

Aré Krishna, aré Rama, Om nama shiva ya… Bah non ça sens pas l’encens, t’es fou toi !
Le corps est un condensé de l’univers, c’est un micro-univers, je n’y peux rien, c’est scientifique, c’est en même temps la vie donc l’esprit qui va avec ; universelle vie en matière née, donc logique.

aseptans a écrit:Meuh non, meuh non Marcevol je trouve que PCP (et il n'y a rien d'ironique dans mes propos) s'améliore vraiment.
Mais ça devient agréable à lire, pas encore bien "débraguetté", mais il y tend.

Merci aseptans, 23 ans se sont écoulés ; à l’heure qu’il est, ma braguette est grande ouverte !

embellie a écrit:Le mot Univers, si près du titre Vacuité me suggère l'idée qu'une vie...c'est si peu de chose, en somme !
Ce texte me semble avoir été écrit d'un trait, sans retouches, et exprime bien ce sentiment fugitif que tout être doit ressentir un jour ou l'autre.

Toi, je sens que tu piges plus finement que d’autres.

Frédéric Prunier a écrit:cher PCP,
le fond me gène plus que la forme.
j'avoue que j'accroche pas, à cette idée de esprit, de hautement, de au-delà..
Ce n'est pas parce que je sais analyser, synthétiser, comprendre et faire une fusée que je ne suis pas de la même famille que le poisson.
Et ton texte, malgré le titre veut me tordre la lecture vers une sagesse en lévitation, avec cet esprit tout petit et cet autre infini
ça, pour moi, c'est pour les enfants, quand ils ont peur du noir.
Acceptons d'être ce que nous sommes, un animal je tu il est, Animal je tu nous et bigbang au-revoir madame.

L'esprit dans tout ça ??
un larynx et des cordes vocales.

Et voici un autre fou qui renie l’univers ! C’est pourtant bien ton père !

Tizef a écrit:Pas facile à manipuler les hexasyllabes. Il y a de très beaux passages:

Car toute vie n’est autre

Que l’étoile qui luit,
Et cette herbe qui pousse,
Cette écume qui mousse,
Et le jour qui finit,

Et la nuit qui vient …
Résonance du son,
Rosée du frais matin,
Et ce vide profond

Où s’est perdu hier…
Et l’atmosphère pure
Du souffle qui perdure
Dans un subtil éther…

Mais ici ou là certains vers sont amputés pour entrer dans le moule
Vers haute conscience
et le premier quatrain n'est pas tip-top

Bon, soit, j’avoue que le début et la fin sont trop directifs par rapport au corps du texte restant qui propose une certaine imagerie.

Arielle a écrit:J'aime bien la construction de ce poème autour de sa phrase-refrain qui chante agréablement à l'oreille mais je l'amputerais volontiers de la première et de la dernière strophes. Cet Univers-esprit, cette haute conscience et l'expérience menant à la sagesse ne sont guère, pour moi, que billevesées.

Où mets-tu la diérèse qui s'impose dans le vers "Et la nuit qui vient " ?

Oulala, billevesées ? Point du tout billevesées chère Dame, c’est au contraire d’une extrême importance ! Faut-il mourir au moins une fois dans cette vie pour s’éveiller à jamais ?
Cela dit, je reconnais que l’idée doit être autrement exprimée, mais je ne m’attaquerai pas à la réécriture de ce truc, j’ai horreur de ça.
Concernant la diérèse, c’est vrai qu’il y a deux possibilités, maintenant que tu me le dis, et c’est tout naturellement que je l’avais appliquée à la nu-it.

Merci à tous.

coucou les pouêts
je confirme : ici, 24° et grand soleil
je pars vite avant que KKBZ ne me déniche


dessin de gotlib

Oui, j’ai visionné et j'ai été intéressé.

Je te remercie de m'avoir faut découvrir cette vidéo que je ne connaissais pas.

A bientôt

Bonjour à tous, d'un commun accord avec moi-même, et avec l'aide de la Modération, je vous invite à ouvrir un fil pour poster vos textes comme vous le faites habituellement dans les sections Prose et Poésie sous l'intitulé :

La Grande Rencontre : titre

Chaque texte sera redirigé sur : http://www.vosecrits.com/t864-nos-series-et-exercices#293674 et repris au catalogue VE.




Pussicat

Les fables express sont divertissantes. Je m'y suis moi-même essayé avec plus ou moins de réussite.

Mais lorsqu'elles se font envahissantes, trop c'est trop ! ! Elles ne laissent pratiquement plus de place aux poèmes qui sont alors beaucoup moins lus et commentés.

Je ne demande pas la suppression des fables express, mais ne pourrait-on pas les mettre ailleurs ?

Vos avis svp.
Merci

Albert-Robert, pour info, le post d'origine n'a pas été supprimé mais déplacé ici : http://www.vosecrits.com/t3497p520-reorganisation-du-forum-vos-avis-et-idees-d-amelioration#320357
La Modération

A mon avis, Albert-Robert, l'engouement pour cet exercice va s'éteindre de lui-même.
Attendons la fin de la semaine et d'autres textes vont sans doute prendre la place de ceux-ci.
Si ce n'était pas le cas, on pourrait toujours demander à la modération d'aviser lundi prochain.

Sinon, chacun pourrait suivre l'exemple d'aseptans, et créer un fil pour toutes ses fables-express.

Il est évident qu'un fil pour tous eût été plus logique, c'est ce qui était prévu au départ, mais ce plan n'a pas été suivi.
Il était à prévoir que nous serions envahis par ces mini textes.

C'était aussi mon avis, c'est pourquoi j'en avais mis deux sur le tout premier fil, mais il m'a été demandé d'agir autrement, d'où le résultat.
Pour le nombre, je crois que j'ai un peu exagéré. Là, j'arrête. Je suis lassée de chercher.
Arielle a raison, le calme va revenir de lui-même.

Bonjour, Arielle

Tu écris : "Qu'ils règnent si c'est leur plaisir. De la toile je ne retiens que les gouttes de rosée ..."

Je te trouve bien imprudente, tu sais, ou trop confiante. Tu ne retiens que les gouttes de rosée parce que tu crois ne pas être engluée dans la toile et c’est encore vrai... pour le moment. Ne te rends-tu pas compte que nos ordinateurs, nos téléphones, nos cartes de crédit, nos cartes vitales (sans parler des renseignements administratifs) nous enferment insidieusement dans des fichiers qui s'étoffent constamment ? Et l'histoire nous apprend à quoi peuvent servir de tels fichiers. En d'autres temps, cela a commencé par les homosexuels, puis par les malades mentaux, les gitans, les juifs... Il était facile de les trouver, ils étaient fichés.

Amicalement

Bien d'accord avec toi Albert-Robert pour les tristes exemples que l'histoire nous a déjà servis. Les moyens évoluent, prennent de l'ampleur mais pour ce qui est de trouver son chien qu'on accuse d'avoir la rage (pour rester dans l'esprit des fabulettes) les "puissants" ont toujours su s'y prendre ! Si englués dans une toile nous le sommes bien, je préfère ne retenir que cette vision de la rosée qui scintille, éphémère certes, mais je le suis aussi et de plus en plus chaque jour.

Depuis 1990 la nouvelle orthographe nous prive de ce e que j'aimais bien, moi aussi, mais il faut se faire une raison et accepter gaiment de changer ses habitudes ;-)

J'ignorais.
Cela dit gaiement est toujours en vigueur. Pour ce mot sans son e, il faut alors orthographier gaîment => http://francois.gannaz.free.fr/Littre/xmlittre.php?rand=&requete=gaiment&submit=Rechercher
http://www.cnrtl.fr/definition/gaiment

Albert-Robert a écrit:Bonjour, Arielle

Tu écris : "Qu'ils règnent si c'est leur plaisir. De la toile je ne retiens que les gouttes de rosée ..."

Je te trouve bien imprudente, tu sais, ou trop confiante. Tu ne retiens que les gouttes de rosée parce que tu crois ne pas être engluée dans la toile et c’est encore vrai... pour le moment. Ne te rends-tu pas compte que nos ordinateurs, nos téléphones, nos cartes de crédit, nos cartes vitales (sans parler des renseignements administratifs) nous enferment insidieusement dans des fichiers qui s'étoffent constamment ? Et l'histoire nous apprend à quoi peuvent servir de tels fichiers. En d'autres temps, cela a commencé par les homosexuels, puis par les malades mentaux, les gitans, les juifs... Il était facile de les trouver, ils étaient fichés.

Amicalement

Nous sommes dans une société d'interdépendance cela a ses avantages et ses inconvénients.
Ce n'est pas le développement technique qui pose problème mais bien ce que nous en faisons. Ils peuvent être utilisés, tous, pour améliorer le sort de l'humanité comme pour la précipiter en enfer.
Et comme j'adore être l'avocat du diable, je dirai que ça me plait que ma carte vitale m'ait permis toute ma vie d'être soignée et de voir mes enfants soignés quelque soient mes moyens financiers. J'ajoute que ç me convient qu'on puisse retrouver la trace de ceux qui abuseraient de la solidarité nationale. J'aime bien ma carte de crédit qui m'a permis de me voir preter de l'argent quand j'en avais besoin, et qu'elle permette que je sois tracée ne me pose aucun problème, ça interesse qui de savoir que tel jour j'ai fait mes courses dans tel supermarché si je n'ai pas volé cette carte ou assassiné quelqu'un ?
Mon ordinateur mon téléphone m'apportent tant de connaissances et de possibilités de me relier que je ne suis qu' heureuse qu'ils existent.
Aux citoyens de faire en sorte qu'il existe une régulation afin de limiter les abus d'atteinte à la vie privée, tout n'a jamais été affaire que de pouvoirs et contre pouvoirs. Le but de toute civilisation est d'avancer en mettant en place cet équilibre. Fragile certes mais possible et souhaitable. Je ne suis pas naïve pour autant.
On a bien connu les persécutions dans ma famille. Je ne m'autorise pas pour autant la paranoïa.
Mais je suis pour le droit à l'outrance quand il s'agit d'écrire. Donc merci pour ton texte qui a le mérite d'interpeller en plus d'être bien tourné.

Pascal Claude PERRAULT : « Très réaliste effectivement, mais tu ne nous apprends rien Albert, ou alors tu débarques. »
Je n’ai pas l’outrecuidance de tenter « d’apprendre » quoi que ce soit à qui que soit. J’attire simplement l’attention.

Tout à fait d’accord avec toi, REBECCA, lorsque tu dis :
« … il y a à mon sens de quoi discuter et débattre. Car la vérité ne présente jamais qu'un seul visage, il y a toujours le vice du versa, l'envers du verso, et l'endroit de l'enfer. »

Mais faut-il s’interdire de parler du « vice », de « l’envers » et de « l’enfer » ?
____________

Non, TIZEF. Je te remercie mais je ne suis pas chansonnier et, dès la semaine prochaine, je vais changer de registre. Pour voir…

Merci, Arielle, Rebecca, Aseptans, Albert-Robert
Chanterelle est employé dans le sens de corde aigüe d'un instrument de musique.
La rime ballast/breakfast n'est pas négociable. Elle me fait trop marrer (j'ai honte)

Albert-Robert a écrit:Pascal Claude PERRAULT : « Très réaliste effectivement, mais tu ne nous apprends rien Albert, ou alors tu débarques. »
Je n’ai pas l’outrecuidance de tenter « d’apprendre » quoi que ce soit à qui que soit. J’attire simplement l’attention.

On le sait qu'on est fiché, nos moindres faits et gestes tracés... Enfin, pas encore tout à fait à l'heure actuelle, mais on y arrive. Dans l'avenir, il en sera ainsi ; le nouveau-né sera étiqueté électroniquement, on saura du début à la fin ce qu'il a produit.
Personnellement, ce cas de figure ne me dérange pas, autrement je ne serais pas sur internet, je n'aurais ni carte de crédit ni compte bancaire, mais alors il faudrait que je n'aie pas de boulot, et que je ne sois pas affilié à la sécurité sociale. Tout cela n'étant pas très réaliste pour un être humain, je pense que pour échapper au "traçage", je me réincarnerai en cigale dans ma prochaine vie, surtout que celle qui est originaire d'Amérique du Nord peut vivre jusqu'à 17 ans sous terre à l'état de nymphe...

Tizef a écrit:La rime ballast/breakfast n'est pas négociable. Elle me fait trop marrer (j'ai honte)

Moi, c'est cette réaction qui me plie de rire ! Ah gast ! on te l'accorde cette fameuse rime avec l'accent bien de chez nous qui va avec

Tizef a écrit:Merci, Arielle, Rebecca, Aseptans, Albert-Robert
Chanterelle est employé dans le sens de corde aigüe d'un instrument de musique.
La rime ballast/breakfast n'est pas négociable. Elle me fait trop marrer (j'ai honte)

c'est pas le champignon ????.... je suis déçu...

Hey Pussy ! Tu as compris le titre, ouf , je n'ai pas perdu mon temps alors ;-)
Pour le reste je ne me sens pas trop d'humeur à faire une explication de texte, tant pis, à une prochaine fois quand tu seras un peu plus éveillée.

Et merci à notre savant Marvejols pour son petit traité sur les marais salants, je suis pas sûre qu'il ait bien compris de quelle baie il s'agit mais c'est toujours gratifiant de mettre son grain de sel dans la salade quand on n'a rien de mieux à faire.

Ba, Tizef et Calijo, merci de votre passage par mes prés salés. J'ai eu soudain une envie d'alexandrins classiques, comme une envie de moules-frites ... Il parait que ce n'est plus de saison mais j'y trouve encore bien du charme même si l'alternance rimes fém/rimes masc n'est pas au RdV.

Chère Arielle, j'ai très bien compris qu'il s'agissait de la baie du Mont St. Michel d'autant plus que vous l'écrivez en toutes lettres. Et cette baie a bien été un secteur important et ancien de production de sel. C'était juste une info, l'occasion, l'herbe tendre, un clin d'oeil amical à cette région. Je vois à votre rhétorique assassine que vous êtes encore bien vivante, tant mieux: "mettre son grain de sel dans la salade quand on n'a rien de mieux à faire.", vos "salades" ce sont des mots pour salir à peu de prix, j'admire toujours votre assurance à être dans le vrai et meilleure que tous et quiconque. Sachez simplement accepter que vos écrits ne plaisent pas systématiquement, cela arrive à tous.

J'ai eu soudain une envie d'alexandrins classiques, comme une envie de moules-frites

J'adore l'image.
En effet, pour le populo*, la vraie poésie, c'est Baudelaire, Ronsard ou Rimbaud (première époque) ça rime et ça balance.
Ce sont les intellos qui ont imposé les vers libres.
* j'en fais partie

Ouais ouais super !
Encore un combat de cochon entre Arielle et Marvejols, ça met du piment ! Les paris sont ouverts !

Cher P-C P, je n'ai aucunement l'intention de me prêter à un combat de coqs ridicule et stérile. J'ai simplement répondu aux aigreurs d'Arielle dont les médisances monociblées récurrentes me lassent.

Bon ben, dommage, ça promettait d´être distrayant.

Non, en aucune manière.
La Modération

Cher Tizef,

je sais mon inconscience et j'ai pleinement conscience ... de n'être qu'un suiveur de vers ...
et je n'ai aucunement peur de la comparaison de moi petit homme
et lui grand poète
j'assume et il y a même longtemps que je me suis fait une raison sur le sujet...,
comme je me dis souvent : si j'étais Mozart, cela se saurait...!
Hahahaha!!!!!