Le p'tit mousse

Lien inactif. Deuxième essai :
https://www.youtube.com/watch?v=tSgvvbCQq9c&feature=related
Et tant pis si ça ne marche pas.

Sympa ce petit monde à la Pagnol.
Mais plus récent que celui de César et d'Escartefigues.
Bicose la kémia. :o)

C'est plaisant à lire.

Quelques remarques :

Pour l'instant, il n'a jamais fait de course plus grande que celle de Monsieur Brun.

Qui est ce Monsieur Brun ? Le nom arrive prusquement à la fin de récit.

Quand tous les clients sont partis...je vais réver : chez mes amis.

Tout ce qui est dit plus haut c'est quand il y a des clients, du coup on ne sait pas trop ce que le narrateur fait chez ses amis. J'ai trouvé ça un peu bizarre mais rien de très grave.

Monsieur Brun est un personnage de Pagnol. Qui vient du Nord:o)

Un petit univers bien agréablement dépeint.
Comme une petite douceur dans ce monde de brutes.

J'y boirais volontiers une petite mousse dans ton troquet pour tailler le bout de gras avec l'Antoine qui me citerait ce vers que j'ai toujours trouvé très beau : "car j'ai de grands départs inassouvis en moi".
Comme toujours j'aime ta sensibilité et ta façon de raconter des choses simples, le temps qui passe.
Le bonheur ?

Je n'ai rien à dire qui n 'ai été dit, drôlement aimé  ce petit monde coloré. Non seulement je les vois mais je les entends. 
Merci pour ce texte  qui fait du bien et tombe pile poil au bon moment pour prolonger encore un peu la saison. 

Monsieur Brun ne vient pas du Nord; il est lyonnais (ce qui paraît être le Nord, bien sûr, pour les personnages marseillais de Pagnol)
J'ai adoré ce texte, pour son ambiance bien rendue, pour les personnages croqués avec justesse. On s'y croirait.
Et puis c'est tendre, humain. Bravo et merci.

Mais si il est du nord, Môssieur Brun. Comme me le disait un pote marseillais :"La banquise, ça commence à cinquante kilomètres au nord de la Canebière"

Sinon, sympa, ton troquet et ses autochtones. Je trouve que ça manque un chouille de couleur locale. Y a des couleurs, un phrasé, une musique dans le parler marseillais ; peut-être quelques dialogues relèveraient la sauce. Connais-tu Philippe Carrèse ?

J'ai appris en lisant ton texte que les) zarzuelas ne sont pas seulement des opérettes du théâtre espagnol mais aussi une recette de poissons ; merci.

J'ai appris également que la kemia est un assortiment d'amuse-gueules chez les pieds noirs : encore merci.

En revanche, pour le caquelon (fonte), c'est un mot réservé à la fondue montagnarde me semble-t-il. Je ne vois pas ce qu'il vient faire au pays des marmites de terre.

Mais tu sembles savoir de quoi tu parles ; et peut être que ce mot est en voyage.

Ceci mis a part, si je passe vers chez toi, j'irai bien casser une p'tite graine au P'tit Mousse. Tu ne veux pas me donner l'adresse ? J'y ferais bien le “gens chic“ ou le Monsieur Brun un dimanche.

Ce n'est pas le côté couleur locale Canebière qui me séduit. C'est le climat bistrot que l'on trouve un peu partout en France. Bien rendu.

Antoine a les yeux pétillants… Le pastis sans doute ?
Pour Narbah : caquelon : Région. (Suisse romande et est de la France). Casserole, marmite en terre. Terme de Suisse romande (xviiies. « id. ») passé dans le domaine fr (cf. http://www.cnrtl.fr/definition/caquelon).
Ciselé aux petits oignons ce texte. Ça m'a donné envie de connaitre le P'tit mousse (et Laure, et Antoine, et les autres).

Je partage les autres commentaires. Supers tableaux, portraits... bien observés. Le style rejoint le milieu dépeint. Mais si intrigue venait déranger tout ce Musée Grévin ?! Ce n'est pas ton objectif. Soit. Restons dans la contemplation hédoniste. Toutefois l'Antoine aurait un potentiel déstabilisateur... Pour le moment il nous fait rêver. Pas mal déjà. Merci pour cette tranche de vie.