Il suffisait de presque r
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Il suffisait de presque r
Il suffisait de presque rien,
Peut-être 100 kilomètres en moins
Pour que je te dise je t’aime.
Et ces putains de distances bientôt me rendront fou. D’un amour à l’autre, ivre je plane, perdu comme un lutin,
Mutin et sage, je t’envisage ; la vie complique !
Si mon sexe mesurait quelques kilomètres de plus tout s’en retrouverait changé, le nez de Cléopâtre et nos projets.
Il suffirait de tellement peu
Peut-être deux trois mètres de queue
Pour que je te dise je t’aime.
Et puis c’est surtout rire qui me rend amoureux, glisser un truc dans un truc, c’est si commun, tandis que rire…
Des bêtises innommables il en est tant.
Tant d’inombrables à partager
On se sort les zézettes, les zigounettes, les fifouflettes, et on les frotte !
C’est nul.
Roubloublougmisme et tersiflance !
On se mijoufle, on se rodondule, on se congreslurp !
Et puis après on ronfle ou on se palpe…
Tandis qu’aimer de loin, comme un saut l’élastique,
C’est faire confiance au fil !
Peut-être 100 kilomètres en moins
Pour que je te dise je t’aime.
Et ces putains de distances bientôt me rendront fou. D’un amour à l’autre, ivre je plane, perdu comme un lutin,
Mutin et sage, je t’envisage ; la vie complique !
Si mon sexe mesurait quelques kilomètres de plus tout s’en retrouverait changé, le nez de Cléopâtre et nos projets.
Il suffirait de tellement peu
Peut-être deux trois mètres de queue
Pour que je te dise je t’aime.
Et puis c’est surtout rire qui me rend amoureux, glisser un truc dans un truc, c’est si commun, tandis que rire…
Des bêtises innommables il en est tant.
Tant d’inombrables à partager
On se sort les zézettes, les zigounettes, les fifouflettes, et on les frotte !
C’est nul.
Roubloublougmisme et tersiflance !
On se mijoufle, on se rodondule, on se congreslurp !
Et puis après on ronfle ou on se palpe…
Tandis qu’aimer de loin, comme un saut l’élastique,
C’est faire confiance au fil !
levaran82- Nombre de messages : 145
Age : 42
Localisation : belgique
Date d'inscription : 26/01/2010
Re: Il suffisait de presque r
Je n'appellerai pas ça un poème. Je le verrais mieux côté prose.
Ce que je n'aime pas dans ce texte, c'est la prédominance du sexe, encore une fois, dans l'amour.
Il suffirait de tellement peu
Peut-être deux trois mètres de queue
Pour que je te dise je t’aime.
Par contre, j'aime beaucoup les deux derniers vers : aimer de loin c'est faire confiance au fil (oh, oui!)
Pour la présentation, je me demande à quoi servent toutes ces lignes sautées.
Invité- Invité
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