Je hais la réalité
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Je hais la réalité
https://www.youtube.com/watch?v=3PI4qt-Wt9U
« C’est chiant comme la vraie vie ça pue du cul ;
Les filles qu’on aime habitent loin, et le poisson coute trop cher. »
(Ma brave Dame !)
Moi je rêve d’un monde où toutes les fanfares, à perte et en fracas, viendraient accompagner chacune de mes blagues (les meilleurs biens sûrs !), des cachettes ou elles sont, pour libérer vos rires… je ne suis qu’un enfant ? Alice perd ses merveilles ? Je ne rêve que d’un monde ou aimer soit la norme ! Car les mauvaises pensées, en vrai et soyons francs, qui ne les encule pas ? Tout le monde est un chat ; nous sommes tous des félins, et qui faisons semblant d’être des êtres humains.
Je te fuis tu m’essuies, tu m’enfuis je te suie, comment peut-on s’aimer ?
Et dans les rares moments ou mon cerveau existe, je comprends que tout ça est un monde d’erreur, mais tu en as conscience, tu sais que tu es « celle », parfois tu me rejette, pourtant une étincelle et pourtant l’on s’embrasse, mon nez goutant le sel de ta bouche pucelle, ma bouche dans tes aisselles.
On a tous eu six ans, qu’on ne veut pas vieillir, et dans nos carapaces on joue à l’innocent, mais l'on sait que tout cesse. J’exulte sans limites le moindre des moments qui m’éloigne de toi, damoclesque putain qui a mon insu veut fermer mes yeux pleins de bleus rêves. Fiches-nous enfin la paix, putain de vie, au moins laisses-nous vivre de baiser dans le cous et de mains qui s’égarent.
Bandières aux vents camarades (pas contre vos âneries, éphémères, partisanes, mais pour que le temps cesse !) ; je hais la réalité !
Une Bossa en Islande, des baisers dans tes Seins, et le Rire éternel, Ma Mort je te défie !
Et plus le temps qui passe, plus s’alourdit le sac des ennuis qui nous pèsent et de la souvenance, tronqués par ta seule faute, quand l’instant lui seul compte, et tu le sais si bien, catin de vie qui ous malmène !
Impôts, , dire je t’aime, faire caca, manger, aller à des soirées du personnel, factures, se différencier, se normaliser, apprendre, faire bonne figure, être chou, l’attachement, se couper les ongles, puer du cul…
J’utopise et j’exulte dès que je t’éradique, putain de vie qui passe, et j'ose envisager, je suis l’ami d’enfance de ma superbe mère, le maître de Pablo, et j’insulte Verlaine, et Renaud ne chante plus, etc. ... Tout le monde boit avec Rabelais !
Sous un arrêt de bus, nos mains douces s’explorent. Dehors, il pleut ; un peu moins que ma langue dans le fond de ta bouche, et sur tes seins mes mains. Tu vois, temps qui t’écoules que je me fous de toi ! l’OTAN suspend son vol, le monde est fait de paix, je suis ivre et je vis dans ses lèvres avides, et je vis dans vos livres, auteurs intemporels. Car cela seul se compte, le rêve que l’on s’offre entre humains bienveillants !
Je hais la réalité quand mes mains sur ton corps dessinent mes projets ou le temps n’intervient, et quand je m’abandonne, enfin l’on se possède, et quand mes doigts t’effleurent mon système métrique ne tient plus que de toi, tu es ma seule angoisse, tu es mon seul désir, je suis ta démesure, on s’effraie et s’attire, indiciblement vrais dans tes lèvres tendues que mes baisers explorent. Pores après pores, j’explore dans ton corps la communion lascive de nos jours qui s’effacent pour mon plus grand plaisir car je voudrais gommer l’avenir, le passé, mon cerveaux méandreux, et n’être plus qu’à toi, car où je veux entrer c’est cet instant magique, te prendre comme tu me prends, me perdre comme je te perds, faire vivre chaque secondes comme étant une année dans quelques pas de danse… tes seins sont dans ma bouche et moi je suis en toi, et tu m’offre le temps et je t’offres le temps, et notre doux combat connait son ennemi, sans même le nommer… Dans nos rires et nos râles, dans nos morts à venir si l’on se fout de toi, temps tu n’existes pas !
Et sa main me caresse, je ne réfléchis plus, et puis je suis en elle et malgré la distance l’union de nos deux corps, périssables sans doutes, te démontrent en deux râles que tu n’existes pas ! L’orgasme c’est la vie.
Réalité, je te déteste.
« C’est chiant comme la vraie vie ça pue du cul ;
Les filles qu’on aime habitent loin, et le poisson coute trop cher. »
(Ma brave Dame !)
Moi je rêve d’un monde où toutes les fanfares, à perte et en fracas, viendraient accompagner chacune de mes blagues (les meilleurs biens sûrs !), des cachettes ou elles sont, pour libérer vos rires… je ne suis qu’un enfant ? Alice perd ses merveilles ? Je ne rêve que d’un monde ou aimer soit la norme ! Car les mauvaises pensées, en vrai et soyons francs, qui ne les encule pas ? Tout le monde est un chat ; nous sommes tous des félins, et qui faisons semblant d’être des êtres humains.
Je te fuis tu m’essuies, tu m’enfuis je te suie, comment peut-on s’aimer ?
Et dans les rares moments ou mon cerveau existe, je comprends que tout ça est un monde d’erreur, mais tu en as conscience, tu sais que tu es « celle », parfois tu me rejette, pourtant une étincelle et pourtant l’on s’embrasse, mon nez goutant le sel de ta bouche pucelle, ma bouche dans tes aisselles.
On a tous eu six ans, qu’on ne veut pas vieillir, et dans nos carapaces on joue à l’innocent, mais l'on sait que tout cesse. J’exulte sans limites le moindre des moments qui m’éloigne de toi, damoclesque putain qui a mon insu veut fermer mes yeux pleins de bleus rêves. Fiches-nous enfin la paix, putain de vie, au moins laisses-nous vivre de baiser dans le cous et de mains qui s’égarent.
Bandières aux vents camarades (pas contre vos âneries, éphémères, partisanes, mais pour que le temps cesse !) ; je hais la réalité !
Une Bossa en Islande, des baisers dans tes Seins, et le Rire éternel, Ma Mort je te défie !
Et plus le temps qui passe, plus s’alourdit le sac des ennuis qui nous pèsent et de la souvenance, tronqués par ta seule faute, quand l’instant lui seul compte, et tu le sais si bien, catin de vie qui ous malmène !
Impôts, , dire je t’aime, faire caca, manger, aller à des soirées du personnel, factures, se différencier, se normaliser, apprendre, faire bonne figure, être chou, l’attachement, se couper les ongles, puer du cul…
J’utopise et j’exulte dès que je t’éradique, putain de vie qui passe, et j'ose envisager, je suis l’ami d’enfance de ma superbe mère, le maître de Pablo, et j’insulte Verlaine, et Renaud ne chante plus, etc. ... Tout le monde boit avec Rabelais !
Sous un arrêt de bus, nos mains douces s’explorent. Dehors, il pleut ; un peu moins que ma langue dans le fond de ta bouche, et sur tes seins mes mains. Tu vois, temps qui t’écoules que je me fous de toi ! l’OTAN suspend son vol, le monde est fait de paix, je suis ivre et je vis dans ses lèvres avides, et je vis dans vos livres, auteurs intemporels. Car cela seul se compte, le rêve que l’on s’offre entre humains bienveillants !
Je hais la réalité quand mes mains sur ton corps dessinent mes projets ou le temps n’intervient, et quand je m’abandonne, enfin l’on se possède, et quand mes doigts t’effleurent mon système métrique ne tient plus que de toi, tu es ma seule angoisse, tu es mon seul désir, je suis ta démesure, on s’effraie et s’attire, indiciblement vrais dans tes lèvres tendues que mes baisers explorent. Pores après pores, j’explore dans ton corps la communion lascive de nos jours qui s’effacent pour mon plus grand plaisir car je voudrais gommer l’avenir, le passé, mon cerveaux méandreux, et n’être plus qu’à toi, car où je veux entrer c’est cet instant magique, te prendre comme tu me prends, me perdre comme je te perds, faire vivre chaque secondes comme étant une année dans quelques pas de danse… tes seins sont dans ma bouche et moi je suis en toi, et tu m’offre le temps et je t’offres le temps, et notre doux combat connait son ennemi, sans même le nommer… Dans nos rires et nos râles, dans nos morts à venir si l’on se fout de toi, temps tu n’existes pas !
Et sa main me caresse, je ne réfléchis plus, et puis je suis en elle et malgré la distance l’union de nos deux corps, périssables sans doutes, te démontrent en deux râles que tu n’existes pas ! L’orgasme c’est la vie.
Réalité, je te déteste.
levaran82- Nombre de messages : 145
Age : 42
Localisation : belgique
Date d'inscription : 26/01/2010
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