Sur le tard
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HELLION
coline dé
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Sur le tard
Sur le tard
Sur le tard devenu montreur d’ours sur banquise a moitié disparue, ce job ne me fatiguai pas, tant l’ours et moi étions en osmose . De ces moments intimes on parlait de tout et de rien comme de vieux potes au comptoir, Bien sûr le sujet qui revenait sans cesse nous occupait l’esprit et nos silences en disait long sur notre philosophie,Alors on imaginait la meilleure façon survivre sans avoir à seriner nos états d’âme.
Un jour, que la banquise devenue peau de chagrin, on prit la décision de partir sous les tropiques, voyage sympathique , sauf à l’arrivée cette chaleur nous accablait, l’ours parlait d’erreur stratégique, et mois je soliloquais sur cette idée prise sans réelle motivation, le climat n’est en aucun cas une raison suffisante à changer de lieu.
Revenir en arrière serait admettre notre bévue , alors mea-culpa , ainsi fût fait, on prit la direction du pôle en riant aux éclats.
L'ours retrouva une EX, moi je fis un stage de dresseur de puces, l'informatique avait le vent en poupe, la Silicon-valley affolait les pronostics sur la faisabilité de devenir milliardaire en plus d'être la nouvelle Mecque des trentenaires branchés.
Mon stage terminé je m’offrais une parenthèse, je me mis en quête de donner un sens a ma vie. Soit courir après l'infortune ou peindre mes jours d'optimisme, chercheur d'or me sembla la bonne résolution, en effet mes carats m'en donnait le privilège. J’échouais, à la pratique du tamis, mais réussissais dans l'art de convaincre,
J'optais dés lors pour la fonction d'usurpateur temporaire
cette situation dura le temps que dure les roses,la banquise me manquait, l'ours me manquait, je vieillissais , les ride s'accaparèrent de mon ego, je me faisais l'effet de radoter.
Contre toute attente la maladie vient me tenir compagnie, je n'aurais jamais cru qu'elle fit sont lit à l'endroit de mes rêves, cette période d'introspection me révéla la face cachée de mon être.
Dés lors mes priorités seraient simples, vivre au jour le jour sans à priori ni projets insensés.
J’écrivis à l'ours un matin d'hiver, lui révélant ma nouvelle condition sans rien n'omettre de mes incertitudes, puis enfin apaisé je profitais de faire des ballades en regardant la nature comme une amie avec qui on peut causer et ne rien ajouter de plus au cadeau qu'elle nous offre.
J'appris plus tard que l'ours errait toujours à la recherche du bonheur enfui.
Sur le tard devenu montreur d’ours sur banquise a moitié disparue, ce job ne me fatiguai pas, tant l’ours et moi étions en osmose . De ces moments intimes on parlait de tout et de rien comme de vieux potes au comptoir, Bien sûr le sujet qui revenait sans cesse nous occupait l’esprit et nos silences en disait long sur notre philosophie,Alors on imaginait la meilleure façon survivre sans avoir à seriner nos états d’âme.
Un jour, que la banquise devenue peau de chagrin, on prit la décision de partir sous les tropiques, voyage sympathique , sauf à l’arrivée cette chaleur nous accablait, l’ours parlait d’erreur stratégique, et mois je soliloquais sur cette idée prise sans réelle motivation, le climat n’est en aucun cas une raison suffisante à changer de lieu.
Revenir en arrière serait admettre notre bévue , alors mea-culpa , ainsi fût fait, on prit la direction du pôle en riant aux éclats.
L'ours retrouva une EX, moi je fis un stage de dresseur de puces, l'informatique avait le vent en poupe, la Silicon-valley affolait les pronostics sur la faisabilité de devenir milliardaire en plus d'être la nouvelle Mecque des trentenaires branchés.
Mon stage terminé je m’offrais une parenthèse, je me mis en quête de donner un sens a ma vie. Soit courir après l'infortune ou peindre mes jours d'optimisme, chercheur d'or me sembla la bonne résolution, en effet mes carats m'en donnait le privilège. J’échouais, à la pratique du tamis, mais réussissais dans l'art de convaincre,
J'optais dés lors pour la fonction d'usurpateur temporaire
cette situation dura le temps que dure les roses,la banquise me manquait, l'ours me manquait, je vieillissais , les ride s'accaparèrent de mon ego, je me faisais l'effet de radoter.
Contre toute attente la maladie vient me tenir compagnie, je n'aurais jamais cru qu'elle fit sont lit à l'endroit de mes rêves, cette période d'introspection me révéla la face cachée de mon être.
Dés lors mes priorités seraient simples, vivre au jour le jour sans à priori ni projets insensés.
J’écrivis à l'ours un matin d'hiver, lui révélant ma nouvelle condition sans rien n'omettre de mes incertitudes, puis enfin apaisé je profitais de faire des ballades en regardant la nature comme une amie avec qui on peut causer et ne rien ajouter de plus au cadeau qu'elle nous offre.
J'appris plus tard que l'ours errait toujours à la recherche du bonheur enfui.
So-Back- Nombre de messages : 3658
Age : 101
Date d'inscription : 04/04/2014
Re: Sur le tard
So back, je suis désolée d'être sévère, mais ce texte est-il censé avoir été travaillé ?
Sans même parler des très nombreuses fautes d'orthographe, la construction des phrases est souvent boiteuse ( dès la première !)
Je te propose " Sur le tard j'étais devenu montreur-d'ours-sur-banquise-à-moitié-disparue. Ce job ne me fatiguait pas, tant l’ours et moi étions en osmose."
J'aime bien le concept " montreur d'ours sur banquise à moitié disparue", je le trouve plus humoristique que "montreur d'ours sur la banquise à moitié disparue"
De ces moments intimes on parlait de tout et de rien Je suppose que tu voulais dire " dans ces moments"
Bref, il y a un début d'idée qui me semble plaisant, mais tout le texte est à revoir, en particulier les changements de temps qui sont tout à fait anarchiques.
Profiter de la nature et ne rien ajouter au cadeau qu'elle nous offre est une belle idée très philosophique... que même l'ours ne parvient pas à mettre en pratique !
Sans même parler des très nombreuses fautes d'orthographe, la construction des phrases est souvent boiteuse ( dès la première !)
Je te propose " Sur le tard j'étais devenu montreur-d'ours-sur-banquise-à-moitié-disparue. Ce job ne me fatiguait pas, tant l’ours et moi étions en osmose."
J'aime bien le concept " montreur d'ours sur banquise à moitié disparue", je le trouve plus humoristique que "montreur d'ours sur la banquise à moitié disparue"
De ces moments intimes on parlait de tout et de rien Je suppose que tu voulais dire " dans ces moments"
Bref, il y a un début d'idée qui me semble plaisant, mais tout le texte est à revoir, en particulier les changements de temps qui sont tout à fait anarchiques.
Profiter de la nature et ne rien ajouter au cadeau qu'elle nous offre est une belle idée très philosophique... que même l'ours ne parvient pas à mettre en pratique !
coline dé- Nombre de messages : 353
Age : 25
Date d'inscription : 24/12/2019
Re: Sur le tard
Bon, oui, d'accord, c'est pas nickel chrome sur le plan syntaxe et orthographe. y a parfois des mots qui manquent et des phrases bancales ; mais, c'est le style « montreur d'ours ».En fait, C'est pas désagréable, ce petit texte qui court dans tous les sens, du pôle aux tropiques, avec son air de guingois.
HELLION- Nombre de messages : 477
Age : 74
Date d'inscription : 19/08/2017
Aller retour
Bonjour.
Une vie, ou plutôt un bout de vie, disons de la moitié à la fin, en raccourci.
C'est vif, farfelu et drôle et j'ai bien aimé.
Après ce texte, je n'ai pu m'empêcher de lire les premiers avis, et - ma foi - je m'y raccroche : il faudrait au minimum écrire dans Word, qui vous aurait souligné bien des fautes ou maladresses. Ne serait-ce que par respect des lecteurs. Merci pour la prochaine fois.
Et, à bientôt ?
Une vie, ou plutôt un bout de vie, disons de la moitié à la fin, en raccourci.
C'est vif, farfelu et drôle et j'ai bien aimé.
Après ce texte, je n'ai pu m'empêcher de lire les premiers avis, et - ma foi - je m'y raccroche : il faudrait au minimum écrire dans Word, qui vous aurait souligné bien des fautes ou maladresses. Ne serait-ce que par respect des lecteurs. Merci pour la prochaine fois.
Et, à bientôt ?
télémac- Nombre de messages : 38
Age : 78
Localisation : ASE
Date d'inscription : 04/12/2019
Re: Sur le tard
merci a vous trois je reposte après avoir corrigé
Sur le tard
Sur le tard devenu montreur d’ours sur banquise à moitié disparue, ce job ne me fatiguait pas, tant l’ours et moi étions en osmose . De ces moments intimes on parlait de tout et de rien comme de vieux potes au comptoir, bien sûr le sujet qui revenait sans cesse nous occupait l’esprit et nos silences en disaient long sur notre philosophie, alors on imaginait la meilleure façon survivre sans avoir à seriner nos états d’âme.
Un jour, que la banquise devenue peau de chagrin, on prit la décision de partir sous les tropiques, voyage sympathique, sauf à l’arrivée cette chaleur nous accablait, l’ours parlait d’erreur stratégique, et mois je soliloquais sur cette idée prise sans réelle motivation, le climat n’est en aucun cas une raison suffisante à changer de lieu.
Revenir en arrière serait admettre notre bévue, alors mea-culpa, ainsi fût fait, on prit la direction du pôle en riant aux éclats.
L'ours retrouva une EX, moi je fis un stage de dresseur de puces, l'informatique avait le vent en poupe, la Silicon-valley affolait les pronostics sur la faisabilité de devenir milliardaire en plus d'être la nouvelle Mecque des trentenaires branchés.
Mon stage terminé je m’offrais une parenthèse, je me mis en quête de donner un sens à ma vie. Soit courir après l'infortune ou peindre mes jours d'optimisme, chercheur d'or me sembla la bonne résolution, en effet mes carats m'en donnaient le privilège. J’échouais, à la pratique du tamis, mais réussissais dans l'art de convaincre;
J'optais dès lors pour la fonction d'usurpateur temporaire cette situation dura le temps que durent les roses, la banquise me manquait, l'ours me manquait, je vieillissais, les ride s'accaparèrent de mon ego, je me faisais l'effet de radoter.
Contre toute attente la maladie vient me tenir compagnie, je n'aurais jamais cru qu'elle fit son lit à l'endroit de mes rêves, cette période d'introspection me révéla la face cachée de mon être.
Dès lors mes priorités seraient simples, vivre au jour le jour sans
Sur le tard
Sur le tard devenu montreur d’ours sur banquise à moitié disparue, ce job ne me fatiguait pas, tant l’ours et moi étions en osmose . De ces moments intimes on parlait de tout et de rien comme de vieux potes au comptoir, bien sûr le sujet qui revenait sans cesse nous occupait l’esprit et nos silences en disaient long sur notre philosophie, alors on imaginait la meilleure façon survivre sans avoir à seriner nos états d’âme.
Un jour, que la banquise devenue peau de chagrin, on prit la décision de partir sous les tropiques, voyage sympathique, sauf à l’arrivée cette chaleur nous accablait, l’ours parlait d’erreur stratégique, et mois je soliloquais sur cette idée prise sans réelle motivation, le climat n’est en aucun cas une raison suffisante à changer de lieu.
Revenir en arrière serait admettre notre bévue, alors mea-culpa, ainsi fût fait, on prit la direction du pôle en riant aux éclats.
L'ours retrouva une EX, moi je fis un stage de dresseur de puces, l'informatique avait le vent en poupe, la Silicon-valley affolait les pronostics sur la faisabilité de devenir milliardaire en plus d'être la nouvelle Mecque des trentenaires branchés.
Mon stage terminé je m’offrais une parenthèse, je me mis en quête de donner un sens à ma vie. Soit courir après l'infortune ou peindre mes jours d'optimisme, chercheur d'or me sembla la bonne résolution, en effet mes carats m'en donnaient le privilège. J’échouais, à la pratique du tamis, mais réussissais dans l'art de convaincre;
J'optais dès lors pour la fonction d'usurpateur temporaire cette situation dura le temps que durent les roses, la banquise me manquait, l'ours me manquait, je vieillissais, les ride s'accaparèrent de mon ego, je me faisais l'effet de radoter.
Contre toute attente la maladie vient me tenir compagnie, je n'aurais jamais cru qu'elle fit son lit à l'endroit de mes rêves, cette période d'introspection me révéla la face cachée de mon être.
Dès lors mes priorités seraient simples, vivre au jour le jour sans
So-Back- Nombre de messages : 3658
Age : 101
Date d'inscription : 04/04/2014
Re: Sur le tard
Qui de l'ours ou de la banquise disparaîtra le premier ?
La notion de manque et de nostalgie sont très perceptibles, sans pour autant jouer d'effets; c'est une sobriété bienvenue.
La notion de manque et de nostalgie sont très perceptibles, sans pour autant jouer d'effets; c'est une sobriété bienvenue.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Sur le tard
merci du commentaire
Adieu les histoires d’ours dévoreurs,
Des contes et autres fables de l’enfance.
Seigneur du coin en effet,
Mais point saigneur de ma témérité.
Il avait la prestance, l’élégance qui sied,
De savoir partager.
Sa banquise conquise, avec l’étranger,
Je lui en savais gré.
Adieu les histoires d’ours dévoreurs,
Des contes et autres fables de l’enfance.
Seigneur du coin en effet,
Mais point saigneur de ma témérité.
Il avait la prestance, l’élégance qui sied,
De savoir partager.
Sa banquise conquise, avec l’étranger,
Je lui en savais gré.
So-Back- Nombre de messages : 3658
Age : 101
Date d'inscription : 04/04/2014
Re: Sur le tard
Désolé, ce texte n'a pas suscité d'enthousiasme particulier en ce qui me concerne.
Votre récit m'a toutefois rappelé un livre que j'avais trouvé bien sympathique et que je vous conseille si vous souhaitez ne pas tout à fait dire adieu aux histoires d'ours : Le bestial serviteur du pasteur Huuskonen.
Votre récit m'a toutefois rappelé un livre que j'avais trouvé bien sympathique et que je vous conseille si vous souhaitez ne pas tout à fait dire adieu aux histoires d'ours : Le bestial serviteur du pasteur Huuskonen.
Hop-Frog- Nombre de messages : 614
Age : 36
Date d'inscription : 11/04/2012
Re: Sur le tard
j'ai lu ce livre il y a déjà un certain temps
j'avais envie d'écrire un texte leger loufoque
merci
j'avais envie d'écrire un texte leger loufoque
merci
So-Back- Nombre de messages : 3658
Age : 101
Date d'inscription : 04/04/2014
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