Un monde nouveau
5 participants
Page 1 sur 1
Un monde nouveau
Un monde nouveau
Parite 1: La victoire de l'union
A partir du jour ou l’homme a décidé de devenir maître de lui même, il a commencé a ce détruire. Le terrien croit vivre seul dans l’univers mais il ignore qu’une terre existe non loin d’eu qui est caché par sa magie. Cette Terre aurais pus elle aussi se moderniser mais elle avait choisi de rester fidele à ses valeurs, ses chevaliers, ses rois, et sa magie. Cette planète vit éloigné de votre Terre et pourtant elle pourrait être la véritable planète sœur de la Terre. Découvrir sa présence était impossible, elle était cachée par une ancienne magie qui dépassait les sciences. Mais même si des preuves de cette existence avait été découvert les scientifiques auraient trouvé une autre explication que la découverte d’un autre monde. Dans la pensée des Terriens, il n’y a pas de place pour Azunay, sa véritable planète-sœur, l’anti-terre.
Il y avait un seul moyen de passer de l’une à l’autre, un portail. Ce portail s’ouvrait tous les 16 ans, lors de l’alignement complet de toutes les planètes, il restait ouvert pendant une heure et se refermait jusqu’aux seize prochaines années.
Je vis dans ce monde que vous ne connaitrez surement jamais. La mort et la guerre ont frappé nos deux planètes, le résultat a été le même. Des années de guerres et de souffrances pour la gloire et le pouvoir d’un seul homme.
Azunay était autrefois une terre sauvage, ou l’être elfique avait sa place. Enfant je courais jusqu'à la forêt et allait espionner les helts et les elfes, mon maitre était un mage, mon père un roi et ma mère une nymphe. Pour être honnête, nous n’avons pas découvert toute la géographie et civilisation d’Azunay. Certaine zone et peuple était inconnus. Je vivais dans une partie d’Azunay appelé Elnay qui comportait cinq royaumes : Acarion, La terre des Elf, les montagnes de Katara, Pélaptes, les terres brunes. Mais comme dans tout monde la beauté et le bonheur de ces terres furent bouleversés par la fierté d’un mage, Valdis. Il accumula toute la magie d’Elnay, il força les elfes et les nain à se cacher, il anéanti les dryades et toutes les créatures magique disparurent on ne sait où. Je n’avais pas 6 ans quand, penché par ma fenêtre, je voyais le dernier dragon d’Elnay fuir ces terres vers le désert d’Anina. Aujourd’hui, il ne reste qu’un seul royaume qui n’a pas succombé à Valdis : Acarion, mon royaume. Nous avons résisté pendant des années mais Valdis créa une armé de mort, les damnés, elle nous était redoutable.
Je m’appel Léandre et cela fait 22 ans que cette guerre interminable a commencé et c’est cette histoire que je vais raconter, mon histoire. L’histoire de tout un peuple asservie sous la dominance d’un seul homme.
Chapitre 1
L’aube d’un jour d’espoir
Le paysage défilait devant nous, ce rocher, cette colline, cet arbre je les connaissais tous par cœur. J'avais passé mon enfance à chevaucher dans ces plaines, à apprendre l'escrime avec mon frère ou encore à lancer des défis à chaque garçon d'Acarion. Pendant des années, je m'entrainais à devenir le meilleur, la douleur ne m'avait pas épargné mais j'avais réussit. J'étais connu comme le héro des Hommes. Dans tout Azunay, on narrait mon histoire. L'histoire d'un orphelin de quatre ans recueilli par le roi d'Acarion. Le peuple d'Azunay me connaissait sous le nom du prince noir, pourquoi? Tout simplement parce que la mort ne me fait pas peur et que plonger mes mains dans le corps d'un damné pour lui retirer son cœur ne m'effraies pas. Il y a peut-être une autre raison, mon père, mon frère et ma sœur étaient tous blond et blanc. Mes yeux n'étaient pas marron mais noir perçant et mes cheveux étaient aussi noirs. Lorsque l'on m'apercevait, il n'y avait de difficulté à comprendre que je ne venais pas de cette famille mais elle m'avait recueilli et le roi m'avait élevé comme son fils même en temps de guerre. J'étais l'ainé de cette famille mais jamais je ne pourrais régner sur Acarion. Cela ne me dérangeait pas, je servais comme commandant et j'étais autan respecté que mon frère. Certain même me craignait.
Aujourd'hui, cette plaine était devenue un champ de bataille, les arbres étaient tous brulés et le vaste et verdoyant plateau était devenu un champ de bombardement. Les Damnés prenaient de plus en plus de terrain sur Acarion, ce royaume était le dernier à résister, s'il tombait, Elnay tombait avec lui. Mon père était arrivé trop âgé et c'était maintenant mon frère qui chevauchait à coté de moi et en tête de 2000 paladins.
Etienne, mon frère ralentit l'allure et s'arrêta à l'entré de la forêt. Des éclaireurs nous avaient annoncé la présence d'un avant poste de Damnés dans notre forêt. Il comportait peu de damné mais aujourd’hui Azunay avait plus besoin de reprendre espoir que de gagner une grande bataille.
On marchait a l’affut de chaque bruit, Etienne et moi étions les seul à être rentré dans la forêt, nous avons peur d’être découvert avec les paladins.
_ Léandre, regarde !
Etienne était agenouillé entrain de déplacer des feuilles.
_ Le sol a été battu et je n’ai pas l’impression qu’il n’y que 200 damnés.
Les Damné étaient des mi homme mi mort, ancré de magie noire. La nature était anéantie après chacun de leur passage, il avait un effet néfaste sur elle. Les feuilles étaient écrasées au sol et des branches brisées mais il n’y avait aucune trace de pourriture ;
_ Tu as raison, il n’ya pas que des damné il y a une autre espèce aussi. On va pouvoir les retrouver avec ces traces. Allons chercher les paladins.
Etienne attrapa mon bras et me força à me retourner, il semblait contrarié et inquiet.
_ Léandre, je te préviens, je ne me jetterais pas dans une bataille perdu d’avance. J’ai une fille moi et une femme à épouser.
_ Tu as raison, je n’ai pas d’enfant donc s’est une raison pour mourir. N’oubli pas que je suis ton ainé et j’ai sacrifié ma vie sentimental pour Acarion et pour vous.
_ Je refuse de mourir et d’abandonner Ariane.
_ Etienne !!! Plus de la moitié de ces hommes qui nous attende ont une famille aussi. Ne devient pas comme Valdis qui préfère envoyer cet homme mourir et les regarder s’écrouler. Allons les chercher maintenant.
_ Je suis l’hériter du trône et c’est moi qui décide.
_ Oh !! Très bien alors que faisons-nous, on se planque derrière les murs d’Acarion et on attend qu’il arrive. Ce n’est pas un jeu et qui croit tu que vont suivront ces hommes
_ …
_ Le jeune prince de 21 ans qui vit aujourd’hui sa premier bataille ou l’homme de 26ans qui se bat leur côté depuis des années. Voilà pourquoi je ne voulais pas que tu m’accompagnes.
Etienne était trop jeune et peut-être trop amoureux pour pouvoir se battre. Nous nous disputions souvent mais nous nous aimions. Quelque part je crois que je ne voulais aimer une autre personne que ce de ma famille Je ne supporterai pas de partir de me battre en pensant que laisse derrière moi femme et des enfants. C’était une faiblesse que je ne pu pas me permettre.
Une flèche, aussi drues que la pluie, siffla, au dessus de ma tête et vin se loger dans un arbre. Par réflex sortit mon épée de son fourreau et transperça du regard l’endroit d’ou provenait cette flèche. Nos cris avait surement du alerté l’ennemie et nous nous retrouvions seul sans cheval fasse a une armée inconnue. Les assaillants sortirent de l’ombre de leur cachette, nous étions encerclés.
_ Lâchez vos armes !
Un cavalier montant un tarn se rapprocha nous. Les damné poussait des bruits aigu et s’agitait.
_ Qui êtes-vous ? Lance-je au cavalier
_ Ha ha ha, même en situation désespérer vous continuer prince noir à être autoritaire, ce n’est pas dans votre avantage.
La voie du cavalier était sinistre mais quelque chose me dérangeais, j’ignore quoi. Il n’était pas très grand ni épais mais se montrait avec assurance. Un damné se précipita sur moi, je retournai mon épée et l’empala, les autres commencèrent à se rapprocher de nous, en nous menaçant avec leurs crocs.
_ Ca sufi, ils ne sont pas pour vous. Emmenez-les.
On nous banda les yeux et nous fit marcher pendant je ne sais combien de temps. Je n’y faisais pas attention, j’étais plus concentré ne pas sentir l’odeur de cet monstre répugnant. Nous étions sûrement arrivés à une plaine puis que je sentis la luminosité du soleil s’intensifier sous mon bandana. On s’agitait autour de nous, le brouhaha s’intensifia, on nous d découvrit enfin les yeux.
J’étais éblouit par la lumière et je dus attendre pout m’habituer a cette luminosité. Des tentes en peau de bette avait été dresse au centre du camp et le reste des bâtiments étaient des cages en bois. Etienne était près de moi, lui aussi stupéfait parce se qu’il voyait.
_ Léandre, ce n’est pas un avant-poste, hein ?
Des humains étaient enchainés un peu partout les cages étaient bombées, tous ces humains étaient affolés, ils hurlaient et parlaient des langues toutes différentes.
Parite 1: La victoire de l'union
A partir du jour ou l’homme a décidé de devenir maître de lui même, il a commencé a ce détruire. Le terrien croit vivre seul dans l’univers mais il ignore qu’une terre existe non loin d’eu qui est caché par sa magie. Cette Terre aurais pus elle aussi se moderniser mais elle avait choisi de rester fidele à ses valeurs, ses chevaliers, ses rois, et sa magie. Cette planète vit éloigné de votre Terre et pourtant elle pourrait être la véritable planète sœur de la Terre. Découvrir sa présence était impossible, elle était cachée par une ancienne magie qui dépassait les sciences. Mais même si des preuves de cette existence avait été découvert les scientifiques auraient trouvé une autre explication que la découverte d’un autre monde. Dans la pensée des Terriens, il n’y a pas de place pour Azunay, sa véritable planète-sœur, l’anti-terre.
Il y avait un seul moyen de passer de l’une à l’autre, un portail. Ce portail s’ouvrait tous les 16 ans, lors de l’alignement complet de toutes les planètes, il restait ouvert pendant une heure et se refermait jusqu’aux seize prochaines années.
Je vis dans ce monde que vous ne connaitrez surement jamais. La mort et la guerre ont frappé nos deux planètes, le résultat a été le même. Des années de guerres et de souffrances pour la gloire et le pouvoir d’un seul homme.
Azunay était autrefois une terre sauvage, ou l’être elfique avait sa place. Enfant je courais jusqu'à la forêt et allait espionner les helts et les elfes, mon maitre était un mage, mon père un roi et ma mère une nymphe. Pour être honnête, nous n’avons pas découvert toute la géographie et civilisation d’Azunay. Certaine zone et peuple était inconnus. Je vivais dans une partie d’Azunay appelé Elnay qui comportait cinq royaumes : Acarion, La terre des Elf, les montagnes de Katara, Pélaptes, les terres brunes. Mais comme dans tout monde la beauté et le bonheur de ces terres furent bouleversés par la fierté d’un mage, Valdis. Il accumula toute la magie d’Elnay, il força les elfes et les nain à se cacher, il anéanti les dryades et toutes les créatures magique disparurent on ne sait où. Je n’avais pas 6 ans quand, penché par ma fenêtre, je voyais le dernier dragon d’Elnay fuir ces terres vers le désert d’Anina. Aujourd’hui, il ne reste qu’un seul royaume qui n’a pas succombé à Valdis : Acarion, mon royaume. Nous avons résisté pendant des années mais Valdis créa une armé de mort, les damnés, elle nous était redoutable.
Je m’appel Léandre et cela fait 22 ans que cette guerre interminable a commencé et c’est cette histoire que je vais raconter, mon histoire. L’histoire de tout un peuple asservie sous la dominance d’un seul homme.
Chapitre 1
L’aube d’un jour d’espoir
Le paysage défilait devant nous, ce rocher, cette colline, cet arbre je les connaissais tous par cœur. J'avais passé mon enfance à chevaucher dans ces plaines, à apprendre l'escrime avec mon frère ou encore à lancer des défis à chaque garçon d'Acarion. Pendant des années, je m'entrainais à devenir le meilleur, la douleur ne m'avait pas épargné mais j'avais réussit. J'étais connu comme le héro des Hommes. Dans tout Azunay, on narrait mon histoire. L'histoire d'un orphelin de quatre ans recueilli par le roi d'Acarion. Le peuple d'Azunay me connaissait sous le nom du prince noir, pourquoi? Tout simplement parce que la mort ne me fait pas peur et que plonger mes mains dans le corps d'un damné pour lui retirer son cœur ne m'effraies pas. Il y a peut-être une autre raison, mon père, mon frère et ma sœur étaient tous blond et blanc. Mes yeux n'étaient pas marron mais noir perçant et mes cheveux étaient aussi noirs. Lorsque l'on m'apercevait, il n'y avait de difficulté à comprendre que je ne venais pas de cette famille mais elle m'avait recueilli et le roi m'avait élevé comme son fils même en temps de guerre. J'étais l'ainé de cette famille mais jamais je ne pourrais régner sur Acarion. Cela ne me dérangeait pas, je servais comme commandant et j'étais autan respecté que mon frère. Certain même me craignait.
Aujourd'hui, cette plaine était devenue un champ de bataille, les arbres étaient tous brulés et le vaste et verdoyant plateau était devenu un champ de bombardement. Les Damnés prenaient de plus en plus de terrain sur Acarion, ce royaume était le dernier à résister, s'il tombait, Elnay tombait avec lui. Mon père était arrivé trop âgé et c'était maintenant mon frère qui chevauchait à coté de moi et en tête de 2000 paladins.
Etienne, mon frère ralentit l'allure et s'arrêta à l'entré de la forêt. Des éclaireurs nous avaient annoncé la présence d'un avant poste de Damnés dans notre forêt. Il comportait peu de damné mais aujourd’hui Azunay avait plus besoin de reprendre espoir que de gagner une grande bataille.
On marchait a l’affut de chaque bruit, Etienne et moi étions les seul à être rentré dans la forêt, nous avons peur d’être découvert avec les paladins.
_ Léandre, regarde !
Etienne était agenouillé entrain de déplacer des feuilles.
_ Le sol a été battu et je n’ai pas l’impression qu’il n’y que 200 damnés.
Les Damné étaient des mi homme mi mort, ancré de magie noire. La nature était anéantie après chacun de leur passage, il avait un effet néfaste sur elle. Les feuilles étaient écrasées au sol et des branches brisées mais il n’y avait aucune trace de pourriture ;
_ Tu as raison, il n’ya pas que des damné il y a une autre espèce aussi. On va pouvoir les retrouver avec ces traces. Allons chercher les paladins.
Etienne attrapa mon bras et me força à me retourner, il semblait contrarié et inquiet.
_ Léandre, je te préviens, je ne me jetterais pas dans une bataille perdu d’avance. J’ai une fille moi et une femme à épouser.
_ Tu as raison, je n’ai pas d’enfant donc s’est une raison pour mourir. N’oubli pas que je suis ton ainé et j’ai sacrifié ma vie sentimental pour Acarion et pour vous.
_ Je refuse de mourir et d’abandonner Ariane.
_ Etienne !!! Plus de la moitié de ces hommes qui nous attende ont une famille aussi. Ne devient pas comme Valdis qui préfère envoyer cet homme mourir et les regarder s’écrouler. Allons les chercher maintenant.
_ Je suis l’hériter du trône et c’est moi qui décide.
_ Oh !! Très bien alors que faisons-nous, on se planque derrière les murs d’Acarion et on attend qu’il arrive. Ce n’est pas un jeu et qui croit tu que vont suivront ces hommes
_ …
_ Le jeune prince de 21 ans qui vit aujourd’hui sa premier bataille ou l’homme de 26ans qui se bat leur côté depuis des années. Voilà pourquoi je ne voulais pas que tu m’accompagnes.
Etienne était trop jeune et peut-être trop amoureux pour pouvoir se battre. Nous nous disputions souvent mais nous nous aimions. Quelque part je crois que je ne voulais aimer une autre personne que ce de ma famille Je ne supporterai pas de partir de me battre en pensant que laisse derrière moi femme et des enfants. C’était une faiblesse que je ne pu pas me permettre.
Une flèche, aussi drues que la pluie, siffla, au dessus de ma tête et vin se loger dans un arbre. Par réflex sortit mon épée de son fourreau et transperça du regard l’endroit d’ou provenait cette flèche. Nos cris avait surement du alerté l’ennemie et nous nous retrouvions seul sans cheval fasse a une armée inconnue. Les assaillants sortirent de l’ombre de leur cachette, nous étions encerclés.
_ Lâchez vos armes !
Un cavalier montant un tarn se rapprocha nous. Les damné poussait des bruits aigu et s’agitait.
_ Qui êtes-vous ? Lance-je au cavalier
_ Ha ha ha, même en situation désespérer vous continuer prince noir à être autoritaire, ce n’est pas dans votre avantage.
La voie du cavalier était sinistre mais quelque chose me dérangeais, j’ignore quoi. Il n’était pas très grand ni épais mais se montrait avec assurance. Un damné se précipita sur moi, je retournai mon épée et l’empala, les autres commencèrent à se rapprocher de nous, en nous menaçant avec leurs crocs.
_ Ca sufi, ils ne sont pas pour vous. Emmenez-les.
On nous banda les yeux et nous fit marcher pendant je ne sais combien de temps. Je n’y faisais pas attention, j’étais plus concentré ne pas sentir l’odeur de cet monstre répugnant. Nous étions sûrement arrivés à une plaine puis que je sentis la luminosité du soleil s’intensifier sous mon bandana. On s’agitait autour de nous, le brouhaha s’intensifia, on nous d découvrit enfin les yeux.
J’étais éblouit par la lumière et je dus attendre pout m’habituer a cette luminosité. Des tentes en peau de bette avait été dresse au centre du camp et le reste des bâtiments étaient des cages en bois. Etienne était près de moi, lui aussi stupéfait parce se qu’il voyait.
_ Léandre, ce n’est pas un avant-poste, hein ?
Des humains étaient enchainés un peu partout les cages étaient bombées, tous ces humains étaient affolés, ils hurlaient et parlaient des langues toutes différentes.
akismye- Nombre de messages : 7
Age : 33
Date d'inscription : 05/04/2008
Re: Un monde nouveau
On vida une cage d’humain et les emmena dans la forêt, je me retourne vers mon petit frère, il avait les larmes aux yeux. Il était encore trop jeune pour affronter cette réalité, je passai mon bras autour de son coup et il me dit :
_ Tu vois je ne connais pas c’est personne mais je suis triste pour eux. Ils savent qu’ils ne reviendront jamais.
_ Je n’en suis pas si sûr.
_ Pourquoi ? Il est évident qu’ils vont mourir !
_ Mais eux ne le savent pas. Regardes-les, regardes leurs tenues. Ils ne sont pas d’ici !
Les vêtements des prisonniers étaient sanglants et bien déchiré mais on pouvait quand même remarqué que ces vêtements n’étaient pas communs. Certain portait de beau costumes avec des cravates noirs, d’autre était en jean et en chemise. Certaines femmes portaient des pantalons alors qu’a Azunay seules les guerrières et écuyères portait des pantalons et encore s’était des culotes avec des bottes de cuivres. D’autre femme portait des ensembles de toutes les couleurs. Etienne qui n’y avait pas fait attention fut encore plus surpris et ahuri. On nous poussa jusqu'à la cage qui avait été libéré.
Le soleil commençais a se couché et la nuit tomba peu de temps après ; Etienne somnolait a côté de moi. Soudain une voie s’éleva de la forêt et le réveilla. Il y avait plusieurs personnes qui sortaient de la forêt. Deux damné trainé derrière eux un humain, plutôt une humaine.
_ Lâchez moi sale tête de rat.
Le tarn qui dormait a coté de la tente de son maitre se mit à hurler de colère. Un tarn était un immense lézard ou encore un dragon miniature sans aile, celui ci était vert avec d’énorme yeux rouge. Les tarns étaient connu pour avoir mauvais caractère.
Le cavalier du tarn sorti en trombe de sa tente et se dirigea vers les nouveaux arrivant.
_ Que ce passe t’il ?
Le damné jeta la femme au pied du cavalier.
_ Elle faisait partit du groupe qui est partit en forêt mais elle s’est échapper, maître.
Le cavalier s’agenouilla près de la femme et lui releva la tête.
_ C’est triste qu’une aussi belle créature doive mourir. Voudrais tu pour tes derniers jours m’accompagné sous ma tente.
La jeune femme des retira des mains du cavalier et lui cracha dessus ;
_ Plutôt crevé que d’être sauter par un gamin. Va te faire foutre !!!
Etienne et moi éclatèrent de rire. Etienne lança quelques mots à la jeune femme.
_ Jolie !!! Je vous admire !!
La femme se mit à rire elle aussi et s’inclina vers nous deux. J’imaginais le cavalier rougir sous son armure, il retourna la femme et la rua de coup. A peine celle- ci se relevait qu’elle s’écroulait de nouveaux au sol. Le cavalier voulu une nouvelle fois la frapper mais elle attrapa son bras et le précipita au sol en lui arrachant son heaume. Elle allait le frapper mais bloqua son geste, elle restait la au dessus du cavalier à le fixer. D’ou nous étions nous ne voyons pas très bien mais je réussi t a distinguer le visage du cavalier.
_ Léandre se n’est qu’un gamin, il doit avoir 15 16ans.
Etienne avait aussi vu le visage de cet étrange chevalier.
_ Valdis en est arrivé a envoyé se battre des enfants à sa place.
Les deux Damné relevèrent La jeune femme qui se laissait faire encore choqué. Le jeune homme sortit l’épée de son fourreau, il la força à s’agenouiller en lui arrachant les cheveux et brandit son épée. Je me précipitai au barreau de ma cage.
_ Non !! Vous n’êtes pas obliger d’obéir a Valdis, vous n’avez pas besoin de lui ;
Cette fois ci c’était lez jeune homme qui rit.
_ Vous vous tromper c’est Valdis qui a besoin de moi, sans moi il n’est rien.
Il brandit son épée
_ Tu aurais une bonne pute pourtant, dommage !
Soudain, de la forêt, éclatèrent des hurlements et le féroce cri de guerre des hommes. Des brandons enflammés apparurent à la lisière de la forêt et se rassemblèrent en une masse épaisse. Puis ils se dispersèrent et disparurent.
_ Aux armes !!!
Le jeune homme lâcha la femme et courut vers son tarn, les damné se levèrent tous et encerclèrent le camp pour le protéger. La jeune femme qui était maintenant libre de ses mouvements commença à courir vers la forêt mais elle s’arrêta et se retourna vers moi. Elle hésita puis fit quelque pas vers nous, elle n’avait aucun moyen de nous faire sortir de la.
_ Non ! Fuyez !
Elle ne m’écouta pas et me retrouva de l’autre coté de la cage. Elle était paniqué et effrayer.
_ Comment pourrai-je vous aider à sortir.
_ Comment vous appelez vous ?
Etienne nous rejoint au bord des barreaux de bois.
_ Je croyais que t’avais renoncé a ta vie sentimental, ce n’est pas le moment de draguer !!
Elle sourit et paressait se calmer. Elle aperçu une hache non loin de la et me l’apporta. En peu de temps nous étions sortis de la cage.
Je regardais ma jeune sauveuse et la remercia :
_ Vous ne m’avez pas encore dit votre nom.
_ Anh-Lee, et le votre ?
_ Léandre et voici mon frère Etienne, notre armée ne va pas tarder à revenir allez libérer les autres prisonniers.
Elle saisit la hache et couru vers la cage la plus proche accompagné de Etienne, je restais un instant à la regarder sa grasse et sa souplesse. Je me retournais vers Etienne qui me regardait de travers.
_ C’est curieux mais il ne me semble pas t’avoir déjà vu ainsi, aussi calme et doux !!
_ N’importe quoi !
Les damnés étaient en position et ils ne nous avaient pas vus nous enfuir. Soudain l’un d’entre eux cria :
_L’ennemi est là !!
Des trompettes d’airain retentirent, les armées d’Acarion rugirent, oscillant d’un côté et de l’autre. Puis, les damnés poussèrent des cris aigus, agitant lance et épées et tirant une nuée de flèche sur tout ce qui bougeait. Les damnés, se jetèrent sur la cavalerie qui les chargeait. De nouveau, le cor sonna dans la forêt. Sous se son, les cavaliers firent demi tour et une tempête de flèche, provenant de la forêt, accueillit la charge des damnés en même temps qu’une grêle de pierres. Les damnés fléchirent, se débandèrent et s’enfuirent pendant que la cavalerie d’Acarion revint à al charge et les écrasa.
Je vis Etienne encerclé par des damnés, il était trop loin de moi. Je courais le plus vite qu’il m’était possible, je voyais ce monstre se rapprocher de mon petit frère et je ne pouvais rien faire. Un énorme damné lança sa massue aux chevilles d’Etienne, il s’écroula sur le sol accompagné d’un cri de douleur, qui me mit les larmes aux yeux. Un autre damné se positionna au dessus d’Etienne et leva son épée. Je réussis à attraper une épée sur le corps d’un damné et la lança sur le damné qui menaçait mon frère. Il s’écoula mort sur le coup maos d’autre damné encerclait encore mon frère. La cavalerie arriva à notre niveau et me cacha la vue. Je ne distinguais plus mon frère, des fois entre 2 cavalier j’arrivais à voir un damné a quel que centimètre de mon frère mais je ne pouvais plus bouger sans me faire écraser.
La cavalerie me laissa enfin le champ libre et a ma surprise, je vis Etienne debout saint et sauf. Il s’était éloigné et regardait une belle étrangère échangeant les lames avec les damnés. J’admirais une telle puissance et majesté dans ce corps si fin. Anh-Lee se tenait là, seul face à 3damnés. Maints cavaliers s’arrêtèrent et tournèrent la tête pour observer cette étrange femme . Anh-Le amortissait chaque coup d’épée mais elle semblait faiblir. Le dernier coup fit voler son épée et le damné lui transperça la cuisse. Le cri aigu de cette femme résonna dans ma tête et dans toute la forêt. Je pouvais ressentir la douleur de se coup a travers ce crie. Soudain, il y eut un grondement et un éclair de feu. Les tentes s’écroulaient enflammée. Un murmure comme un vent dans le lointain s’éleva derrière Anh-Lee. Ce murmure ne tarde pas à devenir de forte rafale de vent. Le vent emportait avec lui la clameur de nombreuses voix criant la victoire d’une bataille. Anu loin dans Acarion résonnait le puissant cor de la tour de la forteresse.
_ Tu vois je ne connais pas c’est personne mais je suis triste pour eux. Ils savent qu’ils ne reviendront jamais.
_ Je n’en suis pas si sûr.
_ Pourquoi ? Il est évident qu’ils vont mourir !
_ Mais eux ne le savent pas. Regardes-les, regardes leurs tenues. Ils ne sont pas d’ici !
Les vêtements des prisonniers étaient sanglants et bien déchiré mais on pouvait quand même remarqué que ces vêtements n’étaient pas communs. Certain portait de beau costumes avec des cravates noirs, d’autre était en jean et en chemise. Certaines femmes portaient des pantalons alors qu’a Azunay seules les guerrières et écuyères portait des pantalons et encore s’était des culotes avec des bottes de cuivres. D’autre femme portait des ensembles de toutes les couleurs. Etienne qui n’y avait pas fait attention fut encore plus surpris et ahuri. On nous poussa jusqu'à la cage qui avait été libéré.
Le soleil commençais a se couché et la nuit tomba peu de temps après ; Etienne somnolait a côté de moi. Soudain une voie s’éleva de la forêt et le réveilla. Il y avait plusieurs personnes qui sortaient de la forêt. Deux damné trainé derrière eux un humain, plutôt une humaine.
_ Lâchez moi sale tête de rat.
Le tarn qui dormait a coté de la tente de son maitre se mit à hurler de colère. Un tarn était un immense lézard ou encore un dragon miniature sans aile, celui ci était vert avec d’énorme yeux rouge. Les tarns étaient connu pour avoir mauvais caractère.
Le cavalier du tarn sorti en trombe de sa tente et se dirigea vers les nouveaux arrivant.
_ Que ce passe t’il ?
Le damné jeta la femme au pied du cavalier.
_ Elle faisait partit du groupe qui est partit en forêt mais elle s’est échapper, maître.
Le cavalier s’agenouilla près de la femme et lui releva la tête.
_ C’est triste qu’une aussi belle créature doive mourir. Voudrais tu pour tes derniers jours m’accompagné sous ma tente.
La jeune femme des retira des mains du cavalier et lui cracha dessus ;
_ Plutôt crevé que d’être sauter par un gamin. Va te faire foutre !!!
Etienne et moi éclatèrent de rire. Etienne lança quelques mots à la jeune femme.
_ Jolie !!! Je vous admire !!
La femme se mit à rire elle aussi et s’inclina vers nous deux. J’imaginais le cavalier rougir sous son armure, il retourna la femme et la rua de coup. A peine celle- ci se relevait qu’elle s’écroulait de nouveaux au sol. Le cavalier voulu une nouvelle fois la frapper mais elle attrapa son bras et le précipita au sol en lui arrachant son heaume. Elle allait le frapper mais bloqua son geste, elle restait la au dessus du cavalier à le fixer. D’ou nous étions nous ne voyons pas très bien mais je réussi t a distinguer le visage du cavalier.
_ Léandre se n’est qu’un gamin, il doit avoir 15 16ans.
Etienne avait aussi vu le visage de cet étrange chevalier.
_ Valdis en est arrivé a envoyé se battre des enfants à sa place.
Les deux Damné relevèrent La jeune femme qui se laissait faire encore choqué. Le jeune homme sortit l’épée de son fourreau, il la força à s’agenouiller en lui arrachant les cheveux et brandit son épée. Je me précipitai au barreau de ma cage.
_ Non !! Vous n’êtes pas obliger d’obéir a Valdis, vous n’avez pas besoin de lui ;
Cette fois ci c’était lez jeune homme qui rit.
_ Vous vous tromper c’est Valdis qui a besoin de moi, sans moi il n’est rien.
Il brandit son épée
_ Tu aurais une bonne pute pourtant, dommage !
Soudain, de la forêt, éclatèrent des hurlements et le féroce cri de guerre des hommes. Des brandons enflammés apparurent à la lisière de la forêt et se rassemblèrent en une masse épaisse. Puis ils se dispersèrent et disparurent.
_ Aux armes !!!
Le jeune homme lâcha la femme et courut vers son tarn, les damné se levèrent tous et encerclèrent le camp pour le protéger. La jeune femme qui était maintenant libre de ses mouvements commença à courir vers la forêt mais elle s’arrêta et se retourna vers moi. Elle hésita puis fit quelque pas vers nous, elle n’avait aucun moyen de nous faire sortir de la.
_ Non ! Fuyez !
Elle ne m’écouta pas et me retrouva de l’autre coté de la cage. Elle était paniqué et effrayer.
_ Comment pourrai-je vous aider à sortir.
_ Comment vous appelez vous ?
Etienne nous rejoint au bord des barreaux de bois.
_ Je croyais que t’avais renoncé a ta vie sentimental, ce n’est pas le moment de draguer !!
Elle sourit et paressait se calmer. Elle aperçu une hache non loin de la et me l’apporta. En peu de temps nous étions sortis de la cage.
Je regardais ma jeune sauveuse et la remercia :
_ Vous ne m’avez pas encore dit votre nom.
_ Anh-Lee, et le votre ?
_ Léandre et voici mon frère Etienne, notre armée ne va pas tarder à revenir allez libérer les autres prisonniers.
Elle saisit la hache et couru vers la cage la plus proche accompagné de Etienne, je restais un instant à la regarder sa grasse et sa souplesse. Je me retournais vers Etienne qui me regardait de travers.
_ C’est curieux mais il ne me semble pas t’avoir déjà vu ainsi, aussi calme et doux !!
_ N’importe quoi !
Les damnés étaient en position et ils ne nous avaient pas vus nous enfuir. Soudain l’un d’entre eux cria :
_L’ennemi est là !!
Des trompettes d’airain retentirent, les armées d’Acarion rugirent, oscillant d’un côté et de l’autre. Puis, les damnés poussèrent des cris aigus, agitant lance et épées et tirant une nuée de flèche sur tout ce qui bougeait. Les damnés, se jetèrent sur la cavalerie qui les chargeait. De nouveau, le cor sonna dans la forêt. Sous se son, les cavaliers firent demi tour et une tempête de flèche, provenant de la forêt, accueillit la charge des damnés en même temps qu’une grêle de pierres. Les damnés fléchirent, se débandèrent et s’enfuirent pendant que la cavalerie d’Acarion revint à al charge et les écrasa.
Je vis Etienne encerclé par des damnés, il était trop loin de moi. Je courais le plus vite qu’il m’était possible, je voyais ce monstre se rapprocher de mon petit frère et je ne pouvais rien faire. Un énorme damné lança sa massue aux chevilles d’Etienne, il s’écroula sur le sol accompagné d’un cri de douleur, qui me mit les larmes aux yeux. Un autre damné se positionna au dessus d’Etienne et leva son épée. Je réussis à attraper une épée sur le corps d’un damné et la lança sur le damné qui menaçait mon frère. Il s’écoula mort sur le coup maos d’autre damné encerclait encore mon frère. La cavalerie arriva à notre niveau et me cacha la vue. Je ne distinguais plus mon frère, des fois entre 2 cavalier j’arrivais à voir un damné a quel que centimètre de mon frère mais je ne pouvais plus bouger sans me faire écraser.
La cavalerie me laissa enfin le champ libre et a ma surprise, je vis Etienne debout saint et sauf. Il s’était éloigné et regardait une belle étrangère échangeant les lames avec les damnés. J’admirais une telle puissance et majesté dans ce corps si fin. Anh-Lee se tenait là, seul face à 3damnés. Maints cavaliers s’arrêtèrent et tournèrent la tête pour observer cette étrange femme . Anh-Le amortissait chaque coup d’épée mais elle semblait faiblir. Le dernier coup fit voler son épée et le damné lui transperça la cuisse. Le cri aigu de cette femme résonna dans ma tête et dans toute la forêt. Je pouvais ressentir la douleur de se coup a travers ce crie. Soudain, il y eut un grondement et un éclair de feu. Les tentes s’écroulaient enflammée. Un murmure comme un vent dans le lointain s’éleva derrière Anh-Lee. Ce murmure ne tarde pas à devenir de forte rafale de vent. Le vent emportait avec lui la clameur de nombreuses voix criant la victoire d’une bataille. Anu loin dans Acarion résonnait le puissant cor de la tour de la forteresse.
akismye- Nombre de messages : 7
Age : 33
Date d'inscription : 05/04/2008
Re: Un monde nouveau
A ce son, tous frémirent, de nombreux damnés se jetèrent face contre terre et se couvrirent les oreilles de leurs griffes. De la forêt revinrent les échos, coup après coup, comme si quelque puissant héraut se tenait sur chaque colline, sur chaque falaise.
_ Acarion ! Acarion ! crièrent les cavaliers
Le sourire s’affichait sur chaque homme, Acarion s’est levé et revient en guerre plein d’espoir. Sur ce cri et dans un grand fracas, ils chargèrent les derniers damnés qui fuyaient dans la forêt. Je rejoignis Anh-Lee blaisée mais consciente, les damné qui l’avait attaqué avait fuit, Etienne nous retrouva. On était la tous les trois a admiré le plus beau des spectacles. La cavalerie traversa la pleine en un grondement, franchie les flammes qui avait ravagé les prisons et les tentes et entrèrent dans la forêt comme un vent de tempête dans l’herbe. Derri7re eux, venaient les cris rauques des hommes qui sortaient de la forêt. Et toujours le son des cors résonnait dans les collines. La cavalerie continuait leur course. Capitaine et champions tombaient ou fuyaient devant eux. Ni damné ni homme ne leur résistaient. Les ennemis présentaient le dos aux épées et aux lances des cavaliers. Ils poussaient des cris et des gémissements, car la peur et un grand étonnement les avaient envahis avec le lever du jour. La lumière devint brillante, des rayons de soleil flamboyaient au-dessus des arbres et miroitaient sur leurs lances et épée.
_ Acarion ! Acarion ! crièrent les cavaliers
Le sourire s’affichait sur chaque homme, Acarion s’est levé et revient en guerre plein d’espoir. Sur ce cri et dans un grand fracas, ils chargèrent les derniers damnés qui fuyaient dans la forêt. Je rejoignis Anh-Lee blaisée mais consciente, les damné qui l’avait attaqué avait fuit, Etienne nous retrouva. On était la tous les trois a admiré le plus beau des spectacles. La cavalerie traversa la pleine en un grondement, franchie les flammes qui avait ravagé les prisons et les tentes et entrèrent dans la forêt comme un vent de tempête dans l’herbe. Derri7re eux, venaient les cris rauques des hommes qui sortaient de la forêt. Et toujours le son des cors résonnait dans les collines. La cavalerie continuait leur course. Capitaine et champions tombaient ou fuyaient devant eux. Ni damné ni homme ne leur résistaient. Les ennemis présentaient le dos aux épées et aux lances des cavaliers. Ils poussaient des cris et des gémissements, car la peur et un grand étonnement les avaient envahis avec le lever du jour. La lumière devint brillante, des rayons de soleil flamboyaient au-dessus des arbres et miroitaient sur leurs lances et épée.
akismye- Nombre de messages : 7
Age : 33
Date d'inscription : 05/04/2008
Re: Un monde nouveau
Bonjour akismye
Tu as manifestement beaucoup de plaisir à écrire, mais il y a pas mal de répétitions que tu peux éviter avec une relecture attentive et une ré-écriture de certains passages.
On fait tous des fautes (moi le premier), mais il est indispensable d'y faire très gaffe, et toi, tu démarres à la mitraillette. Ça ne donne pas très envie de lire plus loin...A partir du jour ou l’homme a décidé de devenir maître de lui même, il a commencé à se détruire.
Le terrien croit vivre seul dans l’univers mais il ignore qu’une terre existe non loin d’eux (eux, le terrien ?)qui est cachée par sa magie. Cette Terre aurait puselle aussi
Tu as manifestement beaucoup de plaisir à écrire, mais il y a pas mal de répétitions que tu peux éviter avec une relecture attentive et une ré-écriture de certains passages.
...et on le retrouve encore huit lignes plus bas. Les répétitions alourdissent le texte. Tu vas dire que je pinaille, et c'est peut-être vrai, mais je pense que tu devrais peut-être t'essayer d'abord sur des textes courts, plutôt que de te lancer tout de suite sur une grande épopée, et dans un genre qui a déjà été beaucoup exploité.Découvrir sa présence était impossible, elle était cachée par une ancienne magie qui dépassait les sciences. Mais même si des preuves de cette existence avait été découvert les scientifiques auraient trouvé une autre explication que la découverte d’un autre monde.
à tchaoum- Nombre de messages : 612
Age : 75
Date d'inscription : 06/05/2007
Re: Un monde nouveau
à tchaoum l'a dit, Mentor l'a fait : il n'est pas allé très loin dans la lecture... Une vingtaine de lignes
Beaucoup trop de fautes de français, d'ortho, de grammaire, des trucs vraiment basiques souvent, faciles à faire détecter par un simple correcteur automatique comme Word, ou en te faisant relire par quelqu'un
Vraiment dommage car vu la longueur tu as sûrement raconté une aventure qui te tenait à coeur et qui est peut-être passionnante
Fais un effort, svp, et on fera aussi l'effort de te lire en entier et de t'apporter des conseils constructifs autres que ceux que je t'ai donnés ! ;-)
Beaucoup trop de fautes de français, d'ortho, de grammaire, des trucs vraiment basiques souvent, faciles à faire détecter par un simple correcteur automatique comme Word, ou en te faisant relire par quelqu'un
Vraiment dommage car vu la longueur tu as sûrement raconté une aventure qui te tenait à coeur et qui est peut-être passionnante
Fais un effort, svp, et on fera aussi l'effort de te lire en entier et de t'apporter des conseils constructifs autres que ceux que je t'ai donnés ! ;-)
Re: Un monde nouveau
Enormément de grosses fautes d'ortho, ça serait utile de te faire relire ou passer ton texte dans un correcteur orthographique.
Sur le sujet, je ne suis pas fan de ce genre de littérature, je préfère le dire, parce ça influence fatalement mon jugement. Mais j'ai tout de même le sentiment d'avoir lu ça plein de fois, le sujet a déjà été traité et je n'ai pas trouvé cette fois une originalité ou une particularité qui m'aurait fait, pour une fois, accrocher à ce genre fantastique (mais je plaide coupable Votre Honneur, je l'ai dit).
Ceci dit, tu disposes tout de même d'une écriture travaillée et fluide. Elle y gagnerait, à mes yeux, en qualité, si tu aérais un peu plus ton texte, notamment en raccourcissant tes phrases ou en insérant de ci de là quelques périodes de respiration (dialogues, digressions, etc).
Sur le sujet, je ne suis pas fan de ce genre de littérature, je préfère le dire, parce ça influence fatalement mon jugement. Mais j'ai tout de même le sentiment d'avoir lu ça plein de fois, le sujet a déjà été traité et je n'ai pas trouvé cette fois une originalité ou une particularité qui m'aurait fait, pour une fois, accrocher à ce genre fantastique (mais je plaide coupable Votre Honneur, je l'ai dit).
Ceci dit, tu disposes tout de même d'une écriture travaillée et fluide. Elle y gagnerait, à mes yeux, en qualité, si tu aérais un peu plus ton texte, notamment en raccourcissant tes phrases ou en insérant de ci de là quelques périodes de respiration (dialogues, digressions, etc).
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Un monde nouveau
Le Tarn m'a fait penser à Gor... à ce monde parallèle qui vient chercher (enlever est plus exact !) des femmes esclaves sur Terre... ("Le cycle de Gor" de John Norman... pseudo de John Frédérick Lange)
Je suis allée au bout de la lecture, mais il y a beaucoup de travail à faire... aussi bien pour l'orthographe, la grammaire, que pour la construction, pour "poser" l'action etc.
Du travail oui... et encore du travail... de relecture, d'analyse de sens... du poids des mots... encore et encore... Il faudrait reprendre tout ça.
Je suis allée au bout de la lecture, mais il y a beaucoup de travail à faire... aussi bien pour l'orthographe, la grammaire, que pour la construction, pour "poser" l'action etc.
Du travail oui... et encore du travail... de relecture, d'analyse de sens... du poids des mots... encore et encore... Il faudrait reprendre tout ça.
Reginelle- Nombre de messages : 1753
Age : 74
Localisation : au fil de l'eau
Date d'inscription : 07/03/2008
Re: Un monde nouveau
Oups, je n'avais pas vu que l'on m'avais répondu. Je sais que c n'est pas une excuse mais le français n'est pas ma langue natal et j'ai beaucoup de mal en grammaire.
akismye- Nombre de messages : 7
Age : 33
Date d'inscription : 05/04/2008
Re: Un monde nouveau
Ceci explique cela... si tu as besoin qu'on jette un coup d'oeil, c'est bien volontiers.
Amicalement
Amicalement
Reginelle- Nombre de messages : 1753
Age : 74
Localisation : au fil de l'eau
Date d'inscription : 07/03/2008
Re: Un monde nouveau
ha pardon ! dans ce cas, carrément bravo alors ! ;-)akismye a écrit:Oups, je n'avais pas vu que l'on m'avais répondu. Je sais que c n'est pas une excuse mais le français n'est pas ma langue natal et j'ai beaucoup de mal en grammaire.
comme quoi...
Re: Un monde nouveau
Enfin ce n'est pas une raison pour faire tant de fautes.
Je ne veux pas t'obliger à tout lire mentor.
Je ne veux pas t'obliger à tout lire mentor.
akismye- Nombre de messages : 7
Age : 33
Date d'inscription : 05/04/2008
Re: Un monde nouveau
tu m'obliges pas, mais maintenant que ma curiosité est éveillée... Ce week-end, promis ;-)akismye a écrit:Enfin ce n'est pas une raison pour faire tant de fautes.
Je ne veux pas t'obliger à tout lire mentor.
Sujets similaires
» Nouveau monde
» Exo "Nouveau Monde" : La colonie
» Proposition d'exercice : "Nouveau monde"
» un nouveau départ
» La peinture blanche
» Exo "Nouveau Monde" : La colonie
» Proposition d'exercice : "Nouveau monde"
» un nouveau départ
» La peinture blanche
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum