Ça s'est passé près de chez moi
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Re: Ça s'est passé près de chez moi
Quel instant de tendresse, j'ai traversé, là... !milo a écrit:Ils portaient dans les yeux quelque chose qui rappelait la tendresse
Pourtant, c’était triste de les voir se donner la main
De les voir maladroits et cherchant l’équilibre
Coté impair, Impasse des Mimosas.
L’homme et l’enfant ne semblaient pas si différents
Mais dans le contre jour on ne devinait pas
Lequel des deux serrait vraiment
L’autre
Un peu plus fort contre sa paume.
Moi, j’étais saoul
Et bêtement je croyais
Que le béton faisait fleurir les gens qui s’aiment.
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Tu levais l'ancre pour de faux en fixant l'émeraude pour de vrai et toutes ces bites en l'air de roches en traviole, ça m'a fait rire, quoi, toi, les bites et la mer sans vent. Une mer ça n'a jamais de vent, ça a des courants sauf que dans la baie y'en avait pas non plus.
Invité- Invité
Re: Ça s'est passé près de chez moi
C'est Gaspard qui m'a raconté ça.
Comme ici tout s’achève, ma dernière tasse, mon dernier regard, mes dernières heures. Hors du temps, cette mouche expulsée par mon souffle impie, jetée à l’instance du nomenclator.
Je suis contraint à tergiverser. Les bonnes paroles m’encouragent. Je déblatère en une fugace et sèche suite de mots, conclus d’un regard fou et d’une petite souris. — Ô déraison, ô empathie, comme vous prîtes votre esclave, ne me quittez plus.
J’y suis entré et le soir tout s’éteint. Le fil de la journée passe en boucle. Je repense machinalement à leurs courbes que dessine un bout de fil, relié, entremêlé, serré. Petite souris, perce le tissu pour moi.
Ce n’est pas pour moi tout ça, j’y entrerai en voulant m’imposer, mais me soumettrai. Les chemins qui m’y mèneront seront ceux d’une profonde démence. Aussi je préfère y souffrir et y vivre cette frustration quotidiennement au lieu d’entreprendre ce jeu. Y’a Gaspard et moi.
Chaque matin, à la sortie du métro, une masse de vent me fait reculer d’un pas à l’approche des grandes portes. J’ai envie de crier, de hurler, en fonçant les yeux injectés de rage, enragé par les sacrifices donnés pour y avoir droit. — On ne me modèlera pas, je suis violence castratrice et déjà dogmatisé. Mon dogme, vous le sentirez bien assez tôt. Ne me parlez pas, ne me regardez pas. J’apporte avec moi des symphonies à la gloire de ce vous ignorez, de ce que vous cachez, de ce que vous ne voulez pas ou plus voir.
— Vous me voulez critique, je serai magique
— Y’a Gaspard et moi
— « couinement affirmatif »
Ces trajets à travers couloirs et fourmis me poussent à la fugue, à la fuite. Mes pas sont pressés, j’angoisse, il me faut sortir fumer. Mon regarde se dresse à l’affût, sur mes gardes mes sens épient le moindre son. Je cartographie mentalement les lieux, ne pas me perdre, trouver le chemin le plus court, les sorties possibles, les heures achalandées, les coins ignorés. Je sinue, sillonne ces espaces concis d’esthétisme, austères et froids. Je pousse des sifflements maussades. Je crache au sol un lot d’insultes à cette bâtisse de la connaissance, manigancée, aseptisée. Ne sachant jamais vraiment si d’aventure un imbécile je finirai par blesser de mon inconvenance grossière.
Je me sens âpre, mon corps se frotte à ses pierres grossièrement sculptées. Comme tout est cher ici, même pas de quoi me payer un café. Cette envie de fumer ne m’a jamais paru aussi intolérable lorsqu’il me faut quémander aux camarades. — Ton regard de vierge offensée, je le comprends pas, j’te d’mande une cigarette, ça t’engage à rien, c’est oui ou non.
La vie mercantile m’a bien servi, assez vite j’ai compris. Offre-leur 50 sous, ils t’en donneront une gratuite et en prime une belle façon, piqué dans leur orgueil.
Où suis-je?
Était-ce juste des paroles quand tu disais que si un jour ma vie tournait au cauchemar, tu viendrais avec le Soleil? Que si un soir ma joie s’envolait à la vitesse fumée de ma dernière clope. Si mon désir se consumait au rythme du givre accumulé sur mes fenêtres l’hiver. Tu ranimerais, ma flamme vacillante, ma braise rougeoyante, mes cendres chaudes ou saurais faire renaître des poussières ces lueurs qui auront déserté mes yeux.
Gaspard?
Comme ici tout s’achève, ma dernière tasse, mon dernier regard, mes dernières heures. Hors du temps, cette mouche expulsée par mon souffle impie, jetée à l’instance du nomenclator.
Je suis contraint à tergiverser. Les bonnes paroles m’encouragent. Je déblatère en une fugace et sèche suite de mots, conclus d’un regard fou et d’une petite souris. — Ô déraison, ô empathie, comme vous prîtes votre esclave, ne me quittez plus.
J’y suis entré et le soir tout s’éteint. Le fil de la journée passe en boucle. Je repense machinalement à leurs courbes que dessine un bout de fil, relié, entremêlé, serré. Petite souris, perce le tissu pour moi.
Ce n’est pas pour moi tout ça, j’y entrerai en voulant m’imposer, mais me soumettrai. Les chemins qui m’y mèneront seront ceux d’une profonde démence. Aussi je préfère y souffrir et y vivre cette frustration quotidiennement au lieu d’entreprendre ce jeu. Y’a Gaspard et moi.
Chaque matin, à la sortie du métro, une masse de vent me fait reculer d’un pas à l’approche des grandes portes. J’ai envie de crier, de hurler, en fonçant les yeux injectés de rage, enragé par les sacrifices donnés pour y avoir droit. — On ne me modèlera pas, je suis violence castratrice et déjà dogmatisé. Mon dogme, vous le sentirez bien assez tôt. Ne me parlez pas, ne me regardez pas. J’apporte avec moi des symphonies à la gloire de ce vous ignorez, de ce que vous cachez, de ce que vous ne voulez pas ou plus voir.
— Vous me voulez critique, je serai magique
— Y’a Gaspard et moi
— « couinement affirmatif »
Ces trajets à travers couloirs et fourmis me poussent à la fugue, à la fuite. Mes pas sont pressés, j’angoisse, il me faut sortir fumer. Mon regarde se dresse à l’affût, sur mes gardes mes sens épient le moindre son. Je cartographie mentalement les lieux, ne pas me perdre, trouver le chemin le plus court, les sorties possibles, les heures achalandées, les coins ignorés. Je sinue, sillonne ces espaces concis d’esthétisme, austères et froids. Je pousse des sifflements maussades. Je crache au sol un lot d’insultes à cette bâtisse de la connaissance, manigancée, aseptisée. Ne sachant jamais vraiment si d’aventure un imbécile je finirai par blesser de mon inconvenance grossière.
Je me sens âpre, mon corps se frotte à ses pierres grossièrement sculptées. Comme tout est cher ici, même pas de quoi me payer un café. Cette envie de fumer ne m’a jamais paru aussi intolérable lorsqu’il me faut quémander aux camarades. — Ton regard de vierge offensée, je le comprends pas, j’te d’mande une cigarette, ça t’engage à rien, c’est oui ou non.
La vie mercantile m’a bien servi, assez vite j’ai compris. Offre-leur 50 sous, ils t’en donneront une gratuite et en prime une belle façon, piqué dans leur orgueil.
Où suis-je?
Était-ce juste des paroles quand tu disais que si un jour ma vie tournait au cauchemar, tu viendrais avec le Soleil? Que si un soir ma joie s’envolait à la vitesse fumée de ma dernière clope. Si mon désir se consumait au rythme du givre accumulé sur mes fenêtres l’hiver. Tu ranimerais, ma flamme vacillante, ma braise rougeoyante, mes cendres chaudes ou saurais faire renaître des poussières ces lueurs qui auront déserté mes yeux.
Gaspard?
Bunje- Nombre de messages : 215
Age : 109
Date d'inscription : 17/06/2008
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Je n’avais plus de nouvelles depuis quelque temps. Hier j’ai eu une lettre. Bavarde. Difficile à déchiffrer : écriture tremblée d’une personne malade. Difficile de contôler le stylo.
Elle raconte sa vie, son quotidien, les visites de la famille, des futilités. S’inquiète de sa maison vide ; se sent obligée de s’excuser pour les fautes dans la lettre.
Et conclut, résignée : « Je vous laisse, j’ai rendez-vous avec le docteur. C’est un sym quatre. »
Ah bon ? Un sym quatre. Je répète le mot à voix haute plusieurs fois avant d’en comprendre la signification. Forcément, dans un hôpital sym quatrique on a affaire à sym quatre ! Élémentaire ma chère voisine !
Elle raconte sa vie, son quotidien, les visites de la famille, des futilités. S’inquiète de sa maison vide ; se sent obligée de s’excuser pour les fautes dans la lettre.
Et conclut, résignée : « Je vous laisse, j’ai rendez-vous avec le docteur. C’est un sym quatre. »
Ah bon ? Un sym quatre. Je répète le mot à voix haute plusieurs fois avant d’en comprendre la signification. Forcément, dans un hôpital sym quatrique on a affaire à sym quatre ! Élémentaire ma chère voisine !
Invité- Invité
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Forcément, dans un hôpital sym quatrique on a affaire à sym quatre ! Élémentaire ma chère voisine !
J'ai dû relire à haute voix pour comprendre ... Délicieusement féroce !
Cela me rappelle un prof d'une grande université américaine (MIT) qui se vantait d'avoir visité une charmante petite ville au sud de Paris "Poytailleursse" ... Il nous a fallu quelques explications avant de comprendre qu'il s'agissait de Poitiers !
J'ai dû relire à haute voix pour comprendre ... Délicieusement féroce !
Cela me rappelle un prof d'une grande université américaine (MIT) qui se vantait d'avoir visité une charmante petite ville au sud de Paris "Poytailleursse" ... Il nous a fallu quelques explications avant de comprendre qu'il s'agissait de Poitiers !
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Féroce, je ne voudrais pas. Tendrement moqueur, je préfère. Parce que vrai.Arielle a écrit:Forcément, dans un hôpital sym quatrique on a affaire à sym quatre ! Élémentaire ma chère voisine !
J'ai dû relire à haute voix pour comprendre ... Délicieusement féroce !
Cela me rappelle un prof d'une grande université américaine (MIT) qui se vantait d'avoir visité une charmante petite ville au sud de Paris "Poytailleursse" ... Il nous a fallu quelques explications avant de comprendre qu'il s'agissait de Poitiers !
Oh, et puis j'ai oublié l'article (un sym quatre, pas deux !)
Poytailleursse, oui :-) Et Rims, plus à l'est...
Invité- Invité
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Oui :-))coline Dé a écrit:J'en ai entendu une qui connaissait Layonne
Invité- Invité
Re: Ça s'est passé près de chez moi
La pitite étudiante qui me demande si j'ai besoin d'aide juste avant la relève, je lui dis de rester dans les parages.
La troisième pare qui passe de 4cm à dilatation complète en 10 minutes et la pitite étudiante qui croit que je lui fait une blague en lui demandant les gants alors que je retiens la tête avec mon doigtier.
Sonnette d'urgence, la vraie sage-femme diplômée qui prend la garde arrive, s'installe. Accouchement à 8h05, je pars presque à l'heure.
La troisième pare qui passe de 4cm à dilatation complète en 10 minutes et la pitite étudiante qui croit que je lui fait une blague en lui demandant les gants alors que je retiens la tête avec mon doigtier.
Sonnette d'urgence, la vraie sage-femme diplômée qui prend la garde arrive, s'installe. Accouchement à 8h05, je pars presque à l'heure.
Lehnerd- Nombre de messages : 70
Age : 38
Date d'inscription : 28/12/2008
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Elle est passée dire bonjour, en bien meilleure forme que les fois précédentes.
Et m'a glissé, l'air de rien : "c'est mon anniversaire aujourd'hui."
Sûr que je vais m'en souvenir pour l'année prochaine. Parce qu'elle sera encore là, elle viendra encore faire sa petite visite de souris triste.
Le 8 avril... Entre une Journée de la Femme et une fête de la victoire. Si je ne retiens qu'une date ce sera celle-là.
Et m'a glissé, l'air de rien : "c'est mon anniversaire aujourd'hui."
Sûr que je vais m'en souvenir pour l'année prochaine. Parce qu'elle sera encore là, elle viendra encore faire sa petite visite de souris triste.
Le 8 avril... Entre une Journée de la Femme et une fête de la victoire. Si je ne retiens qu'une date ce sera celle-là.
Invité- Invité
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Je suis dans la rue avec un ami, dans mon quartier. On croise ma mère qui rentre du boulot.
Il faut préciser qu'il y a un bar de nuit et un sex shop en face de chez moi.
Et justement, sur la fenêtre du bar, il y a une affichette : "Cherche hôtesse" (vous voyez le genre...). Et là, ma mère s'arrête pour nous dire bonjour. Elle fait trois pas avec nous puis aperçoit la petit annonce et se tourne vers moi, en parlant très fort :
— Tiens ! Toi qui cherchais un boulot pour l'été !
No comment...
Il faut préciser qu'il y a un bar de nuit et un sex shop en face de chez moi.
Et justement, sur la fenêtre du bar, il y a une affichette : "Cherche hôtesse" (vous voyez le genre...). Et là, ma mère s'arrête pour nous dire bonjour. Elle fait trois pas avec nous puis aperçoit la petit annonce et se tourne vers moi, en parlant très fort :
— Tiens ! Toi qui cherchais un boulot pour l'été !
No comment...
Loreena Ruin- Nombre de messages : 1071
Age : 35
Localisation : Nancy
Date d'inscription : 05/10/2008
Re: Ça s'est passé près de chez moi
:-)))))
Pas pu m'empêcher de sourire :-)
Pas pu m'empêcher de sourire :-)
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Ça s'est passé près de chez moi
* Grand sourire *
Loreena Ruin- Nombre de messages : 1071
Age : 35
Localisation : Nancy
Date d'inscription : 05/10/2008
Re: Ça s'est passé près de chez moi
aahh, la rue Jeanne-d'Arc... :-)))Loreena Ruin a écrit:Je suis dans la rue avec un ami, dans mon quartier. On croise ma mère qui rentre du boulot.
Il faut préciser qu'il y a un bar de nuit et un sex shop en face de chez moi.
Et justement, sur la fenêtre du bar, il y a une affichette : "Cherche hôtesse" (vous voyez le genre...). Et là, ma mère s'arrête pour nous dire bonjour. Elle fait trois pas avec nous puis aperçoit la petit annonce et se tourne vers moi, en parlant très fort :
— Tiens ! Toi qui cherchais un boulot pour l'été !
No comment...
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Perdu ! Mais tu n'es pas tombé loin... héhé
Loreena Ruin- Nombre de messages : 1071
Age : 35
Localisation : Nancy
Date d'inscription : 05/10/2008
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Croix de Bourgogne alors ? Et puis, je ne sais pas combien il y a de sex-shops à Nancy
Re: Ça s'est passé près de chez moi
A mon avis celui en face de chez moi c'est un tout petit truc... le bar fait suffisamment de bruit en été pour que je pense qu'il est assez fréquenté par contre... Le Milord ça s'appelle^^. Enfin je dis ça moi, m'ai j'ai suis jamais allée...
Enfin tout ça pour dire que tu t'es encore planté de rue XD. En plus je connais trop pas les rues de Nancy, faut croire que je passe ma vie dans ma chambre >< ! D'un autre côté j'arriverai à me rendre au Médiéval les yeux fermés^^, donc pas besoin du nom des rues pour survivre...
Enfin tout ça pour dire que tu t'es encore planté de rue XD. En plus je connais trop pas les rues de Nancy, faut croire que je passe ma vie dans ma chambre >< ! D'un autre côté j'arriverai à me rendre au Médiéval les yeux fermés^^, donc pas besoin du nom des rues pour survivre...
Loreena Ruin- Nombre de messages : 1071
Age : 35
Localisation : Nancy
Date d'inscription : 05/10/2008
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Depuis hier on a ma petite filleule Maëlys à garder, jusqu'à lundi.
Adorable elle est, je l'ai pas déjà dit ?
Sa maman m'appelle au téléphone.
Maëlys se précipite, prend le combiné et dit :
- maman, tu sais ce qu'il m'a donné parrain ? Attends, regarde !
et consciencieusement elle passe le combiné au-dessus de chaque objet, avec un petit temps d'arrêt pour chacun, puis :
- alors, t'as vu ?
- euh... pas trop bien non
- mais c'est une dinette ! tu vois jamais rien toi !
J'ai repris le téléphone en disant à la maman que j'allais essayer d'expliquer à cette enfant du XXIème siècle que des fois les cadoscopies, ça beuggue
Adorable elle est, je l'ai pas déjà dit ?
Sa maman m'appelle au téléphone.
Maëlys se précipite, prend le combiné et dit :
- maman, tu sais ce qu'il m'a donné parrain ? Attends, regarde !
et consciencieusement elle passe le combiné au-dessus de chaque objet, avec un petit temps d'arrêt pour chacun, puis :
- alors, t'as vu ?
- euh... pas trop bien non
- mais c'est une dinette ! tu vois jamais rien toi !
J'ai repris le téléphone en disant à la maman que j'allais essayer d'expliquer à cette enfant du XXIème siècle que des fois les cadoscopies, ça beuggue
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Excellent !
Loreena Ruin- Nombre de messages : 1071
Age : 35
Localisation : Nancy
Date d'inscription : 05/10/2008
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Ah ça ^^ A quand les dîners en cyber-conférence?
(très mimi, c'est sûr)
(très mimi, c'est sûr)
Chako Noir- Nombre de messages : 5442
Age : 34
Localisation : Neverland
Date d'inscription : 08/04/2008
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Hahaha Mentor, quel mamour ta nièce !
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Ça s'est passé près de chez moi
mais oui, mon clavier a zippé, sorry :-)mentor a écrit:filleule ;-)Sahkti a écrit:Hahaha Mentor, quel mamour ta nièce !
Me souviens que tu m'avais montré sa photo, elle est adorable !
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Ça s'est passé près de chez moi
exact ! :-))Sahkti a écrit:mais oui, mon clavier a zippé, sorry :-)mentor a écrit:filleule ;-)Sahkti a écrit:Hahaha Mentor, quel mamour ta nièce !
Me souviens que tu m'avais montré sa photo, elle est adorable !
exact pour la photo
exact pour adorable
;-)
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Maëlys, encore
Maëlys, toujours
hier j'étais parti pour visiter la ménagerie d'un cirque avec ma filleule Maëlys, et finalement on est tombés sur les répétitions du "pestacle" (sic Maëlys) de l'après-midi en plus de la ménagerie à voir.
Un régal que les clowns, j'ai toujours adoré ça.
Maëlys a dû me tirer par le bras en me disant que c'était fini,. Je voulais rester...
Maëlys, toujours
hier j'étais parti pour visiter la ménagerie d'un cirque avec ma filleule Maëlys, et finalement on est tombés sur les répétitions du "pestacle" (sic Maëlys) de l'après-midi en plus de la ménagerie à voir.
Un régal que les clowns, j'ai toujours adoré ça.
Maëlys a dû me tirer par le bras en me disant que c'était fini,. Je voulais rester...
Re: Ça s'est passé près de chez moi
:-)mentor a écrit:Maëlys, encore
Maëlys, toujours
hier j'étais parti pour visiter la ménagerie d'un cirque avec ma filleule Maëlys, et finalement on est tombés sur les répétitions du "pestacle" (sic Maëlys) de l'après-midi en plus de la ménagerie à voir.
Un régal que les clowns, j'ai toujours adoré ça.
Maëlys a dû me tirer par le bras en me disant que c'était fini,. Je voulais rester...
Et puis dans pas longtemps Maëlys commencera à regarder les "tacalogues" de mode... (j'ai connu une petite qui était fâchée avec le "pestacle" et le "tacalogue")
Invité- Invité
Re: Ça s'est passé près de chez moi
j'ai aussi entendu le "beau toggan" et les "patates à roulettes"
petit-doute- Nombre de messages : 150
Age : 67
Localisation : dans la banlieue encore verdoyante
Date d'inscription : 24/04/2009
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Tiens, oublié d'en ajouter une mignonne, ce même jour.mentor a écrit:Maëlys, encore
Maëlys, toujours
hier j'étais parti pour visiter la ménagerie d'un cirque avec ma filleule Maëlys, et finalement on est tombés sur les répétitions du "pestacle" (sic Maëlys) de l'après-midi en plus de la ménagerie à voir.
Un régal que les clowns, j'ai toujours adoré ça.
Maëlys a dû me tirer par le bras en me disant que c'était fini,. Je voulais rester...
Sur le chemin pour aller au cirque, à pied, j'essayais de savoir si Maëlys connaissait déjà les comptines classiques style Pirouette-Cacahouète ou Frère Jacques. Pas de souci.
Puis j'ai chantonné les 2 premières phrases de Au clair de la lune, en lui laissant la 3ème strophe.
Maëlys :
- "Ma grand-mère est mor-teu, je n'ai plus de feu..."
J'ai eu un peu de mal à lui faire modifier les paroles...
Et je me suis promis d'oublier d'en parler à qui de droit...
(Maëlys a un peu plus de 2ans1/2)
Re: Ça s'est passé près de chez moi
A un repas de famille, ça aurait tout son effet! :-)mentor a écrit:- "Ma grand-mère est mor-teu, je n'ai plus de feu..."
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Ça s'est passé près de chez moi
ouaip, faut que je la reprenne en main cette petite :-))Sahkti a écrit:A un repas de famille, ça aurait tout son effet! :-)mentor a écrit:- "Ma grand-mère est mor-teu, je n'ai plus de feu..."
Re: Ça s'est passé près de chez moi
A la piscine, sous la douche.
Le gamin : tu peux nous repasser le shampooing ?
La mère : non, vous en avez eu assez
Le gamin : mais on s’est lavé que les cheveux !
Le gamin : tu peux nous repasser le shampooing ?
La mère : non, vous en avez eu assez
Le gamin : mais on s’est lavé que les cheveux !
Invité- Invité
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Elle me demande si je peux cuire des pagety, je lui dit que oui, c'est possible de cuire des spaghettis, elle me demande si c'est possible à la carbonara les spagestty, je lui répond que oui les spaghettis sont très bon de cette façon.
Partie, elle me remercie pour la réussite des spaguetty.
Moralité : les sms sont quand même utiles pour enseigner le latin à petits pas, mais alors : à petit feu.
Partie, elle me remercie pour la réussite des spaguetty.
Moralité : les sms sont quand même utiles pour enseigner le latin à petits pas, mais alors : à petit feu.
Invité- Invité
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Elle a déplié sa serviette,
l'a posée bien à plat sur son ventre
- assez haut,
son pull était gris.
Elle a passé la main pour lisser la serviette
cheveux très frisés remontés haut sur nuque grise comme le pull
et elle a attendu son assiette :
sauce encre de seiche.
Lui
il a pris la femme dans ses bras
il a dit "tu peux pleurer maintenant"
et elle a pleuré.
l'a posée bien à plat sur son ventre
- assez haut,
son pull était gris.
Elle a passé la main pour lisser la serviette
cheveux très frisés remontés haut sur nuque grise comme le pull
et elle a attendu son assiette :
sauce encre de seiche.
Lui
il a pris la femme dans ses bras
il a dit "tu peux pleurer maintenant"
et elle a pleuré.
Roz-gingembre- Nombre de messages : 1044
Age : 62
Date d'inscription : 14/11/2008
Re: Ça s'est passé près de chez moi
C'est l'histoire d'une femme de 35 ans qui consulte aux urgences.
Elle est très inquiète : c'est pas normal, aussi, de cracher un ver comme ça :
Surtout après s'être brossé les dents.
Alors elle est là, un peu inquiète mais pas trop, et tous les bilans à la recherche de l'origine de ce truc reviennent normaux.
Rien, on ne sait rien.
Et là, un docteur demande :
- Avez-vous un verre à dents ?
- Un quoi ?
- Un verre dans lequel vous mettez votre brosse à dents.
- Bien sûr que j'en ai un ! Qui n'en a pas ?
- Moi. Pouvez-vous nous le ramener demain ?
- Oui oui !
Et là, la dame s'en va.
Quand elle revient le lendemain, ses yeux sont ronds comme Gérard après le mariage de la petite nièce :
- Il y a des trucs bizarres au fond de mon verre...
Et le docteur de demander :
- Depuis quand n'avez-vous pas lavé votre verre ?
Réponse : il y a trop longtemps pour pouvoir éviter que, le dentifrice et l'eau stagnante aidant, des larves de mouches se développent et se faufilent dans les poils de la brosse à dents.
La morale de cette histoire (la rirètteuh la rirèèètteuh) est de
1) ne pas avoir de verre à dents
2) ou de le laver TRES régulièrement le cas échéant.
Et bon appétit bien sûr :-))
Elle est très inquiète : c'est pas normal, aussi, de cracher un ver comme ça :
Surtout après s'être brossé les dents.
Alors elle est là, un peu inquiète mais pas trop, et tous les bilans à la recherche de l'origine de ce truc reviennent normaux.
Rien, on ne sait rien.
Et là, un docteur demande :
- Avez-vous un verre à dents ?
- Un quoi ?
- Un verre dans lequel vous mettez votre brosse à dents.
- Bien sûr que j'en ai un ! Qui n'en a pas ?
- Moi. Pouvez-vous nous le ramener demain ?
- Oui oui !
Et là, la dame s'en va.
Quand elle revient le lendemain, ses yeux sont ronds comme Gérard après le mariage de la petite nièce :
- Il y a des trucs bizarres au fond de mon verre...
Et le docteur de demander :
- Depuis quand n'avez-vous pas lavé votre verre ?
Réponse : il y a trop longtemps pour pouvoir éviter que, le dentifrice et l'eau stagnante aidant, des larves de mouches se développent et se faufilent dans les poils de la brosse à dents.
La morale de cette histoire (la rirètteuh la rirèèètteuh) est de
1) ne pas avoir de verre à dents
2) ou de le laver TRES régulièrement le cas échéant.
Et bon appétit bien sûr :-))
Re: Ça s'est passé près de chez moi
excellent, Kazar, excellent !
en plus on peut dire que tu es tombé sur UN VER A DENTS
:-))
en plus on peut dire que tu es tombé sur UN VER A DENTS
:-))
Re: Ça s'est passé près de chez moi
J'ai failli conclure de cette façon :-))
L'attque du ver à dents...
TIN-TIIIINN !!
(cela dit, quand j'ai vu le ver en vrai, j'en ai eu un petit youplaboum de l'estomac... j'aurais pô aimé que ça m'arrive !)
L'attque du ver à dents...
TIN-TIIIINN !!
(cela dit, quand j'ai vu le ver en vrai, j'en ai eu un petit youplaboum de l'estomac... j'aurais pô aimé que ça m'arrive !)
Re: Ça s'est passé près de chez moi
Diantre! Et où l'as-tu vu ce ver de verre à dent?
(Villiers de L'Isle-Adam.. sans rapport, juste pour l'allitération)
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Chako Noir- Nombre de messages : 5442
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