Ça s'est passé près de chez moi

Petit coup de fil ce matin (ça n'existe pas les dimanches...) pour me proposer une super offre que je serais la plus idiote qui soit de refuser pour des lasagnes à prix imbattable, à condition d'en acheter une douzaine d'un coup.
Ben oui, mais voilà, des lasagnes, désolée mais je ne peux plus alors douze, même avec un congélo et un marsu, j'hésite un peu.
- Y a vraiment personne d'autre chez vous que vous, madame ?
- Si si, j'ai deux chats aussi (pas trop sérieuse).
- Haaa, elles sont bonnes vous savez, ils aimeront peut-être ça (très très sérieusement).
Ben tiens... :-)

Sahkti a écrit:Petit coup de fil ce matin (ça n'existe pas les dimanches...) pour me proposer une super offre que je serais la plus idiote qui soit de refuser pour des lasagnes à prix imbattable, à condition d'en acheter une douzaine d'un coup.
Ben oui, mais voilà, des lasagnes, désolée mais je ne peux plus alors douze, même avec un congélo et un marsu, j'hésite un peu.
- Y a vraiment personne d'autre chez vous que vous, madame ?
- Si si, j'ai deux chats aussi (pas trop sérieuse).
- Haaa, elles sont bonnes vous savez, ils aimeront peut-être ça (très très sérieusement).
Ben tiens... :-)

^^

Un correspondant qui avait du voir ton avatar Sahkti ;-)

Dans une réunion très sérieuse on est assis sur des chaises en plastique. Il y a une vingtaine de personnes : des politiques, des syndicalistes, des gens du service culturel. Je pète sans le faire exprès et ça fait un bruit terrible. Je me tourne vers mon voisin et il rougit : sauvé ! Il y a un silence gêné. J'en profite pour prendre la parole.

L'anecdote de Narbah fait resurgir dans ma mémoire un souvenir terrible pour la jeune mère que j'étais à l'époque :

Salle d'attente du pédiatre pleine à craquer, mon fils, 5 ans, lâche un pet très sonore ; il se retourne en souriant vers moi et me dit :

- on dit pardon, Maman !

Je suis restée sans voix sous le regard goguenard des autres clients.

:-))
'me faites rire, CROISIC & Narbah !

Iris, tu croyais croiser le loup...
et finalement c'était un jeune loulou.
tu les cumules on dirait,
madame éternelle jeune fille ;-)))

C'est fou comme ça déclenche l'hilarité, ce genre d'incongruité, Narbah et Croisic.
Et ce qui m'a fait rire aussi, c'est la précision : "sans le faire exprès".

Iris a écrit:C'est fou comme ça déclenche l'hilarité, ce genre d'incongruité, Narbah et Croisic.
Et ce qui m'a fait rire aussi, c'est la précision : "sans le faire exprès".

Évidemment8 Normalement, je sais que mes pets ne font pas de bruit et ne sentent rien ; sauf exception.
Connaissez-vous le proverbe allemand : “Les pets qui font le blus de pruit neu sont pas ceusses qui Zentent le plusse mauvaises“ (“Die größten Lärm Haustiere nicht produzieren die Geruchsbelästigung“.pour les amateurs de la langue de Goethe).

Heureusement que je n'ai pas posté ça dans “petits talents“. Je me demande ce qu'aurait dit PCP ?
Il aurait dit : il y a de l'eau dans le gaz !

non mais je rêve !?
oh,
Narbah...
rdv sur le post ci-dessus...Cf. Yali, et la fin programmée de VE...
:-(((

c'est quoi ça... !

sans blague, et vous tous...??? !!!

8H30 ce matin, je suis pomponnée, habillée, prête à partir au chagrin. J’avise un pot de moutarde (plein) posé là où ki faut pas, je le prends d’un geste rapide pour le ranger là où ki faut. Il m’échappe des mains. Ca fait « plop ! » sur le carrelage et une seconde après (c’est dense la moutarde), ça fait « plouch ! » sur les murs, au plafond, sur mes fringues et mes cheveux brushingués de frais (1 heure de boulot montre en main).
J’hésite entre pleurer ou rire. Je pleure à gros bouillon en criant foutre dieu ! (Enfin non j’ai pas tout à fait dit ça). Je chiale parce que j’ai rendez-vous à 9H00 avec mon patron allemand (damned ! un vieux monsieur) qui ne vient que 2 fois par an. Je fonce sous la douche, remets des vêtements propres mais particulièrement moches et je file ventre à terre au chagrin comme si j’avais Marine Lepen au cul putain.
J’arrive en sueur, le pull à l’envers, les cheveux debout sur le haut du crâne façon Desireless (voyage, voyage ….) et j’explique dans un anglais teinté d'un accent Montmartrois qui ferait pâlir d’envie Easter que : Guten morgen but I dropped the mustard on the floor, my hairs, all my clothes dirty, quick shower, it is eine grosse Katastrophe, la guerre grosse malheur. Il me regarde bizarrement, à croire que j’ai encore des chiures de moutarde sur la tronche ou bien c’est la coiffure années 80 qui le déstabilise ; il doit penser qu’il est tombé dans une faille spatio-temporelle.
Et je sais pas si ça a un lien direct avec ma capellature de rêve, mais après de laborieuses circonvolutions il me demande si par hasard je n’accepterais pas de baisser mon salaire, because time is hard, we are a great family but we have to fight. Je me dis ça doit être de l’humour allemand and I say no, but if he wants to lower his salary I could not see any problem, pensant qu’il se taperait sur la culotte bavaroise en riant de bon coeur. J’avais oublié que ce n’était plus l’Oktoberfest puisqu’on était en novembre et que l’heure n’était vraiment plus à la rigolade.
Bon bah bises, ché pas si on se reverra un jour…..
Anne

trop merci pour le fou rire,
décidément tu es bien drôle, toi...!!

alors du coup, j'espère bien avoir la chance de te rencontrer un jour...!!!

merci à toi, car je ne me suis jamais lassée de tes écrits :-)) à chaque fois tu fais mouche,
la vache,
la classe !!

yo à toi, grande vertigo,
et à bientôt j'espère...!!!
;-))

toi tu n'es pas un clone virtuel,
mais en tant que clown, tu te poses là !!
hahaha

Un jour, ou peut-être un autre, j'ai cru comprendre qu'il y avait de la friture sur la ligne.
On allait être coupé.
Pour des raisons qui échappaient complètement à la mienne.
J'emballe mes affaires
Je déballe une photo bien pourave, histoire de montrer au loup que le petit chaperon rouge était orange
Près de chez moi c'était si loin
Fallait bien suivre les événements
Paraît que des listes noires circulaient sous le manteau nu des dieux
Des noms
Des doutes
Dans mes poches bourrées de papier bonbon je me fichais éperdument de savoir qui avait la main mis dans le pot de confiture, je voulais juste que les textes continuent de jouer aux petits chevaux d'émoi
Près de chez moi c'est loin
Et loin se rapproche si près
L'écume des heures se conserve aussi bien que la poudre des étoiles, suffit de...

"... il suffit
pour ça
d'un peu d'imagination !"