Le chemin
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Le chemin
Bonsoir à tous, voiçi mon texte !
Tbal avançais sur le chemin long de millier de rêve. Devant lui s’accumulais les bosses d’un désert interminable. Dans le ciel s’abattait une tempête de rocher qui tombais en spirale sur un ligne d’horizon courbée à la façon d’un sourire survolé par deux lunes à moitié endormi. Les coins arrondis du cadre accueillaient des volcans d’où naissaient fleurs et dragons.
Tbal ne s’avait pas depuis combien de temps il marchait. Ses yeux étaient fatigués. La nuit n’allait pas tarder à se lever. Sa main empoigna sa jambe lui indiquant que le voyage voulait se reposer. Assis, sur le chemin long de millier de rêve, Tbal s’endormis.
Une forêt dans un jardin. Tout autour et de toutes les couleurs, des arbres nageaient dans l’eau. Tbal sortie de la hutte et alla à leur rencontre. Ils leurs demanda pourquoi ils avaient quittés la terre. Des arbres répondirent qu’autrefois singes et oiseaux leurs abimaient les feuillages et qu’ils avaient fuis l’île. Ici il n’y a pas de singe répondit Tbal. Un autre arbre disait qu’autrefois le vent avait chassé la pluie et que sans eau ils allaient périr, c’est pourquoi ils avaient rejoins la mer. Tbal demeurais septique. A vrai dire les arbres ne savaient pas vraiment pourquoi ils avaient prit la mer. Pourtant tous avaient entreprit cette quête que leurs avaient suggéré le destin. Confus Tbal retourna dans la hutte. L’habitation était construite en bois. « En bois d’arbre » s’exclama t-il ! Stupéfait, l’aventurier sorti rejoindre une barque dans laquelle il se glissa. Et déjà, il naviguait, et déjà l’île avait disparu du cadre. Le ciel reflétait l’océan à la façon d’un miroir. Les vents emportèrent la barque au loin. Tbal confiant, ne savait pas très bien ou il allait.
Cela faisait déjà quelque soleil que Tbal avait quitté l’île. Tout était redevenu calme. L’eau ne formait plus aucune vague ni le moindre mouvement. Le navigateur se pencha pour en voir la profondeur. Déçu, sa main ne heurta pas le moindre sol. Tbal ne savait pas nager, il hésita à sauter. S’il n’avait pas pied se sera la fin pour lui, il se réveillerait et il le savait. Finalement, il sauta !
« Bordel » disait Tbal qui venait de se réveiller en plein milieu du désert, couché sur le chemin long de millier de rêves.
Tbal avançais sur le chemin long de millier de rêve. Devant lui s’accumulais les bosses d’un désert interminable. Dans le ciel s’abattait une tempête de rocher qui tombais en spirale sur un ligne d’horizon courbée à la façon d’un sourire survolé par deux lunes à moitié endormi. Les coins arrondis du cadre accueillaient des volcans d’où naissaient fleurs et dragons.
Tbal ne s’avait pas depuis combien de temps il marchait. Ses yeux étaient fatigués. La nuit n’allait pas tarder à se lever. Sa main empoigna sa jambe lui indiquant que le voyage voulait se reposer. Assis, sur le chemin long de millier de rêve, Tbal s’endormis.
Une forêt dans un jardin. Tout autour et de toutes les couleurs, des arbres nageaient dans l’eau. Tbal sortie de la hutte et alla à leur rencontre. Ils leurs demanda pourquoi ils avaient quittés la terre. Des arbres répondirent qu’autrefois singes et oiseaux leurs abimaient les feuillages et qu’ils avaient fuis l’île. Ici il n’y a pas de singe répondit Tbal. Un autre arbre disait qu’autrefois le vent avait chassé la pluie et que sans eau ils allaient périr, c’est pourquoi ils avaient rejoins la mer. Tbal demeurais septique. A vrai dire les arbres ne savaient pas vraiment pourquoi ils avaient prit la mer. Pourtant tous avaient entreprit cette quête que leurs avaient suggéré le destin. Confus Tbal retourna dans la hutte. L’habitation était construite en bois. « En bois d’arbre » s’exclama t-il ! Stupéfait, l’aventurier sorti rejoindre une barque dans laquelle il se glissa. Et déjà, il naviguait, et déjà l’île avait disparu du cadre. Le ciel reflétait l’océan à la façon d’un miroir. Les vents emportèrent la barque au loin. Tbal confiant, ne savait pas très bien ou il allait.
Cela faisait déjà quelque soleil que Tbal avait quitté l’île. Tout était redevenu calme. L’eau ne formait plus aucune vague ni le moindre mouvement. Le navigateur se pencha pour en voir la profondeur. Déçu, sa main ne heurta pas le moindre sol. Tbal ne savait pas nager, il hésita à sauter. S’il n’avait pas pied se sera la fin pour lui, il se réveillerait et il le savait. Finalement, il sauta !
« Bordel » disait Tbal qui venait de se réveiller en plein milieu du désert, couché sur le chemin long de millier de rêves.
Nechez- Nombre de messages : 318
Age : 35
Date d'inscription : 19/12/2007
Re: Le chemin
Je m'excuse pour le manque d'air, à vrai dire, dans mon nouveau programme de traitement de texte, on distingue mieux les paragraphes, le copié collé à raté, je m'en souviendrais. Dommage qu'on ne puisse éditer.
Nechez- Nombre de messages : 318
Age : 35
Date d'inscription : 19/12/2007
Re: Le chemin
ton nouveau traitement de texte... il fait de la correction orthographique ? Il ne me semble pas, vite lu comme çaNechez a écrit:Je m'excuse pour le manque d'air, à vrai dire, dans mon nouveau programme de traitement de texte, on distingue mieux les paragraphes, le copié collé à raté, je m'en souviendrais. Dommage qu'on ne puisse éditer.
Si tu pouvais voir cette option svp parce que là, franchement :-((((((((((
Re: Le chemin
Encore des fautes ? Mille excuse.
Et dire que j'hésitais à mentionner dans mon post l'effort que j'ai fourni à corriger des fautes, oui madame, avant y'en avait encore plus. J'ai donc bien fait de m'abstenir.
Vraiment ? Est-ce tant un gène à la lecture ? Je m'excuse encore.
Et dire que j'hésitais à mentionner dans mon post l'effort que j'ai fourni à corriger des fautes, oui madame, avant y'en avait encore plus. J'ai donc bien fait de m'abstenir.
Vraiment ? Est-ce tant un gène à la lecture ? Je m'excuse encore.
Nechez- Nombre de messages : 318
Age : 35
Date d'inscription : 19/12/2007
Re: Le chemin
oui, parce que mille c'est beaucoup ;-)Nechez a écrit:Encore des fautes ? Mille excuse.
Re: Le chemin
Encore ???Nechez a écrit:Encore des fautes ? Mille excuse.
(tu as pas de correcteur d'orthographe ?)
Re: Le chemin
Bah pas vraiment, mais je pense acheter prochainement un livre de grammaire orthographique Ça ira schtroumpfement mieux après ça.
Nechez- Nombre de messages : 318
Age : 35
Date d'inscription : 19/12/2007
Re: Le chemin
Comme les précédents commentateurs, je trouve votre texte vraiment difficile à lire à cause des fautes. Alors je vais vous les indiquer avec des explications, pour que vous puissiez plus facilement les éviter à l'avenir.
(C'est dommage, parce qu'il y a de belles choses, je trouve, par exemple les "volcans d’où naissaient fleurs et dragons".)
Bonsoir à tous, voici (on ne met la cédille au "c" que devant "a", "o" ou "u") mon texte !
Tbal avançait (troisième personne du singulier à l'imparfait) sur le chemin long de milliers (s'il y a plusieurs milliers ; s'il n'y en a qu'un, il faut écrire "d'un millier") de rêves (les rêves, en tout cas, il y en a plusieurs). Devant lui s’accumulaient (ce sont les bosses qui s'accumulaient) les bosses d’un désert interminable. Dans le ciel s’abattait une tempête de rochers (si c'est une tempête, il y a plusieurs rochers) qui tombaient (je pense que ce sont les rochers qui tombaient ; si c'est la tempête, il faut écrire "tombait") en spirale sur un ligne d’horizon courbée à la façon d’un sourire survolé (si c'est le sourire qui est survolé ; sinon, si c'est la ligne d'horizon, elle est "survolée") par deux lunes à moitié endormies (ce sont les lunes qui sont à moitié endormies). Les coins arrondis du cadre accueillaient des volcans d’où naissaient fleurs et dragons.
Tbal ne savait (verbe "savoir") pas depuis combien de temps il marchait. Ses yeux étaient fatigués. La nuit n’allait pas tarder à se lever. Sa main empoigna sa jambe lui indiquant que le voyage voulait se reposer. Assis, sur le chemin long de milliers (cf. plus haut) de rêves (cf.plus haut), Tbal s’endormit (troisième personne du singulier du passé simple de ce verbe).
Une forêt dans un jardin. Tout autour et de toutes les couleurs, des arbres nageaient dans l’eau. Tbal sortit (troisième personne singulier du passé simple de ce verbe) de la hutte et alla à leur rencontre. Il (sans "s" à la fin, parce que le pronom renvoie à Tbal, qui est une seule personne : mettre le pronom au singulier) leur (sans "s" à la fin, bien que les arbres soient plusieurs, le pronom personnel "leur" ne prend pas de "s") demanda pourquoi ils avaient quitté (pas de "s" à la fin, il s'agit du participe passé d'un verbe avec l'auxiliaire avoir, et dont le complément d'objet direct est placé après le verbe ; dans ce cas, le participe reste au masculin singulier) la terre. Des arbres répondirent qu’autrefois singes et oiseaux leur (sans "s" à la fin, cf. plus haut pour le pronom personnel "leur") abîmaient les feuillages et qu’ils avaient fui (sans "s" à la fin, cf. plus haut le commentaire sur "quitté") l’île. Ici il n’y a pas de singe répondit Tbal. Un autre arbre disait qu’autrefois le vent avait chassé la pluie et que sans eau ils allaient périr, c’est pourquoi ils avaient rejoint la mer. Tbal demeurai (troisième personne du singulier de l'imparfait de ce verbe) sceptique (sans le "c", vous écrievez que le personnage est plein de microbes). A vrai dire les arbres ne savaient pas vraiment pourquoi ils avaient pris la mer. Pourtant tous avaient entrepris cette quête que leur (pas de "s" à la fin du pronom personnel "leur") avait (et non "avaient" : c'est le destin qui a suggéré, il faut conjuguer l'auxiliaire "avoir" au singulier) suggéré (le destin suggéré quoi ? "cette quête", qui est placée avant le participe passé du verbe conjugué avec l'auxiliaire "avoir" ; dans ce cas, on accorde le participe passé avec son complément d'objet direct) le destin. Confus Tbal retourna dans la hutte. L’habitation était construite en bois. « En bois d’arbre » s’exclama t-il ! Stupéfait, l’aventurier sortit rejoindre une barque dans laquelle il se glissa. Et déjà, il naviguait, et déjà l’île avait disparu du cadre. Le ciel reflétait l’océan à la façon d’un miroir. Les vents emportèrent la barque au loin. Tbal confiant, ne savait pas très bien où (ici, le mot est un pronom relatif, qui introduit une proposition subordonnée, et non la conjonction de coordination "ou" qui relie deux propositions de même nature) il allait.
Cela faisait déjà quelques (s'il y en a eu plusieurs, ce qui est en général le cas quand on emploie ce mot) soleils (même remarque ; plusieurs soleils) que Tbal avait quitté l’île. Tout était redevenu calme. L’eau ne formait plus aucune vague ni le moindre mouvement. Le navigateur se pencha pour en voir la profondeur. Déçu, sa main ne heurta pas le moindre sol. Tbal ne savait pas nager, il hésita à sauter. S’il n’avait pas pied ce serait (la concordance des temps demande ici le conditionnel et non le futur) la fin pour lui, il se réveillerait et il le savait. Finalement, il sauta !
« Bordel » disait Tbal qui venait de se réveiller en plein milieu du désert, couché sur le chemin long de milliers (cf. mes remarques plus haut) de rêves.
(C'est dommage, parce qu'il y a de belles choses, je trouve, par exemple les "volcans d’où naissaient fleurs et dragons".)
Bonsoir à tous, voici (on ne met la cédille au "c" que devant "a", "o" ou "u") mon texte !
Tbal avançait (troisième personne du singulier à l'imparfait) sur le chemin long de milliers (s'il y a plusieurs milliers ; s'il n'y en a qu'un, il faut écrire "d'un millier") de rêves (les rêves, en tout cas, il y en a plusieurs). Devant lui s’accumulaient (ce sont les bosses qui s'accumulaient) les bosses d’un désert interminable. Dans le ciel s’abattait une tempête de rochers (si c'est une tempête, il y a plusieurs rochers) qui tombaient (je pense que ce sont les rochers qui tombaient ; si c'est la tempête, il faut écrire "tombait") en spirale sur un ligne d’horizon courbée à la façon d’un sourire survolé (si c'est le sourire qui est survolé ; sinon, si c'est la ligne d'horizon, elle est "survolée") par deux lunes à moitié endormies (ce sont les lunes qui sont à moitié endormies). Les coins arrondis du cadre accueillaient des volcans d’où naissaient fleurs et dragons.
Tbal ne savait (verbe "savoir") pas depuis combien de temps il marchait. Ses yeux étaient fatigués. La nuit n’allait pas tarder à se lever. Sa main empoigna sa jambe lui indiquant que le voyage voulait se reposer. Assis, sur le chemin long de milliers (cf. plus haut) de rêves (cf.plus haut), Tbal s’endormit (troisième personne du singulier du passé simple de ce verbe).
Une forêt dans un jardin. Tout autour et de toutes les couleurs, des arbres nageaient dans l’eau. Tbal sortit (troisième personne singulier du passé simple de ce verbe) de la hutte et alla à leur rencontre. Il (sans "s" à la fin, parce que le pronom renvoie à Tbal, qui est une seule personne : mettre le pronom au singulier) leur (sans "s" à la fin, bien que les arbres soient plusieurs, le pronom personnel "leur" ne prend pas de "s") demanda pourquoi ils avaient quitté (pas de "s" à la fin, il s'agit du participe passé d'un verbe avec l'auxiliaire avoir, et dont le complément d'objet direct est placé après le verbe ; dans ce cas, le participe reste au masculin singulier) la terre. Des arbres répondirent qu’autrefois singes et oiseaux leur (sans "s" à la fin, cf. plus haut pour le pronom personnel "leur") abîmaient les feuillages et qu’ils avaient fui (sans "s" à la fin, cf. plus haut le commentaire sur "quitté") l’île. Ici il n’y a pas de singe répondit Tbal. Un autre arbre disait qu’autrefois le vent avait chassé la pluie et que sans eau ils allaient périr, c’est pourquoi ils avaient rejoint la mer. Tbal demeurai (troisième personne du singulier de l'imparfait de ce verbe) sceptique (sans le "c", vous écrievez que le personnage est plein de microbes). A vrai dire les arbres ne savaient pas vraiment pourquoi ils avaient pris la mer. Pourtant tous avaient entrepris cette quête que leur (pas de "s" à la fin du pronom personnel "leur") avait (et non "avaient" : c'est le destin qui a suggéré, il faut conjuguer l'auxiliaire "avoir" au singulier) suggéré (le destin suggéré quoi ? "cette quête", qui est placée avant le participe passé du verbe conjugué avec l'auxiliaire "avoir" ; dans ce cas, on accorde le participe passé avec son complément d'objet direct) le destin. Confus Tbal retourna dans la hutte. L’habitation était construite en bois. « En bois d’arbre » s’exclama t-il ! Stupéfait, l’aventurier sortit rejoindre une barque dans laquelle il se glissa. Et déjà, il naviguait, et déjà l’île avait disparu du cadre. Le ciel reflétait l’océan à la façon d’un miroir. Les vents emportèrent la barque au loin. Tbal confiant, ne savait pas très bien où (ici, le mot est un pronom relatif, qui introduit une proposition subordonnée, et non la conjonction de coordination "ou" qui relie deux propositions de même nature) il allait.
Cela faisait déjà quelques (s'il y en a eu plusieurs, ce qui est en général le cas quand on emploie ce mot) soleils (même remarque ; plusieurs soleils) que Tbal avait quitté l’île. Tout était redevenu calme. L’eau ne formait plus aucune vague ni le moindre mouvement. Le navigateur se pencha pour en voir la profondeur. Déçu, sa main ne heurta pas le moindre sol. Tbal ne savait pas nager, il hésita à sauter. S’il n’avait pas pied ce serait (la concordance des temps demande ici le conditionnel et non le futur) la fin pour lui, il se réveillerait et il le savait. Finalement, il sauta !
« Bordel » disait Tbal qui venait de se réveiller en plein milieu du désert, couché sur le chemin long de milliers (cf. mes remarques plus haut) de rêves.
Invité- Invité
Re: Le chemin
Pardon, il y a des fautes dans mes corrections.
Alors, c'est :
"(sans le "c", vous écrivez que le personnage est plein de microbes)"
et
"suggéré[b]e (le destin a suggéré quoi ? "cette quête", qui est placée avant le participe passé du verbe conjugué avec l'auxiliaire "avoir" ; dans ce cas, on accorde le participe passé avec son complément d'objet direct)[b]"
Alors, c'est :
"(sans le "c", vous écrivez que le personnage est plein de microbes)"
et
"suggéré[b]e (le destin a suggéré quoi ? "cette quête", qui est placée avant le participe passé du verbe conjugué avec l'auxiliaire "avoir" ; dans ce cas, on accorde le participe passé avec son complément d'objet direct)[b]"
Invité- Invité
Re: Le chemin
Oh là là !
""suggérée (le destin a suggéré quoi ? "cette quête", qui est placée avant le participe passé du verbe conjugué avec l'auxiliaire "avoir" ; dans ce cas, on accorde le participe passé avec son complément d'objet direct)""
""suggérée (le destin a suggéré quoi ? "cette quête", qui est placée avant le participe passé du verbe conjugué avec l'auxiliaire "avoir" ; dans ce cas, on accorde le participe passé avec son complément d'objet direct)""
Invité- Invité
Re: Le chemin
comme la plupart des horreurs orthographiques sont dues à des accords sujet /verbe, un petit truc pourrait t'aider peut être :
quand tu écris, tu peux ensuite te relire avec juste cela en tête : identifier chaque verbe conjugué et identifier son sujet, puis ré- accorder le verbe si nécessaire.
tu peux ensuite recommencer l'opération en te concentrant uniquement sur les accords nom/ adjectif s'y rapportant.
cela peut vraiment s'arranger.
sinon que dire ? ben, j'ai du mal à lire et donc à commenter, je bute trop sur l'orthographe !
quand tu écris, tu peux ensuite te relire avec juste cela en tête : identifier chaque verbe conjugué et identifier son sujet, puis ré- accorder le verbe si nécessaire.
tu peux ensuite recommencer l'opération en te concentrant uniquement sur les accords nom/ adjectif s'y rapportant.
cela peut vraiment s'arranger.
sinon que dire ? ben, j'ai du mal à lire et donc à commenter, je bute trop sur l'orthographe !
lilicub- Nombre de messages : 147
Age : 53
Date d'inscription : 18/11/2008
Re: Le chemin
Les nombreuses fautes ne facilitent pas la lecture et l'univers un peu trop dense, flirtant avec l'onirisme sans pour autant l'exploiter suffisamment à mes yeux, ne m'a pas aidée à entrer dans le texte.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
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