Marguerite d'où te viennent tes racines ?
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lamainmorte
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Marguerite d'où te viennent tes racines ?
Ma sœur est une fleur qui pendant cinq années consécutives revînt chaque nuit dans le plus affreux de mes cauchemars : un rêve invariable sur la douleur du suicide, sur l’angoisse caché derrière un ciel noir.
Ma mère a accouché d’une fleur qu’elle ne voulait pas. Une graine est tombée du sachet, une pousse est apparue, puis un bourgeon et enfin une marguerite.
Elle se dit : que fais-tu là toi ? Tu n’es pas à ta place ici, la pelouse doit rester verte, tes pétales blanches et ton cœur jaune font tâche. Elle tira si fort qu’elle parvînt presque à l’arracher. Malgré ses quelques mois de vie, la fleur s’était déjà profondément enracinée et ne céda pas.
Ma mère regretta son acte. Elle choisit le plus beau des arbres, un chêne aux larges branches solides comme le marbre. Elle fit glisser une corde par dessus l’une d’elles. Puis, elle fît de même autour de son coup, avec un nœud de chaise bien fait comme on lui avait appris quand elle faisait de la voile.
Elle s’assit sur la branche ainsi enlacée et du haut regarda la petite marguerite, et se laissa tomber. Son pied droit vint caresser les pétales de la fleur pour une dernière fois avant de se contracter.
Cette nuit, ce sera la dernière fois que je ferai ce cauchemar. Je suis l’œil de la camera plongé sur une parcelle de pelouse verte. Une marguerite, seule, fait tâche. Elle est immobile, il n’y a pas d’air ici bas. Comme toujours depuis cinq ans le ciel s’est mué en un tapis roulant noir avançant à une vitesse effrénée dans un vacarme assourdissant. Je suis l’œil de la camera, un œil qui a peur et qui se concentre sur la fleur qui fait tâche pour oublier qu’au dessus de lui il y a un ciel qui veut fondre sur lui.
Ma mère a accouché d’une fleur qu’elle ne voulait pas. Une graine est tombée du sachet, une pousse est apparue, puis un bourgeon et enfin une marguerite.
Elle se dit : que fais-tu là toi ? Tu n’es pas à ta place ici, la pelouse doit rester verte, tes pétales blanches et ton cœur jaune font tâche. Elle tira si fort qu’elle parvînt presque à l’arracher. Malgré ses quelques mois de vie, la fleur s’était déjà profondément enracinée et ne céda pas.
Ma mère regretta son acte. Elle choisit le plus beau des arbres, un chêne aux larges branches solides comme le marbre. Elle fit glisser une corde par dessus l’une d’elles. Puis, elle fît de même autour de son coup, avec un nœud de chaise bien fait comme on lui avait appris quand elle faisait de la voile.
Elle s’assit sur la branche ainsi enlacée et du haut regarda la petite marguerite, et se laissa tomber. Son pied droit vint caresser les pétales de la fleur pour une dernière fois avant de se contracter.
Cette nuit, ce sera la dernière fois que je ferai ce cauchemar. Je suis l’œil de la camera plongé sur une parcelle de pelouse verte. Une marguerite, seule, fait tâche. Elle est immobile, il n’y a pas d’air ici bas. Comme toujours depuis cinq ans le ciel s’est mué en un tapis roulant noir avançant à une vitesse effrénée dans un vacarme assourdissant. Je suis l’œil de la camera, un œil qui a peur et qui se concentre sur la fleur qui fait tâche pour oublier qu’au dessus de lui il y a un ciel qui veut fondre sur lui.
lamainmorte- Nombre de messages : 72
Age : 35
Localisation : au paradis, et mes pêchés sont à Venir.
Date d'inscription : 08/12/2009
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
Un très beau texte à mon avis – poignant –, ou plutôt qui le serait (très beau et poignant) si vous vous étiez donné la peine de mieux vérifier l'orthographe. Sur quelque chose d'aussi court, vous pouvez vous permettre de fignoler, mot à mot si besoin ! Tel quel, votre texte est gâché par vos erreurs de langue parfois burlesques, et c'est grand dommage, je trouve.
Mes remarques :
« l’angoisse cachée derrière un ciel noir »
« tes pétales blancs (et non « blanches ») et ton cœur jaune font tache (une tache est une souillure, une tâche un boulot à faire). Elle tira si fort qu’elle parvint (et non « parvînt » qui est la forme du subjonctif imparfait) presque à l’arracher »
« Puis, elle fit (et non « fît » qui est la forme du subjonctif imparfait) de même autour de son cou (et non « coup ») »
« l’œil de la caméra »
« Une marguerite, seule, fait tache (une tache est une souillure, une tâche un boulot à faire) »
« Je suis l’œil de la caméra, un œil qui a peur et qui se concentre sur la fleur qui fait tache (une tache est une souillure, une tâche un boulot à faire) »
Mes remarques :
« l’angoisse cachée derrière un ciel noir »
« tes pétales blancs (et non « blanches ») et ton cœur jaune font tache (une tache est une souillure, une tâche un boulot à faire). Elle tira si fort qu’elle parvint (et non « parvînt » qui est la forme du subjonctif imparfait) presque à l’arracher »
« Puis, elle fit (et non « fît » qui est la forme du subjonctif imparfait) de même autour de son cou (et non « coup ») »
« l’œil de la caméra »
« Une marguerite, seule, fait tache (une tache est une souillure, une tâche un boulot à faire) »
« Je suis l’œil de la caméra, un œil qui a peur et qui se concentre sur la fleur qui fait tache (une tache est une souillure, une tâche un boulot à faire) »
Invité- Invité
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
Mêmes remarques sur l'orthographe. J'ai beaucoup apprécié les images que vous donniez, surtout vers la fin du texte. C'est effectivement presque poignant.
Sergei- Nombre de messages : 315
Age : 109
Date d'inscription : 22/09/2008
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
Beau texte. J'ai aimé la façon poétique presque détachée de traiter l'horreur de ce cauchemar. Tu n'en rajoutes pas, ça reste très juste et c'est ce qui donne toute sa force au texte.
J'ai juste un petit truc qui me gêne : les deux "lui" dans la dernière phrase.
J'ai juste un petit truc qui me gêne : les deux "lui" dans la dernière phrase.
Invité- Invité
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
Une allégorie émouvante, bien amenée jusqu'au dernier paragraphe que j'ai trouvé confus et à l'écriture bien moins limpide que ce qui précède.
Dommage que les fautes d'orthographe gâchent beaucoup le plaisir de lecture.
Dommage que les fautes d'orthographe gâchent beaucoup le plaisir de lecture.
Invité- Invité
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
Je suis désolée, je n'ai rien compris....
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
c'est le mieux que j'ai pu lire de toi ...un peu de remodelage et ce sera un texte parfait :-)
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
Oui !Ma sœur est une fleur qui pendant cinq années consécutives revînt chaque nuit dans le plus affreux de mes cauchemars : un rêve invariable sur la douleur du suicide, sur l’angoisse caché derrière un ciel noir.
Ma mère a accouché d’une fleur qu’elle ne voulait pas. Une graine est tombée du sachet, une pousse est apparue, puis un bourgeon et enfin une marguerite.
La fin m'a un peu plus embrouillée et moins emballée. Une petite remise en forme ? En mots ? Corrections ? Beau début, bon début de texte, si je ne dois conserver que cela.
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 47
Date d'inscription : 31/03/2008
Retouche et rafistolage
Marguerite, d’où te viennent ces racines ?
Ma sœur est une fleur qui, durant cinq années consécutives, revînt chaque nuit dans le plus effrayant de mes cauchemars: un rêve obscur et invariable sur la douleur du suicide, sur l’angoisse blottît derrière un ciel noir.
Ma mère a accouché d’une fleur qu’elle ne désirait pas. Une graine est tombée du sachet, une pousse est apparue, puis un bourgeon et bientôt une marguerite.
Depuis le premier jour tout le monde ignora cette fleur. Personne ne vînt prendre soin, ni par le regard, ni par les caresses de doigts minutieux, de sa première apparition. C’est une pousse qui sorti d’elle même malgré le désaccord de la nature.
Elle n’était qu’un brin d’herbe ressemblant à tous ceux qui l’entouraient. Personne n’imagina qu’un jour elle puisse devenir la superbe qu’elle est.
Comme tout bon jardinier, ma mère était maniaque. Une belle pelouse ne pouvait accueillir ainsi l’insolence d’une fleur.
Elle se dit : que fais-tu là toi ? Tu n’es pas à ta place ici ! L’herbe doit rester verte, tes pétales blancs et ton cœur jaune font tache ! Elle tira si fort qu’elle parvint presque à l’arracher ! Malgré ses quelques mois de vie, la fleur s’était déjà profondément enracinée et ne céda pas.
Ma mère regretta son acte ou déplora d’avoir échoué. Elle choisit le plus beau des arbres, un chêne aux larges branches solides comme le marbre. Elle fit glisser une corde par dessus l’une d’elles. Puis, elle fit de même autour de son cou, avec un nœud de chaise minutieusement tourné comme on lui avait appris quand elle faisait de la voile. Avec la même précaution qu’elle prenait en attachant ses colliers, elle revêtit l’ultime parure, celle que l’on attache et que jamais l’on ne retire.
Ainsi enlacée, elle s’assit sur la branche et du haut regarda la petite marguerite pendant un long moment. Si elle la fixait simplement, si elle l’imaginait ou la pensait, je ne sais pas. Mais ce dont je suis convaincu est qu’elle finit par tomber de la branche.
Son pied droit s’arrêta quelques centimètres en dessous de la fleur, et se balançant, il vînt caresser les pétales avant de se contracter. Pour une dernière fois, pendant l’orgasme, elle adressa un mot doux à celle qu’elle avait planté là. Son menton ainsi rabattu sur sa poitrine semblait donner l’impression à ses yeux de s’être arrêtés sur le cœur jaune.
Cette nuit, ce sera la dernière fois que je ferai ce cauchemar.
Comme toujours depuis cinq ans, le ciel est une masse de nuages noirs avançant à une telle vitesse et dans un bruit si assourdissant, qu’il semble s’être mué en un tapis roulant suicidaire.
Cette nuit là, alors entouré de mes couvertures et à la chaleur d’un conte qu’autrefois je m’étais imaginé, je me concentrai si fort qu’en dessous du ciel vindicatif apparu une marguerite.
Une marguerite, seule, fait tache. Elle est immobile car il n’y a pas d’air ici bas. Elle est seule sur une parcelle de pelouse verte, d’un vert pétant. Je ne vois pas au-delà, un mur de brume m’en empêche.
Aussi, je trouvai ici la raison pour laquelle il me fût si difficile et si long d’échapper à ce cauchemar, cet instant de concentration absolue et de vérité rendue possible par l’altercation d’une limite impalpable entre le vrai et le superflu.
Je continue à la fixer pour oublier qu’au dessus de moi un ciel vindicatif peut fondre à tout moment. Je condense si bien mes pensées sur elle qu’elle finit par les absorber. Les grandes, les petites, les vilaines et les radieuses, les nobles et les basses, toutes autant qu’elles sont fusèrent vers son cœur qui les avala à grandes gorgées.
Aujourd’hui, je marche auprès de ma fleur et lorsque je vais mal, je rassemble mes idées, et fixe le temps de m’apaiser, son épaisse et longue chevelure blonde.
Ma sœur est une fleur qui, durant cinq années consécutives, revînt chaque nuit dans le plus effrayant de mes cauchemars: un rêve obscur et invariable sur la douleur du suicide, sur l’angoisse blottît derrière un ciel noir.
Ma mère a accouché d’une fleur qu’elle ne désirait pas. Une graine est tombée du sachet, une pousse est apparue, puis un bourgeon et bientôt une marguerite.
Depuis le premier jour tout le monde ignora cette fleur. Personne ne vînt prendre soin, ni par le regard, ni par les caresses de doigts minutieux, de sa première apparition. C’est une pousse qui sorti d’elle même malgré le désaccord de la nature.
Elle n’était qu’un brin d’herbe ressemblant à tous ceux qui l’entouraient. Personne n’imagina qu’un jour elle puisse devenir la superbe qu’elle est.
Comme tout bon jardinier, ma mère était maniaque. Une belle pelouse ne pouvait accueillir ainsi l’insolence d’une fleur.
Elle se dit : que fais-tu là toi ? Tu n’es pas à ta place ici ! L’herbe doit rester verte, tes pétales blancs et ton cœur jaune font tache ! Elle tira si fort qu’elle parvint presque à l’arracher ! Malgré ses quelques mois de vie, la fleur s’était déjà profondément enracinée et ne céda pas.
Ma mère regretta son acte ou déplora d’avoir échoué. Elle choisit le plus beau des arbres, un chêne aux larges branches solides comme le marbre. Elle fit glisser une corde par dessus l’une d’elles. Puis, elle fit de même autour de son cou, avec un nœud de chaise minutieusement tourné comme on lui avait appris quand elle faisait de la voile. Avec la même précaution qu’elle prenait en attachant ses colliers, elle revêtit l’ultime parure, celle que l’on attache et que jamais l’on ne retire.
Ainsi enlacée, elle s’assit sur la branche et du haut regarda la petite marguerite pendant un long moment. Si elle la fixait simplement, si elle l’imaginait ou la pensait, je ne sais pas. Mais ce dont je suis convaincu est qu’elle finit par tomber de la branche.
Son pied droit s’arrêta quelques centimètres en dessous de la fleur, et se balançant, il vînt caresser les pétales avant de se contracter. Pour une dernière fois, pendant l’orgasme, elle adressa un mot doux à celle qu’elle avait planté là. Son menton ainsi rabattu sur sa poitrine semblait donner l’impression à ses yeux de s’être arrêtés sur le cœur jaune.
Cette nuit, ce sera la dernière fois que je ferai ce cauchemar.
Comme toujours depuis cinq ans, le ciel est une masse de nuages noirs avançant à une telle vitesse et dans un bruit si assourdissant, qu’il semble s’être mué en un tapis roulant suicidaire.
Cette nuit là, alors entouré de mes couvertures et à la chaleur d’un conte qu’autrefois je m’étais imaginé, je me concentrai si fort qu’en dessous du ciel vindicatif apparu une marguerite.
Une marguerite, seule, fait tache. Elle est immobile car il n’y a pas d’air ici bas. Elle est seule sur une parcelle de pelouse verte, d’un vert pétant. Je ne vois pas au-delà, un mur de brume m’en empêche.
Aussi, je trouvai ici la raison pour laquelle il me fût si difficile et si long d’échapper à ce cauchemar, cet instant de concentration absolue et de vérité rendue possible par l’altercation d’une limite impalpable entre le vrai et le superflu.
Je continue à la fixer pour oublier qu’au dessus de moi un ciel vindicatif peut fondre à tout moment. Je condense si bien mes pensées sur elle qu’elle finit par les absorber. Les grandes, les petites, les vilaines et les radieuses, les nobles et les basses, toutes autant qu’elles sont fusèrent vers son cœur qui les avala à grandes gorgées.
Aujourd’hui, je marche auprès de ma fleur et lorsque je vais mal, je rassemble mes idées, et fixe le temps de m’apaiser, son épaisse et longue chevelure blonde.
lamainmorte- Nombre de messages : 72
Age : 35
Localisation : au paradis, et mes pêchés sont à Venir.
Date d'inscription : 08/12/2009
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
La première version du texte me plaisait déjà, celle-ci davantage ; le déploiement du thème est intéressant !
Mes remarques :
« Ma sœur est une fleur qui, durant cinq années consécutives, revint (et non « revînt » qui est la forme du subjonctif imparfait) chaque nuit dans le plus effrayant de mes cauchemars: un rêve obscur et invariable sur la douleur du suicide, sur l’angoisse blottie derrière un ciel noir »
« Personne ne vint (et non « vînt » qui est la forme du subjonctif imparfait) prendre soin, ni par le regard, ni par les caresses de doigts minutieux, de sa première apparition. C’est une pousse qui sortit d’elle-même »
« et se balançant, il vint (et non « vînt » qui est la forme du subjonctif imparfait) caresser les pétales »
« celle qu’elle avait plantée là »
« avançant à une telle vitesse et dans un bruit si assourdissant, (tenez-vous à la virgule ici ?) qu’il semble s’être mué »
« Cette nuit-là »
« qu’en dessous du ciel vindicatif apparut une marguerite »
« la raison pour laquelle il me fut (et non « fût » qui est la forme du subjonctif imparfait) si difficile »
« cet instant de concentration absolue et de vérité rendue possible par l’altercation d’une limite impalpable entre le vrai et le superflu. » : ? pas compris
« et fixe (une virgule ici me paraît intéressante) le temps de m’apaiser, son épaisse et longue chevelure blonde »
Mes remarques :
« Ma sœur est une fleur qui, durant cinq années consécutives, revint (et non « revînt » qui est la forme du subjonctif imparfait) chaque nuit dans le plus effrayant de mes cauchemars: un rêve obscur et invariable sur la douleur du suicide, sur l’angoisse blottie derrière un ciel noir »
« Personne ne vint (et non « vînt » qui est la forme du subjonctif imparfait) prendre soin, ni par le regard, ni par les caresses de doigts minutieux, de sa première apparition. C’est une pousse qui sortit d’elle-même »
« et se balançant, il vint (et non « vînt » qui est la forme du subjonctif imparfait) caresser les pétales »
« celle qu’elle avait plantée là »
« avançant à une telle vitesse et dans un bruit si assourdissant, (tenez-vous à la virgule ici ?) qu’il semble s’être mué »
« Cette nuit-là »
« qu’en dessous du ciel vindicatif apparut une marguerite »
« la raison pour laquelle il me fut (et non « fût » qui est la forme du subjonctif imparfait) si difficile »
« cet instant de concentration absolue et de vérité rendue possible par l’altercation d’une limite impalpable entre le vrai et le superflu. » : ? pas compris
« et fixe (une virgule ici me paraît intéressante) le temps de m’apaiser, son épaisse et longue chevelure blonde »
Invité- Invité
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
ces textes sont pour ma part, mes préférés de tout ce que j'ai pû lire de toi.
c'est aéré, clair,
imagé, des mots très bien posé.
On sens que le deuxieme texte est bien plus travaillé, modelé, mais du coup, moins spontané.
question de gout, mais le premier me paraissait plus "frais"
(peut-etre l'effet d'agréable surprise à la première lecture ?)
c'est aéré, clair,
imagé, des mots très bien posé.
On sens que le deuxieme texte est bien plus travaillé, modelé, mais du coup, moins spontané.
question de gout, mais le premier me paraissait plus "frais"
(peut-etre l'effet d'agréable surprise à la première lecture ?)
Iryane- Nombre de messages : 314
Age : 44
Localisation : là où je dois être ...enfin, sans certitude.
Date d'inscription : 26/01/2010
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
Socque, merci encore pour vos corrections, rien ne vous arrête...
Iryan, je vois bien ce que vous voulez dire, et c'est ce que j'ai ressentis en le relisant avant de le poster. Peut être est-ce parce que je ne l'ai pas réécris d'une seule traire, je m'attacherai peut être à le faire.
Iryan, je vois bien ce que vous voulez dire, et c'est ce que j'ai ressentis en le relisant avant de le poster. Peut être est-ce parce que je ne l'ai pas réécris d'une seule traire, je m'attacherai peut être à le faire.
lamainmorte- Nombre de messages : 72
Age : 35
Localisation : au paradis, et mes pêchés sont à Venir.
Date d'inscription : 08/12/2009
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
rien ne vous arrêteS
lamainmorte- Nombre de messages : 72
Age : 35
Localisation : au paradis, et mes pêchés sont à Venir.
Date d'inscription : 08/12/2009
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
Ah non, "rien ne vous arrête", c'était très bien. Le "s" que vous avez rajouté n'a pas lieu d'être.
Invité- Invité
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
J'apprécie énormément la façon dont tu tiens compte des commentaires qui t'ont été faits pour reprendre le texte. Ceci dit, même si j'aime le texte quoi qu'il en soit, même s'il induit toujours l'émotion en moi, je préfère la première version, plus spontanée, moins explicite, me semble-t-il...
Invité- Invité
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
J'aime beaucoup ce texte mais davantage la première version
Yellow_Submarine- Nombre de messages : 278
Age : 53
Localisation : Fougères
Date d'inscription : 08/01/2010
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
J'ai lu avec intérêt cette petite histoire sans en relever les hésitations, les répétitions. Je passe la main dans l'espoir de trouver un autre texte plus loin.
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
Bonjour lamainmorte,
j'ai beaucoup été séduit par cette histoire malgré "ses" quelques maladresses (comme l'a déjà souligné coline, "de lui" sur "lui" entre autres)
Je n'ai pas trouvé la seconde version meilleure, bien au contraire ; j'aurais préféré la première version retouchée juste par-ci par-là, mais pas spécialement rallongée de superflu...
Quoiqu'il arrive un texte où l'émotion passe sans problème à mon avis...
j'ai beaucoup été séduit par cette histoire malgré "ses" quelques maladresses (comme l'a déjà souligné coline, "de lui" sur "lui" entre autres)
Je n'ai pas trouvé la seconde version meilleure, bien au contraire ; j'aurais préféré la première version retouchée juste par-ci par-là, mais pas spécialement rallongée de superflu...
Quoiqu'il arrive un texte où l'émotion passe sans problème à mon avis...
Peter Pan- Nombre de messages : 3709
Age : 49
Localisation : Pays des rêves et de l'imaginaire
Date d'inscription : 16/04/2009
Re: Marguerite d'où te viennent tes racines ?
J'ai trouvé cela très beau, personnellement. Je ne trouve rien à dire de plus que mes prédécesseurs (j'ai également préféré la première version, malgré ses défauts), ainsi je me contenterais d'apporter mon soutien.
Guer- Nombre de messages : 4
Age : 35
Localisation : Lille
Date d'inscription : 07/02/2010
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