Nuit éteinte

(C'est dommage qu'on ne puisse utiliser la fonction éditer ici)

Je vous conseille d'écouter ce texte avec cette musique: https://www.youtube.com/watch?v=dISNd0d8vPM&feature=related

Aujourd'hui étant jour de quête ovaire, je vais laisser l'esprit critique dans les buissons, juste une remarque " parmi " lui aussi vit sans " s ".
Sinon " deux heures " c'est bien pour cette "nuit " peut-être qu'une de plus ? ,-)

Fauve noir a écrit:Merci pour ton commentaire, toutefois je n'ai pas compris ta question.

Sinon j'ai l'impression que le seul défault de mes poèmes c'est qu'ils sont incompréhensibles. ^^

? ?

Juste ceci : on ne répond pas aux commentaires sous ses propres textes mais dans "réponses aux commentaires"...

Mais combien de fois cela a t-il déjà été précisé ? Je vous le demande !
Aussi, je ne vois pas en quoi Modération est agressive. A sa place, j'aurais eu plus de mal à me contenir et mon ton aurait sûrement été teinté d'une grande lassitude.

Concernant le texte, en soi :

Comme si elle composait avec mes larmes
... Elle composait en ses lumières.

Etait parti bien que resté. -> ??!

Vers la lumière du soir partie.

Je voulais l'appeler lumière -> troisième fois consécutive quand même, c'est sûrement voulu mais ça fait bancal.

Elle en avait destiné tous ses mystères, -> encore des mystères !
Cet univers brille parmis eux. -> parmi.

Outre ces remarques, pas de rythme, sujet... difficile à cerner, et en même temps bateau...
Disons que cela se voit que vous l'avez rédigé en deux heures ! En retravaillant votre poème, peut-être parviendriez-vous à lui donner un peu plus d'impact ?
Au total, je n'ai pas du tout aimé vous l'aurez compris, mais ne vous découragez pas pour autant, persévérez !

A vous relire,

Un champ lexical assez pauvre, c'est le moins qu'on puisse dire !
Une petite heure de plus vous aurait peut-être permis de potasser un peu votre dictionnaire de synonymes !

Comme si elle composait avec mes larmes
Une musique empreinte de ses mystères,
Elle soulevait les mots et les mirages,
Elle composait en ses lumières.

Une infinie incertitude mêlée,
Une voie dans le ciel s'était inscrite,
Comme un vent dans sa poussière
Etait parti bien que resté.

Je lisais des parchemins infinis
Qui s'étaient éteints une fois posés,
Et étaient descendus d'étoiles volées
Vers la lumière du soir partie.

Je voulais l'appeler lumière
Comme une vague éteinte dans le feu,
Elle en avait destiné tous ses mystères,
Cet univers brille parmis eux.

Chaque musique devait commencer,
Je ne trouvais pas de mots à cette fin.
J'observais seul la nébuleuse éteinte
En les images d'une pluie d'éternité.

Fauve noir a écrit:Comme chacun sans doute je considère mes poèmes comme les meilleurs du monde, sans me considérer comme le meilleur écrivain pour autant.

Je suis venu d'ailleurs sur ce site pour être critiqué.
Fauve noir.

"Comme chacun sans doute je considère mes poèmes comme les meilleurs du monde"
Il ne faut pas affirmer sans savoir !

Difficile de commenter un poème qui -selon moi- semble un texte écrit juste pour aligner des mots.
Que penser par exemple de "Etait parti bien que resté" ?
Aucun intérêt à ce galimatias !

Tu es venu ici pour être critiqué... C'est bien.
Mais prends ton temps avant de proposer un texte. Un texte écrit en 2 heures ? Faut-il compter le temps qu'on passe à écrire ? Participes-tu à un quelconque record ?

Pour moi, ce sera pour une autre fois, peut-être...

Je dépose mon avis de Candide, (passage bref, il y a un an, retour il y a 5 jours)
Je suis surprise de tant de certitudes concernant vos textes et leurs qualités, ou est-ce par provocation?
L'écriture classique rimée n'est pas celle que je préfère, et sans beaucoup de connaissances théoriques, mon oreille et mes émotions me guident pour me dire si j'aime ou non, là ni l'une ni les autres ne m'ont rien dit.
Une autre fois peut-être.
Cordialement

Fauve noir, j'ai hésité à commenter ton texte après avoir lu les quelques échanges que tu as eus avec d'autres membres.
Pour la simple et bonne raison que dans ta façon de te comporter et d'être j'ai l'impression de revenir trois ans en arrière. Même si mon âge ne permet pas de faire ce genre de refexion je suis certain de ce que j'avance tout comme je suis certain que tu le prendras mal.
Après ce prologue obscur et peu clair, commentons le texte :

Le premier problème qui saute aux yeux lors de la première lecture - et sans s'attarder sur les détails - c'est le manque de limpidité de ton texte, son côté forcé, peu naturel.
Après il y'a les répétitions qui ont déjà été soulignées par Arielle.
Puis il y'a les tournures alambiquées comme " Etait parti bien que resté" ; ou cette strophe par exemple :

"Je lisais des parchemins infinis
Qui s'étaient éteints une fois posés,
Et étaient descendus d'étoiles volées
Vers la lumière du soir partie."

Enfin il y'a le rythme, le gros problème du texte. J'ai cru comprendre que tu n'en faisais pas grand cas, que tu t'en moquais. Tu as le droit. Le problème c'est que ton texte a tout dans sa strucutre et son esprit du texte justement ordonné, maitrisé techniquement sauf qu'il ne l'est pas.
Tant qu'à ne pas te soucier des règles de la mètrique, autant te tourner vers une forme plus originale, moins contraignante.
Parce que ton texte semble prisonnier de je ne sais quoi.
En attendant ta réponse...

Dès la première strophe, la répétition de Elle en début de vers me rebute, rend l'ensemble bancal et il en va ainsi de l'ensemble du texte. C'est comme si tu avais accumulé des vers sans réellement donner de force à une ligne conductrice qui guiderait l'ensemble.
Je suis passée à côté, désolée.