Mon Oncle : C’est mieux que rien

J'ai beaucoup apprécié, et même, à la lecture de cette phrase jer me susi fendu la gueule tout seul devant l'écran comme un con : " Ils sont tous tellement cons qu’ils ne pensent jamais à demander de devenir malins."

Je trouve que la description du bordel est sympa aussi, ainsi que le ton général, par contre, d'une il y a plusieurs fautes d'orthographe vraiment dommages, et de deux, il y a des longueurs, notamment au début : le fait d'expliquer autant "je suis en train de t'écrire", "là je vais me chercher une bière", je trouve que ça rallonge inutilement.

Sinon, je n'ai pas très bien compris : "je veux te dire que ce que je vais te raconter maintenant, moi non plus je n’en crois pas un mot." -> ça n'est pas repris ensuite, cette idée...

On voit arriver le coup du génie à dix lieues, mais c'est vraiment pas grave : c'est mieux que rien !!
Ce qui est vraiment réussi, c'est l'espèce de détachement du mec, une bonhommie qui m'évoque Shirley ( de Shirley et Dino) cette sorte de rire incrédule sur sa propre bêtise, un coktail que pour ma part, je trouve irrésistible !
Je suis fan !

ah ces histoires de génies qui sortent des lampes et ces mecs vraiment pas des génies qui n'en croient pas leurs mirettes quand ils les voient...j'adore...
je me suis fendue la pêche de bon coeur...

Ah ! et au fait : meilleurs voeux pour 2011, meilleurs que ceux du texte en tout cas ! (rires)

Allez, je viens grincher, il en faut.
Narbah ami, je me suis en-nu-yée. Et le pire : je n'ai pas ri, même pas souri. J'ai fini en diagonale.
Pour moi, le ton est forcé (d'ailleurs, j'aimerais bien savoir comment il fait ton bonhomme pour maîtriser son expression, s'il est aussi bourré qu'il le répète), l'humour lourdingue, les détails trop détaillés et les descriptions sans fin.
Sans parler de l'intro trop vite expédiée, qui pue le prétexte à plein nez. Une intro parce qu'il en faut une, tonton, du genre "je ne vais quand même pas entrer dans le vif du sujet sans les préliminaires, ça ne se fait pas".

Bon, je repasserai à un moment plus faste.


Note Narbah : je juge le texte, pas l'auteur ;-)

Easter(Island) a écrit:Allez, je viens grincher, il en faut.
Narbah ami, je me suis en-nu-yée. Et le pire : je n'ai pas ri, même pas souri. J'ai fini en diagonale.
Pour moi, le ton est forcé (d'ailleurs, j'aimerais bien savoir comment il fait ton bonhomme pour maîtriser son expression, s'il est aussi bourré qu'il le répète), l'humour lourdingue, les détails trop détaillés et les descriptions sans fin.
Sans parler de l'intro trop vite expédiée, qui pue le prétexte à plein nez. Une intro parce qu'il en faut une, tonton, du genre "je ne vais quand même pas entrer dans le vif du sujet sans les préliminaires, ça ne se fait pas".

Bon, je repasserai à un moment plus faste.


Note Narbah : je juge le texte, pas l'auteur ;-)

J'étais en train de rédiger un commentaire mais vu que c'est à peu prés ce que dit Island et qu'elle le dit en moins expéditif, j'adhère et 'en tiens là.

je m’en étais servi c’était
joli, on dirait une pub.

Sérieux, copain, c'est pas terrible.

vincent M. a écrit:

(…)je me susi fendu la gueule tout seul devant l'écran comme un con (…)

(…)par contre, d'une il y a plusieurs fautes d'orthographe vraiment dommages(…)

(…) "là je vais me chercher une bière", je trouve que ça rallonge inutilement.(…)

(…)Sinon, je n'ai pas très bien compris : "je veux te dire que ce que je vais te raconter maintenant, moi non plus je n’en crois pas un mot." -> ça n'est pas repris ensuite, cette idée...(…)

D”abord, merci d’avoir ri. C’est pas tous les jours qu’on rigole, parole !
Ensuite, dis moi z’y d’où qu’elles sont les fotes, je suis nul en ortho, mais ça me gène finalement pas plus que ça. Mais par respect pour les autres que ça choque, je les corrigerais bien !

Pour les “je vais me rechercher une bière, OK. Mais bon ! T’as jamais soif toi ?

Pour le “moi non plus je n’en crois pas un mot” je vais faire quelque chose. C’est un effet comique qui tombe à plat si tu ne piges pas que le mec n’est pas sûr de lui, même concernat ce qui vient de lui arriver. Je vais arranger ça.

coline Dé a écrit:

(…)Shirley et Dino (…)

(…)Je suis fan !(…)

Je connais pas Shirley et Dino, mais je vais aller voir sur You Tube.

Le “Je suis fan”, c’est trop top ! Whizz !

Rebecca a écrit:

(…)je me suis fendue la pêche de bon coeur...(…)

Que demander de plus ?

Easter(Island) a écrit:

(…)Narbah ami, je me suis en-nu-yée. Et le pire : je n'ai pas ri, même pas souri. J'ai fini en diagonale(…)

(…)j'aimerais bien savoir comment il fait ton bonhomme pour maîtriser son expression, s'il est aussi bourré qu'il le répète(…)

(…) "je ne vais quand même pas entrer dans le vif du sujet sans les préliminaires, ça ne se fait pas".(…)

“je me suis en-nu-yée” : oui je sais, tu n’aimes pas mon Gaspard !

“pour maîtriser son expression” : ben moi, quand j’ai bu, je parle et j’écris comme une mitraillette. Ce qui m’étonne, c’est que tu trouves “l’expression maîtrisée”. Ça je l’aurais pas cru ! (rire)

“sans les préliminaires, ça ne se fait pas" : en effet, ça ne se fait pas !

Yali a écrit:

J'étais en train de rédiger un commentaire mais vu que c'est à peu prés ce que dit Island et qu'elle le dit en moins expéditif, j'adhère et 'en tiens là.

Peut-être une prochaine fois ? Pas sur !

pandaworks a écrit:

je m’en étais servi c’était
joli, on dirait une pub.

Sérieux, copain, c'est pas terrible.

Alors toi, j’y pige jamais rien à tes commentaires. T’aurais préféré “la dernière fois que je m’en avais servi” ? Ceci dit, le "copain" est sympa.

Content de vous retrouver, depuis le temps que je ne vous avais pas lu !

Ah ! j'oubliais : « Je place toujours de grands espoirs dans le Mirror pour la restauration des cuivres » Marcel Proust (La Bible d'Amiens, un pèlerinage ruskinien)

Ça n'a fait rire personne ? Vous n'êtes pas des intellos vous autres !

Bien aimé à partir de l’apparition du génie et du dialogue, avant j’ai eu du mal à entrer dedans. Et si je comprends bien l’utilité de la description de la cuisine vu ce qui se passe après, elle m’a semblé longue et too much même s’il y a quelques trucs marrants et bien vus comme les souvenirs crades laissés par Nadine.

''Elle est dégueulasse Nadine. Elle a laissé des trucs partout.'' J'ai réagis de la même façon quand mon frère avait brisé son bail avec moi. Sauf que je n'avais pas de génie pour nettoyer ses trucs, j'ai dû le faire avant de partir...

Sinon, le génie était sympathique, mais comme d'autres ont dit, il y avait des longueurs. Du coup, j'avais le temps de perdre mon sourire.

J'adore ; les méandres filandreux, les considérations à la lumière de la bibine, qui aide à recentrer ses idées et faire les choix pertinents, et une manière de conduire les récits de Mon oncle, d'une narquoiserie désinvolte, qui me plaît toujours autant.
Je trouve qu'il y a là une vraie patte, qui dit bien et qui ne se la pète pas.
A te lire encore, l'ami.

Le décor planté de la sorte à de quoi rebuter plus d'une fée du logis. C'est monsieur Propre qui s'en charge et c'est tant mieux.
Concernant la mise en place, je me demande si tu ne devrais pas tout chambouler l'appartement, il me parait trop sage dans sa description, un bordel trop organisé.
C'est juste histoire de souligner qu'une ré-écriture de ce texte permettrait de brasser le cocktail d'idées jusqu'à en provoquer l'implosion.
La trame me plait bien, le rendu final peut être génial !

silene82 a écrit:J'adore ; les méandres filandreux, les considérations à la lumière de la bibine, qui aide à recentrer ses idées et faire les choix pertinents, et une manière de conduire les récits de Mon oncle, d'une narquoiserie désinvolte, qui me plaît toujours autant.
Je trouve qu'il y a là une vraie patte, qui dit bien et qui ne se la pète pas.
A te lire encore, l'ami.

Salut Silene, je suis un peu absent ces temps derniers. J'aime que tu aimes. Je préfère un lecteur qui m'aime que mille qui ne m'aiment pas.

elea a écrit:Bien aimé à partir de l’apparition du génie et du dialogue, avant j’ai eu du mal à entrer dedans. Et si je comprends bien l’utilité de la description de la cuisine vu ce qui se passe après, elle m’a semblé longue et too much même s’il y a quelques trucs marrants et bien vus comme les souvenirs crades laissés par Nadine.

Moi non plus je n'aime pas les cuisines crados. mais ça existe ! Et les Nadines et les Génies sans bouillir et tout ça (rire)

Ratz19 a écrit:''Elle est dégueulasse Nadine. Elle a laissé des trucs partout.'' J'ai réagis de la même façon quand mon frère avait brisé son bail avec moi. Sauf que je n'avais pas de génie pour nettoyer ses trucs, j'ai dû le faire avant de partir...
Sinon, le génie était sympathique, mais comme d'autres ont dit, il y avait des longueurs. Du coup, j'avais le temps de perdre mon sourire.

Ne perds pas ton sourire, c'est trop joli comme expression.

bertrand-môgendre a écrit:Le décor planté de la sorte à de quoi rebuter plus d'une fée du logis. C'est monsieur Propre qui s'en charge et c'est tant mieux.
Concernant la mise en place, je me demande si tu ne devrais pas tout chambouler l'appartement, il me parait trop sage dans sa description, un bordel trop organisé.
C'est juste histoire de souligner qu'une ré-écriture de ce texte permettrait de brasser le cocktail d'idées jusqu'à en provoquer l'implosion.
La trame me plait bien, le rendu final peut être génial !

Tu devrais essayer de l'écrire toi-même, pourquoi pas ?

Merci à tous dans tous les cas et à bientôt.

Bonsoir,

Le fond est assez insignifiant, mais j'ai beaucoup aimé la forme, cette façon légère et détachée de tourner involontairement autour du pot !

Amicalement,
Midnightrambler

J'aime beaucoup ce style d'écriture et j'adore les parties dialoguées. Quelques problèmes à mon sens cependant :
- un manque d'homogénéité dans la première partie pour le langage du "mec bourré"
- pas mal de longueurs
- un problème de concordance de temps sur la fin du texte
Ce texte gagnerait à être remanié et concentré pour être davantage humoristique