Une odeur de chocolat
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Une odeur de chocolat
Anne était assise à la table de la cuisine, comme tous les matins. Elle avait son café devant elle, un corsé, pour être sur de bien être réveillé.
La tête dans les mains elle sanglotait. Dans la pièce une odeur de chocolat lui chatouillait les narines.
Dans la cuisine tout était rangée, chaque chose était à sa place et y restait. Pas de saleté sur les poignées des tiroirs, pas de jouets sur la table, pas de dessins d'enfant sur le frigidaire. Anne trouvait ça vide, mais Georges trouvait que c'était mieux comme ça. Mais qu'est ce qu'il en savais Georges ?
Soudain Anne eut un frisson et elle rentra les mains dans les manches de son sweat.
Ici, tout était calme, on entendait une vielle horloge, qui datait de sa grand-mère, sonnée. Il était sept heures. L'horloge sonnait toujours à sept heures, Anne l'avait réglé pour il y a des années de ça, elle avait alors pensée que ça serait plus pratique pour l'emmener à l'école sans être en retard. Mais emmener qui à l'école ? Un fantôme ? Une ombre ?
Elle en avait eu, un jour, une enfant à conduire à l'école à sept heures. Marine elle s'appelait, comme la mer... Elle avait les yeux bleus océans, qu'elle avait hérité de Georges et puis les cheveux blonds... Elle avait un rire merveilleux, qui rompait le calme des matinées et puis elle faisait des dessins, qui s'accordait parfaitement avec le frigidaire... Et puis... ses petites mains salissaient les poignées et ses jouets étaient toujours éparpillés sur la table.
Anne s'essuya les yeux avec une de ses manches, elle n'aimait pas pleurer... Marine avait 10 ans.
Un jour, alors qu'elle était rentrée de l'école, lorsque l'horloge avait sonné dix-neuf heures, elle tomba malade. Personne ne sait pourquoi, pas même les médecins. Et personne n'a su la guérir. Une maladie qui n'a pas de remède, comme il y en a tant d'autre. Une maladie orpheline, qui avait laissé une mère orpheline.
Les derniers mois de sa vie, Marine ne mangeait presque plus. Son corps frêle ne demandait qu'une chose, en finir vite. De sa voix douce elle répétait sans arrêt :
<< Du chocolat maman. Apportes moi du gâteau au chocolat >>.
Anne s'exécutait et l'enfant le dévorait. Ça l'étonnait à chaque fois, que Marine qui ne tolérait ni les laitages, ni la viande, ni féculant, ni légume, arrive à supporter le chocolat. Et puis ses jours là, la maison embaumait un parfum de chocolat, qui chatouillait les narines d'Anne. Habituellement, elle n'en faisait que pour de rares occasion, pour l'anniversaire de Marine par exemple.
Depuis que Marine n'était plus là, Anne n'avait plus jamais fait de gâteau au chocolat.
Anne était assise à la table de la cuisine, comme tous les matins. Elle avait son café devant elle, un corsé, pour être sur de bien être réveillé.
Elle en bu machinalement une, puis deux gorgés et reposa la tasse. L'odeur persistait.
-Joyeux Anniversaire Marine, murmura-telle
La tête dans les mains elle sanglotait. Dans la pièce une odeur de chocolat lui chatouillait les narines.
Dans la cuisine tout était rangée, chaque chose était à sa place et y restait. Pas de saleté sur les poignées des tiroirs, pas de jouets sur la table, pas de dessins d'enfant sur le frigidaire. Anne trouvait ça vide, mais Georges trouvait que c'était mieux comme ça. Mais qu'est ce qu'il en savais Georges ?
Soudain Anne eut un frisson et elle rentra les mains dans les manches de son sweat.
Ici, tout était calme, on entendait une vielle horloge, qui datait de sa grand-mère, sonnée. Il était sept heures. L'horloge sonnait toujours à sept heures, Anne l'avait réglé pour il y a des années de ça, elle avait alors pensée que ça serait plus pratique pour l'emmener à l'école sans être en retard. Mais emmener qui à l'école ? Un fantôme ? Une ombre ?
Elle en avait eu, un jour, une enfant à conduire à l'école à sept heures. Marine elle s'appelait, comme la mer... Elle avait les yeux bleus océans, qu'elle avait hérité de Georges et puis les cheveux blonds... Elle avait un rire merveilleux, qui rompait le calme des matinées et puis elle faisait des dessins, qui s'accordait parfaitement avec le frigidaire... Et puis... ses petites mains salissaient les poignées et ses jouets étaient toujours éparpillés sur la table.
Anne s'essuya les yeux avec une de ses manches, elle n'aimait pas pleurer... Marine avait 10 ans.
Un jour, alors qu'elle était rentrée de l'école, lorsque l'horloge avait sonné dix-neuf heures, elle tomba malade. Personne ne sait pourquoi, pas même les médecins. Et personne n'a su la guérir. Une maladie qui n'a pas de remède, comme il y en a tant d'autre. Une maladie orpheline, qui avait laissé une mère orpheline.
Les derniers mois de sa vie, Marine ne mangeait presque plus. Son corps frêle ne demandait qu'une chose, en finir vite. De sa voix douce elle répétait sans arrêt :
<< Du chocolat maman. Apportes moi du gâteau au chocolat >>.
Anne s'exécutait et l'enfant le dévorait. Ça l'étonnait à chaque fois, que Marine qui ne tolérait ni les laitages, ni la viande, ni féculant, ni légume, arrive à supporter le chocolat. Et puis ses jours là, la maison embaumait un parfum de chocolat, qui chatouillait les narines d'Anne. Habituellement, elle n'en faisait que pour de rares occasion, pour l'anniversaire de Marine par exemple.
Depuis que Marine n'était plus là, Anne n'avait plus jamais fait de gâteau au chocolat.
Anne était assise à la table de la cuisine, comme tous les matins. Elle avait son café devant elle, un corsé, pour être sur de bien être réveillé.
Elle en bu machinalement une, puis deux gorgés et reposa la tasse. L'odeur persistait.
-Joyeux Anniversaire Marine, murmura-telle
Re: Une odeur de chocolat
Bienvenue sur Vos Ecrits.
J'aime bien ce texte, simple, sensible, assez concis, mais comme ce forum se veut "atelier d'écriture", je me permets de te signaler les (trop) nombreuses fautes d'orthographe, en gras ci-dessous.
Je pense que tu ne t'es pas assez relue avant de poster car certaines fautes d'accord ne se retrouvent pas partout.
Je t'encourage à continuer à écrire, mais de grâce fais-toi aider pour les fautes, cela gâche trop le plaisir de te lire.
Anne était assise à la table de la cuisine, comme tous les matins. Elle avait son café devant elle, un corsé, pour être sur(sûre) de bien être réveillé.(réveillée)
La tête dans les mains elle sanglotait. Dans la pièce une odeur de chocolat lui chatouillait les narines.
Dans la cuisine tout était rangée,(rangé) chaque chose était à sa place et y restait. Pas de saleté sur les poignées des tiroirs, pas de jouets sur la table, pas de dessins d'enfant sur le frigidaire. Anne trouvait ça vide, mais Georges trouvait que c'était mieux comme ça. Mais qu'est ce qu'il en savais Georges ?
Soudain Anne eut un frisson et elle rentra les mains dans les manches de son sweat.
Ici, tout était calme, on entendait une vielle horloge, qui datait de sa grand-mère, sonnée (sonner). Il était sept heures. L'horloge sonnait toujours à sept heures, Anne l'avait réglé(réglée) pour il y a des années de ça, elle avait alors pensée(pensé) que ça serait plus pratique pour l'emmener à l'école sans être en retard. Mais emmener qui à l'école ? Un fantôme ? Une ombre ?
Elle en avait eu, un jour, une enfant à conduire à l'école à sept heures. Marine elle s'appelait, comme la mer... Elle avait les yeux bleus océans(sans s, c'est la couleur océan), qu'elle avait hérité de Georges et puis les cheveux blonds... Elle avait un rire merveilleux, qui rompait le calme des matinées et puis elle faisait des dessins, qui s'accordait(ent, sujet dessins) parfaitement avec le frigidaire... Et puis... ses petites mains salissaient les poignées et ses jouets étaient toujours éparpillés sur la table.
Anne s'essuya les yeux avec une de ses manches, elle n'aimait pas pleurer... Marine avait 10 ans.
Un jour, alors qu'elle était rentrée de l'école, lorsque l'horloge avait sonné dix-neuf heures, elle tomba malade. Personne ne sait pourquoi, pas même les médecins. Et personne n'a su la guérir. Une maladie qui n'a pas de remède, comme il y en a tant d'autre. Une maladie orpheline, qui avait laissé une mère orpheline.
Les derniers mois de sa vie, Marine ne mangeait presque plus. Son corps frêle ne demandait qu'une chose, en finir vite. De sa voix douce elle répétait sans arrêt :
<< Du chocolat maman. Apportes moi(apporte-moi) du gâteau au chocolat >>.
Anne s'exécutait et l'enfant le dévorait. Ça l'étonnait à chaque fois, que Marine qui ne tolérait ni les laitages, ni la viande, ni féculant, ni légume, arrive à supporter le chocolat. Et puis ses(ces) jours là, la maison embaumait un parfum de chocolat, qui chatouillait les narines d'Anne. Habituellement, elle n'en faisait que pour de rares occasion(avec un s), pour l'anniversaire de Marine par exemple.
Depuis que Marine n'était plus là, Anne n'avait plus jamais fait de gâteau au chocolat.
Anne était assise à la table de la cuisine, comme tous les matins. Elle avait son café devant elle, un corsé, pour être sur (sûre)de bien être réveillé(avec un e).
Elle en bu(avec un t) machinalement une, puis deux gorgés(gorgées) et reposa la tasse. L'odeur persistait.
-Joyeux Anniversaire Marine, murmura-telle
J'aime bien ce texte, simple, sensible, assez concis, mais comme ce forum se veut "atelier d'écriture", je me permets de te signaler les (trop) nombreuses fautes d'orthographe, en gras ci-dessous.
Je pense que tu ne t'es pas assez relue avant de poster car certaines fautes d'accord ne se retrouvent pas partout.
Je t'encourage à continuer à écrire, mais de grâce fais-toi aider pour les fautes, cela gâche trop le plaisir de te lire.
Anne était assise à la table de la cuisine, comme tous les matins. Elle avait son café devant elle, un corsé, pour être sur(sûre) de bien être réveillé.(réveillée)
La tête dans les mains elle sanglotait. Dans la pièce une odeur de chocolat lui chatouillait les narines.
Dans la cuisine tout était rangée,(rangé) chaque chose était à sa place et y restait. Pas de saleté sur les poignées des tiroirs, pas de jouets sur la table, pas de dessins d'enfant sur le frigidaire. Anne trouvait ça vide, mais Georges trouvait que c'était mieux comme ça. Mais qu'est ce qu'il en savais Georges ?
Soudain Anne eut un frisson et elle rentra les mains dans les manches de son sweat.
Ici, tout était calme, on entendait une vielle horloge, qui datait de sa grand-mère, sonnée (sonner). Il était sept heures. L'horloge sonnait toujours à sept heures, Anne l'avait réglé(réglée) pour il y a des années de ça, elle avait alors pensée(pensé) que ça serait plus pratique pour l'emmener à l'école sans être en retard. Mais emmener qui à l'école ? Un fantôme ? Une ombre ?
Elle en avait eu, un jour, une enfant à conduire à l'école à sept heures. Marine elle s'appelait, comme la mer... Elle avait les yeux bleus océans(sans s, c'est la couleur océan), qu'elle avait hérité de Georges et puis les cheveux blonds... Elle avait un rire merveilleux, qui rompait le calme des matinées et puis elle faisait des dessins, qui s'accordait(ent, sujet dessins) parfaitement avec le frigidaire... Et puis... ses petites mains salissaient les poignées et ses jouets étaient toujours éparpillés sur la table.
Anne s'essuya les yeux avec une de ses manches, elle n'aimait pas pleurer... Marine avait 10 ans.
Un jour, alors qu'elle était rentrée de l'école, lorsque l'horloge avait sonné dix-neuf heures, elle tomba malade. Personne ne sait pourquoi, pas même les médecins. Et personne n'a su la guérir. Une maladie qui n'a pas de remède, comme il y en a tant d'autre. Une maladie orpheline, qui avait laissé une mère orpheline.
Les derniers mois de sa vie, Marine ne mangeait presque plus. Son corps frêle ne demandait qu'une chose, en finir vite. De sa voix douce elle répétait sans arrêt :
<< Du chocolat maman. Apportes moi(apporte-moi) du gâteau au chocolat >>.
Anne s'exécutait et l'enfant le dévorait. Ça l'étonnait à chaque fois, que Marine qui ne tolérait ni les laitages, ni la viande, ni féculant, ni légume, arrive à supporter le chocolat. Et puis ses(ces) jours là, la maison embaumait un parfum de chocolat, qui chatouillait les narines d'Anne. Habituellement, elle n'en faisait que pour de rares occasion(avec un s), pour l'anniversaire de Marine par exemple.
Depuis que Marine n'était plus là, Anne n'avait plus jamais fait de gâteau au chocolat.
Anne était assise à la table de la cuisine, comme tous les matins. Elle avait son café devant elle, un corsé, pour être sur (sûre)de bien être réveillé(avec un e).
Elle en bu(avec un t) machinalement une, puis deux gorgés(gorgées) et reposa la tasse. L'odeur persistait.
-Joyeux Anniversaire Marine, murmura-telle
Invité- Invité
Re: Une odeur de chocolat
La construction du texte est bien fichue, mais attention à ne pas tomber dans le cliché
( tu flirtes assez dangereusement avec !) et dans le pathos. Je ne sais pas comment tu as réussi à y échapper - il faut dire que le sujet est plutôt casse gueule !
Si, en fait, je sais : à cause de trouvailles très jolies comme
En revanche, il faut faire attention aux temps que tu emploies, les harmoniser.
Pourquoi ici
Bien sûr, le elle tomba malade est correst, mais je trouve que cette rupture de ton ( c'est plus littéraire, le passé simple) nous fait un peu sortir du récit...
Je ne reviens pas sur les nombreuses fautes d'orthographe, mais essaie quand même de faire plus attention.
Et continue, tu as du potentiel !
( tu flirtes assez dangereusement avec !) et dans le pathos. Je ne sais pas comment tu as réussi à y échapper - il faut dire que le sujet est plutôt casse gueule !
Si, en fait, je sais : à cause de trouvailles très jolies comme
bien sûr, on comprend à la fin du texte pourquoi, il n'empêche que ça donne un effet assez poétique...chaque chose était à sa place et y restait
ça aussi, c'est sympa, j'aime bien ce côté un peu décaléelle faisait des dessins, qui s'accordaient parfaitement avec le frigidaire
En revanche, il faut faire attention aux temps que tu emploies, les harmoniser.
Pourquoi ici
passer au passé simple, puis au présent alors que tu as commencé au passé composé ?Un jour, alors qu'elle était rentrée de l'école, lorsque l'horloge avait sonné dix-neuf heures, elle tomba malade. Personne ne sait pourquoi, pas même les médecins. Et personne n'a su la guérir. Une maladie qui n'a pas de remède, comme il y en a tant d'autre
Bien sûr, le elle tomba malade est correst, mais je trouve que cette rupture de ton ( c'est plus littéraire, le passé simple) nous fait un peu sortir du récit...
Je ne reviens pas sur les nombreuses fautes d'orthographe, mais essaie quand même de faire plus attention.
Et continue, tu as du potentiel !
Invité- Invité
Re: Une odeur de chocolat
Je trouve aussi que la structure du texte est bien fichue - il retombe sur ses pattes sans effort, c'est une très bonne chose parce que pas donné à tout le monde.
Mais que tu as en effet drôlement tendance à t'approcher du bord de la falaise qui te ferait basculer tout droit dans la mer aux clichés, point trop n'en faut.
Pour les remarques formelles, on t'a gentiment et utilement indiqué où ça pèche. Si tu n'es pas sûre de ton orthographe, tu peux toujours soumettre ton texte à www.bonpatron.com avant de poster, ça éliminera les plus grosses scories.
Pour finir, j'ai le sentiment que c'est un texte qui plaira(it) fort à Janis.
Mais que tu as en effet drôlement tendance à t'approcher du bord de la falaise qui te ferait basculer tout droit dans la mer aux clichés, point trop n'en faut.
Pour les remarques formelles, on t'a gentiment et utilement indiqué où ça pèche. Si tu n'es pas sûre de ton orthographe, tu peux toujours soumettre ton texte à www.bonpatron.com avant de poster, ça éliminera les plus grosses scories.
Pour finir, j'ai le sentiment que c'est un texte qui plaira(it) fort à Janis.
Invité- Invité
Re: Une odeur de chocolat
Et tu as raison Easter, comme Alice
Bien qu'en effet ça flirte d'un peu trop près avec le pathos
mais l'univers, la lenteur, les gestes, le thème de la perte, le café, tout ça
Ça me rappelle étrangement ce que j'écrivais avant d'apprendre à être plus mesurée (juste un peu)
je trouve que pour gommer cette impression de pathos, il suffirait de pas grand-chose.
Enlever des mots comme sangloter, ombre, fantôme, et l'explication de la maladie.
Ce serait plus percutant si on découvrait à la fin (depuis que marine...) ce qu'on devine de toute façon.
Enfin en tout cas, oui, je suivrai tes textes !
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Une odeur de chocolat
Il y a de belles trouvailles, c'est sûr. J'aime aussi l'odeur de chocolat qui persiste et qu'on sent tout le long du texte.
Ensuite, je suis d'accord avec Janis, quelques petites choses à enlever pour éviter le pathos
Je rajouterais la description de la petite fille, assez cliché (les beaux cheveux blonds, les yeux bleus, etc.) pour moi, elle est de trop
Ensuite, je suis d'accord avec Janis, quelques petites choses à enlever pour éviter le pathos
Je rajouterais la description de la petite fille, assez cliché (les beaux cheveux blonds, les yeux bleus, etc.) pour moi, elle est de trop
Remus- Nombre de messages : 2098
Age : 34
Date d'inscription : 02/01/2012
Re: Une odeur de chocolat
Cette odeur qui s'insinue m'a gagnée.
Riche de toutes les remarques qui t'ont été faites, tu devrais resserrer ton texte de manière sympa.
Riche de toutes les remarques qui t'ont été faites, tu devrais resserrer ton texte de manière sympa.
Invité- Invité
Re: Une odeur de chocolat
Tu as su créer une ambiance triste et tendre à la fois. J'ai beaucoup aimé ton texte.
Invité- Invité
re : La madeleine de la défunte
Dommage, le style laisse à désirer. A travailler encore, me semble-t-il. Le souvenir "tendre" inaltérable de la disparue. Tu vas nous émouvoir avec les enfants morts ! Aie aie... Les bons sentiments... Est-ce suffisant pour tenir un texte ? Bien sûr ces événements réclament de l'écriture, de l'évacuation. Dans ces conditions reste la forme qui peut captiver le lecteur. Et la forme n'est pas aboutie. D'autres avant nous on fait cela avec grandeur. Les relire. Mais ton texte a le bienfait de nous placer devant le "pourquoi" écrire et donc le "comment". Merci.
Raoulraoul- Nombre de messages : 607
Age : 63
Date d'inscription : 24/06/2011
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