De la liberté chérie à travers la vitre
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Re: De la liberté chérie à travers la vitre
Ô modération ö belle objectivité
Quelle bell' constructivité
(sur l'air de: "on s'embrasse on s'congratule". voir plus haut.)
Quelle bell' constructivité
(sur l'air de: "on s'embrasse on s'congratule". voir plus haut.)
zenobi- Nombre de messages : 892
Age : 54
Date d'inscription : 03/09/2010
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
T'as pas compris la règle du Je zénobi...
ici pas question d'objectivité...seule la subjectivité peut oeuvrer à dire ce qui vibre en nous (ou pas) quand on lit un texte; et donc toutes les sensibilités ont le droit de s'exprimer...j'vois pas pourquoi on devrait marcher en rang , rien qui dépasse, le même commentaire car le même ressenti pour tous ! Aux dernières nouvelles on est pas des robots...et pas des cibles non plus merci
merci de te rappeler la fonction du site et commente le texte pas les commentaires ...ce que tu avais fait au début et personne n'y a trouvé à redire ....
sinon tes persiflages incongrus ( "on s'embrasse on se congratule") tu te les carres où tu veux, en alexandrins ou pas, mais t'arrêtes de te foutre de la gueule des gens qui passent faire un comm sous prétexte que leur comm ne te sied pas ...c'est insultant tes remarques, déplacé, et d'autre part ça abime l'attention qu'on doit porter au texte et pas à ta petite personne... Une personne un peu timide n'osera pas dire ce qu'elle pense après toi...de peur que tu t'en mêles , de peur d'être traitée de ....menteuse au pire, bisounours au mieux ?
désolée panda d'avoir pollué tes critiques...je n'ai plus envie de m'exprimer pour l'instant...
désolé modération j'fais tout ce que je dis qu'il faut pas faire
Modération veille.
ici pas question d'objectivité...seule la subjectivité peut oeuvrer à dire ce qui vibre en nous (ou pas) quand on lit un texte; et donc toutes les sensibilités ont le droit de s'exprimer...j'vois pas pourquoi on devrait marcher en rang , rien qui dépasse, le même commentaire car le même ressenti pour tous ! Aux dernières nouvelles on est pas des robots...et pas des cibles non plus merci
merci de te rappeler la fonction du site et commente le texte pas les commentaires ...ce que tu avais fait au début et personne n'y a trouvé à redire ....
sinon tes persiflages incongrus ( "on s'embrasse on se congratule") tu te les carres où tu veux, en alexandrins ou pas, mais t'arrêtes de te foutre de la gueule des gens qui passent faire un comm sous prétexte que leur comm ne te sied pas ...c'est insultant tes remarques, déplacé, et d'autre part ça abime l'attention qu'on doit porter au texte et pas à ta petite personne... Une personne un peu timide n'osera pas dire ce qu'elle pense après toi...de peur que tu t'en mêles , de peur d'être traitée de ....menteuse au pire, bisounours au mieux ?
désolée panda d'avoir pollué tes critiques...je n'ai plus envie de m'exprimer pour l'instant...
désolé modération j'fais tout ce que je dis qu'il faut pas faire
Modération veille.
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
Eh bien! Je répondrai une dernière fois sur ce fil.
question d'objectivité...
Ce qui m’a amusé c’est le jugement porté (sans argument) par un « modérateur ». J’ai mieux compris, aussi, pourquoi ce panda avait pu se permettre, ailleurs et précédemment, des propos nazillons que la modération, souvent plus tatillonne, avait tardé à effacer.
...j'vois pas pourquoi on devrait marcher en rang ,
C’est aussi ce que je critiquais : cette marche en rang. Amusant, comme certains feignent de ne pas comprendre quand ça les arrange.
rien qui dépasse, le même commentaire car le même ressenti pour tous !
Relis-donc les commentaires : pas l’ombre d’une analyse, mais les mêmes contentements de groupies… Curieux, non ?
Enfin, sur la liberté, elle me semble justement entravée par ces marches au pas. Qu’un hurluberlu isolé, comme moi, ose dire ce qu’il pense, ça, ça fait tache au milieu des consensus et je suis, moi aussi, certain qu’un bon nombre n’ont pas osé, au contraire de Denis_h, dire que : ce texte n’a même pas l’élégance de la correction orthographique et qu’il est creux.
Mais après ton passage, je pense qu’il y en aura encore moins pour oser critiquer les anciens des lieux et amis de la modération…
Bon, j’imagine qu’après ces propos on va me dire de me taire, (Bouh ! le vilain !) afin de mieux ronronner en commun.
question d'objectivité...
Ce qui m’a amusé c’est le jugement porté (sans argument) par un « modérateur ». J’ai mieux compris, aussi, pourquoi ce panda avait pu se permettre, ailleurs et précédemment, des propos nazillons que la modération, souvent plus tatillonne, avait tardé à effacer.
...j'vois pas pourquoi on devrait marcher en rang ,
C’est aussi ce que je critiquais : cette marche en rang. Amusant, comme certains feignent de ne pas comprendre quand ça les arrange.
rien qui dépasse, le même commentaire car le même ressenti pour tous !
Relis-donc les commentaires : pas l’ombre d’une analyse, mais les mêmes contentements de groupies… Curieux, non ?
Enfin, sur la liberté, elle me semble justement entravée par ces marches au pas. Qu’un hurluberlu isolé, comme moi, ose dire ce qu’il pense, ça, ça fait tache au milieu des consensus et je suis, moi aussi, certain qu’un bon nombre n’ont pas osé, au contraire de Denis_h, dire que : ce texte n’a même pas l’élégance de la correction orthographique et qu’il est creux.
Mais après ton passage, je pense qu’il y en aura encore moins pour oser critiquer les anciens des lieux et amis de la modération…
Bon, j’imagine qu’après ces propos on va me dire de me taire, (Bouh ! le vilain !) afin de mieux ronronner en commun.
zenobi- Nombre de messages : 892
Age : 54
Date d'inscription : 03/09/2010
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
bonjour zenobi, en effet je trouve tes réponses à tristan pertinentes. mais je crois qu'il est inutile d'en rajouter. chaque forum a ses rituels de fonctionnement et ses vip. et si cela ne plait pas, rien n'empêche d'aller voir ailleurs (par ex : http://www.leforumbleu.net).
pour ce qui est du texte du penda, moi non plus ce n'est pas ma tasse de thé, mais je pense que le début du texte n'est pas plus mauvais qu'autre chose, disons jusqu'à "parce que ça dissout le monde, le verre et le laiton."
par contre aprés il ya des choses que je trouve complètement bidon, parex, ce passage tres faible :
"C'est si loin le temps-de-ça ,,,,,,,,mais ça existe encore.
C'est si moche le temps-de-ça ,,,,,,,,,mais il perdure encore.
C'est si proche le temps-de-ça que. ................C'est maintenant.
Et il ne cessera jamais,
Et il ne cesserai jamais,
même rien que pour moi,
pas une fois."
ou des choses que je ne comprends pas bien :
"Je continuerai à écrire avec des Et majuscules" ça veut dire quoi au juste ?
et puis cet "égo-trip" digne d'un mauvais rap :
"vais-je prier ou haïr ?
vais-je gerber ou tenir ?
laisser les mots derrière les portes
me foutre à la porte
décharger mes épaules
décharger un jet de foutre
décharger un rai de foudre pour rayer les cartes d'la carte
laisser les plans en plan."
c'est sans doute ça que notre ami tristan appelle de la poésie "couillue", moi j'y vois juste un cache misère épate-bourgeois posé sur de la vacuité.
quand à la fin du texte, elle est assez parodique je trouve :
"qu'on a rêvé tout-ça
que le soleil de minuit, se couchera, partout, à la même heure, pour tout le monde,
que le vin coulera dans le cristal, un jour de tes noces,
une fiesta, tu verras,
avec un F majuscule
etc etc etc..."
certains ont peut être trouvé ça déchirant et émouvant... moi pas.
dh
pour ce qui est du texte du penda, moi non plus ce n'est pas ma tasse de thé, mais je pense que le début du texte n'est pas plus mauvais qu'autre chose, disons jusqu'à "parce que ça dissout le monde, le verre et le laiton."
par contre aprés il ya des choses que je trouve complètement bidon, parex, ce passage tres faible :
"C'est si loin le temps-de-ça ,,,,,,,,mais ça existe encore.
C'est si moche le temps-de-ça ,,,,,,,,,mais il perdure encore.
C'est si proche le temps-de-ça que. ................C'est maintenant.
Et il ne cessera jamais,
Et il ne cesserai jamais,
même rien que pour moi,
pas une fois."
ou des choses que je ne comprends pas bien :
"Je continuerai à écrire avec des Et majuscules" ça veut dire quoi au juste ?
et puis cet "égo-trip" digne d'un mauvais rap :
"vais-je prier ou haïr ?
vais-je gerber ou tenir ?
laisser les mots derrière les portes
me foutre à la porte
décharger mes épaules
décharger un jet de foutre
décharger un rai de foudre pour rayer les cartes d'la carte
laisser les plans en plan."
c'est sans doute ça que notre ami tristan appelle de la poésie "couillue", moi j'y vois juste un cache misère épate-bourgeois posé sur de la vacuité.
quand à la fin du texte, elle est assez parodique je trouve :
"qu'on a rêvé tout-ça
que le soleil de minuit, se couchera, partout, à la même heure, pour tout le monde,
que le vin coulera dans le cristal, un jour de tes noces,
une fiesta, tu verras,
avec un F majuscule
etc etc etc..."
certains ont peut être trouvé ça déchirant et émouvant... moi pas.
dh
denis_h- Nombre de messages : 60
Age : 51
Localisation : paris
Date d'inscription : 14/04/2009
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
pardon : http://leforumbleu.net
denis_h- Nombre de messages : 60
Age : 51
Localisation : paris
Date d'inscription : 14/04/2009
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
ps : pourquoi mon dernier texte : http://www.vosecrits.com/t8396-nouvel-echec-de-denis_h#254862
est il toujours bloqué ?
est il toujours bloqué ?
denis_h- Nombre de messages : 60
Age : 51
Localisation : paris
Date d'inscription : 14/04/2009
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
la technique qui consiste à flooder sur un texte pour créer une page qui n'affiche plus le texte initial mais vos âneries n'est , à votre image , pas très intelligente.
Invité- Invité
De la liberté chérie derrière le vitre (corrigé)
pandaworks a écrit:De la liberté chérie à travers le vitre.
Ils t'avaient promis, mais, tout-ça s'était du vent, alors le carreau c'est déjà pas mal. Il y fait bon à s'y coller le pif, tu sais,
quand le nez s'écrase un peu et que ça fait
une grimace quand on voit de l'autre côté.
C'est loin d'ici et pourtant, y'avait des rubans d'espoir qui se déroulaient dans les mots que tu me disais: voyager enfin.
Ce qu'il te reste, ce sont deux yeux collés à la vitre, dans ta main: le taquet de verrouillage de la portière.
Les voitures modernes sont équipées de la fermeture centralisée,
mais, ce n'est pas toi qui est aux commandes.
Alors tu lisses ta cuisse et écarquilles les yeux.
Dehors les quartiers, défilent, boisés, dedans, tu te délites.
Il te reste un Dieu mais plus beaucoup de liberté, alors la croix contre ton sein te brule et tu pries,
parce que ça réchauffe plus que tout au monde.
Ils t'avaient promis, mais c'était plutôt du flan, alors le carreau c'est déjà pas mal. Il fait bon s'y poser le front,
tu sais, quand la fraîcheur percute la peau, que ça donne des frissons, que la personne derrière remarque que sur ton avant-bras
la peau a des symptômes de chair de poule.
Les maisons de campagnes sont munies de verrous solides, mais ce n'est pas toi qui en a les clefs,
tu appliques ta main contre le haut de ton sein, clos les paupières.
Dehors la Baltique promène ses harengs et tu te cognes doucement le crâne contre la vitre.
Il te reste ton Dieu, pas du tout de liberté, alors, la croix, toute contre ton sein te brule et tu pries,
parce que ça dissout le monde, le verre et le laiton.
Je t'avais promis, mais c'était plutôt à cran, alors, les mots c'est déjà pas mal en excuses.
Il y fait bon à s'y noyer la gueule, tu sais, quand ils ne s'écrasent plus pour laisser passer les choses,
que ça fait un drôle d'air dans l'œil de celui qui ne veux pas les voir, ou les admettre.
C'est si loin le temps-de-ça ,,,,,,,,mais ça existe encore.
C'est si moche le temps-de-ça ,,,,,,,,,mais il perdure encore.
C'est si proche le temps-de-ça que. ................C'est maintenant.
Et il ne cessera jamais,
Et il ne cesserai jamais,
même rien que pour moi,
pas une fois.
Je continuerai à écrire avec des Et majuscules comme dans ton Livre:
mon cœur a besoin d'avoir chaud aussi,
de temps à autre.
Sinon:
vais-je prier ou haïr ?
vais-je gerber ou tenir ?
laisser les mots derrière les portes
me foutre à la porte
décharger mes épaules
décharger un jet de foutre
décharger un rai de foudre pour rayer les cartes d'la carte
laisser les plans en plan.
Tout ça.
Je t'avais promis, mais finalement c'est à blanc, alors je passe pour un con.
Dehors les tropiques se promènent doucement et je te souhaite bon voyage, dans les Et majuscules, ceux que tu aimes tant.
On n'est pas quitte pour autant.
Jusqu'à ce que le monde peste coupable.
On n'est pas quitte pour autant.
j'vais faire jouer mes corde et ma plèvre:
un peu pour toi
à promettre que les pires choses ont un fin
qu'on a rêvé tout-ça
que le soleil de minuit, se couchera, partout, à la même heure, pour tout le monde,
que le vin coulera dans le cristal, un jour de tes noces,
une fiesta, tu verras,
avec un F majuscule
avec des robes qui n'auront jamais été, si blanches
avec des sourcils qui n'auront jamais été, si foncés
avec des fleurs des iles, pas des gazons de pré-salé
des robes à couleurs
aussi
plus de soleil timide mais, un éclatant
celui qui fera perler la sueur sur les fronts sans qu'il soit besoin de
fonte
ni de pain noir à manger
sans de Nord à redouter
de rollmops crevés au vinaigre
mais que
de l'équateur à chérir.
C'est là que tu prendras ton tour.
Et tu chanteras les exodes
Et tu chanteras les retours au pays
Et tu chanteras ce que tu voudras
les bras en l'air
tournoyants,
les croix au mur.
Le reste, je m'en charge.
Pour peu qu'il en reste encore.
Sa dagat at bundok,
Sa simoy, at sa langit mong bughaw,
May dilag ang tula,
At awit sa paglayang minamahal.
Dans la mer et la montagne,
Dans la brise et le ciel bleu,
Poèmes et chants expriment les splendeurs
De la liberté chérie.
troisième couplet.
Invité- Invité
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
Dommage la faute dans le titre plus celles qui restent à l'intérieur
tout-ça C'était du vent
Il y fait bon à s'y coller-> le à me semble de trop ou alors c'est le y-le premier
ce n'est pas toi qui es aux commandes.
Je ne vais pas plus loin, sur ce thème.
""
Il te reste un Dieu mais plus beaucoup de liberté, alors la croix contre ton sein te brule et tu pries,
parce que ça réchauffe plus que tout au monde.
Ils t'avaient promis, mais c'était plutôt du flan, alors le carreau c'est déjà pas mal. Il fait bon s'y poser le front,
tu sais, quand la fraîcheur percute la peau, que ça donne des frissons, que la personne derrière remarque que sur ton avant-bras
la peau a des symptômes de chair de poule.
Les maisons de campagnes sont munies de verrous solides, mais ce n'est pas toi qui en a les clefs,
tu appliques ta main contre le haut de ton sein, clos les paupières.
Dehors la Baltique promène ses harengs et tu te cognes doucement le crâne contre la vitre.
Il te reste ton Dieu, pas du tout de liberté, alors, la croix, toute contre ton sein te brule et tu pries,
parce que ça dissout le monde, le verre et le laiton.
""
ce passage me plait il est à mon sens poétique , ca qui précède bien moins, à mon goût.)
Globalement je ne trouve pas autant de poésie dans ce texte que j'aurais voulu.
Pour avoir suivi les commentaires de l'initial, on peut innover en respectant l'orthographe et la grammaire, l'innovation peut être dans la ponctuation, la mise en page, les assonances et allitérations l'introduction du langage de la rue, si elle est bien placée et mise en valeur..etc.
Je ne suis pas fan du tout de la poésie classique.
tout-ça C'était du vent
Il y fait bon à s'y coller-> le à me semble de trop ou alors c'est le y-le premier
ce n'est pas toi qui es aux commandes.
Je ne vais pas plus loin, sur ce thème.
""
Il te reste un Dieu mais plus beaucoup de liberté, alors la croix contre ton sein te brule et tu pries,
parce que ça réchauffe plus que tout au monde.
Ils t'avaient promis, mais c'était plutôt du flan, alors le carreau c'est déjà pas mal. Il fait bon s'y poser le front,
tu sais, quand la fraîcheur percute la peau, que ça donne des frissons, que la personne derrière remarque que sur ton avant-bras
la peau a des symptômes de chair de poule.
Les maisons de campagnes sont munies de verrous solides, mais ce n'est pas toi qui en a les clefs,
tu appliques ta main contre le haut de ton sein, clos les paupières.
Dehors la Baltique promène ses harengs et tu te cognes doucement le crâne contre la vitre.
Il te reste ton Dieu, pas du tout de liberté, alors, la croix, toute contre ton sein te brule et tu pries,
parce que ça dissout le monde, le verre et le laiton.
""
ce passage me plait il est à mon sens poétique , ca qui précède bien moins, à mon goût.)
Globalement je ne trouve pas autant de poésie dans ce texte que j'aurais voulu.
Pour avoir suivi les commentaires de l'initial, on peut innover en respectant l'orthographe et la grammaire, l'innovation peut être dans la ponctuation, la mise en page, les assonances et allitérations l'introduction du langage de la rue, si elle est bien placée et mise en valeur..etc.
Je ne suis pas fan du tout de la poésie classique.
Invité- Invité
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
Modération:
on a le droit d'ouvrir un autre fil pour le même texte ?
on a le droit d'ouvrir un autre fil pour le même texte ?
zenobi- Nombre de messages : 892
Age : 54
Date d'inscription : 03/09/2010
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
on ne commente pas les commentaires, merci.
denis_h, la modération compte sur vous pour vous faire l'exemple de l'application de cette sage recommandation. Merci.
denis_h, la modération compte sur vous pour vous faire l'exemple de l'application de cette sage recommandation. Merci.
denis_h- Nombre de messages : 60
Age : 51
Localisation : paris
Date d'inscription : 14/04/2009
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
ce passage me plait il est à mon sens poétique , CE qui précède bien moins, à mon goût.)
oupss,( j'avais prévenu à l'arrivée que mes fautes étaient introuvables pour moi, alors que je vois celles des autres. )
oupss,( j'avais prévenu à l'arrivée que mes fautes étaient introuvables pour moi, alors que je vois celles des autres. )
Invité- Invité
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
« Notre conception : écrire, ce n’est pas balancer des mots à la volée pour son seul plaisir, » et, plus loin : « Nous demandons à chacun d’apporter le maximum de soin à ce qu’il publie, sur le fond comme sur la forme. Nous ne publions pas les textes inachevés, les écrits commis à la va-vite, ceux trop tournés vers le pathos, et ceux encombrés de fautes d'orthographe et/ou de français. »
Apparemment, ces remarques ne concernent pas tout le monde, tout au contraire, un modérateur encourage ces pratiques.
Ils t'avaient promis, mais, tout-ça s'était du vent, alors le carreau c'est déjà pas mal.
Ce/se… Confusion grammaticale dès la première ligne. Niveau primaire.
Il y fait bon à s'y coller le pif, tu sais,
Faute syntaxique, déjà relevée. Mais peut-être que la puissance évocatrice, frisant le génie, de la phrase la rend licite ?
C'est loin d'ici et pourtant, y'avait des rubans d'espoir qui se déroulaient dans les mots que tu me disais: voyager enfin.
Syntaxe fautive, à nouveau. Ponctuation fautive également. Mais c’e’st si beau, n’est-ce pas, qu’on pardonne.
Ce qu'il te reste, ce sont deux yeux collés à la vitre, dans ta main: le taquet de verrouillage de la portière.
Ponctuation douteuse, mais, je ne chipote pas, c’est si couillu.
Les voitures modernes sont équipées de la fermeture centralisée,
Là, aucune faute et en plus, c’est si fort, si juste ! Rimbaud n’est pas loin.
mais, ce n'est pas toi qui est aux commandes.
D’ailleurs, la preuve, pour Rimbo : si je est un autre, tu aussi !
Dehors les quartiers, défilent, boisés, dedans, tu te délites.
Bon, une virgule entre le sujet et son verbe… mais ce n’est pas grave, hein, puisque c’est relu, volontaire, tout ça. Insignifiant ? Non, allons ! Respect ! Couillu quand même, d’oser. Il, fait ça, lui.
Il te reste un Dieu mais plus beaucoup de liberté, alors la croix contre ton sein te brule et tu pries, (les accents circonflexes, ça gave, ça aussi, libérons-nous camarades du fascisme des accents !)
Ils t'avaient promis, mais c'était plutôt du flan, alors le carreau c'est déjà pas mal.
Je n’y comprends rien. Mais, dans ces cas-loà, je sais bien que c’est juste parce que je lis mal. Alors, vite, je crie au génie.
Il fait bon s'y poser le front,
(Tiens, cette fois un « s » de trop… C’est peut-être un jeu, il faut peut-être les replacer soi-même ?)
la peau a des symptômes de chair de poule.
Ça, c’est quand même une sacrée belle formulation alambiquée. Peut-être que c’est un jeu, qu’il devait placer ce mot-là dans le texte ? Bon, il l’a fait. Pas très bien, mais quand même, il fallait y arriver, hein.
Les maisons de campagnes sont munies de verrous solides, mais ce n'est pas toi qui en a les clefs,
Ah ! Les campagnes… celles d’Italie, de Russie…
Mais, j’en conviens, la phrase est belle. Elle me rappelle celle des gaufrettes, vous savez…
Dehors la Baltique promène ses harengs et tu te cognes doucement le crâne contre la vitre.
Vache ! Fort, le mec. Et puis,, ça ne sent pas le procédé épate-bourgeois, ce truc qu’il nous fait depuis le début, cette association, proche du zeugme. Un procédé ? Une ficelle ? Pensez-vous !
Il te reste ton Dieu, pas du tout de liberté, alors, la croix, toute contre ton sein te brule et tu pries,
Là, je n’ai pas compris non plus… Syntaxe, grammaire, tout ça… Trop haut pour moi.
parce que ça dissout le monde, le verre et le laiton.
Tiens, la même ficelle…
Je t'avais promis, mais c'était plutôt à cran, alors, les mots c'est déjà pas mal en excuses.
Franchement, là, le fascisme de la langue, qu’est-ce qu’il lui fout dans la gueule, l’auteur. Pute borgne ! On n’y pige plus rien. Quelle force !
Il y fait bon à s'y noyer la gueule, tu sais, quand ils ne s'écrasent plus pour laisser passer les choses,
Ah ! Le coup des y qu’on ne sait pas trop comment que ça s’emploie que ces lettres là. Les intellos, y doivent pas y apprécier grand y chose !
que ça fait un drôle d'air dans l'œil de celui qui ne veux pas les voir,
Et la conjugaison, hein ! Il lui nique fort sa race, là encore !
J’arrête là, même les meilleures plaisanteries ont une fin.
Je croyais qu’ici il fallait : écrire en français, respecter le lectorat, etc. J’ai dû mal lire la ligne éditoriale.
Apparemment, ces remarques ne concernent pas tout le monde, tout au contraire, un modérateur encourage ces pratiques.
Ils t'avaient promis, mais, tout-ça s'était du vent, alors le carreau c'est déjà pas mal.
Ce/se… Confusion grammaticale dès la première ligne. Niveau primaire.
Il y fait bon à s'y coller le pif, tu sais,
Faute syntaxique, déjà relevée. Mais peut-être que la puissance évocatrice, frisant le génie, de la phrase la rend licite ?
C'est loin d'ici et pourtant, y'avait des rubans d'espoir qui se déroulaient dans les mots que tu me disais: voyager enfin.
Syntaxe fautive, à nouveau. Ponctuation fautive également. Mais c’e’st si beau, n’est-ce pas, qu’on pardonne.
Ce qu'il te reste, ce sont deux yeux collés à la vitre, dans ta main: le taquet de verrouillage de la portière.
Ponctuation douteuse, mais, je ne chipote pas, c’est si couillu.
Les voitures modernes sont équipées de la fermeture centralisée,
Là, aucune faute et en plus, c’est si fort, si juste ! Rimbaud n’est pas loin.
mais, ce n'est pas toi qui est aux commandes.
D’ailleurs, la preuve, pour Rimbo : si je est un autre, tu aussi !
Dehors les quartiers, défilent, boisés, dedans, tu te délites.
Bon, une virgule entre le sujet et son verbe… mais ce n’est pas grave, hein, puisque c’est relu, volontaire, tout ça. Insignifiant ? Non, allons ! Respect ! Couillu quand même, d’oser. Il, fait ça, lui.
Il te reste un Dieu mais plus beaucoup de liberté, alors la croix contre ton sein te brule et tu pries, (les accents circonflexes, ça gave, ça aussi, libérons-nous camarades du fascisme des accents !)
Ils t'avaient promis, mais c'était plutôt du flan, alors le carreau c'est déjà pas mal.
Je n’y comprends rien. Mais, dans ces cas-loà, je sais bien que c’est juste parce que je lis mal. Alors, vite, je crie au génie.
Il fait bon s'y poser le front,
(Tiens, cette fois un « s » de trop… C’est peut-être un jeu, il faut peut-être les replacer soi-même ?)
la peau a des symptômes de chair de poule.
Ça, c’est quand même une sacrée belle formulation alambiquée. Peut-être que c’est un jeu, qu’il devait placer ce mot-là dans le texte ? Bon, il l’a fait. Pas très bien, mais quand même, il fallait y arriver, hein.
Les maisons de campagnes sont munies de verrous solides, mais ce n'est pas toi qui en a les clefs,
Ah ! Les campagnes… celles d’Italie, de Russie…
Mais, j’en conviens, la phrase est belle. Elle me rappelle celle des gaufrettes, vous savez…
Dehors la Baltique promène ses harengs et tu te cognes doucement le crâne contre la vitre.
Vache ! Fort, le mec. Et puis,, ça ne sent pas le procédé épate-bourgeois, ce truc qu’il nous fait depuis le début, cette association, proche du zeugme. Un procédé ? Une ficelle ? Pensez-vous !
Il te reste ton Dieu, pas du tout de liberté, alors, la croix, toute contre ton sein te brule et tu pries,
Là, je n’ai pas compris non plus… Syntaxe, grammaire, tout ça… Trop haut pour moi.
parce que ça dissout le monde, le verre et le laiton.
Tiens, la même ficelle…
Je t'avais promis, mais c'était plutôt à cran, alors, les mots c'est déjà pas mal en excuses.
Franchement, là, le fascisme de la langue, qu’est-ce qu’il lui fout dans la gueule, l’auteur. Pute borgne ! On n’y pige plus rien. Quelle force !
Il y fait bon à s'y noyer la gueule, tu sais, quand ils ne s'écrasent plus pour laisser passer les choses,
Ah ! Le coup des y qu’on ne sait pas trop comment que ça s’emploie que ces lettres là. Les intellos, y doivent pas y apprécier grand y chose !
que ça fait un drôle d'air dans l'œil de celui qui ne veux pas les voir,
Et la conjugaison, hein ! Il lui nique fort sa race, là encore !
J’arrête là, même les meilleures plaisanteries ont une fin.
Je croyais qu’ici il fallait : écrire en français, respecter le lectorat, etc. J’ai dû mal lire la ligne éditoriale.
zenobi- Nombre de messages : 892
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Date d'inscription : 03/09/2010
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
Aucun modérateur n'a porté de jugement sur le texte de Panda.zenobi a écrit:Ce qui m’a amusé c’est le jugement porté (sans argument) par un « modérateur ».
Et si c'est moi que tu vises, moi c'est mentor, membre de VE, comme tout un chacun, et libre de commenter à ma guise en mon nom (pseudo) propre. D'ac ?
De plus personne n'est obligé d'argumenter son propre commentaire. Qu'est-ce que c'est que cette nouvelle règle ?
Si l'auteur me demande d'argumenter, j'essaierai. Mais ça va être dur. Je ne suis pas certain que mon QI me le permette.
Effectivement, personnellement, en mon pseudo propre et n'engageant que moi : oui !zenobi a écrit:j’imagine qu’après ces propos on va me dire de me taire, (Bouh ! le vilain !) afin de mieux ronronner en commun.
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
je pense que ce texte est antécédent (2007 ou 2008 ?) à toute ligne éditoriale rédigée pour le forum Vos écrits, et de beaucoup.Notre conception : écrire, ce n’est pas balancer des mots à la volée pour son seul plaisir, » et, plus loin : « Nous demandons à chacun d’apporter le maximum de soin à ce qu’il publie, sur le fond comme sur la forme. Nous ne publions pas les textes inachevés, les écrits commis à la va-vite, ceux trop tournés vers le pathos, et ceux encombrés de fautes d'orthographe et/ou de français. »
Apparemment, ces remarques ne concernent pas tout le monde, tout au contraire, un modérateur encourage ces pratiques.
Nous étions il me semble, à cette époque, une cinquantaine d'inscrits dont 15 actifs qui aidaient les gens basculés dans cette forme particulière de dégradation du langage qui touche les gens (dont Pandaworks) qui n'utilisent jamais l'écrit ou encore le français et qui pour une raison ou une autre, y reviennent ou en ont absolument besoin.
Il faudrait, avec ta théorie, supprimer tous les textes antécédent à la dernière ligne éditoriale, et je pense que le groupe d'administration ne le souhaite pas, sans beaucoup de chances de me tromper.
effectivement, ta plaisanterie, si on peut la nommer ainsi, est hors de propos.
Invité- Invité
Re: De la liberté chérie à travers la vitre
Il serait sage de verrouiller ce texte pour laisser place au texte de 2011.
Invité- Invité
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