Mille pattes
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Kash Prex
loic
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Mille pattes
Si pour beaucoup le buzzer du réveil évoque la fin des cauchemars, pour moi c’est l’inverse, le sommeil est une espèce de no man’s land, où je flotte entre deux eaux. Un sanctuaire où le rat de laboratoire jeté dans une vie détestable peut enfin débrancher ses petites électrodes pour ne penser à rien.
- Amuses toi bien cette semaine.. Va voir tes putes..
Ce sont là les derniers mots « tendres » en guise de berceuse, de celle avec qui je passe une existence digne d’une république socialiste grande époque.
Faut dire qu’elle est très douée dans son genre pour les assertions déstabilisantes genre « je te fais culpabiliser » et surtout pour une qualité incontestable à sonder mes pensées, digne d’un service secret certainement inspiré de la STASI
- s’il te plait laisses moi dormir, je me lève à deux heures du matin..
C’est avec des phrases comme ça que je remets une pièce dans l’appareil, je le sais et j’ai encore la naïveté de croire que ça peut marcher..
Pour noircir un peu le tableau disons que la scène se déroule au mois de Novembre, un de ces jours au ciel ferreux et l’hygrométrie oxydante le moral le mieux trempé
- J’en ai marre de ta gueule, « plus ça va pire c’est »
« Plus ça va pire c’est », c’est un peu le « Liberté, Egalité, Fraternité » de ma petite Corée du Nord, et comme là bas je pressens que toute velléité de révolte se terminera par une famine affective orchestré de main de maître…
- Un jour je me vengerais tu me le paieras
Cette fois c’est moi qui parle, enfin si marmonner de manière inintelligible c’est s’exprimer..
- Quoi t’es pas content ! j’en ai rien à foutre de ta gueule !
Ici énoncée une variante de notre devise à tous, citoyens libres et heureux de notre grande principauté démocratique dirigée par notre flamboyant phare du Danube..
Cette petite énumération touristique faite il va falloir que je me présente :
J’aurais pu m’appeler Ivan Dennisovitch, je suis routier, une qualité marquée du sceau de l’infamie chez mes contemporains qui s’imaginent sans peine, un abruti un peu obtus du genre deux cerveaux et un muscle en analogie avec les gros biceps et le petit cerveau..
Je fais ce métier pour avoir la paix, en vertu des réveils dont je suis régulièrement gratifié ça peut je pense se comprendre.
Pour moi le camion que l’on me paye pour conduire est une sorte de caisse à outil dans lequel je m’assois et avec qui je n’entretien aucun rapport autre que professionnel, ce qui n’est pas le cas de la plupart de mes co-religionnaires. Ceux là, qui érigent leur gagne pain en une espèce de funeste représentation d’un dieu machine doté de capacités humaines à qui ils vouent une adoration de tout les instants, en lui faisant des offrandes, allant de la petite lampe supplémentaire, aux fanions égayant le pare brise, le tout en aspergeant généreusement le tableau de bord de « Rénov. plastique »..
suite ou non?
- Amuses toi bien cette semaine.. Va voir tes putes..
Ce sont là les derniers mots « tendres » en guise de berceuse, de celle avec qui je passe une existence digne d’une république socialiste grande époque.
Faut dire qu’elle est très douée dans son genre pour les assertions déstabilisantes genre « je te fais culpabiliser » et surtout pour une qualité incontestable à sonder mes pensées, digne d’un service secret certainement inspiré de la STASI
- s’il te plait laisses moi dormir, je me lève à deux heures du matin..
C’est avec des phrases comme ça que je remets une pièce dans l’appareil, je le sais et j’ai encore la naïveté de croire que ça peut marcher..
Pour noircir un peu le tableau disons que la scène se déroule au mois de Novembre, un de ces jours au ciel ferreux et l’hygrométrie oxydante le moral le mieux trempé
- J’en ai marre de ta gueule, « plus ça va pire c’est »
« Plus ça va pire c’est », c’est un peu le « Liberté, Egalité, Fraternité » de ma petite Corée du Nord, et comme là bas je pressens que toute velléité de révolte se terminera par une famine affective orchestré de main de maître…
- Un jour je me vengerais tu me le paieras
Cette fois c’est moi qui parle, enfin si marmonner de manière inintelligible c’est s’exprimer..
- Quoi t’es pas content ! j’en ai rien à foutre de ta gueule !
Ici énoncée une variante de notre devise à tous, citoyens libres et heureux de notre grande principauté démocratique dirigée par notre flamboyant phare du Danube..
Cette petite énumération touristique faite il va falloir que je me présente :
J’aurais pu m’appeler Ivan Dennisovitch, je suis routier, une qualité marquée du sceau de l’infamie chez mes contemporains qui s’imaginent sans peine, un abruti un peu obtus du genre deux cerveaux et un muscle en analogie avec les gros biceps et le petit cerveau..
Je fais ce métier pour avoir la paix, en vertu des réveils dont je suis régulièrement gratifié ça peut je pense se comprendre.
Pour moi le camion que l’on me paye pour conduire est une sorte de caisse à outil dans lequel je m’assois et avec qui je n’entretien aucun rapport autre que professionnel, ce qui n’est pas le cas de la plupart de mes co-religionnaires. Ceux là, qui érigent leur gagne pain en une espèce de funeste représentation d’un dieu machine doté de capacités humaines à qui ils vouent une adoration de tout les instants, en lui faisant des offrandes, allant de la petite lampe supplémentaire, aux fanions égayant le pare brise, le tout en aspergeant généreusement le tableau de bord de « Rénov. plastique »..
suite ou non?
Re: Mille pattes
Quelques critiques de forme :
- Parfois un manque de virgules :
"Je fais ce métier pour avoir la paix, en vertu des réveils dont je suis régulièrement gratifié ça peut je pense se comprendre."
"Cette petite énumération touristique faite il va falloir que je me présente"
Etc.
- Des fautes d'orthographe :
"Amuses toi bien cette semaine.." : Amuse. Idem pour "laisses moi dormir".
"une famine affective orchestré" : Orchestrée.
"je me vengerais" : Vengerai.
"j’en ai rien à foutre" : N'ai.
"caisse à outil dans lequel je m’assois" : Caisse à outils dans laquelle.
"n’entretien" : Entretiens.
"de tout les instants" : Tous.
- Des formulations lourdes :
"un de ces jours au ciel ferreux et l’hygrométrie oxydante le moral le mieux trempé" : Ici je n'ai tout simplement pas compris...
"Cette fois c’est moi qui parle, enfin si marmonner de manière inintelligible c’est s’exprimer.." : Trop oral sans doute...
Etc.
A part ça, j'ai ri avec la longue comparaison, et quelques formulations d'idées bien trouvées :
"Plus ça va pire c’est », c’est un peu le « Liberté, Egalité, Fraternité » de ma petite Corée du Nord"
"un abruti un peu obtus du genre deux cerveaux et un muscle en analogie avec les gros biceps et le petit cerveau.."
Globalement je trouve qu'il y a de l'idée mais peut-être un manque d'application. Tu pourrais davantage réfléchir tes phrases, chercher une fluidité dans ton écriture. Je suis assez incapable de te dire s'il faut une suite ou pas, premièrement parce que je trouve que c'est une sacrée responsabilité, deuxièmement parce qu'à mon avis c'est encore trop tôt pour le dire. Mais il y a sans doute des idées à creuser =)
- Parfois un manque de virgules :
"Je fais ce métier pour avoir la paix, en vertu des réveils dont je suis régulièrement gratifié ça peut je pense se comprendre."
"Cette petite énumération touristique faite il va falloir que je me présente"
Etc.
- Des fautes d'orthographe :
"Amuses toi bien cette semaine.." : Amuse. Idem pour "laisses moi dormir".
"une famine affective orchestré" : Orchestrée.
"je me vengerais" : Vengerai.
"j’en ai rien à foutre" : N'ai.
"caisse à outil dans lequel je m’assois" : Caisse à outils dans laquelle.
"n’entretien" : Entretiens.
"de tout les instants" : Tous.
- Des formulations lourdes :
"un de ces jours au ciel ferreux et l’hygrométrie oxydante le moral le mieux trempé" : Ici je n'ai tout simplement pas compris...
"Cette fois c’est moi qui parle, enfin si marmonner de manière inintelligible c’est s’exprimer.." : Trop oral sans doute...
Etc.
A part ça, j'ai ri avec la longue comparaison, et quelques formulations d'idées bien trouvées :
"Plus ça va pire c’est », c’est un peu le « Liberté, Egalité, Fraternité » de ma petite Corée du Nord"
"un abruti un peu obtus du genre deux cerveaux et un muscle en analogie avec les gros biceps et le petit cerveau.."
Globalement je trouve qu'il y a de l'idée mais peut-être un manque d'application. Tu pourrais davantage réfléchir tes phrases, chercher une fluidité dans ton écriture. Je suis assez incapable de te dire s'il faut une suite ou pas, premièrement parce que je trouve que c'est une sacrée responsabilité, deuxièmement parce qu'à mon avis c'est encore trop tôt pour le dire. Mais il y a sans doute des idées à creuser =)
Re: Mille pattes
voilà désolé...
Si pour beaucoup le buzzer du réveil évoque la fin des cauchemars, pour moi c’est l’inverse, le sommeil est une espèce de no man’s land, où je flotte entre deux eaux. Un sanctuaire où le rat de laboratoire jeté dans une vie détestable peut enfin débrancher ses petites électrodes pour ne penser à rien.
- Amuse toi bien cette semaine.. Va voir tes putes..
Ce sont là les derniers mots « tendres » en guise de berceuse, de celle avec qui je passe une existence digne d’une république socialiste grande époque.
Faut dire qu’elle est très douée dans son genre pour les assertions déstabilisantes, et surtout pour une qualité incontestable à sonder mes pensées, digne d’un service secret digne de la STASI
- s’il te plait laisses moi dormir, je me lève à deux heures du matin..
C’est avec des phrases comme ça que je remets une pièce dans la machine, je le sais et j’ai encore la naïveté de croire que ça peut marcher..
- J’en ai marre de ta gueule, « plus ça va pire c’est »
« Plus ça va pire c’est », c’est un peu le « Liberté, Egalité, Fraternité » de ma petite Corée du Nord, et comme là bas je pressens que toute velléité de révolte se terminera par une famine affective orchestré de main de maître…
- Un jour je me vengerais tu me le paieras
Cette fois c’est moi qui m’exprime, enfin si marmonner de manière inintelligible c’est s’exprimer..
- Quoi t’es pas content ! j’en ai rien à foutre de ta gueule !
Ici énoncée une variante de notre devise à tous, citoyens libres et heureux de notre grande principauté démocratique dirigée par notre flamboyant phare du Danube..
J’aurais pu m’appeler Ivan Dennisovitch, je suis routier… Une engeance marquée du sceau de l’infamie chez mes contemporains qui s’imaginent sans peine, un abruti un peu obtus du genre deux cerveaux et un muscle en analogie avec les gros biceps et le petit cerveau..
Je fais ce métier pour avoir la paix, en vertu des réveils dont je suis régulièrement gratifié ça peut se comprendre…
Pour moi ce camion que l’on me paye pour conduire est une sorte de caisse à outil dans laquelle je m’installe et avec qui je n’entretiens aucun rapport particulier, ce qui n’est pas le cas de la plupart de mes co-religionnaires.
Ceux là ; érigent leur gagne-pain en une espèce de funeste représentation d’un dieu machine, doté de capacités humaines à qui ils vouent une adoration sans bornes. Ils le vénèrent d’ailleurs en lui faisant des offrandes, une petite lampe supplémentaire, des fanions égayant le pare brise. Ils encensent même le tout en aspergeant généreusement le tableau de bord de « Rénov. plastic » parfumé à la lavande
Si pour beaucoup le buzzer du réveil évoque la fin des cauchemars, pour moi c’est l’inverse, le sommeil est une espèce de no man’s land, où je flotte entre deux eaux. Un sanctuaire où le rat de laboratoire jeté dans une vie détestable peut enfin débrancher ses petites électrodes pour ne penser à rien.
- Amuse toi bien cette semaine.. Va voir tes putes..
Ce sont là les derniers mots « tendres » en guise de berceuse, de celle avec qui je passe une existence digne d’une république socialiste grande époque.
Faut dire qu’elle est très douée dans son genre pour les assertions déstabilisantes, et surtout pour une qualité incontestable à sonder mes pensées, digne d’un service secret digne de la STASI
- s’il te plait laisses moi dormir, je me lève à deux heures du matin..
C’est avec des phrases comme ça que je remets une pièce dans la machine, je le sais et j’ai encore la naïveté de croire que ça peut marcher..
- J’en ai marre de ta gueule, « plus ça va pire c’est »
« Plus ça va pire c’est », c’est un peu le « Liberté, Egalité, Fraternité » de ma petite Corée du Nord, et comme là bas je pressens que toute velléité de révolte se terminera par une famine affective orchestré de main de maître…
- Un jour je me vengerais tu me le paieras
Cette fois c’est moi qui m’exprime, enfin si marmonner de manière inintelligible c’est s’exprimer..
- Quoi t’es pas content ! j’en ai rien à foutre de ta gueule !
Ici énoncée une variante de notre devise à tous, citoyens libres et heureux de notre grande principauté démocratique dirigée par notre flamboyant phare du Danube..
J’aurais pu m’appeler Ivan Dennisovitch, je suis routier… Une engeance marquée du sceau de l’infamie chez mes contemporains qui s’imaginent sans peine, un abruti un peu obtus du genre deux cerveaux et un muscle en analogie avec les gros biceps et le petit cerveau..
Je fais ce métier pour avoir la paix, en vertu des réveils dont je suis régulièrement gratifié ça peut se comprendre…
Pour moi ce camion que l’on me paye pour conduire est une sorte de caisse à outil dans laquelle je m’installe et avec qui je n’entretiens aucun rapport particulier, ce qui n’est pas le cas de la plupart de mes co-religionnaires.
Ceux là ; érigent leur gagne-pain en une espèce de funeste représentation d’un dieu machine, doté de capacités humaines à qui ils vouent une adoration sans bornes. Ils le vénèrent d’ailleurs en lui faisant des offrandes, une petite lampe supplémentaire, des fanions égayant le pare brise. Ils encensent même le tout en aspergeant généreusement le tableau de bord de « Rénov. plastic » parfumé à la lavande
Re: Mille pattes
J'ai adoré ta comparaison aux régimes communistes, le fait d'avoir un routier critiquant ses congénères, toussa toussa. La lucidité de ton personnage et son ironie. Ca m'a fait rire.
Sinon oui, parfois des formulations lourdes. On pourrait sans doute travailler encore dessus. La phrase sur l'oxydation du fer, le ferrique/ferreux ne me dérangeait pas. Et puis si d'aventure ca devait arriver, ça ne me gêne pas de ne pas tout comprendre (si ca reste avec parcimonie).
Peut-être ici:
Ne pourrait-on pas éviter la répétition de digne qui n'apporte pas grand chose?
Mais bon, j'aime ton personnage.
Sinon oui, parfois des formulations lourdes. On pourrait sans doute travailler encore dessus. La phrase sur l'oxydation du fer, le ferrique/ferreux ne me dérangeait pas. Et puis si d'aventure ca devait arriver, ça ne me gêne pas de ne pas tout comprendre (si ca reste avec parcimonie).
Peut-être ici:
Ce sont là les derniers mots « tendres » en guise de berceuse, de celle avec qui je passe une existence digne d’une république socialiste grande époque.
Faut dire qu’elle est très douée dans son genre pour les assertions déstabilisantes, et surtout pour une qualité incontestable à sonder mes pensées, digne d’un service secret digne de la STASI
Ne pourrait-on pas éviter la répétition de digne qui n'apporte pas grand chose?
Mais bon, j'aime ton personnage.
Lehnerd- Nombre de messages : 70
Age : 38
Date d'inscription : 28/12/2008
Re: Mille pattes
Il me semble, que si tu décides de donner une suite au texte il pourrait se révéler difficile de continuer dans la même veine narrative ; je me dis que tôt ou tard tu vas t'emberlificoter dans des phrases longues, lourdes surtout. Je ne parle que de mon point de vue, je sais que c'est ce qu'il se passe pour moi ; maintenant, tu vois sans doute les choses différemment. Quoi qu'il en soit, cette écriture un peu empruntée risque de peser au lecteur au bout d'un moment. Je ne dis pas que c'est mal écrit - loin de là- je dis que cela manque de fluidité, de légèreté.
Sur le thème, je ne sais pas, on n'a pas assez d'éléments pour savoir précisément ce dont il s'agit. On attend donc la suite ? ;-)
Sur le thème, je ne sais pas, on n'a pas assez d'éléments pour savoir précisément ce dont il s'agit. On attend donc la suite ? ;-)
Invité- Invité
Re: Mille pattes
Ça, c'est à toi de voir.suite ou non?
Si suite est postée, je vais attendre un peu avant d'approfondir mon commentaire... ^^
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 47
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Mille pattes
Je vote suite, j'aime bien ce ton.
Tu as l'air de tenir beaucoup à tes fautes d'orthographe, Loïc, ça fait longtemps que tu les as ? ^^
Tu as l'air de tenir beaucoup à tes fautes d'orthographe, Loïc, ça fait longtemps que tu les as ? ^^
Invité- Invité
Re: Mille pattes
Des longueurs, de la lourdeur et au milieu de tout cela, des tranches d'humour désabusé. A mettre un peu mieux en valeur, me semble, tout comme le côté doux-amer de l'ensemble qui passe un peu inaperçu au milieu de tournures trop chargées.
Une suite va appeler un changement de rythme et de narration, je pense, sous peine de donner dans le lancinant monotone.
A retravailler, il y a du bon là-dedans.
Une suite va appeler un changement de rythme et de narration, je pense, sous peine de donner dans le lancinant monotone.
A retravailler, il y a du bon là-dedans.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Mille pattes
Je n'ai pas vraiment trouvé de "raison" à ce texte, comme si ça racontait le tout début d'une histoire mais sans problématique, sans objet de discours, sans but quoi.
L'écriture est assez agréable, bien qu'un peu plombée par de légères touches "à effet". Je n'ai pas trouvé très idoine les allusions à la Stasi et aux régimes politiques. Ou alors il aurait peut-être fallu développer un peu plus ton texte afin qu'ils servent plus habilement de métaphores à la situation de ton héros.
Bref, je trouve que ça ne raconte pas grand-chose, mais ça le raconte correctement. :-)
Je crois que ça ressemble trop à l'ébauche du début d'une histoire à développer pour que je puisse réellement émettre d'avis plus circonstancié.
L'écriture est assez agréable, bien qu'un peu plombée par de légères touches "à effet". Je n'ai pas trouvé très idoine les allusions à la Stasi et aux régimes politiques. Ou alors il aurait peut-être fallu développer un peu plus ton texte afin qu'ils servent plus habilement de métaphores à la situation de ton héros.
Bref, je trouve que ça ne raconte pas grand-chose, mais ça le raconte correctement. :-)
Je crois que ça ressemble trop à l'ébauche du début d'une histoire à développer pour que je puisse réellement émettre d'avis plus circonstancié.
Lonely- Nombre de messages : 140
Age : 48
Localisation : Perpilliéraine et montpignanaise.
Date d'inscription : 14/01/2009
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